De nombreux exemples récents montrent que désormais les médias sociaux sont plus rapides pour faire émerger un fait divers que les journaux, même numériques. Le plus célèbre fait relaté sur Twitter avant toutes autres sources sont les attentats de Mumbai en 2009. la mort de Mickaël Jackson a aussi fait le tour du monde en quelques minutes seulement, grâce au médias sociaux.
Force est de constater que les journaux « classiques » sont à la ramasse (et ce n’est pas une critique).
Le monde change et la manière de s’informer aussi.Dans son étude sur le journalisme numérique, Oriella montre que plus de la moitié (55%) des journalistes interrogés de par le monde (+ de 600) utilisent les médias sociaux, Facebook et Twitter, à la fois pour « sourcer » leurs informations, mais également pour vérifier ces dernières (43% le font).
Dans son étude sur le journalisme numérique, Oriella montre que plus de la moitié (55%) des journalistes interrogés de par le monde (+ de 600) utilisent les médias sociaux, Facebook et Twitter, à la fois pour « sourcer » leurs informations, mais également pour vérifier ces dernières (43% le font).