Retrouvez ci-dessous la synthèse des échanges qui se sont tenus à l'Agence Française de Développement. Une conférence-débat animée par Anne-Cécile Bras,
Malgré les oppositions, y compris de plusieurs gouvernements européens, dont celui de la France, la Commission européenne a finalement conclu l'accord de libre-échange avec les pays du Mercosur. Place maintenant à sa ratification, dans la discorde.
Les Nuit des forêts transpose le principe du wwofing dans les forêts d'Ile-de-France et de l'Oise. En échange de petits travaux, les bénévoles vivent une expérience enrichissante.
La cour administrative d'appel de Versailles a désavoué la société qui souhaitait "exhausser le sol" d'une ancienne carrière pour l'exploiter en "terres agricoles".
La publication annuelle 2024 de Plante & Cité vient de paraître.Ce dixième numéro de la collection Esperluette « & » s’intitule « Préserver l’eau et la nature en ville : de la gestion des risques à la restauration des milieux » est disponible au format papier sur commande sur www.plante-et-cite.fr...
À Besançon, Altitude 35 réhabilite les espaces publics du campus universitaire de la Bouloie. La matérialité du projet paysager s'inscrit dans celle des édifices conçus par René Tournier dans les années 1960, tout en tirant profit des importantes contraintes du lieu.
La révélation des lauréats du cinquième prix national du génie écologique a marqué un temps fort du premier salon de la biodiversité, inclus...-Biodiversité...
Le zéro artificialisation nette (ZAN) continue de faire des remous. Alors qu'une proposition de loi a été déposée au Sénat le 7 novembre pour assouplir de nouveau le dispositif de réduction de l'artificialisation des sols et faciliter son acceptation, une réponse ministérielle apporte des éclaircissements sur les différentes échelles de mutualisation possibles.
Le 20 novembre 2024, la capitale française franchit un cap décisif dans son évolution urbaine. Le Conseil de Paris adopte un nouveau Plan local d’urbanisme bioclimatique (PLUb), marquant un tournant majeur dans l’aménagement de la ville. Ce document, fruit d’une réflexion approfondie, vise à transformer Paris en une véritable ville jardin, alliant préservation du patrimoine et ambitions écologiques. Table of Contents Une révolution verte pour la capitale Le PLUb de Paris, qui entrera en vigueur début 2025, représente une rupture radicale avec les précédentes politiques d’urbanisme. Contrairement au plan de 2006, axé sur la production et l’aménagement de grands espaces fonciers, ce nouveau document de 3 500 pages met l’accent sur la transformation de l’existant et la rénovation thermique. Emmanuel Grégoire, ancien adjoint à la maire Anne Hidalgo et artisan de ce plan, résume ainsi cette évolution : « Nous passons à un PLU de dentelle ». Cette métaphore illustre parfaitement la finesse et la précision avec lesquelles les autorités parisiennes entendent remodeler le tissu urbain de la capitale. Les objectifs du PLUb s’articulent autour de plusieurs axes prioritaires : Augmentation significative des espaces verts Amélioration de la performance énergétique des bâtiments Préservation et valorisation du patrimoine architectural Développement de la mixité sociale et fonctionnelle Des mesures concrètes pour une ville plus verte Pour concrétiser cette vision d’une Paris plus verte, le PLUb prévoit une série de mesures ambitieuses. Parmi les plus marquantes, on peut citer : Objectif Mesure Végétalisation Création de 300 hectares d’espaces verts d’ici 2030 Biodiversité Installation de 100 000 arbres supplémentaires Rénovation énergétique Obligation de travaux pour les bâtiments les plus énergivores Ces initiatives s’inscrivent dans la continuité des efforts déjà entrepris