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Une équipe de scientifiques a annoncé que l’Arctique pourrait être privé de glace de mer en été dès les années 2030, soit une dizaine d’années plus tôt que prévu. Dans le même temps, la moitié des glaciers sont condamnés et ceux de l'Himalaya fondent également à un rythme très rapide. Pour Novethic, Heïdi Sevestre, glaciologue française et auteure de "Sentinelle du climat"*, explique pourquoi il s’agit d’une très mauvaise nouvelle pour la planète, mais aussi pour l’Homme.
Faire sauter le "plafond de verre" d'un futur désirable. C’est le but de l’Assemblée citoyenne des imaginaires qui va proposer aux citoyens de penser un monde de demain bas-carbone et souhaitable, sans dystopie et scénario catastrophe. Une nécessité pour créer des nouveaux récits et une culture à la hauteur des enjeux contemporains.
Pour faire face aux enjeux climatiques et sociaux du XXIe siècle, Christine Leconte et Sylvain Grisot publient "Réparons la ville !", un essai qui propose des solutions afin de transformer nos villes et nos villages à l'horizon 2050.
Selon plusieurs analyses, la trajectoire de réchauffement d'ici la fin du siècle pourrait rester sous le seuil des +2°C. Un chiffre qui marque certes un progrès, mais qui reste encore insuffisant pour éviter le pire. Surtout les calculs s'appuient sur les engagements de neutralité carbone pris à la COP26 de Glasgow par plus de 140 pays. Or, très peu d'entre eux ont aligné leurs stratégies à 2030 sur cet objectif, ce qui le décrédibilise.
C’est un sujet qui a de quoi inquiéter une partie des habitants de notre région. Les risques de submersion marine et d’inondation sont au cœur d’une enquête publique qui vient de démarrer à Dunkerque et Bray-Dunes. Cette enquête porte sur le très technique Plan de prévention des risques littoraux.
Via Centre de Doc de la MRES
Qui sont les experts du GIEC et comment élaborent-ils leurs rapports ? Au moment où l’organisation publie son nouveau rapport, « Le Monde » passe au crible son fonctionnement unique.
Dans un nouveau rapport, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat conclut que le dérèglement touche toutes les régions du monde, à un rythme très rapide, et qu’il s’intensifie de manière sans précédent.
Faute d'action immédiate, les températures pourraient grimper de près de 4 °C d'ici 2100 en métropole. Longues sécheresses, canicules, précipitations hivernales et disparition des gelées se profilent à l'horizon.
2020 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée depuis 120 ans en France avec une moyenne à 14°C. Il n’y a pas que le mercure qui en témoigne mais également l’intensité des phénomènes climatiques (canicules, sécheresses, pluies extrêmes…) qui ont touché le pays ces derniers mois, témoigne Météo France. Signe fort d’un nouveau paradigme, Météo France va devoir redéfinir ses "normales" saisonnières.
Une étude prospective, commandée par la municipalité, détaille les changements majeurs qui devront être opérés dans le bâtiment, les transports et les modes de vie.
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"Huit militants Quart Monde du Laboratoire d’idées Écologie et grande pauvreté travaillent depuis décembre 2022 sur les scénarios proposés par l’Ademe, l’Agence de la transition écologique, pour conduire la France vers la neutralité carbone en 2050."
En adaptant à la France la méthode utilisée par le Giec pour estimer le réchauffement planétaire, des scientifiques viennent de revoir à la hausse les températures qui attendent l’Hexagone. D’ici 2100, cette augmentation serait de 3,8 °C par rapport au début du XXᵉ siècle, et ce dans un scénario d’émissions modérées de gaz à effet de serre.
"Virage énergie, association spécialisée dans la prospective énergétique depuis 2006 dans les Hauts-de-France, s’attèle à promouvoir les politiques de sobriété énergétique. Elle accompagne actuellement plusieurs territoires, ruraux, urbains, diffus ou denses, vers un virage énergétique et des transformations sociales, paysagères et économiques profondes."
À l’occasion de la Cop 26 en Écosse, quels sont les risques que fait peser le réchauffement climatique en Flandre et Lys ? Exercice de prospective avec Alain Dubois, Hazebrouckois et président de l’association Acteurs régionaux du développement durable (ARDD).
À quelques semaines de la prochaine COP26 sur le climat, l’ONU s’alarme. Les pays, qui devaient prendre de nouveaux engagements en matière d’émissions de CO2, tardent. Si 113 pays ont renforcé leurs ambitions, cela concerne moins de la moitié des émissions mondiales. En l’état, le monde va largement dépasser l’objectif de réchauffement maximum de 2°C, voire 1,5°C, fixé par l’Accord de Paris.
Réagissant aux dernières conclusions du GIEC, le scientifique suédois Johan Rockström estime qu’il y a des « raisons d’espérer » même si « nous ne voyons, jusqu’à présent, aucun signe crédible que nous allons parvenir » à limiter le réchauffement à 1,5 °C.
Cinquante experts des deux thématiques appellent à une lutte commune pour faire face à ces défis, profondément interconnectés.
Les températures moyennes risquent d’augmenter de 3,9 °C sur la période 2070-2100 par rapport à 1976-2005, et jusqu’à + 6 °C l’été, en cas d’émissions de gaz à effet de serre non contrôlées, selon les nouvelles projections publiées, lundi, par Météo France, auxquelles « Le Monde » a eu accès en exclusivité
Le gouvernement a enfin dévoilé le contenu de la programmation pluriannuelle pour les dix ans à venir. Les grands objectifs avaient déjà été annoncés mais leur déclinaison par filière et par secteur a été précisée.
La transition énergétique pourrait créer 500 000 emplois durables d’ici 2050 en France. C’est ce qu’estime l’association NegaWatt dans son scénario 2017-2050 pour une France propre. Elle alerte sur la nécessité d’anticiper les reconversions dans les secteurs en destruction.
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