When communicating interculturally in English as a second language, what is the cost of overlooking simple and clear language?
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Felipe Arias's curator insight,
May 24, 2020 2:27 PM
I, as a non-native English speaker, I notice that sometimes I want to say complicated words just for showing off when even my audience will not understand almost half of the words. Being understandable is the biggest goal when talking to people from other cultures and backgrounds. Communicate accurately is much better than say something complex just to "feel intelligent" or "capable enough" with yourself.
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UN Careers - jobs in this network (Translators, Revisers, Editors, etc.)Vacancies in this network: Translators, Revisers, Editors, etc. Digitalising gospel quotes‘My Word’ app by two friends helps one to read the biblical verses online without actually carrying a gospel box Amazon to soon launch Marathi language support; work on feature startsThe move has come after many people living in Maharashtra demanded the company to add language support for them. The Best Christmas Books that Were Turned Into Movies – Pasadena SchoolsDaily Newsmagazine and City Guide to Pasadena, California featuring News, Events, Restaurants, Real Estate, Shopping and Lifestyles Les accords post-Brexit publiés dans les 24 langues officielles
Happy New Year messages: How to say Happy New Year in 36 languagesHAPPY NEW YEAR! 2021 is almost upon us and its time to say goodbye to 2020. If you want to wish friends and family around the world a Happy New Year, here is how to do so in 36 different languages. Karel Čapek, cet écrivain visionnaire que les lecteurs français redécouvrentDepuis quelques années, l’écrivain, journaliste et essayiste tchèque Karel Čapek connaît un regain d’intérêt en France. Depuis quelques années, l’écrivain, journaliste et essayiste tchèque Karel Čapek connaît un regain d’intérêt en France, où il était quelque peu tombé dans les oubliettes éditoriales. Pour preuve entre autres, la mise en scène par le comédien Robin Renucci de la Guerre des salamandres, dont nous avons eu l’occasion de parler sur RPI à plusieurs reprises, mais aussi le travail d’édition et de traduction mené aux éditions La Baconnière par Ibolya Virag. La pandémie de coronavirus a aussi rappelé le caractère visionnaire de cet homme engagé et démocrate décédé prématurément d'une pneumonie il y a 82 ans de cela, le 25 décembre 1938 quelques mois seulement avant l'occupation de son pays par les nazis. Autre maison d’édition française très impliquée dans la redécouverte de Karel Čapek, Les Editions du Sonneur. Pour en parler, RPI a interrogé l’éditrice Valérie Millet : « Le premier ouvrage de Karel Čapek que nous avons publié, c'est voyage vers le Nord, qui n’était jamais sorti en français. C'est Alberto Manguel qui m'a mise sur la trace de cet ouvrage. Alberto Manguel est un écrivain argentin, auteur de ce livre qui a fait pas mal de bruit, Une histoire de la lecture. Alberto, que j'ai la chance et l'honneur de connaître, m'a un jour parlé de cet ouvrage en me disant que c'était un livre majeur et dont il avait parlé un jour, lors d'un voyage dans le grand Nord européen avec Cees Nooteboom, un auteur néerlandais. Tous deux avaient évoqué lors de ce voyage cet ouvrage de Čapek . J'ai eu une chance énorme : j'ai découvert que le texte avait paru en anglais, donc j'ai pu le lire. J'ai immédiatement voulu le faire paraître en français et je suis allée jusqu'à contacter Cees Nooteboom, en lui racontant toute l'histoire de son voyage avec Alberto Manguel, et il a accepté de nous faire une préface. C'est Benoît Meunier qui s'est chargé de la traduction. » Vous avez accompagné ce texte des illustrations de l'auteur qui viennent enrichir le propos. C'était important de les conserver et de renouer avec cette tradition de texte et d'illustration en même temps ? « C'était impératif pour nous de mêler les illustrations de l'édition d'origine à notre ouvrage. D'autant plus qu'il