Others (UX, ergonomics, supply chain, ways of working, ...)

Via Soizic Merdrignac aka @SoizicAbidjan

“Jusqu'au premier tour des élections municipales, la rédaction publie les propositions concernant le numérique des principaux candidats des 6 villes les plus peuplées de France. Après Paris, Marseille et Lyon, cette semaine, la parole est donnée aux programmes des candidats à la mairie de Toulouse, unique ville de plus de 400 000 habitants à recevoir le label « villes Internet ». Ils apparaissent ainsi en fonction de l'importance qu'ils accordent au numérique (développement d'Internet, Smart city, services aux citoyens...) au sein de leur programme. Afin de comprendre comment ils appréhendent le numérique, les initiatives émises par l'ensemble des candidats figurent dans cette revue.

 

Pierre Cohen (PS-PCF) : « Gérer infrastructures et services numériques» - Développer les services numériques pour les habitants (mobilité, démarches administratives...) comme par exemple l'application mobile de paiement Tisseo ou la carte sans contact Montoulouse. L'ambition est également d'accélérer le déploiement de la fibre optique et des accès publics au WI-FI. - Créer un campus numérique physique et virtuel pour que se côtoient les start-ups, chercheurs, designers et étudiants. - Orienter les demandes de recherche en direction des start-ups en particulier du numérique afin de favoriser les « savoir-faire » locaux. - Mettre sur pied un cluster autour du cinéma d'animation et pour la musique par le biais de locaux dédiés à ces disciplines. - Doter toutes les écoles d'équipements numériques. Le programme s'étendra sur plusieurs années. - Installer la vidéo-surveillance dans les endroits qui peuvent nécessiter le recours à ces dispositifs. Ces installations seront soumises à l'examen d'une entité propre, la Commission des Libertés Publiques. - Développer la démocratie participative par le biais du numérique et l'utilisation des réseaux sociaux afin de consulter et faire participer les administrés à la vie publique.

Le programme du maire sortant attache une importance particulière au volet économique. L'idée est donc d'encourager l'éclosion du numérique par le biais des start-ups notamment afin d'en faire profiter la ville. A l'image de l'aéronautique, Toulouse souhaite donc servir de centrifugeuse dans des domaines variés allant du numérique au cinéma d'animation par exemple. 

Jean-Luc Moudenc (UMP-UDI-MoDeM) : « L'avenir des Villes, c'est la ville numérique» - Couvrir en 4G le métro et développer le Wi-Fi gratuit dans les espaces publics. - Lancer un appel à projet pour créer une application unique comparant en temps réel tous les modes de transport disponibles comme les transports en commun (stations les plus proches, horaires, temps de parcours..), voitures (embouteillages, places de parking disponibles...), vélos (stations Vélo Toulouse). - Rendre possible le paiement sans contact dans les transports et parkings (et/ou par SMS). - Développer une application baptisée « ma ville dans ma poche », regroupant démarches et informations administratives et municipales. A l'image des projets « Dans ma rue » à Paris et Marseille, l'utilisateur pourra signaler une anomalie ou un incident dans sa rue et via la géolocalisation, savoir où se trouvent les points de tri sélectif. - Expérimenter l'utilisation de tablettes dans les écoles primaires et généraliser le tableau numérique dans les classes. - Généraliser la vidéo-protection et multiplier le nombre de caméras par 10, soit autour de 200 dispositifs dans la ville. En priorité en centre-ville puis dans les zones de commerces de proximité. - Lancer une application permettant de prévenir le poste de commandement de la Police municipale et déclencher l'intervention de la Brigade d'intervention rapide. - Encourager les start-ups à développer des modèles utilisant l'Open data.

Sur son site, le candidat propose un onglet dédié uniquement au numérique ce qui est assez rare pour être signalé. Son programme propose des services utiles aux habitants en particulier dans le domaine des transports. L'accent est également porté sur la sécurité grâce aux dispositifs de vidéo-surveillance mais aussi par le recours à une application. 

Jean-Pierre Plancade (Divers Gauche) - Installer 400 caméras de vidéo-surveillance de dernière génération sous le contrôle d'une commission dont la mission serait d'assurer que les libertés individuelles soient respectées. - Créer un site Internet de E-commerce et M-commerce pour développer l'activité des petits commerçants et artisans toulousains. - Promouvoir un réseau social de quartier. - Former les enseignants aux environnements numériques de travail dans les écoles. - Introduire une touche SOS sur chaque téléphone mobile. - Construire un tramway aérien de type SkyTran. Développé par la Nasa, ce dispositif à cabines suspendues à un rail au-dessus du sol peut transporter 2 à 4 passagers jusqu'à 100km/h grâce à un champ électromagnétique. Une application sera également publiée laquelle informera en temps réel les utilisateurs sur l'état du trafic, les parcours, les horaires, les places disponibles...

