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MARSEILLE LA REBELLE ! MARSEILLE L’ALTERNATIVE ! C’est la petite musique qui monte : cette ville séduit de plus en plus de monde et bénéficie d’un nouvel essor. L’effervescence culturelle du cœur de cette métropole si singulière semble intervenir en concomitance, peut-être même dans une certaine forme de réciprocité, avec de profondes transformations urbaines à l’œuvre. L’analyse de la généalogie et l’étude des manifestations de ces phénomènes peuvent certainement orienter les acteurs locaux. Mais ce qui se joue vraiment est ailleurs : ces transformations nourrissent et recomposent tout un ensemble d’imaginaires, parfois même de mythes. Leur puissance narrative dépasse souvent, à Marseille, la puissance d’agir. C’est ce qu’illustrent les entretiens menés auprès de différents acteurs de la ville de Marseille qui sont la matière de cet ouvrage : un dialogue entre la permanence des récits et l’émergence de nouvelles images de cette ville.
Trois décrets sur le ZAN sont parus au Journal officiel de ce matin. Deux d'entre eux sont une nouvelle version des très décriés décrets « Sraddet » et « Nomenclatures », entièrement revus après une concertation approfondie avec l'AMF. Le troisième concerne les commissions régionales de conciliation sur l'artificialisation des sols.
On efface tout et on recommence. En avril 2022, le gouvernement publiait deux décrets d’application de la loi Climat et résilience sur le ZAN, l’un consacré à la nomenclature de l’artificialisation sols – c’est-à-dire, pour faire simple, quels terrains doivent être considérés comme artificialisés ou ne doivent pas l’être –, et l’autre à l’intégration des objectifs du ZAN dans les schémas régionaux (Sraddet). Ces deux décrets ont été très vivement critiqués par l’AMF qui a même, fait rarissime, saisi le Conseil d’État pour en contester la légalité.
Via ADACL
Le New-Yorkais Richard Florida est sans doute l’urbaniste le plus connu de la planète. Ses analyses, visions et concepts ont irrigué les politiques d’aménagement et de développement des grandes métropoles, non sans s’exposer à certaines critiques : trop libéral pour la gauche, trop libertaire pour la droite, qu’il renvoie, ici, encore une fois, dos à […]
La territorialisation des objectifs de zéro artificialisation nette (ZAN) et la nomenclature des surfaces artificialisées seront précisées dans des décrets publiés très prochainement. C'est ce qu'annonce Dominique Faure, la ministre déléguée chargée des collectivités territoriales et de la ruralité, dans une réponse ministérielle.
Via Francisco Miguens - Documentaliste
L'Institut Paris Region réalise des études, enquêtes et recherches ayant pour objet l'aménagement et l'urbanisme dans la région Île-de-France. Acteur majeur de l'aménagement métropolitain durable et du devenir de la région, il peut prêter son expertise en France et à l'étranger.
Via Les CAUE d'Île-de-France
L'Institut Paris Region réalise des études, enquêtes et recherches ayant pour objet l'aménagement et l'urbanisme dans la région Île-de-France. Acteur majeur de l'aménagement métropolitain durable et du devenir de la région, il peut prêter son expertise en France et à l'étranger.
Dans certains territoires au marché immobilier tendu, la forte attractivité résidentielle et touristique et les difficultés d’accès au logement poussent de nombreux acteurs locaux à se mobiliser en faveur du maintien des résidences principales. Celles-ci font en effet face à la concurrence accrue des résidences secondaires et des meublés de tourisme, qui mobilisent une partie …
Il n’y a pas d’impasse climatique. Mais l’idée qu’elle existerait produit des effets qui empêchent toute politique décisive en faveur de la transition. Pour Pierre Charbonnier, il faut comprendre comment naviguer dans le triangle politique de l’anthropocène, si l'on entend mobiliser largement pour sortir de l'aporie actuelle.
Alors que plusieurs décrets d'application de la loi Climat et résilience relatifs au ZAN sont toujours en attente, une question a jusqu'à présent été peu traitée : celle du modèle économique et financier de ce dispositif. Le gouvernement devait faire des propositions en la matière, qu'il n'a pas faite. L'AMF a publié les siennes.
Via ADACL
Localtis : À l’heure où le logement fait l’objet de toutes les inquiétudes, le rapport d’information issu des Rencontres de la délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation, présenté au Palais Bourbon le 11 octobre par le député David Valence (Renaissance, Vosges), fait valoir la pertinence d’une territorialisation des politiques publiques du logement.
Via @veilleScalen
Les recherches récentes mettent en évidence les nombreux bénéfices que la biodiversité urbaine apporte aux citadins, lorsqu’elle peut former des écosystèmes fonctionnels. La végétalisation des villes participe en effet de la réduction de la pollution mais procure aussi des bienfaits psychologiques...
Via Agrodoc Ouest
Face aux défis posés par le changement climatique, l’IGN a pris l’initiative de publier annuellement l’atlas Cartographier l’anthropocène.
Via AgroParisTech DOC IST
Alors que la notion de « biorégion » connaît un succès grandissant, le livre La Biorégion urbaine d'Alberto Magnaghi est fréquemment cité comme référence. Mais peut-on vraiment considérer ce livre comme un texte « biorégionaliste » ? Qu'est-ce que le biorégionalisme ? Selon les écologistes fondateurs de la notion de « biorégion », le terme est utilisé pour « faire référence au contexte géographique autant qu'au contexte cognitif – à savoir aussi bien à un lieu qu'aux idées qui ont été développées à propos des
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Le Centre Pompidou présentait, du 10 mai au 7 août derniers, l’impressionnante exposition “Norman Foster”. Une exposition qui invitait à voir dans les projets de l’architecte britannique né en 1935 une nouvelle avant-garde : celle du tournant écologique de l’architecture globale. En proposant une vaste monographie de l’un des représentants principaux de l’architecture dite “high-tech” (dans les années 1970) puis de la “green architecture” (à partir de la fin des années 1990), le Centre Pompidou et son département d’architecture laissaient entrevoir la possibilité de reprendre à nouveaux frais la question des liens entre architecture et technique.