y a un passage où Karek Čapek fait référence à un dessin. Il parle d'un petit garçon lapon et dit : 'regardez-le, je l'ai dessiné'. Donc cela nous semblait complètement inapproprié de ne pas entreprendre ce travail de restitutions de ses dessins qui sont, en outre, absolument admirables. Notamment, quand il parle des forêts de sapin, il dit que c'est un peu répétitif mais que chaque arbre a sa spécificité. Il y a des planches où il a dessiné les sapins qui sont incroyables. Sur certaines, l'arbre n'est qu'un seul trait, mais on voit le sapin ! Pour moi, c'était nécessaire et impératif de faire figurer les dessins qu'il a réalisés au cours de ce voyage. » Ce sont des dessins qui ont autant de valeur que l'écrit... « C'est un tout, ça se complète. Ces dessins ont autant d'esprit que ses textes. Karel Čapek était un homme admirable à tous points de vue. C'était donc inenvisageable de ne pas faire figurer les dessins. » C'est aussi le cas d'un autre ouvrage que vous avez publié, Dachenka. Les Tchèques, qui aiment beaucoup les chiens, connaissent bien ce livre qui est certes pour les enfants, mais qu'on peut lire, finalement à tout âge. « Exactement. C'est un peu comme Tintin, de 7 à 77 ans. Nous avons eu un plaisir immense, n'étant plus malheureusement dans le monde de l'enfance, à découvrir ce texte. Là, pareil, les dessins ont une telle part dans le récit qu'il était impératif de les reproduire. Dans l'édition originale tchèque, il y a aussi des photos de Dachenka. Nous avons pris le parti de rester sur la ligne dessinée. Il y avait eu, pour le coup, une édition française de Dachenka à la fin des années 1940, avec les dessins et sans les photos. On voulait par ailleurs en faire un livre de lecture au format pas trop grand, qu'on puisse s'approprier, qui puisse faire partie d'un impératif avant de se coucher. Par ailleurs, comme dans l'édition françaises des années 1940, on a reproduit les dessins en bichromie, en rouge aussi, pour leur donner un peu plus de classe qu'en noir. » Autre ouvrage que vous avez publié : les Contes d'une poche et d'une autre poche. Ce sont de petites nouvelles, souvent drôles, parfois absurdes. C'est quelque chose de très sympathique pour découvrir le monde de Karel Čapek. Je me souviens d'une édition tchèque où on retournait le livre selon que ce soit les contes d'une poche ou de l'autre poche. Est-ce que cela a été aussi votre parti-pris ? « Non, parce qu'on a fait faire une illustration pour la couverture. On a travaillé avec Jean-François Martin qui a fait un magnifique dessin où justement il met en avant le jeu avec les deux poches. On n'a donc pas pris ce parti parce qu'aujourd'hui, le problème est que techniquement on doit mettre un code barre sur un livre pour sa commercialisation, ce qui n'était pas le cas de l'édition tchèque. Malheureusement, ce sont des facéties graphiques qui sont plus compliquées à mettre en place aujourd'hui. Dans les années 1960 avait paru en France une sélection des Contes d'une poche et de l'autre poche. Il y avait 22 nouvelles qui avaient été traduites sous un titre qui n'avait rien à voir avec l'original : L'Affaire Selvin, qui est le titre d'une des nouvelles. Les 26 autres nouvelles n'avaient jamais été traduites. Nous avons pris le parti de faire traduire les 26 nouvelles manquante et de faire réviser les 22 déjà traduites. C'est Barbora Faure qui s'en est chargée pour nous. L'impératif était là aussi de rendre l’œuvre dans intégralité. » J'ai l’impression que ces dernières années, il y a une sorte de regain d'intérêt pour Karel Čapek en France. Comment le comprenez-vous ? « Le mouvement a été lancée par Ibolya Virag en France qui travaille à l'édition ou réédition de textes de Karel Čapek avec les éditions La Baconnière. Cela a été une des personnes qui a œuvré pour ce regain d'intérêt. Je pense que comme un certain nombre d'auteurs, Čapek était tombé dans une sorte d'amnésie éditoriale et qu'il était temps de lui rendre toute sa place, une place considérable tant du point de vue littéraire, historique que politique. » Et Karel Čapek est