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Fidèle à ses engagements, la ville de Grande-Synthe a organisé une journée d'échanges sur l'idée d'une sécurité sociale alimentaire (SSA)
Depuis 2022, la métropole d’Angers s’est dotée d’une nouvelle cuisine centrale. Ses particularités : elle gaspille moins, fait davantage de bio, et n'utilise plus aucun plastique.
Les solutions proposées par l’institution financière sont toutefois jugées insuffisantes pour aller vers un modèle durable et résilient.
Plus saine, plus durable, plus accessible, le goût de demain doit répondre à d'innombrables défis. Comment apprendre à mieux manger ?
Plus de 200 magasins bio ont fermé en 2022, en raison d’une baisse du nombre de clients. Mais le pire pourrait survenir cette année avec l’explosion des factures d’énergie.
La situation de notre pays, la nécessité de développer une autonomie de production alimentaire, le prochain départ à la retraite de près de la moitié de nos paysans sont autant de raisons de proposer des formations agricoles aux jeunes.
Mobiliser autour d'un projet alimentaire territorial, impliquer les agriculteurs dans la démarche, mettre tout le monde autour de la table… tout cela fait partie des actions du Cerdd. Avec pour objectif final : la relocalisation de l'agriculture et de l'alimentation.
Selon de nouvelles données issues de la cohorte NutriNet, le risque de diabète de type 2 est réduit de 35 % chez les plus gros consommateurs de produits issus de l’agriculture biologique. L’effet est très significatif chez les femmes.
Arthur Grimonpont et Félix Lallemand, des Greniers d'abondance, appellent à construire un système alimentaire résilient face aux multiples crises à venir.
Créé dans le sud de la France il y a près de huit ans, le label "Territoire bio engagé" se déploie cette année au niveau national.
Une étude de France Stratégie propose de corréler les aides aux exploitations à leur score d'exigence environnementale, mais aussi de faire évoluer les pratiques des consommateurs.
En grippant les échanges, la pandémie de Covid-19 pourrait provoquer une grave pénurie alimentaire mondiale. La France n’en est pas là, mais son agriculture très spécialisée, inscrite dans les réseaux de libre-échange, ne la met nullement à l’abri d’un choc qui bloquerait les flux. Il est temps de poser la question de la relocalisation agroécologique de l’alimentation.
Les représentants des États membres de l'UE ont voté, ce vendredi 6 décembre, en faveur de l'interdiction du chlorpyrifos et du chlorpyrifos-méthyl. Ce vote, obtenu dans le cadre du comité des plantes, des animaux, des denrées alimentaires et des aliments pour animaux (Scopaff), fait suite à une proposition de la Commission européenne de ne pas renouveler l'autorisation de ces substances, qui expire le 31 janvier 2020.
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LeCourtCircuit : c'est qui les nouveaux patrons ? Les producteurs ! - Actualité - Terres et Territoires
Les étudiants grenoblois ont la possibilité de choisir un plat sans viande depuis 2022, et l’offre dépasse désormais les 30 %. Les émissions de gaz à effet de serre de ce centre régional des œuvres universitaires et scolaires ont baissé de 22 %, un record.
Que devraient manger les Français pour respecter les engagements environnementaux de leur pays ? Moins de viande, mais de meilleure qualité, répondent la Société française de nutrition et le Réseau Action Climat, qui espèrent peser sur les recommandations officielles.
Il n’y aura pas d’agriculture durable ni de bonne santé nutritionnelle sans changement des régimes alimentaires ; et ceci constitue un défi d’ampleur. Or la stratégie mobilisée jusque-là en France pour mener cette transition alimentaire, et qui repose sur le pari du consommateur responsable, ou « consom’acteur », ne produit pas les résultats escomptés. L’Iddri insiste sur la nécessité d’une action publique beaucoup plus forte pour être à la hauteur des enjeux.
L'association Vrac (Vers un réseau d'achat en commun) démocratise l'accès aux aliments bio et de qualité dans les quartiers défavorisés, pour que le prix du bio ne soit plus une barrière.
Dans de nombreuses villes, comme à Hazebrouck dans le Nord, ce que l’on appelle désormais les jardins collectifs permettent de cultiver ses légumes, mais pas seulement.
Via Centre de Doc de la MRES
"Véritables auxiliaires de l'agriculture, les arbres sont de retour dans les campagnes. Lorsqu'on les associe aux cultures et/ou à l'élevage, c'est le principe de l'agroforesterie, les bienfaits se font sentir sur la qualité des sols et le bien-être des animaux. Et en plus c'est beau !"
Le retour du confinement est un coup dur pour tous les Français et les Européens. Au printemps, nous avions cru à un "monde d’après" mais nos espoirs semblent douchés. Relevons la tête ! À la faveur des nombreux appels à changer de modèles, les lignes ont bougé ces derniers mois : La Chine s’engage sur le climat, l’agroalimentaire se fait plus économe, le Mercosur est rejeté… Il y a "des raisons d’y croire" ! Et pendant tout ce confinement, Novethic vous montrera toutes ces bonnes initiatives.
La communauté de communes Sud-Avesnois s’est engagée dans de nouveaux dispositifs relatifs à la transition énergétique. Parmi lesquels la réhabilitation thermique d’habitations, la formation de personnes au changement climatique, l’implantation de chaudières au bois déchiqueté, le développement de circuits courts alimentaires…
Via Centre de Doc de la MRES
C’est une bonne nouvelle pour la filière biologique dans les Hauts-de-France : cette agriculture voit le nombre de producteurs qui font le choix de la conversion croître significativement. Fin 2019, c’est même un record régional : 210 nouveaux producteurs ou exploitations en conversions bio sont enregistrés, soit une hausse de 18% par rapport à 2018 ; 6 500 emplois directs y sont liés.
La crise provoquée par le Covid-19 peut-elle entraîner une pénurie alimentaire massive ? Comment transformer notre système alimentaire pour le rendre durable et sûr face aux chocs à venir ? Les réponses de Félix Lallemand et Arthur Grimonpont, co-fondateurs des Greniers d’abondance, association dédiée aux questions de résilience alimentaire.
LA CRISE ALIMENTAIRE EST IMMINENTE, car à la détérioration continue des sols s’ajoute le blocage des circuits internationaux de transport sur lesquels repose le système alimentaire mondial. Nous ne sommes pas mieux préparés à cette échéance qu’à l’actuelle crise sanitaire. Or ces épidémies et ces crises alimentaires seront rendues plus fréquentes par l’état écologique et économique du monde.
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