par la municipalité. Depuis 2014, Paris a en effet créé plus de 30 hectares d’espaces verts et planté plus de 200 000 arbres. Le PLUb vise à accélérer et amplifier cette dynamique, pour faire de la capitale un modèle de ville durable à l’échelle européenne. <img alt="Paris adopte un Plan local d'urbanisme ambitieux pour devenir une véritable ville jardin" src="https://gpmetropole.fr/wp-content/uploads/2024/11/verdissement_de_paris_6935.jpg"; decoding="async" class="webpexpress-processed"> Un défi urbanistique et social La transformation de Paris en ville jardin ne se limite pas à la simple multiplication des espaces verts. Elle implique une refonte profonde de l’organisation urbaine et des modes de vie des Parisiens. Le PLUb prévoit ainsi : 1. La création de quartiers à faible circulation automobile 2. Le développement des mobilités douces (pistes cyclables, zones piétonnes) 3. L’encouragement à l’agriculture urbaine et aux jardins partagés 4. La promotion de l’habitat participatif et intergénérationnel Ces mesures visent à créer un cadre de vie plus agréable et plus sain pour les habitants de la capitale. Elles répondent également aux enjeux climatiques majeurs auxquels Paris, comme toutes les grandes métropoles, est confrontée. Un projet ambitieux qui suscite le débat Si le PLUb suscite l’enthousiasme de nombreux Parisiens et d’associations écologistes, il ne fait pas l’unanimité. Certains acteurs économiques s’inquiètent des contraintes qu’il pourrait imposer, notamment en termes de construction et de rénovation. D’autres critiquent le coût potentiel de ces mesures pour les finances de la ville. Néanmoins, pour la majorité municipale, ce plan représente une nécessité face à l’urgence climatique. Il s’inscrit dans la lignée des engagements pris par Paris lors de la COP21 en 2015, visant à réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre de la capitale d’ici 2050. GPMetropole, en tant que média d’actualité parisienne, suivra de près la mise en œuvre de ce Plan local d’urbanisme bioclimatique. Nous vous tiendrons informés des avancées et des défis rencontrés dans cette ambitieuse transformation de notre capitale en véritable ville jardin. À propos Articles récents
Alors que la grogne des agriculteurs reprend, le sujet revient à l'ordre du jour parlementaire. Une proposition de loi visant à lever les contraintes sera examinée en décembre, avant le retour du projet de loi de souveraineté agricole en janvier.
Visioconférence organisée par l'Observatoire Régional de l'Intégration et de la Ville, le 2024, dans le cadre d'un cycle de conférences sur les questions de transition. Après une recontextualisation de l'agriculture urbaine et la présentation illustrée de ses différentes fonctions (sociales, alimentaires, urbanistiques, …), son intervention a pointé l’importance de définir le rôle social que l’on veut donner aujourd’hui à l’agriculture urbaine dans les projets. Comment celle-ci peut être une passerelle vers une réflexion plus large autour de la transformation sociale des quartiers ? En savoir plus : https://www.oriv.org/publication/transition-ecologique-les-travaux-de-loriv/
Le 29 octobre 2024, des pluies diluviennes se sont abattues sur le sud-est de l’Espagne touchant particulièrement la ville de Valence et sa région. Éric Daniel-Lacombe* est architecte DPLG, Professeur titulaire de la chaire « Nouvelles Urbanités face aux risques Naturels : Des abris ouverts » à l’École Nationale Supérieure d’architecture de Paris-la Villette.
Pour préserver le paysage du Parc naturel de l'Avesnois, un vaste programme de replantation est lancé sur les 130 000 hectares du parc. Les agriculteurs du territoire sont mis à contribution. Cette année, ils vont replanter...
