Carole Delga, la présidente de l'Occitanie, a dévoilé ce 22 mai son plan pour accélérer le développement "à grande échelle" de solutions hydrogène vert dans cette région. Il sera soumis fin juin au vote des élus régionaux.
À la rencontre de Didier BernardDepuis juillet 2018, le parc éolien de Plougras vend sa production à Enercoop ! Le parc est exploité par l'entreprise familiale Bernard et Bonnefond, spécialisée dans l'électrotechnique spéciale (fabrication et réparation de transformateurs spéciaux...).
Première en France, les Hauts-de-France se sont dotés d’une charte pour encourager la mise en place d'un Dialogue Territorial de qualité. En signant cette charte, les porteurs de projet et les parties concernées sur les territoires s’engagent dans une démarche de transparence et de dialogue sincère.
La Région Sud débloque 5 millions d’euros pour structurer et développer la filière de l’hydrogène sur le territoire. Ce secteur se présente aujourd’hui comme un substitut possible aux hydrocarbures, et un moyen efficace pour faciliter l’intégration des énergies renouvelables.
Le ministère de la Transition écologique et solidaire et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) viennent de sélectionner 11 projets de mobilité hydrogène dans chacune des régions métropolitaines pour les faire bénéficier d'un soutien financier public.
L'Agence de développement et d'urbanisme du Grand Amiénois vous propose une plateforme de veille afin de vous tenir informés sur l'actualité des sources d'énergie propres.
En tant qu’outil de connaissance, le centre de documentation l’ADUGA vous propose cette page afin de contribuer à la réflexion de nos territoires sur les alternatives aux énergies fossiles: retours d’expériences publiques et privées, innovation, financement, ...
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La commune de Lavernat qui compte 630 habitants vient de s'engager dans la démarche volontaire des Territoires à Energie Positive (TEPOS).
« La signature de cette convention est importante pour Lavernat mais aussi pour tout le territoire. C’est une première en Sarthe. Cette signature représente une des quinze actions du Plan Climat. La commune s’est proposée et cela paraissait normal de la retenir avec le parc éolien déjà installé. Le Pays Vallée du Loir s’engage à travailler aux côtés d’Alain Morançais et son conseil municipal pour mener à bien ces actions. Nous avons 57 communes sur le territoire et nous pouvons imaginer reproduire ces mêmes actions dans d’autres communes d’ici 18 mois ou deux ans. Les résultats de cette initiative de Lavernat seront importants pour tout le territoire » a confié Régis Vallienne, président du Pays.
Parallèlement à des investissements massifs sur l'électrique, la filière hydrogène commence à se structurer en France, passant du statut de simple niche à celui d'alternative crédible aux moteurs thermiques.
Des projets dans chaque région.
Cela va d'abord passer par les transports en commun, avec des bus à hydrogène. Une première ligne sera lancée cet été, dans l'agglomération de Lens. Ce sera du 100% français : Transdev pour l’exploitation, Michelin pour la pile à combustible et Engie pour la station à hydrogène. Et puis, il y aura aussi une expérimentation grandeur nature à Pau, en septembre.
Désireuse de sortir du "tout diesel", la Métropole de Tours a choisi le gaz naturel comme solution de transition pour ses bus urbains. D’ici à 2024, l’objectif est de passer au GNV 45 des 197 bus du réseau Fil Bleu. Une transition que la métropole entend amorcer à partir de 2020, le temps de lancer ses premiers appels d’offres.
Gilles Durand, Secrétaire Général de l'AFGNV, s'est entretenu avec Charles Tartier, responsable du développement des nouveaux marchés chez ENDESA, pendant la SITL 2019 ( Semaine Internationale du Transport et de la Logistique).
La région Hauts-de-France fait la course en tête vers la transition énergétique. Des dizaines de millions d'euros sont injectés pour transformer les déchets en carburant et chauffer 40.000 bâtiments.
Comment traiter intelligemment les déchets alimentaires et les déchets verts des habitants de la Métropole ? En faisant d’une pierre deux coups, ont répondu les ingénieurs: c’est-à-dire en fabriquant du biogaz pour alimenter les bus à partir de la méthanisation des déchets. « C’est aujourd’hui le réseau de transport qui dispose de la flotte propre la plus importante en France et en Europe », souligne un représentant d’Ilévia (ex-Transpole), qui fait tourner 428 bus fonctionnant au gaz, fabriqués par Iveco. C’est une double réussite.
Le BioGNV permet une réduction d'environ 80% des émissions de gaz à effet de serre par rapport aux carburants traditionnels, et de 95% des particules fines. « Notre souci, d'ici 10 ans, est notamment de verdir les 5.500 cars qui sillonnent notre région, que ce soit par le BioGNV ou l'électrique », a assuré lors de l'inauguration de la station, Alain Rousset, saluant au passage les fonds européens qui accompagnent ce type de projets (« l'Europe nous aide ; en cette période électorale, je ne veux plus entendre de conneries sur l'Europe, soit c'est de l'incompétence, soit de la bêtise ! »). Dans les prochaines années, le Conseil régional doit aussi installer 20 stations publiques à remplissage rapide et soutenir la conversion de 500 camions de transports régionaux de marchandises.
Les Amis des moulins portent un projet pilote en faveur de la « Réhabilitation des moulins et la transition écologique et énergétique ».