Si le candidat n'est crédité que de quelques intentions de vote dans les sondages, force est de constater que son programme comporte des aspects des plus originaux. Outre le Skytran ou la touche sur chaque smartphone, le reste de ses propositions s'avèrent néanmoins crédibles et se rapprochent de celles d'autres partis en course pour la mairie.

Antoine Maurice (EELV-Parti Pirate) - Privilégier la présence humaine à la vidéo-surveillance. - Encourager l'utilisation de logiciels libres dans les administrations. Mutualiser les moyens entre les contributeurs et mettre en place un meilleur contrôle de leur utilisation. Serge Laroze (FN) - Renforcer la vidéo-surveillance près des écoles, des bouches de métro, des cités, des commerces (bijouteries, buralistes...).Comme pour les candidats de plusieurs grandes villes, une application mobile générique sous iOS, Android est proposée. A l'image de Lyon, Nantes, Toulon ou encore Nîmes, l'application destinée au candidat à Toulouse diffuse son actualité et ses communiqués. Jean Christophe Sellin (Place au Peuple, Parti de Gauche) - Préférer « la présence humaine » plutôt que la vidéosurveillance et les digicodes en réintroduisant les concierges municipaux dans les immeubles, les écoles, les gymnases, les locaux municipaux. - Interdire toute publicité lumineuse et numérique de type écran publicitaires, par souci de sobriété énergétique et de pollution lumineuse. Elisabeth Belaubre (Rassemblement citoyen) - Geler l'installation de nouvelles antennes-relais et imposer un seuil maximal d'émission de 0,6 volts/m.

 

Ahmed Chouki (NPA) - Soutenir le logiciel libre en se rapprochant des préconisations de l'April. Mettre en avant les atouts de ce secteur (qualité, performance, ouverture, transparence) et lui donner une place plus importante au sein des institutions. Christine de Veyrac (Divers Centre) - La candidate évoque le secteur de l'aéronautique ou bien encore le projet Galileo mais n'aborde pas directement la question du numérique dans son programme. Sandra Torremocha (Lutte Ouvrière) - Aucune mention relative au numérique ne figure sur le programme de la candidate. La semaine prochaine, nous aborderons les programmes des candidats à Nice. ”

