 Your new post is loading...
Bienvenus sur votre plateforme de veille sur le Zéro Artificialisation Nette!
L'Agence de développement et d'urbanisme du Grand Amiénois vous propose une plateforme de veille afin de vous tenir informés sur l'actualité du ZAN: législation, densification, étalement urbain, ZAE, renaturation, reconversion de friches, ...
En tant qu’outil de connaissance, le centre de documentation l’ADUGA vous propose cette page afin de contribuer à la réflexion de notre territoire sur les alternatives à l'étalement urbain et l'artificialisation des sols. Vous pouvez faire de recherches par mots clés sur la rubrique "Search" (étiquette en haut à droite). Vous pouvez recevoir des alertes par mail sur la rubrique "Follow". Pour recevoir la newsletter mensuelle envoyez un mail à f.miguens@aduga.org: Sujet du message "News ZAN". Nous vous conseillons de naviguer avec Firefox.
Localtis : Le Sénat a achevé, ce 13 mars, l’examen, en première lecture, de la proposition de loi "visant à instaurer une trajectoire de réduction de l’artificialisation concertée avec les élus locaux" dite Trace, avant un vote solennel prévu mardi 18 mars.
Le Sénat a adopté, mardi, la proposition de loi Trace, qui abroge l’objectif de réduction de 50 % de l’artificialisation des sols et multiplie les exemptions. Un nouveau dossier complexe à gérer pour le gouvernement, avant le retour du texte à l’Assemblée nationale, d’ici à l’été.
Il y a des sujets qui brisent des couples, qui déchirent des familles au repas de Noël. Après “pain au chocolat vs chocolatine”, “ PSG vs OM”, le nouveau détonateur de débats endiablés porte sur la prononciation de l’acronyme “ZAN”. Alors, peut-être pas lors des repas de famille, mais en
Dans le cadre du Think Tank "2030 Investir demain", le groupe de travail cofondé par Edmond de Rothschild Asset Management, en partenariat avec les médias L’Agefi et ID L’info durable, s’intéresse à la ville du futur, à la régénération urbaine, avec pour ambition de construire un modèle urbain répondant aux enjeux de durabilité. Dans cette interview vidéo, à la suite du deuxième atelier de ce groupe de travail, Laura Nolier, Directrice de la stratégie et de l'impact de Ginkgo Advisor, et Nicolas Menu, Directeur des investissements, reviennent sur les besoins de financement, mais aussi d’expertises nécessaires à la reconversion de friches et de bureaux vacants.
Après avoir connu un étalement urbain sans contrôle, Poitiers s’est lancé dans une ambitieuse politique pour tourner le dos à la bétonisation à tout-va.Avec pour défi d’embarquer les maires ruraux s…...
Ce vaste territoire, regroupant 73 communes et 1,5 million d’habitants, mène une nouvelle politique urbaine afin de s’adapter au réchauffement climatique.
La chaîne d’acteurs est-elle prête à faire face à la mise en oeuvre du ZAN ? Comment dénouer les tensions qu’elle soulève et relever les défis qu’elle impose ? Une partie de la réponse se trouve dans un préalable : délier la parole et croiser les points de vue, en mettant autour de la table l’ensemble des acteurs de la fabrique territoriale pour partager constats, enjeux, questionnements, expériences, etc. C’est la proposition faite par l’Agence en 2024, à travers ses petits déjeuners de travail thématiques dédiés au ZAN, très suivis et productifs. Ils ont réuni, à un rythme régulier et autour de différents intervenants, une centaine d’acteurs locaux. Au total, 7 séances ont permis d’aborder des sujets aussi variés que la filière bâtiment, la rénovation patrimoniale, le logement social, l’immobilier d’entreprise, les espaces pavillonnaires, l’action foncière, l’aménagement, etc.
Une étude qui s'attache à localiser les potentiels de renaturation sur le territoire, les prioriser et à explorer les solutions pré-opérationnelle de renaturation selon le contexte et les usages : parking, ruelle, parvis d’écoles…Les communes accompagnées ont également engagé des réflexions sur les des modalités financières de mise en œuvre des projets, les modes de faire et l’évolution de la gestion de ces espaces. Des réflexions nécessaires dans la mise en place de véritable stratégies localisées et cadrées dans le temps afin d’intégrer les enjeux environnementaux.
Vivez-vous dans une maison individuelle, comme 56% des Français ? En 2017, un sondage de Kantar Public révélait que 4 Français sur 5 rêvaient toujours de posséder une maison individuelle. Pourtant, notre amour des maisons continue à consumer nos terres chaque année, détruisant 30 000 hectares...
Proche de la saturation et contrainte par une législation devenue plus stricte, la métropole de Rennes mise sur la densification des zones d’activité économique. Un chantier qui reste, ici comme ailleurs, encore balbutiant.
Dans un contexte marqué par une pression toujours présente sur les terres disponibles et l'impératif de limiter l'artificialisation des sols, une meilleure prise en compte des limites entre les espaces urbains, naturels et agricoles devient primordiale. Les objectifs de préservation de nos paysages et d'amélioration de notre cadre de vie nous amènent également à réfléchir à une échelle plus fine, celle des limites entre espaces privés et publics. Cette publication vise à offrir des premières pistes de réflexion pour intégrer de manière plus cohérente les limites et transitions dans nos démarches d'aménagement urbain et nos documents d'urbanisme.
