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A partir du 1er avril 2023, la réalisation de l’audit énergétique réglementaire devient obligatoire pour la vente de toute maison individuelle ou de tout logement collectif en monopropriété dont l’étiquette DPE est classée F ou G. Les architectes ayant suivi une formation Fee Bat peuvent réaliser cet audit
Instituée dans le cadre de la loi Climat et Résilience, la réalisation d’un audit énergétique réglementaire devient progressivement obligatoire à la vente des logements classés D, E, F et G en monopropriété. En complément du DPE, l’audit réglementaire vise à permettre aux acquéreurs de ces logements fortement consommateurs d’énergie de bénéficier de la présentation de scénarios de travaux pour améliorer leurs performances énergétiques et environnementales. A ce titre, il contribue aux objectifs nationaux de réduction de la consommation énergétique du parc de logements.
Dans la nouvelle édition de son baromètre sur les énergies renouvelables électriques en France publiée ce 24 janvier, l’association Observ’ER juge que la France n’est définitivement pas dans le rythme de ses objectifs, même si l’année 2022 n’est pas "mauvaise" en termes de puissance installée. Elle dénonce une nouvelle fois une sur-réglementation du secteur, qui a notamment conduit au projet de loi d’accélération des énergies renouvelables en cours d’adoption. Mais le remède pourrait se révéler, selon elle, pire que le mal.
Particulier, collectivité ou entreprise, l’environnement offre des surfaces non exploitées ou non exploitables qui, lorsqu’elles bénéficient d’une bonne exposition, comme des friches ou des toitures, permettent d’installer des panneaux photovoltaïques pour produire de l’énergie gratuite et durable, et se libérer des énergies fossiles. Voici quelques exemples qui prouvent que ce n’est pas une utopie, même dans les Vosges.
Les piscines publiques sont des postes de consommation énergétique très importants pour les collectivités locales. Face à la flambée des prix de l’énergie, elles doivent trouver des solutions pour réduire leur facture, maintenir une qualité de service public et répondre aux besoins des administrés.
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Le déploiement des énergies renouvelables est l’un des moyens majeurs d’atteindre la neutralité carbone et de réduire notre dépendance énergétique. Le solaire photovoltaïque, en particulier, est appelé à jouer un rôle majeur dans la transition en cours. Lorsqu’elles sont implantées dans des milieux naturels, les centrales photovoltaïques peuvent avoir des incidences[…]
La ministre de la Transition énergétique a présenté ce 2 février un plan d'actions pour "accélérer le déploiement de la géothermie". Le plan, qui prévoit notamment d'accompagner les porteurs de projets et les usagers, de sensibiliser les acteurs locaux et de simplifier la réglementation, entend augmenter de 40% le nombre de projets de géothermie profonde lancés d'ici 2030 et de doubler le nombre d'installations de pompes à chaleur géothermique chez les particuliers d'ici 2025.
Alors que les règles de construction neuves interdisent pratiquement le recours à d'autres types de générateurs que la pompe à chaleur (Pac) et que certains annoncent qu'il est incontournable et indispensable d'en généraliser l'usage, depuis quelques mois, une nuisance nouvelle émerge : le bruit. Quelles solutions ?
A travers la "doctrine nationale" diffusée par la voie d’une instruction interministérielle, le gouvernement souhaite concourir à l'aide à la décision et faciliter les missions quotidiennes des services patrimoniaux, et notamment des architectes des Bâtiments de France, dans le traitement des demandes d'autorisation d'implantation de panneaux solaires. L’objectif étant in fine d’en permettre le déploiement sur l’ensemble du territoire en bousculant si nécessaire les positions dogmatiques.
Un cadre juridique clair se dessine désormais pour les collectivités territoriales souhaitant se fournir en électricité par le biais de l’autoconsommation collective. Explications sur les régimes contractuels à suivre.
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