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Aires protégées, restauration de la nature, plantation d'un milliard d'arbres… Elisabeth Borne a présenté lundi 27 novembre la "Stratégie nationale biodiversité" du gouvernement. Ses objectifs : "stopper l'effondrement du vivant" et "restaurer la nature" d'ici à 2030. Un plan ambitieux qui laisse circonspectes les associations de défense de l'environnement. Voici ce qu'il faut en retenir.
TRIBUNE. A l’inverse du « Black Friday », symbole de la consommation à outrance, le ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires prône, dans une tribune au « Monde », un « Green Friday » de la sobriété et défend l’émergence d’une filière française de la réparation.
Certaines entreprises agrémentent leur communication de projets de plantations, solutions au réchauffement climatique. Mais dans les faits, ces arbres apportent parfois plus de problèmes qu’ils n’en résolvent. Cas de conscience.
Quand polluer est un luxe. Oxfam s'est intéressé au mode de vie des plus riches et à leur impact environnemental. Dans son nouveau rapport publié à quelques jours de l'ouverture de la COP28, l'ONG révèle que les 1% les plus riches émettent autant de gaz à effet de serre que les deux tiers de la population la plus pauvre, environ 5 milliards de personnes. Voici les principaux chiffres à retenir.
Pour extraire des métaux destinés aux voitures électriques des pays les plus riches, il faut de l’eau. Au Maroc, au Chili, en Argentine… les mines engloutissent la ressource de pays souffrant déjà de la sécheresse.
La multiplication des projets « agrivoltaïques » en France suscite une inquiétude croissante. Des agriculteurs et militants refusent que l’on détourne les terres agricoles pour de l’électricité.
D'importantes inondations ont fait suite à une crue historique de l'Aa, dans le Pas-de-Calais, les 7 et 8 novembre.
Bayer, Volvo, Decathlon... À un peu plus d’un mois de la COP28 à Dubaï, plus d’une centaine d’entreprises ont appelé dans une déclaration commune lundi 23 octobre les gouvernements à s’attaquer aux énergies fossiles pour respecter l’objectif "ultime" de +1,5°C de réchauffement. Si la pression monte sur les États, les entreprises elles-mêmes sont pointées du doigt pour leur manque d'engagement.
En mode slow. Inauguré mardi soir, ce nouveau tiers-lieu du 13ème arrondissement de Paris se donne pour objectif d’aider la mode à faire sa transition écologique et sociale.
Le budget 2024 arrive à l'Assemblée nationale ce mardi 17 octobre. Alors qu'une place importante est faite cette année à la transition écologique, Novethic fait le point sur les principales mesures proposées par le texte mais aussi sur les grands absents.
Selon une étude, l’augmentation des températures extrêmes depuis 1996 est plus forte dans le sol que dans l’air, un phénomène qui peut accentuer les canicules.
C'est une pression de plus en plus forte sur les employeurs. Alors que 70% des jeunes se disent prêts à renoncer à postuler dans une entreprise ne prenant pas assez en compte les enjeux environnementaux, un jeune sur deux pourrait même quitter son emploi dans ce cas. Une tendance qui s'accentue d'année en année sur fond d'appel à la bifurcation des étudiants des grandes écoles et universités.
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Le gouvernement et l'Ademe lancent un réseau d'élus référents de la transition écologique et énergétique. L'objectif : former les élus, les accompagner, et leur apporter des outils pour agir efficacement sur leur territoire.
ANALYSE. Le dispositif phare de la loi Climat et résilience constitue un progrès encourageant pour la protection de la biodiversité mais, coûteux et contesté, il impose de revoir en profondeur économie de la construction et fiscalité.
TRIBUNE. Face aux réticences de certains élus locaux vis-à-vis du dispositif ZAN, Philippe Delacote et Léa Tardieu, chercheurs à l’Inrae, mettent en avant dans une tribune au « Monde » ses atouts pour rééquilibrer les disparités entre les espaces ruraux et urbains.
Tâches ingrates, indemnité faible, exigences des citoyens… Une enquête menée par le Cevipof auprès de 6 000 édiles témoigne du malaise des élus, alors que s’ouvre à Paris, lundi 20 novembre, le 105ᵉ congrès des maires.
Le Pas-de-Calais s’apprête à faire face à de nouvelles crues, après deux semaines d'inondations historiques. Dérèglement climatique oblige, ces catastrophes naturelles vont se multiplier. La complexité du réseau hydraulique du département explique sa vulnérabilité face aux éléments.
Chargés d’appliquer le ZAN à l’horizon 2050, malgré la crise du logement et l’objectif de réindustrialisation, les élus locaux font face à un changement culturel sur leurs territoires : passer de l’ivresse du mètre carré à la sobriété foncière.
Sous les eaux. Le Pas-de-Calais est sévèrement touché par des crues dévastatrices depuis plus d’une semaine. Après une courte accalmie ce week-end, le département est de nouveau sous vigilance avec l’arrivée d’un nouvel épisode pluvieux. Pluies, reliefs, sols engorgés et mauvais entretien des wateringues,… Autant de causes qui expliquent aujourd’hui ces inondations exceptionnelles que le changement climatique pourrait amplifier.
Les forêts françaises, en piégeant le CO2 atmosphérique, contribuent de manière décisive à la lutte contre le réchauffement climatique. Mais ce rôle de puits de carbone naturel est aujourd’hui menacé, mettant en péril l'atteinte de nos objectifs climatiques.
Dans son rapport annuel sur l’état du pays, le Conseil économique, social et environnemental appelle l’exécutif à « une réponse globale ».
En milieu rural, les classes populaires ne se disent pas forcément « écolos », dit la sociologue Fanny Hugues. Mais leurs pratiques de « débrouille » le sont : potager, réparation, autorénovation des maisons...
Plus saine, plus durable, plus accessible, le goût de demain doit répondre à d'innombrables défis. Comment apprendre à mieux manger ?
La jeune entreprise collecte les déchets alimentaires et les transforme en compost via son site de compostage micro-industriel de Santes.
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