La pénétration des outils médicaux connectés et digitaux souffre d'une offre trop prolifique pour être compréhensible.
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Michel Mazuez's curator insight,
November 3, 2013 12:16 PM
La médecine va changer : à très moyen terme, ce seront les patients qui nous apporteront les paramètres de surveillance que nous croiserons avec ou les éléments de leur dossier, ou comme ici avec des données épidémiologiques. Mais le temps gagné pour établir un diagnostic ne devrait pas uniquement viser à améliorer la "productivité" des médecins (c'est ce à quoi rêve le ministère de la santé via la télémédecine...) , mais permettre de dégager du temps d'écoute. Ce sont les patients qui vont nous aider à "freiner" la frénésie actuelle, grâce aux réseaux sociaux (du moins il faut le souhaiter pour eux...)?
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