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Véritable référence en matière d’urbanisme durable, Copenhague figure régulièrement dans le top 3 des villes les plus agréables au monde. Un classement qui s’explique notamment par ses projets innovants, inspirés du concept de « durabilité hédoniste » cher à l’architecte danois Bjarke Ingels.

Le Festival de la Ville –autrement- est un lieu unique, un lieu puissant de jeux de joutes et d’échanges, de dissensus parfois. Il est la chambre d’échos de toutes celles et ceux qui estiment que la ville peut et doit devenir l’avenir du plus grand nombre, pour montrer et démontrer la puissance des idées et des refus d’obéir qui émergent partout. À bien des égards, l’édition 2024 revêt le titre « NON ! ».
Dans cette tribune, Matthieu Poitevin, architecte et directeur du Festival de la Ville explique pourquoi l’architecture doit se mettre au service de l’intérêt général.

Dans une ville, il y a : des rues, des trottoirs, des façades, mais il y a aussi des toits, que l’on ne voit par définition jamais et qui sont la plupart du temps non utilisés. Et pourtant, on pourrait faire beaucoup de choses avec toutes ces toitures vierges, véritables terras incognitas de l’urbanité contemporaine

Des chercheurs en neurosciences étudient actuellement comment l’architecture des villes modernes pourrait avoir un impact sur notre santé, notamment mentale. Leurs résultats pourraient venir révolutionner la façon dont nous concevons les villes, à condition d’une véritable prise de conscience collective.

Le 15 juillet 2024, le ministère de l’Ecologie a attribué à l’architecte-urbaniste Claire Schorter le Grand Prix de l’urbanisme 2024. Lettre ouverte d’Alain Sarfati, architecte et urbaniste, à la lauréate.

Plus résiliente, mieux adaptée au changement climatique... La ville de demain se pense aujourd'hui. Selon quels impératifs, avec quelles contraintes et quelles marges de manœuvre pour les élus, les urbanistes, les architectes