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Dans une démarche artistique et locale, la graphiste Julie Menigoz capture l’essence des paysages et des lieux emblématiques d’Épinal à travers une série d’affiches inspirées des quatre saisons. Son travail met en lumière la richesse architecturale et naturelle de la ville tout en valorisant le patrimoine vosgien.

Quelque 846 millions d’euros récoltés pour sauver Notre-Dame de Paris, mais combien pour entretenir les 5 000 églises qui menacent ruine dans les petites communes françaises ? Depuis la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, 41 000 édifices religieux appartiennent aux communes françaises, les trois quarts d’entre eux se situant dans des communes de moins de 3 500 habitants.Face à des coûts d’entretien et de restauration qui explosent, comment ces villages s’organisent-ils pour préserver leur patrimoine et ces clochers qui font leur identité ?

Loin de s’opposer, le développement des énergies renouvelables et la préservation du patrimoine paysager et architectural sont complémentaires. À condition de prendre le temps du dialogue et de la concertation. Dans une étude intitulée “Accorder énergies renouvelables et patrimoine culturel pour des territoires durables et harmonieux”, en s’appuyant sur des exemples concrets, le réseau Cler tord le cou aux idées reçues, au côté d’une vingtaine d’acteurs de l’énergie, du patrimoine et du paysage

La ministre de la Culture Rachida Dati propose de rendre les visites touristiques de Notre-Dame de Paris payantes afin de "sauver les églises de Paris et de France". Le sénateur PCF Pierre Ouzoulias, auteur en 2022 d'un rapport sur le patrimoine religieux en péril, n'y est pas favorable.

Un nouveau fascicule porté par la Glucoserie et son label « Villes et pays d’art et d’histoire » met en lumière l’histoire du château d’Épinal et de son parc à travers un volet historique suivi d’une invitation à sillonner le parc et ses points remarquables.

On le présente comme l’un des sites les plus fréquentés des Hautes-Vosges, les gorges de Crosery à Thiéfosse. Une pépite naturelle unique dans le département, surfréquentée en été lors des jours de fortes chaleurs. Des études pour aménager et préserver le lieu et développer un tourisme durable sont en cours. Nous nous y sommes rendus samedi matin, juste avant la rentrée

Peu connu du grand public, le « site classé » est l’outil juridique le plus ancien permettant, depuis 1906, la protection d’un site naturel considéré comme « patrimonial ». D’après les derniers inventaires, La France (métropole et outre-mer) compte pas moins de 2700 sites classés (sur un peu plus d’un million d’hectares, soit 1,8 % du territoire terrestre) et 4798 sites inscrits (qui plafonnent eux à 1,5 million d’hectares pour 2,2 % du territoire) pour leur patrimoine paysager.

Utilitaires ou purement ornementales, les fontaines sont au cœur de la ville. De celle des Innocents, fleuron de l’art de la Renaissance, aux fontaines Wallace qui portent haut les préceptes de l’hygiénisme, plongeon dans les eaux de l’histoire urbaine.

Cette semaine, l'Hebdo vous emmène à Charmes pour célébrer les 444 ans du site industriel du Battant, devenu aujourd'hui un écomusée. Un bond en arrière dans l'Histoire en compagnie des bénévoles.

Après une étude réalisée en 2016 sur le potentiel scientifique, culturel, social et touristique du site de la forteresse médiévale de Châtel-sur-Moselle, la Communauté d’Agglomération d’Épinal a officiellement annoncé le lancement d’un ambitieux programme de valorisation de ce patrimoine historique. L'un des objectif est de parvenir à 30 000 visiteurs annuels contre 10 000 actuellement. Une valorisation du site qui débutera le lendemain de la fête médiévale des 19 et 20 mai et qui passera par la déconstruction d'une verrue paysagère: un vieil immeuble rue des Capucins.

Les maisons-bulles font l’objet d’une exposition temporaire au musée Pierre-Noël de Saint-Dié. Il sera possible de la visiter lors de la Nuit des musées, mais aussi de découvrir de nombreuses autres animations.

Une étude réalisée par le Réseau Cler et publiée en février dernier a mis en avant cinq propositions pour accorder énergies renouvelables et patrimoine dans nos territoires. L’objectif : sortir du clivage qui oppose les deux pour un développement soutenu des énergies renouvelables en concordance avec notre paysage et notre patrimoine culturel.

Le département des Vosges est marqué par son histoire industrielle, notamment aux XIXe et XXe siècles, et les paysages gardent traces de ce passé : construction de grandes manufactures avec cheminées, mais aussi de lieux de vie pour les ouvriers tels que des habitations, des crèches, des salles d'asile, des espaces de loisirs. 

Chaque semaine, cette nouvelle rubrique vous invite à faire le plein de découvertes et d’émotions littéraires. Romans, thrillers, contes, recueils de poésie, livres éducatifs, documents, témoignages, la création vosgienne a de quoi satisfaire l’appétit de lecture de tous les publics ! Cette semaine, Elisabeth Charée rend hommage à Gabriel Loire, un Maître verrier mondialement connu qui exerça son art à Deyvillers, à Epinal et alentours »

La commune a été primée par la Fédération Française du Bâtiment, la Fondation du Patrimoine, l’association des Maires et la Caisse d’Epargne pour les « Rubans du Patrimoine » au niveau départemental.

En cette fin d’été 2024, alors que la reconstruction de la toiture de Notre-Dame touche à sa fin, se pose la question de notre relation au patrimoine bâti. N’y a-t-il pas dans notre volonté de figer les bâtiments du passé dans une sorte d’état « historique » fantasmé, l’affirmation d’un refus de l’inéluctable versatilité des choses et du temps ?

Elle ne passe pas inaperçue dans le paysage spinalien et attire l’œil avec ses boiseries rouges et les arbres qui la surplombent. En montant les 80 marches de la tour chinoise, cet édifice offre une vue panoramique sur la ville et permet aussi d’accéder au parc du château.

La commune a signé une convention avec la Fondation du patrimoine en novembre dernier. Objectif : financer la restauration d’une part du patrimoine local.

La Ville voit se voir attribuer un nouveau label, celui des Petites Cités de Caractère® qui a pour objectif de valoriser les communes atypiques qui sont à la fois rurales par leur implantation et leur population limitée d’une part, et urbaines par leur histoire et leur patrimoine, d’autre part.

Souhaitant valoriser ce qui fait toute sa singularité - une histoire marquée l’existence d’une principauté indépendante -, la commune de Senones a donc adopté une marque. Baptisée logiquement « Principauté de Salm », elle vient d’être officiellement présentée.

oyaux du patrimoine de la ville de Nancy, la Villa Majorelle va poursuivre ses travaux de rénovation pour être entièrement ouverte au public dans le courant de l'année 2026

Le gymnase Michel-Plinguier à Saint-Dié accueille les préparatifs de l’œuvre monumentale en carton qui sera édifiée dans la cour de l’école Jacques-Prévert ce samedi.