Le conseil d’agglomération, comme le font toutes les communautés de communes et le Département vendredi, est appelé à se prononcer sur le Sraddet.
|
L'objectif « Zéro artificialisation nette », ou ZAN, suscite de nombreux débats, souvent très techniques. Pourquoi empêcher les villes de s'étendre sur les espaces naturels, les forêts et les terres agricoles ? S'agit-il comme l'affirment certains élus d'une mesure « ruralicide » ? La loi Climat et résilience votée en 2021 a fixé pour 2050 l'objectif d'une artificialisation nette égale à zéro. À cette date, toute surface artificialisée devra être compensée par la désartificialisation (…)
Le Sénat a adopté le 18 mars la proposition de loi visant à instaurer une trajectoire de réduction de l’artificialisation concertée avec les élus locaux, dite "Trace", nouveau nom du zéro artificialisation nette. Si les sénateurs disent, avec ce texte, vouloir mieux accompagner les élus dans leur politique de sobriété foncière, ceux-ci sont nombreux à dénoncer les retours en arrière qu'il induit.
Alors que l’objectif de « zéro artificialisation nette » fait de nouveau débat au Sénat, visualisez la manière dont la France a développé le périurbain au détriment des espaces naturels, agricoles ou forestiers.
Yvain Dobel, directeur de pôle Aménagement opérationnel et durable à la Scet, explore les nouveaux montages économiques et juridiques du cycle de l’aménagement, en regard du « zéro artificialisation nette » (ZAN) et d’une inévitable densification de l’existant. Comment la densification urbaine peut- elle contribuer à atteindre l’objectif ZAN à horizon 2050, et quels sont […]
Face aux canicules et inondations, renaturer les sols devient une priorité pour adapter nos villes au climat. Mais à quel prix ? Une nouvelle étude révèle des coûts allant de 50 à plus de 800 euros par mètre carré, selon l’état initial des sols et les techniques employées.
Considérant les différentes réglementations (urbanisme et environnement), les différents bénéfices et risques associés à la désimperméabilisation, et les différents points de vue des acteurs, le projet PerméPolis (2024-2028) vise à combiner, dans un cadre coconstruit avec les parties prenantes,...
Faut-il en finir avec l’objectif du « zéro artificialisation nette » des sols ? Alors que le Sénat examine mercredi 12 mars une proposition de loi pour détricoter ce principe, entretien avec le géographe Éric Charmes, qui décrypte les enjeux pour la ruralité de la sobriété foncière.
L’Agence observe, apporte son expertise et produit des analyses dans des champs thématiques multiples tels que de la démographie, l’économie, l’urbanisme, l’habitat, l’environnement, les mobilités, l’énergie, le foncier, l’alimentation … et la mise en cohérence des politiques publiques entre territoires.
Alors que le gouvernement envisage de décaler l’objectif intermédiaire du « Zéro artificialisation nette » (ZAN) de 2031 à 2034, sous la pression notamment de l'association des maires de France et du Sénat, un travail de recherche lève le voile sur les coûts, parfois importants, des opérations de renaturation des sols déjà artificialisés. Ces données inédites offrent aux décideurs des repères chiffrés pour planifier la transition écologique de leurs territoires. Tribune des principaux auteurs de cette étude.
Une note datée du 24 février 2025 et produite par la DHUP, envisage des « assouplissements » à apporter au dispositif ZAN existant.Selon...-Droit de l'urbanisme...
Quelle est l'ampleur de l'artificialisation des sols ces dernières années ? Quels sont les leviers pour la réduire et atteindre l'objectif zéro artificialisation nette d'ici 2050 ?
Le Cerema et ses partenaires produisent différents outils nécessaires à l’élaboration et à la mise en œuvre d’une stratégie foncière. Ces outils se complètent pour permettre de couvrir tous les besoins liés à la diversité des usages du foncier (logement, activité économique, nature...), et toutes les étapes des travaux pour une stratégie foncière : - SAVOIR : disposer des connaissances préalables ou transversales pour articuler la stratégie foncière au projet de territoire et mobiliser les dispositifs pertinents.
- OBSERVER ET PROSPECTER : connaître le foncier à la parcelle et disposer de toutes les données pour comprendre les dynamiques en jeu, identifier et mobiliser des gisements fonciers et immobiliers nécessaires au projet de territoire.
- AGIR : mettre en œuvre le plan d'action de la stratégie foncière, afin de diminuer la vacance et remobiliser des logements et des locaux d'activité, recycler les friches, mettre en visibilité des terrains ciblés pour attirer des acteurs fonciers.
Dans les zones pavillonnaires, les opérations de densification sont remises en cause par les riverains qui interpellent les élus. La densification dite « douce » serait-elle remise en cause par les collectivités ? Cette solution, qui permet à des particuliers de construire un logement dans leur jardin ou de vendre une partie de leur terrain pour que de nouveaux acquéreurs puissent à leur tour bâtir leur maison, rencontre des oppositions.
|