Arrêté pour la deuxième fois le 17 avril 2025, le plan local d’urbanisme intercommunal de la communauté d’agglomération du Grand Annecy va être soumis...
Localtis : Pour aider les collectivités locales à répondre aux exigences de sobriété foncière instaurées par la loi Climat et Résilience de 2021, la région Sud, la Safer Provence-Alpes-Côte d’Azur et le Cerema lancent un observatoire régional des friches urbaines et agricoles.
Localtis : Mise en ligne ce 17 avril, une instruction signée du Premier ministre et destinée aux préfets de région et de département précise les conditions dans lesquelles doivent être préparées les COP régionales en 2025.
La notion de compensation des dégâts commis sur l’environnement existe dans la loi depuis 1976. Les autorités misent désormais sur les « crédits biodiversité » et le volontarisme des ...
Préserver les sols et limiter l’étalement urbain : la France vise le zéro artificialisation nette en 2050, mais les tensions locales compliquent la mise en œuvre.
La proposition de loi Trace (Trajectoire de réduction de l’artificialisation concertée avec les élus), en cours de discussion au Parlement, diminue fortement les objectifs de « zéro artificialisation nette » (ZAN), fixés en 2021.
Bien qu'en fort développement depuis 2021, cet outil contractuel de protection de la biodiversité reste trop méconnu et pas assez soutenu. Une meilleure information et une évolution de la fiscalité pourraient y remédier.
Les députées Sandrine Le Feur et Constance de Pélichy formulent une trentaine de propositions pour rendre opérationnel l'objectif de zéro artificialisation nette (ZAN) et prévoient de déposer une proposition de loi.
Nouvelle diffusion Une ville basse température, qu’est-ce ?Comment concrètement désimperméabiliser nos villes, en gérer la hausse des températures, éviter les énormes pièges en matière de présenc…...
21 février – La proposition de loi TRACE (Trajectoire de Réduction de l'Artificialisation Concertée avec les Élus) adoptée par la Commission des affaires économiques du Sénat vise à (...)
Une nouvelle proposition de loi veut renforcer la prise en compte des impacts de la pollution lumineuse sur la biodiversité à travers les trames noires. Le concept de trames blanches émerge aussi afin de limiter l'impact du bruit sur la faune.
Le 25 mars, le Sénat a largement adopté (à 260 voix pour sur 277 exprimées) une proposition de loi visant à « instaurer une trajectoire de réduction de l’artificialisation...
Le quotidien d’information des élus locaux QUI SOMMES-NOUS ? RUBRIQUES Édition du jeudi 10 avril 2025 Transition écologique ZAN : des députées proposent une réforme de la fiscalité locale pour « mieux inciter à la sobriété foncière » Après que le Sénat a adopté un texte assouplissant grandement le « Zéro artificialisation nette des sols », les députées Sandrine Le Feur et Constance de Pélichy défendent la « consolidation des ambitions initiales » de sobriété foncière et proposent de nouveaux outils fiscaux « à la main des élus ». Par A.W. Face à l’offensive en cours des sénateurs qui veulent très largement assouplir le « Zéro artificialisation nette des sols » (Zan), deux députées viennent d’y répondre dans un rapport visant à « stopper le détricotage » en cours et à plutôt « consolider les ambitions initiales du Zan ». Via une trentaine de propositions, les députées Sandrine Le Feur (Renaissance) et Constance de Pélichy (Liot) souhaitent ainsi inciter les élus locaux – mais aussi les particuliers et les entreprises - à mieux préserver les espaces naturels, agricoles et forestiers (Enaf) en mettant en place « une réforme ambitieuse » de la fiscalité locale, dont elles espèrent voir les mesures intégrées dans le prochain projet de loi de finances. Maintien de l’objectif intermédiaire Cette contre-offensive fait suite à l’adoption, il y a un mois, par le Sénat de la proposition de loi « Trace » qui vise à revoir de fond en comble un Zan suscitant beaucoup d’inquiétudes, notamment chez les élus locaux. Alors que les sénateurs ont supprimé l'objectif intermédiaire de sobriété foncière et multiplié les exemptions, certains députés avaient annoncé qu'ils ne « laisseraient pas faire » ce « détricotage inadmissible du Zan » lors du passage du texte à l'Assemblée. À l'opposé de leurs collègues du palais du Luxembourg, les deux rapporteures défendent ainsi le maintien d'un objectif intermédiaire qui prévoit de réduire de moitié l'artificialisation des sols, bien qu’elles divergent sur les échéances. D’un côté, Sandrine Le Feur préconise de le conserver en 2031 comme la loi l’exige, tandis que Constance de Pélichy s’aligne sur la volonté du gouvernement de décaler ce point d’étape en 2034. Conscientes que « le Zan ne peut pas être une norme imposée d’en haut » et que sa mise en œuvre nécessite « une adhésion claire et active des élus locaux », les deux rapporteures assurent que la sobriété foncière « doit devenir un levier de développement durable, pensé et porté par les territoires eux-mêmes ». Nouveaux outils fiscaux « à la main des élus » Afin de faciliter la transition vers la neutralité foncière en 2050, les deux députées prônent donc la mise en place de « nouveaux leviers fiscaux et budgétaires à la main des élus locaux » afin d’inciter ces derniers et les porteurs de projet à s’orienter vers « un aménagement urbain sobre en foncier ». Jugeant que « le système fiscal actuel favorise encore trop souvent l’artificialisation », elles proposent de supprimer l’exonération temporaire de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) pour les constructions nouvelles et les exonérations de taxe d’aménagement bénéficiant aux