toujours d'actualité aujourd'hui. Je pense à sa pièce de théâtre La Maladie blanche qui aujourd'hui peut paraître très visionnaire au vu de la pandémie de Covid-19. Cette pièce ne mériterait-elle pas une réédition en français ? LIRE AUSSI« Bien sûr ! Karel Čapek est de toutes les façons d'une grande modernité. Dans son Voyage vers le Nord il a toute une série de considérations qui sont d'une actualité criante. Dans Contes d'une poche et d'une autre poche de même. C'est pour cela que cet écrivain me semble majeur. Quant à La Maladie blanche, c'est un projet sur lequel nous travaillons actuellement, avec d'autres projets encore. Il reste une partie de l’œuvre de Čapek qui n'a pas été traduite en français. Nous poursuivons donc le sillon que nous avons commencé à creuser. » Pour finir, précisons que Karel Čapek n'est pas le seul auteur tchèque que vous avez édité. Vous avez également publié Le Requiem de Terezín de Josef Bor... « Figurez-vous que ce texte a une place particulière dans notre catalogue. C'est l'un des deux premiers textes de la maison. Nous avons lancé la maison d'édition avec un texte contemporain français et avec la réédition du Requiem de Terezín, parce que dès le départ, notre désir éditorial était de travailler sur ces deux aspects : la littérature contemporaine, française et étrangère, et la réédition ou la traduction de textes oubliés d'auteurs connus ou reconnus. J'avais lu Le Requiem de Terezín plusieurs années auparavant. C'est un ami qui m'en avait recommandé la lecture. J'avais trouvé ce texte absolument admirable puisqu'il s'agit de l'histoire d'un chef d'orchestre qui, au camp de Terezín, décide de monter le Requiem de Verdi, avec les prisonniers du camp, pour une seule et unique représentation devant l'administration nazie, dont Eichmann. Josef Bor a lui-même été interné à Terezín. C'est donc le récit de toutes les répétitions, de l'introduction des instruments... c'est un hymne magistral à la résistante par l'art. D'autant plus que le Requiem de Verdi est une œuvre catholique, chantée par des prisonniers juifs. Il y a là la quintessence même de ce drame suprême qu'a été le deuxième conflit mondial. J'ai toujours été étonnée qu'aucun éditeur n'ait décidé de remettre à la disposition des lecteurs français cet ouvrage majeur. Quand j'ai monté la maison d'édition, j'ai fait l'acquisition des droits et de la même façon, j'ai racheté et révisé la traduction des années 1960. La maison s'est vraiment fondée sur ce texte-là. » Auteur:Anna Kubišta En route vers l’« Apocalypse cognitive »Dans son essai à paraître le 6 janvier, le sociologue Gérald Bronner analyse la façon dont notre cerveau réagit à la surinformation. Extraits. Une nouvelle traduction du Thursday de ChestertonQuel est le sens profond du premier roman de Gilbert K. Chesterton The Man who was Thursday, paru en 1908 ? Personne ne peut le dire avec certitude, et c’est précisément ce qui le rend si intéressant à lire et relire. On le connaissait jusqu’à présent en français dans la traduction de Jean Florence, parue dès 1911 à la NRF sous le titre Le nommé Jeudi – traduction disponible dans l’édition la plus courante, celle de la collection « L’Imaginaire » chez Gallimard, avec l’impénétrable préface de Pierre Klossowski. Le livre a toujours rencontré un large succès chez nous, où il compte parmi les œuvres de Chesterton les plus connues ; il a même eu les honneurs d’une adaptation radiophonique sur France Culture en 1983, par Claude-Roland Manuel, avec Pierre Arditi, Julien Guiomar et Gérard Desarthe. Comme toutes les traductions, celle de Jean Florence avait peut-être vieilli ; au bout d’un siècle, il n’était pas inutile de se repencher sur le texte original. C’est ce qu’a fait Marie Berne, une admiratrice de G.K.C., après avoir lu le livre en anglais lors d’un séjour à Londres, et n’avoir pas retrouvé le même enchantement dans la version française, entachée de certaines erreurs qu’elle évoque dans sa préface, sorte de mode d’emploi de son approche. Les anglicistes et les spécialistes d’études chestertoniennes débattront de la plus grande fidélité de sa version, et de ses choix de traduction (jusqu’au titre, Le nommé Jeudi devenant L’homme qu’on appelait Jeudi) ; les amateurs, eux, se réjouissent de redécouvrir ce roman obscur et palpitant, considéré par Borges comme un chef-d’œuvre. [...] Nos anecdotes 2020, part 2… | Endurance info