La coopération, au cœur du Territoire de projet. Enjeux climatiques et environnementaux, attractivité économique, innovation, santé, culture… La philosophie du développement local portée par les Territoires de projet se décline à travers de multiples thématiques, tout comme les coopérations qu’ils portent avec conviction.
À la fois approche pratique et outil du développement local, la coopération met en lien des structures, des personnes et des ressources en vue d’atteindre des objectifs propres et partagés. Elle constitue l’un des éléments essentiels des Territoires de projet. Ceux-ci sont tout autant les vecteurs de coopérations infra- qu’inter-territoriales, entre partenaires publics qu’avec les acteurs privés, nationales qu’européennes ou internationales.
Le Vadémécum « Faire territoire : Coopérons pour réussir nos transitions » vient préciser dans la théorie et la pratique l’ingénierie des coopérations déployées par les Territoires de projet. Pourquoi coopérer ? Quelle capacité à le faire ? Comment et avec qui ? Quelles approches ou méthodologies ? Quelles bonnes pratiques ? Autant de questions auxquelles il s’attache à répondre.
Exemple en soi, ce vadémécum est le produit d’une coopération pour laquelle ANPP – Territoires de projet remercie chaleureusement ses partenaires et contributeurs pour leur temps et la qualité des réflexions partagées.
Qui produit et finance aujourd’hui le logement, suivant quelles stratégies et avec quels effets ? Ce dossier explore les transformations récentes du marché du logement, entre recherche de nouveaux profits, stratégies d’accumulation et expérimentation d’alternatives.
Laetitia Dablanc est urbaniste de formation et enseigne à l’Université Gustave Eiffel où elle dirige la Chaire Logistics City. Ses travaux de recherche portent principalement sur le transport de marchandises et son lien à l’environnement, la logistique en milieu urbain, les politiques de transport de marchandises et les questions spatiales liées à la logistique.
Depuis soixante ans on éclate les fonctions, on dilue les équipements et les services, on s’attache méthodiquement à vider de leur substance les cœurs des villes mais aussi des bourgs ruraux. Ce faisant, on affaiblit les centralités, les grandes mais aussi les petites, qui ont besoin « d’amortir » leurs fonctions et services sur un « marché » beaucoup plus large que celui de leurs seuls habitants. Compte tenu de l’armature territoriale singulière de la France (peu de grandes villes, des villes moyennes et des petites villes, des villes « marchés » en secteur rural…), ce phénomène a en réalité été beaucoup plus préjudiciable au monde rural qu’il ne l’a été au monde urbain. Contrairement au discours de ceux qui voient dans la loi Climat et Résilience « une loi qui condamne à mort le monde rural et à la glaciation les villes moyennes »[2], il se pourrait en définitive que l’objectif de « zéro artificialisation nette » (ZAN) constitue l’opportunité de redynamiser les centralités des territoires ruraux.
Est-il de plus en plus difficile de suivre ce que disent les spécialistes du climat ? Nous avons établi un guide des termes liés au changement climatique pour simplifier les choses.
TRIBUNE. Afin d’encourager les Français à moins utiliser leur voiture, Anne-Marie Idrac, ancienne présidente de la SNCF, François Gemenne, politiste, et Thomas Matagne, fondateur d’Ecov, proposent, dans une tribune au « Monde », de développer, hors des grandes métropoles, des services de mobilité multimodaux qui s’appuient sur les RER, les cars express et le covoiturage.
Un collectif d’auteurs coordonné par Francesca Artioli et Patrick Le Galès se penche sur « le bricolage permanent » de la gouvernance métropolitaine, pour essayer d’en dégager les logiques sous-jacentes.
Via Les CAUE d'Île-de-France
La mise en chantier du PLU bioclimatique a mis un coup d'arrêt aux projets de tours à Paris, comme l'illustre le cas de la tour Triangle. Julie Gimbal retrace ici un demi-siècle de rejet de la grande hauteur, une approche typique de la capitale française qui continue à peser sur les décisions. Le projet de construction de la tour Triangle à la porte de Versailles, à Paris, a connu une histoire chahutée, encore relancée dans le courant de l'été 2022 par un nouvel épisode polémique. Fortement médiatisé,
Via Les CAUE d'Île-de-France
La consommation d'espaces naturels, agricoles et forestiers a de nombreuses conséquences négatives, que ce soit au niveau écologique (érosion de la biodiversité, aggravation du risque de ruissellement, limitation du stockage carbone) ou au niveau socioéconomique (coûts des équipements publics, augmentation des temps de déplacement et de la facture énergétique des ménages, dévitalisation des territoires en déprise, diminution du potentiel de production agricole etc.).
Localtis : En clôture du congrès de l'Union sociale pour l’habitat, Patrice Vergriete et les membres du l’USH ont signé un accord d’engagements communs pour relever le double défi de la rénovation énergétique et de la production. Outre une palette d’aides financières, le ministre du Logement entend débloquer un certain nombre de verrous. L’USH attend de son côté d’autres avancées.
Via Réseau national des centres de ressources Politique de la ville
Depuis la chute du Mur, la capitale allemande a connu bien des métamorphoses, impulsées par ses élites, les acteurs de la société civile et sa contre-culture. En cinq épisodes, trois décennies de l'histoire de Berlin racontées par celles et ceux qui l'ont faite.
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