Via Jacques Le Bris, Nicolas Petitjean

“Jusqu'au premier tour des élections municipales, la rédaction publie les propositions concernant le numérique des principaux candidats des 6 villes les plus peuplées de France. Après Paris, Marseille et Lyon, cette semaine, la parole est donnée aux programmes des candidats à la mairie de Toulouse, unique ville de plus de 400 000 habitants à recevoir le label « villes Internet ». Ils apparaissent ainsi en fonction de l'importance qu'ils accordent au numérique (développement d'Internet, Smart city, services aux citoyens...) au sein de leur programme. Afin de comprendre comment ils appréhendent le numérique, les initiatives émises par l'ensemble des candidats figurent dans cette revue. Pierre Cohen (PS-PCF) : « Gérer infrastructures et services numériques » - Développer les services numériques pour les habitants (mobilité, démarches administratives...) comme par exemple l'application mobile de paiement Tisseo ou la carte sans contact Montoulouse. L'ambition est également d'accélérer le déploiement de la fibre optique et des accès publics au WI-FI. - Créer un campus numérique physique et virtuel pour que se côtoient les start-ups, chercheurs, designers et étudiants. - Orienter les demandes de recherche en direction des start-ups en particulier du numérique afin de favoriser les « savoir-faire » locaux. - Mettre sur pied un cluster autour du cinéma d'animation et pour la musique par le biais de locaux dédiés à ces disciplines. - Doter toutes les écoles d'équipements numériques. Le programme s'étendra sur plusieurs années. - Installer la vidéo-surveillance dans les endroits qui peuvent nécessiter le recours à ces dispositifs. Ces installations seront soumises à l'examen d'une entité propre, la Commission des Libertés Publiques. - Développer la démocratie participative par le biais du numérique et l'utilisation des réseaux sociaux afin de consulter et faire participer les administrés à la vie publique. Jean-Luc Moudenc (UMP-UDI-MoDeM) : « L'avenir des Villes, c'est la ville numérique » - Couvrir en 4G le métro et développer le Wi-Fi gratuit dans les espaces publics. - Lancer un appel à projet pour créer une application unique comparant en temps réel tous les modes de transport disponibles comme les transports en commun (stations les plus proches, horaires, temps de parcours..), voitures (embouteillages, places de parking disponibles...), vélos (stations Vélo Toulouse). - Rendre possible le paiement sans contact dans les transports et parkings (et/ou par SMS). - Développer une application baptisée « ma ville dans ma poche », regroupant démarches et informations administratives et municipales. A l'image des projets « Dans ma rue » à Paris et Marseille, l'utilisateur pourra signaler une anomalie ou un incident dans sa rue et via la géolocalisation, savoir où se trouvent les points de tri sélectif. - Expérimenter l'utilisation de tablettes dans les écoles primaires et généraliser le tableau numérique dans les classes. - Généraliser la vidéo-protection et multiplier le nombre de caméras par 10, soit autour de 200 dispositifs dans la ville. En priorité en centre-ville puis dans les zones de commerces de proximité. - Lancer une application permettant de prévenir le poste de commandement de la Police municipale et déclencher l'intervention de la Brigade d'intervention rapide. - Encourager les start-ups à développer des modèles utilisant l'Open data. Jean-Pierre Plancade (Divers Gauche) - Installer 400 caméras de vidéo-surveillance de dernière génération sous le contrôle d'une commission dont la mission serait d'assurer que les libertés individuelles soient respectées. - Créer un site Internet de E-commerce et M-commerce pour développer l'activité des petits commerçants et artisans toulousains. - Promouvoir un réseau social de quartier. - Former les enseignants aux environnements numériques de travail dans les écoles. - Introduire une touche SOS sur chaque téléphone mobile. - Construire un tramway aérien de type SkyTran. Développé par la Nasa, ce dispositif à cabines suspendues à un rail au-dessus du sol peut transporter 2 à 4 passagers jusqu'à 100km/h grâce à un champ électromagnétique. Une application sera également publiée laquelle informera en temps réel les utilisateurs sur l'état du trafic, les parcours, les horaires, les places disponibles... Antoine Maurice (EELV-Parti Pirate) - Privilégier la présence humaine à la vidéo-surveillance. - Encourager l'utilisation de logiciels libres dans les administrations. Mutualiser les moyens entre les contributeurs et mettre en place un meilleur contrôle de leur utilisation. Serge Laroze (FN) - Renforcer la vidéo-surveillance près des écoles, des bouches de métro, des cités, des commerces (bijouteries, buralistes...).Comme pour les candidats de plusieurs grandes villes, une application mobile générique sous iOS, Android est proposée. A l'image de Lyon, Nantes, Toulon ou encore Nîmes, l'application destinée au candidat à Toulouse diffuse son actualité et ses communiqués. Jean Christophe Sellin (Place au Peuple, Parti de Gauche) - Préférer « la présence humaine » plutôt que la vidéosurveillance et les digicodes en réintroduisant les concierges municipaux dans les immeubles, les écoles, les gymnases, les locaux municipaux. - Interdire toute publicité lumineuse et numérique de type écran publicitaires, par souci de sobriété énergétique et de pollution lumineuse. Elisabeth Belaubre (Rassemblement citoyen) - Geler l'installation de nouvelles antennes-relais et imposer un seuil maximal d'émission de 0,6 volts/m.Ahmed Chouki (NPA) - Soutenir le logiciel libre en se rapprochant des préconisations de l'April. Mettre en avant les atouts de ce secteur (qualité, performance, ouverture, transparence) et lui donner une place plus importante au sein des institutions. Christine de Veyrac (Divers Centre) - La candidate évoque le secteur de l'aéronautique ou bien encore le projet Galileo mais n'aborde pas directement la question du numérique dans son programme. Sandra Torremocha (Lutte Ouvrière) - Aucune mention relative au numérique ne figure sur le programme de la candidate. La semaine prochaine, nous aborderons les programmes des candidats à Nice. ”
Via Jacques Le Bris