Prix du Maroc du Livre 2020 : Les lauréats dévoilésPrix du Maroc du Livre 2020 : Les lauréats dévoilés 200 Britanniques s'enfuient d'une station de ski en Suisse : "une extrapolation", affirme l'office du tourisme de VerbierCes vacanciers voulaient échapper à la quarantaine imposée aux Britanniques en Suisse. Le directeur de l'office du tourisme reconnaît quelques "récalcitrants" mais plaide le "malentendu". "Un malentendu, une extrapolation" : pour Simon Wiget, directeur de Verbier Tourisme, le chiffre de 200 Britanniques qui se seraient enfuis dans la nuit pour échapper à la quarantaine est "totalement erroné". Dimanche, la municipalité avait déclaré qu'environ 200 sur les quelque 420 vacanciers britanniques présents dans la station de ski suisse avaient tout simplement pris la poudre d'escampette. Des propos de la municipalité de Bagnes relayés par le journal Sonntags Zeitung et l'agence de presse ATS. "C'est une extrapolation, selon Simon Wiget, directeur de Verbier Tourisme, peut-être liée à un malentendu" liée à la traduction. Depuis le 14 décembre, le gouvernement suisse impose une quarantaine de dix jours à tous les voyageurs en provenance du Royaume-Uni et de l'Afrique du Sud. Le chargé de communication de la commune de Bagnes, Jean-Marc Sandoz, avait raconté que "c'est en voyant que les plateaux-repas restaient intacts que les hôteliers ont constaté que les clients étaient partis." Pour le patron de l'office du tourisme de Verbier, station huppée très prisée des Britanniques, le malentendu vient d'un problème de traduction. "À quoi s'ajoutent certaines rumeurs et beaucoup de choses qui sont gonflées dans cette situation de pandémie, explique Simon Wiget. De notre côté, nous n'avons eu aucune information officielle, ni de la part des hôteliers ni de la part des autorités, d'une fuite de ces personnes, comme les médias le laissent entendre". "Toutes les quarantaines ont été respectées"Simon Wiget réfute le chiffre de 200 personnes qui est, selon lui, "absolument faux". Pour certains vacanciers "issus du territoire britannique, mais pas forcément des Anglais", les mesures de quarantaine "arrivent à échéance ou sont déjà arrivées à échéance" : la quarantaine de dix jours est imposée depuis le 14 décembre. "Cela veut dire que beaucoup de gens, finalement, ont déjà terminé leur quarantaine. Auxquels s'ajoutent les personnes qui sont rentrées de manière tout à fait correcte et celles qui sont encore en quarantaine maintenant." "Toutes les quarantaines ont été respectées", assure Simon Wiget. Il ne nie pas que certaines personnes ont pu ne "pas respecter les mesures" mais il estime "qu'il y a également un amalgame" entre ces personnes récalcitrantes et "celles qui sont parties de manière tout à fait correcte". VU to launch Centre for Indic StudiesBA-LLB, B Com-LLB and new diploma courses will be introduced in the newly-established School of Studies in Law. Ujjain: For intensive study, research and expansion of Indian knowledge system, the Vikram University (VU) will launch Centre for Indic Studies. This decision was taken at the meeting of Planning and Evaluation Board held under the chairmanship of vice-chancellor (VC) Akhilesh Kumar Pandey. The meeting was attended by various deans, HoDs and board members including registrar UN Shukla. With the establishment of Centre for Indic Studies at the VU, a diploma course will be introduced for the study of the Indian knowledge system with a view to explore India's intellectual, scientific and artistic knowledge traditions. Study and research on rich heritage of knowledge and science will be the uniqueness of this course. The course will be designed to prepare students and researchers for an deep understanding of classical thought, traditions and