L’objectif de la démarche est donc de façon « générique », de préserver le patrimoine, tout en fédérant « les énergies » citoyennes autour d’un projet local, reproductible et contribuant à la production d’énergie renouvelable. Avec une contribution significative du Grand Figeac, zone d’initiation du projet autour du bassin de la rivière Célé, peut voir le jour un véritable bouquet énergétique, « exemplaire et reproductible » non seulement au sein du Quercy mais aussi en maints endroits de notre région, offrant une production d’énergies renouvelables, joignant l’hydroélectricité à l’éolien, à la méthanisation regroupée à la ferme, aux réseaux de chaleur bois et au photovoltaïque. « Le réveil des moulins du Quercy » alliant patrimoine et modernité, sobriété et efficacité entend s’inscrire dans la transition écologique et énergétique ; n’est-ce pas là le but à atteindre !
Selon le Panorama de l'électricité renouvelable, les parcs éolien et solaire ont battu leurs records de production. Au premier trimestre 2019, les énergies renouvelables ont couvert plus de 20 % de la consommation électrique française.
Ce mercredi 22 mai 2019, la réglementation relative aux réseaux d'énergies renouvelables a été précisée : un décret modifiant le Code de l'urbanisme à ce sujet est paru au Journal Officiel, et une ordonnance simplifiant la procédure d'élaboration et de révision des Schémas de raccordement a été présentée en Conseil des ministres.
Qu'ont en commun Brest, Nantes et Chambéry ? Ces métropoles ont verdi leurs réseaux de chaleur et les alimentent à plus de 60% avec des énergies renouvelables ou de récupération (EnR&R).
Nantes a accueilli le 6 mai une conférence sur les réseaux de chaleur, faisant la part belle au partage d'expériences entre collectivités. Au menu, la transition énergétique de ces équipements urbains mais aussi l'importance de les rendre plus visibles et mieux acceptés.
Le projet « Green Deliriver », porté notamment par Segula Technologies et GRDF, a pour objectif de construire une navette fluviale à propulsion hybride GNV-électrique.
Le premier parc solaire au sol de l’Ain a été inauguré ce vendredi 17 mai à Villebois dans l'Ain. Un projet financé partiellement grâce à un financement participatif ou crowdfunding, dont les objectifs ont été largement dépassés.
Le financement participatif concerne aussi les entreprises d'énergies renouvelables. Exemple à Malicorne, où la société Luxel fait appel à des « éco-épargnants » pour financer son projet de parc photovoltaïque.
Les énergies renouvelables représentent désormais 15,5 % de la consommation régionale d’électricité, selon le bilan de RTE. C’est encore en dessous de la moyenne nationale, mais cela illustre le « verdissement » progressif de la première région française en termes d’échanges d’électricité avec ses voisins.
Un rapport qui montre clairement la part dominante du gaz naturel dans les alternatives au gazole dans les bus, tout en rappelant que c'est avec le biogaz qu'il a le plus de sens.
L’Iran occupe la deuxième place sur la liste des pays disposant du plus grand nombre de véhicules fonctionnant au gaz naturel, derrière la Chine. Cette position est due à l’engagement du gouvernement iranien dans le renforcement du secteur GNV ainsi qu’aux importantes réserves de gaz détenues par le pays.
Aujourd’hui, près de 5 millions de véhicules roulent au gaz naturel dans le pays et 2461 stations d’avitaillement en gaz naturel comprimé (GNC) se répartissent sur tout le territoire.
La ferme de Guernequay a le projet de valoriser son biogaz en tant que biométhane utilisé comme gaz naturel véhicule (GNV). Mais il faut pour cela une unité de purification pour retirer le CO2 et de compression pour stocker le gaz en bouteilles. Le coût de l’investissement peu aller de 150 000 € à 1 million d’euros selon la technique et la taille de l’installation. Le méthane produit sera utilisé pour les engins agricoles ou des véhicules privés dans la région. La réalité de l’écosystème dans le territoire rural serait ainsi renforcée.
Le méthane pourrait aussi être réinjecté sur le réseau public. Le point d’accès à ce réseau n’est qu’à 6 km, ce qui peut permettre un raccordement par conduite (dans les autres cas, le gaz doit être porté par camions-citernes). Mais les conditions tarifaires lié au choix initial de cogénération ne sont pas suffisamment avantageuses dans le cas de la ferme de Gernequay pour rendre l’opération rentable.
Le projet de méthaniseur à Vendeuvre, sur une parcelle agricole proche des routes départementales 131 et 40, porté par treize cultivateurs et éleveurs de la commune de la région, continue tranquillement son chemin.
Après la présentation du projet aux élus du Pays de Falaise en 2018, une nouvelle période s’ouvre avec la consultation publique des habitants. Elle se terminera le 5 juin.
Avec un système de cuves (enterrées pour ne pas abîmer le paysage), l’idée est de profiter de la fermentation des matières organiques agricoles afin de produire du biométhane, utilisé dans les réseaux de chauffage.
Selon les prévisions de la société par actions simplifiées (SAS) des Groseillers, qui regroupe les treize agriculteurs engagés dans le projet, l’installation pourrait produire l’équivalent de 31 000 mégawatts par heure, soit la consommation moyenne de gaz de 5 700 habitants.
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