“ 250 millions de profils sur les réseaux sociaux professionnels (Linkedin + Viadeo) et comment faites-vous pour vous démarquer ? Par vos compétences ! Tout le monde a déjà vu le book d’un photographe, ou le site « vitrine » d’un concepteur de site web. C’est le principe du portfolio : montrer quel professionnel exceptionnel vous êtes. Car à quoi bon avoir du talent si personne ne le sait ? Plus de détails en 5 points : Se démarquer pour être embauché : Au-delà de votre formation, qu’est-ce qui vous démarque sur le marché de l’emploi ? Vos projets professionnels et extra-professionnels. Présenter ses projets dans un portfolio prouve sa capacité à mener certaines tâches ou travaux qui peuvent être nécessaires pour l’emploi auquel vous postulez. Ils fournissent au candidat l’opportunité de montrer son talent, sa créativité ou sa maitrise technologique. Selon Frédéric Ducrot, de Dokker, les portfolios permettent de « présenter des réalisations passées pour démontrer sa capacité à appréhender des problématiques cross-industrie ». Les recruteurs peuvent donc envisager quelles compétences ont été mises en œuvre par le candidat dans le cadre de ses projets. Le recruteur peut ainsi évaluer comment le candidat pense, travaille. Il peut transposer les compétences plus facilement dans le poste à pourvoir. Les portfolios sont ainsi une belle opportunité d’être repéré par les recruteurs. Une réflexion personnelle tout au long de votre vie professionnelle : Les portfolios permettent de garder une trace de vos bonnes pratiques et permettent de suivre votre montée en compétence. Ils permettent de mettre en lumière vos points faibles et vos points forts. Le portfolio est ainsi un processus de capitalisation de savoir et de développement professionnel. Une fois en poste, le portfolio ne devrait donc pas être abandonné. Essayez de garder le réflexe de vous poser les questions suivantes : Qu’ai-je appris ? Qu’est-ce que j’apprends actuellement ? Qu’est-ce que je veux apprendre ? Booster sa motivation : Les projets sur lesquels vous avez travaillé dans le cadre de stage ou d’emplois sont couverts par des clauses de confidentialité ? Vous avez eu pas ou peu d’expériences ? Le portfolio va donc vous inciter à développer vos compétences dans le cadre de projets extra-professionnels (par exemple, l’organisation d’un évènement). Ces projets pourront être aisément présentés et pourront même faire l’objet de collaborations. Qui sait, vous pourriez peut-être être repéré par ce biais ? Facile à mettre en oeuvre : En tant que jeune diplômé ou étudiant, le travail d’introspection est généralement assez rapide. Vous pouvez compiler des projets professionnels, scolaires, extra-professionnels. Le principe est de reprendre en partie des informations déjà existantes (copie d’écran, textes, vidéos, photos, etc.). Vous allez en outre souligner votre esprit de synthèse en présentant, sur chaque expérience, quelles compétences ont mises en œuvre et quel était votre niveau d’implication. Tous les secteurs d’activité sont concernés : Le secteur informatique, notamment dans les start ups, est aguerri à cette pratique venant des USA. Elle va assurément se développer au cours des prochaines années sur tous les secteurs d’activités. Voici une petite sélection de sites sur lesquels vous allez pouvoir établir votre portfolio (attention, avant de mettre en ligne des informations sur les projets, vérifiez bien que vous en avez les droits) : Généraliste : Les sites comme Linkedin avec project, Digikaa, etc. permettent de présenter les projets sur lesquels vous avez travaillé. Vous pouvez ajouter des participants à ces projets qui vont, par ce biais, approuver votre participation. Dokker permet de présenter des documents de sa création. Vous pouvez charger des documents (de nombreux formats sont supportés) et vous créer ainsi un portfolio accessible par une adresse web unique. Vous pouvez facilement vous créer un blog (par exemple WordPress) sur lequel vous allez lister les projets sur lesquels vous avez travaillé. Développement informatique : Github ou BitBucket sont un site de partage de code informatique. Vous allez pouvoir montrer comment vous programmez et collaborer à des projets open source. Art : pour les artistes, vous pouvez exposer vos productions sur des sites comme Dribbble ou Behance.”
Via fduport

“CEOs and HR leaders see talent as a major challenge to growth. Where should you focus? Our survey of 2,500+ organizations in 90+ countries reveals 12 critical trends shaping the human capital agenda.”
Via Denis Pennel, HR Trend Institute

“Enjoy these eight tips on how to make your powerpoint slides more visually engaging. NOTE: If the fonts are blurry or pixelated, download the pdf and view it...”
Via Dennis T OConnor

“ E-Learning Heroes: Step-by-step tutorials for building better courses, fast answers to your e-learning questions, free downloads for your e-learning projects.”
Via Mayra Aixa Villar

“Google Apps are collaborative, which makes them highly powerful. They offer opportunities for students to engage unlike ever before. Here are 20 ideas.”
Via Kathleen Cercone, Jim Lerman, Dennis T OConnor