practices of Indian civilization. In the meeting, it was decided to introduce a number of new courses in various schools of studies of the VU. Diploma in Pharmacy Course will be introduced in pharmacy institute. A yearlong Bachelor of Journalism and Mass Communication – BJMC course will be introduced from the same session. It was decided to introduce four new certificate courses like B SC Honours and M Sc Forensic Science course in the School of Studies in Chemistry and Biochemistry. Four courses viz Indian system of life, medical astrology, Vastu Shastra and Dharma teacher courses would be opened in School of Studies in Sanskrit, Veda and Astronomy. BA-LLB, B Com-LLB and new diploma courses will be introduced in the newly-established School of Studies in Law. Similarly, Bachelor of Physical Education and sports-BPEs and Master of Physical Education and sports-MPES will be launched in the field of physical education. A one year diploma course in translation will be introduced in the School of Studies in English. MEET ON CONVOCATION HELD A meeting in connection with the 24th convocation of VU, to be held in February, was held under the chairmanship of VC Prof Pandey. A meeting of the head of the department and teachers of various departments was held in the afternoon at the Shalaka Dirgha Sabhagar to organise the convocation. In the evening staff meeting was also arranged. Thirteen committees have been formed by the VU for the successful conduct of convocation. LECTURE ON PLAGIARISM TO BE HELD ON JANUARY 4 On January 4, a special lecture on the subject “Plagiarism and Academic Dishonesty: Strategies and Understandings” will be held at the Shalaka Dirgha Sabhagar, Madhav Bhawan at 3 pm. VU’s VC Prof Pandey will chair the programme. Culture Ministry Announces Morocco Book Prize 2020 WinnersMorocco’s Ministry of Culture, Youth and Sports announced Monday, December 28, the winners of 2020’s Morocco Book Prize. Rabat – Morocco’s Ministry of Culture, Youth and Sports announced Monday, December 28, the winners of 2020’s Morocco Book Prize. Professor Abdelilah Belakziz headed the reading and evaluation committees’ review, which included several Moroccan educators. In the poetry category, the committees awarded the first prize to Mohamed Aniba El Hamri, while Chouaib Halifi received the narration prize, according to a ministry statement. The ministry awarded the prize in the category of human sciences to Moustapha Bouaziz for his work “The Moroccan Nationalists of the 20th Century 1873-1999,” published in two volumes by Dar Afriqia-Asharq. Meanwhile, the ministry granted the social sciences prize to Al Habib Astati Zine Eddine for his book “The Protest Movements In Morocco And The Dynamics Of Change In Continuity.” Abderrahman El Tmara received the prize for literary, linguistic, and artistic studies for his book “The Possible and the imaginary: Political References in Narratives.” 2020’s Morocco Book Prize for translation went to two manuscripts: Hassan Amili and Abderrazak El Assri’s translation of the book “Rabat and its Region,” a work of the French Scientific Mission published by Bouregreg editions, in addition to Abderrahim Hazl for his translation of the book “Casablanca, from origins to 1914,” by Andre Adam. Moreover, the prize for Amazigh studies went to Rachid Abdalaoui, while Abdellah El Menani won the prize for Amazigh literary creation. Abdellah Derkaoui received the Children and Youth Book Prize for his story “And Life Goes On.” During last year’s ceremony, in an effort to make the nomination process more inclusive, the Secretary-General of the Council of the Moroccan Community Abroad (CCME) and Chairman of the 2019 Book Prize, Abdellah Boussouf, amended the competition field to include three new prizes: Morocco’s Encouragement Award for Amazigh Literary Creativity, Morocco’s Encouragement Award for Studies in Amazigh Culture, and the Morocco Book Award for Children and Youth. Some 222 books received nominations for 2020’s Morocco Book Prize, a significant increase from 2019’s nominations, which included 