entrepôts, hangars ou parkings couverts. Les entrepôts logistiques et les aires de stationnement des grandes surfaces commerciales devraient être également intégrés dans l’assiette de la taxe sur les surfaces commerciales (Tascom) tandis que cette dernière devrait être fortement augmentée pour les établissements « les plus consommateurs d’espace », assurent les deux rapporteures qui jugent que la Tascom représente « un levier fiscal important pour orienter l’aménagement commercial dans une logique de sobriété foncière ». En outre, les élues suggèrent d'augmenter la taxe sur « les aménagements consommateurs d'espaces », telle que les piscines, les stationnements ou encore les terrasses, tout en généralisant la taxe sur les friches commerciales sur l’ensemble du territoire et en l’étendant aux friches industrielles - à condition qu’il n’y ait pas une « opposition explicite de la commune ». Création d’une dotation spécifique À l’inverse et pour encourager la préservation des espaces naturels, les députées proposent de consolider les exonérations de taxe foncière sur « l’ensemble de [ces] terres naturelles ». Dans le but d’éviter la spéculation, elles plaident pour un renforcement des taxes sur les plus-values des terrains devenus constructibles. Ces nouveaux outils fiscaux doivent aussi permettre de financer une dotation aux collectivités de préservation des Enaf. Le rapport propose ainsi la création d’une dotation spécifique au sein de la DGF qui « récompens[erait] les communes exemplaires » en la matière, ainsi qu’une « bonification explicite » des dotations d’investissement pour les projets sobres en foncier. Pour elles, « les outils budgétaires existants comme la dotation globale de fonctionnement et les dotations d’investissement local (Fonds vert, DETR, Dsil) doivent être mieux orientés vers la sobriété foncière ». Friches et logements vacants Sur le logement, Sandrine Le Feur et Constance de Pélichy souhaitent aussi instaurer une « majoration progressive » sur la taxe d’habitation sur les résidences secondaires et la taxe d’habitation sur les logements vacants, qui ciblerait « particulièrement les multipropriétaires », tout en favorisant la rénovation de ces derniers logements grâce à un crédit d'impôt de 25% sur les dépenses engagées. Face au manque de lisibilité, les rapporteures proposent, en outre, de fusionner la taxe sur les logements vacants et la taxe d’habitation sur les logements vacants en « une taxe locale facultative de lutte contre les logements vacants », en permettant aux collectivités locales de « disposer directement des recettes ainsi générées ». Pour lutter contre la spéculation et « accélérer le recyclage urbain », le rapport préconise la création d'un droit de préemption des mairies sur les espaces non artificialisés, mais aussi de généraliser et prolonger le droit de sursis à statuer. Enfin, il y est défendu une série de mesures pour accélérer les successions bloquées et assouplir certaines règles d'urbanisme. Le rapport préconise ainsi d’autoriser « explicitement » les collectivités à « fixer des densités minimales, d’étendre les possibilités de dérogation aux règles d’urbanisme (hauteur, gabarit, emprise au sol) pour favoriser la reconversion des friches et dans les cœurs de ville ruraux ». Une dernière proposition qui fait écho à la proposition de loi de simplification des procédures d’urbanisme qui sera examinée le 15 mai à l’Assemblée et dont le but est de relancer la production de logements. Ce texte prévoit ainsi d'étendre les dérogations et diminuer les recours afin de faciliter l'accueil des travailleurs et la reconversion des friches. Consulter le rapport. Suivez Maire info sur Twitter : @Maireinfo2 S'ABONNER GRATUITEMENT NOUS ÉCRIRE PARTAGER IMPRIMER DANS L'ÉDITION DU JOUR Zones à faibles émissions : les nouvelles propositions du gouvernement L'ANFR propose un nouvel outil pour visualiser les niveaux d'exposition aux ondes électromagnétiques Journée citoyenne le 24 mai : pourquoi s'engager ? Deux nouvelles dispositions concernant les communes nouvelles Retrouver une édition Accéder au site 2025 Copyright AMF - Tous droits réservés RSS Mentions légales Régie publicitaire Contact
Rénover en ayant à l'esprit le confort d'été et tester des solutions grandeur nature, tel sera l'objectif du collectif Le Booster de l'adaptation aux vagues de chaleur, un programme collectif volontaire ouvert à tous les acteurs du bâtiment.
Réformer en profondeur la fiscalité locale afin d'encourager la sobriété foncière : un rapport présenté il y a quelques jours par deux députées formule une trentaine de propositions pour inciter particuliers, entreprises et élus à mieux préserver les espaces naturels, agricoles et forestiers.
Localtis : Après le vote au Sénat de la proposition de loi d’assouplissements dite "Trace" - pour trajectoire de réduction de l’artificialisation concertée avec les élus locaux -, la contre- offensive de l’Assemblée nationale ne s'est pas fait attendre.
Au lendemain d'une table ronde consacrée à l'obligation réelle environnementale (ORE), le Sénat a mis en ligne une note de législation comparée portant sur les dispositifs équivalents existant sur des propriétés privées en Australie, au Canada, aux É...
La proposition de loi Trace (Trajectoire de réduction de l’artificialisation concertée avec les élus), en cours de discussion au Parlement,...-points-de-vue...
ARTIFICIALISATION DES SOLS. Le pilote du réseau Aménagement durable à France nature environnement PACA et ancien inspecteur de l'Insee décrypte la proposition de loi Trace adoptée au Sénat le ... #BatiActu
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