119 books and awarded 10 authors. The Morocco Book Prize is a literary prize created on September 27, 1962, to support and disseminate Moroccan books. The value of the prize increased in 1999 to reach MAD 70,000 ($7,850); the winners also receive a certificate and a trophy. La misa del Papa en Navidad y la bendición Urbi et Orbi también en lenguaje de signos - AICA.orgSe trata de una iniciativa con la que los medios de comunicación del Vaticano expresan concretamente su cercanía a quienes viven en situaciones de especial dificultad en esta pandemia. Manual de introducción a la traducción e interpretación en centros penitenciarios curso básico
"Traducción de la Constitución de Quintana Roo a la lengua maya requirió un año": Luis Alegre –Lo más relevante de los hechos que marcan el rumbo de la principal región turística de América Latina, sólo puedes encontrarlo aquí. Cancún, 3 de diciembre.- Impulsar y preservar la cultura maya y el turismo en Quintana Roo es el objetivo de la traducción a la lengua maya de la Constitución de Quintana Roo, que ya se encuentra en el Congreso del Estado, dijo el diputado federal Luis Alegre Salazar. En entrevista con Radio Fórmula, recordó que este fue un trabajo impulsado tres años atrás y que sólo la traducción requirió de un año, pues poca gente tiene el conocimiento técnico para traducir un documento jurídico, un compendio de leyes, mismo que fue presentado en la zona maya para que los dignatarios lo firmaran. Leermás... La flor mexicana que ilumina los hogares en la Navidad “Nochebuena” Armando Romero, exjugador de la máquina falleció por covid-19 Así lucen las playas de Cancún horas antes de la Nochebuena Indicó que el documento fue firmado por 317 dignatarios mayas, además del Presidente de México, el gobernador Carlos Joaquín, el presidente del Tribunal Superior de Justicia, Antonio León; los diputados de la XVI Legislatura, los ocho juzgados tradicionales del Estado y él mismo. El motivo de presentarlo el año pasado en Quintana Roo y en España, precisó, fue para impulsar el turismo local y llevar derrama de esa actividad a la zona maya. “Hablamos de la Riviera Maya, el Tren Maya, se utiliza la cultura maya para promover el turismo”. La valía de esta traducción, indicó, “es como una cebolla, tiene muchas capas, una es impulsar y preservar la cultura maya, una cultura viva, si no hacemos algo todos podríamos verla desaparecer en un par de generaciones; cuando no hay pandemia los jóvenes que van a buscar trabajo a la zona hotelera aprenden inglés en lugar de maya, sus papás, sus abuelos, si hablan maya, van optando por no hablarla”, lamenta. En Quintana Roo hay 180 mil maya hablantes, poco más del 10% de la población del Estado, por lo cual considera que esta Constitución en lengua maya debería ser “un escalón para que jóvenes y adultos aprenden a leer y escribir maya”. Por otra parte, Luis Alegre Salazar invito a su segundo informe de labores este viernes a las 10 a.m. en el auditorio del Tec Milenio, con cupo limitado, pero también podrán seguirlo en redes sociales. Fuente: Palco Noticias si copias el texto no olvides incluir este link : https://www.palcoquintanarroense.com.mx/noticias-de-quintana-roo/traduccion-de-la-constitucion-de-quintana-roo-a-la-lengua-maya-requirio-un-ano-luis-alegre/ ¿Está bien traducido “Llamadme Ismael”, el principio de ‘Moby Dick’?Los comienzos de algunas novelas son una declaración de intenciones. Algunos son casi tan célebres como el título de la obra. El arranque del Quijote , por ejemplo, ¿Está bien traducido “Llamadme Ismael”, el principio de ‘Moby Dick’?Los comienzos de algunas novelas son una declaración de intenciones. Algunos son casi tan célebres como el título de la obra. El arranque del Quijote , por ejemplo, Libros singulares para quedar bienCualquier libro puede constituir un magnífico regalo, pero hay algunos que parecen especialmente merecedores de ese destino. De entre las bellas ediciones recientes, Alberto Dahik Garzozi: Traduciendo el silencio | Columistas | OpiniónEl pedir un intérprete se traduce en la mofa, la sorna con la cual ha actuado el denunciado sobre toda la sociedad ecuatoriana. En días recientes, ante la solicitud de la Fiscalía para que Jaime Froilán Vargas Vargas comparezca a rendir su versión voluntaria sobre los hechos de octubre del 2019, que significaron grave destrucción en la ciudad de Quito, incendio de la Contraloría, secuestro de periodistas, militares y policías, llamamiento a la insubordinación de las FF. AA., toma y destrucción de infraestructura petrolera, que como ciudadano denuncié formalmente ante la Fiscalía, don Jaime Froilán permaneció en silencio, indicando que necesitaba un traductor porque debía hablar en su lengua indígena materna. Notemos que el nombre Jaime es de origen hebreo. Es la variante más frecuente de Jacob. El nombre Froilán es de origen germano, es decir, de una raza aria. Este nombre significa “pequeño señor” o “dios del orgullo”. Viene de fraujik: “señor” y de land, “tierra”, es decir, “señor del país”. Este nombre está muy relacionado con las casas reales españolas de Asturias y León. Entonces, los nombres del denunciado claramente no son indígenas. Y sus apellidos, Vargas ambos, son un apellido castellano que tiene su origen en la reconquista de Madrid, en el año 1085, en la que se distinguió Juan de Vargas a las órdenes del rey Alfonso VI. Es decir, el apellido de quien no habló es totalmente castellano. Hay derecho de acogerse al silencio. El pedir un intérprete se traduce en la mofa, la sorna con la cual ha actuado el denunciado sobre toda la sociedad ecuatoriana. Y es una burla que se sustenta en elementos terriblemente peligrosos. En primer lugar, la ideología mariateguista profesada por ciertos líderes del movimiento indígena, que no cree en El Ecuador sino en una gran nación indígena. En segundo lugar, la creencia de que todos los que están en el territorio de nuestra América a partir de 1492 deben ser desalojados, pues este continente solo les pertenece a ellos. En tercer lugar, que no deben obedecer las leyes ni respetar las instituciones que no sean la ley indígena y sus propias instituciones. En cuarto lugar, que el modelo de sociedad democrática como la conocemos tiene que ser destruido. Y esta traducción del silencio de Jaime Froilán debe hacernos ver el gran peligro que se cierne sobre nuestra sociedad, y que es una lanza que penetra las entrañas del Ecuador que amamos, para procurar nuestra destrucción. Froilán: “Señor de la tierra”. El denunciado se cree señor del Ecuador, como las declaraciones que todo el país vio espantado y con asombro lo confirman. Y lo más triste de todo es que luego de catorce meses no hay culpables del saqueo, incendio y destrucción de la Contraloría, no ha declarado siquiera todavía el denunciado, y la impunidad refuerza la abrumadora avalancha que va destruyendo la institucionalidad del país. En octubre del 2019, Jaime Froilán Vargas Vargas habló alto y claro. Se presentó ante todo el país en castellano, ha dado incontables entrevistas en castellano. Su silencio ya ha sido traducido en esta columna. Dios proteja a nuestro Ecuador de las oscuridades en las cuales quisieran conducirnos ciertas élites que dicen representar al movimiento indígena en el Ecuador. (O) La explicitación a través de los conectores contrastivos y consecutivos en un corpus de traducción literaria en el par de lenguas francés-español | Llum Bracho Lapiedra y Gemma Peña MartínezEn este estudio pretendemos comparar, en primer lugar, la existencia de un mayor o menor uso de conectores en un subcorpus literario traducido del francés al español (FRLO-ESLT) y en un subcorpus escrito originalmente en español (ESLO); en segundo lugar, analizamos la base de las posibles diferencias encontradas en función de la relación semántica discursiva que evidencian estos conectores, y si responden a la técnica que en traducción se denomina explicitación. Para ello nos hemos centrado en dos tipos de conectores clave, pues vehiculan relaciones semánticas fundamentales en la comunicación humana: los conectores de carácter contrastivo y aquellos de carácter consecutivo. Este trabajo se enmarca dentro de una de las líneas de investigación del grupo COVALT (Corpus Valencià de Literatura Traduïda) iniciada con el estudio comparativo de estos mismos conectores en un subcorpus de traducciones del inglés al catalán frente a un subcorpus literario de catalán lengua original (Marco, 2018). Libros para regalar estas navidadesRegalar libros (y cultura, en general) siempre es una muy buena idea, más allá de las fechas navideñas. Sin embargo, para facilitar la labor a aquellos que quieran obsequiar a sus seres queridos con algún título, en este reportaje se seleccionan unos cuantos –que no todos, que es tarea imposible–, firmados por autores y autoras de aquí –como Antònia Vicens, Lucia Pietrelli o una traducción de Clarice Lispector por parte de Gabriel de la S.T. Sampol–, pero también internacionales –Sylvia Plath o el gran Homero– y publicados por sellos de nuestra tierra pero también de todo el estado –Planeta, Anagrama o Blackie Books, por citar algunos ejemplos–. Entre las propuestas mallorquinas y para aquellos que quieran reflexionar sobre estos tiempos tan confusos, disfrutarán leyendo Pare, mostra’m la mar, el dietario que escribió Miquel Segura durante el confinamiento. Para los amantes del arte se encuentra el último monográfico de Albert Pinya, que aglutina diez proyectos realizados por el pintor y escultor entre 2014 y 2019; y, para todos los públicos, el nuevo libro de nuestra reconocida ilustradora Aina Bestard, Paisatges perduts de la terra, con los maravillosos dibujos que caracterizan toda su obra. De nuestra querida Antònia Vicens está en librerías ya su poemario Pare què fem amb la mare morta y Adia Edicions acaba de reeditar su novela Quilòmetres de tul per a un petit cadàver. Cabe destacar también la nueva novela negra de Sebastià Bennasar y la novela Lítica de Lucia Pietrelli, que se ha alzado con el Premi Lletra d’Or 2020. Centenario Además, dentro de la celebración del centenario del nacimiento de la autora brasileña Clarice Lispector, el sello barcelonés Lapislàtzuli ha puesto en circulación las doce leyendas de la seva brasileña con Com van néixer les estrelles, un volumen ilustrado por Cesc Pujol y que ha traducido el mallorquín Gabriel de la S.T. Sampol. En este apartado más ‘local’ o nuestro hay que incluir Wittgenstein, arquitecto (el lugar inhabitable), que firman los mallorquines Bernardí Roig y Agustín Fernández Mallo junto a Fernando Castro Flórez. En este caso, es un libro muy difícil de clasificar y que aúna filosofía, escalada, literatura y arte. La lista de la literatura hecha aquí, de kilómetro cero, es bastante más larga, pues hay, afortunadamente, más voces y más sellos por citar. Entre las editoriales mallorquinas están, por ejemplo: Dolmen, Disset, El Gall, Saïm, Quid Pro Quo, Ensiola, Ifeelbook, Documenta Balear, Nova Editorial Moll, Sloper, José J. de Olañeta, La Lucerna o Balèria. Y entre los creadores que acaban de publicar nuevos libros se encuentran: Joan Riera, Antoni Serra, Miquel Cardell, Joan Miquel Oliver, Joana Serra de Gayeta, Guillem Frontera Pilar Arnau, Miquel López Crespí, Canizales o el trío de Sebastians (Perelló, Portell y Alzamora). En el ámbito nacional sobresale el volumen póstumo que lanza Planeta de Carlos Ruiz Zafón, La ciudad de vapor, con cuentos que son un homenaje a sus lectores más fieles; el ganador del Premio Herralde de Novela, que este año ha sido para Luisgé Martín; la reedición especial de la Odisea de Homero por parte de Blackie Books, dentro de su colección de Clásicos liberados o el nuevo libro ilustrado de la siempre fantástica María Hesse, que esta vez dedica a la vida de la enigmática Marilyn Monroe. Pero en esta lista también podrían figurar lo último de Sara Mesa, Elena Medel, Marta Orriols o Rosa Montero y sellos como Libros del Asteroide, Edicions del Periscopi o Impedimenta. Dónde descargar subtítulos en español e inglés: las mejores páginasEstas son las mejores páginas web que puedes tener en lista para descargar subtítulos en español e inglés de tus películas y series favoritas. ¡Entra ahora! |