Agriculture urbaine Performance énergétique des bâtiments Lutte contre les îlots de chaleur urbains Gestion alternative des eaux Les agences de mobilité À lire également Partager sur TwitterFacebookLinked in
Accueil a Préserver l'eau et la nature en ville : De la... Préserver l'eau et la nature en ville : De la gestion des risques à la restauration des milieux - n°10 Rapport & étude Synthèse des connaissancesRessource P&CImprimé Auteur(s)Collectif SourcePlante & Cité Collection : Collection & Date de parution2024 Thème(s) : Gestion de l'eau et arrosage ; Comportement des végétaux et adaptation des pratiques Mots-clés : eau ; changement climatique ; adaptation ; secheresse ; inondation ; nature en ville ; ilot de fraicheur Langue :Français N°, Vol., Pages.68 p. Collation : Réf. bibliogr. ; Photogr. ; Enc. ; Fig. Objectifs : Décrire la diversité des enjeux soulevés par l’eau pour le devenir de la nature en ville Présenter des éléments fondamentaux sur la connaissance des dynamiques hydriques en milieu urbain Explorer les différentes fonctionnalités des îlots de fraîcheur pour infiltrer, stocker et réduire les besoins en eau S’intéresser aux solutions pour préserver et restaurer les milieux humides. Descriptifs : Si le changement climatique perturbe les cycles de l’eau, il montre également la vulnérabilité des milieux urbains face aux risques (inondations, sécheresse). Or, l’eau et la nature en ville sont des ressources déterminantes pour notre futur. Comment rendre les villes plus résilientes ? Comment s’appuyer sur les solutions fondées sur la nature pour concilier gestion des risques et restauration de la biodiversité ? Cette publication fait le point sur les connaissances et les moyens d’action pour aider élus et professionnels à mieux connaître, préserver et gérer l’eau avec la nature en ville. De la recherche au terrain, en passant par la science-fiction, l’introduction décrit la diversité des enjeux soulevés par l’eau pour le devenir de la nature en ville. La première partie présente des éléments fondamentaux sur la connaissance des dynamiques hydriques en milieu urbain. Physiologie végétale, cycle de l’eau, pollution phytosanitaire ou indicateurs de stress et de suivi des plantations d’arbres, la diversité des sujets permet de comprendre les multiples facettes de la ressource, de la plus petite à la plus grande échelle, pour mieux la préserver. S’il est nécessaire d’optimiser les pratiques d’arrosage, les îlots de fraîcheur que sont les espaces végétalisés restent consommateurs d’eau. Ils permettent également de mieux gérer les risques liés à cette ressource, et la deuxième partie explore les différentes fonctionnalités de ces espaces pour infiltrer, stocker et réduire les besoins en eau. Les solutions et les exemples sont nombreux : gestion intégrée des eaux pluviales, recours aux eaux non conventionnelles, revêtements perméables… La dernière partie s’intéresse aux solutions pour préserver et restaurer les milieux humides. Exemples à l’appui, elle montre les leviers mobilisables dans les documents d’urbanisme et la conciliation possible entre les enjeux de paysage, de biodiversité et de patrimoine. La publication s’achève sur une sélection de références bibliographiques pour aller plus loin sur les liens entre eau et nature en ville. Ressources Extrait de la publication n°10 pdf, 3 Mo Accéder Commander la publication papier (tarif non-adhérent : 35€ ; tarif adhérent : 20€) LIEN Accéder
La question paysagère est souvent mobilisée pour contester les projets éoliens. Laure Cormier souligne l'intérêt des projets attentifs à une vision plurielle du paysage et au quotidien des habitant·es des territoires d'installation. La France, avec l'Allemagne et le Royaume-Uni, par l'adoption du paquet « énergie-climat » de l'Union européenne (UE), est l'un des pays européens à avoir le plus augmenté sa production d'énergie éolienne entre 2009 et 2020 (Fond et Keller 2023). Cette trajectoire, félicitée par
À la Grande-Motte, Leclercq Associés requalifient les quais Tabarly et Pompidou. Pour palier aux importantes températures que l'omniprésence du béton, des espaces de voirie et de stationnement accroît, le projet renforce la trame végétale.
Villejuif a dévoilé les lauréats de son premier budget participatif dédié à la transition écologique. Au terme du vote des habitants, 32 projets sur 228 ont été retenus pour un montant total de 433 000 euros. Au programme : beaucoup de projets de plantations, notamment d’arbres fruitiers, végétalisation, potager… Et aussi : des frigos solidaires, plus de bancs, un poulailler, une objethèque. Détails.
Du « ZAN » ne restera-t-il qu’une « Trace », comprendre une « trajectoire de réduction de l'artificialisation concertée avec les élus » ? C’est en tout cas ce que souhaitent les sénateurs Guislain Cambier (Union Centriste - Nord) et Jean-Baptiste Blanc (Les Républicains - Vaucluse). Le texte qu’ils ont déposé le 7 novembre entend « renforcer l'acceptabilité et la soutenabilité d'une stratégie nationale de sobriété foncière pérenne ».
NR_1016_web Taille: 801 KB L'Institut Paris Region énergie novembre 2024 Dans un contexte d’accélération du développement des énergies renouvelables, les centrales solaires au sol connaissent une expansion significative, contribuant ainsi à la massification de la production d’électricité renouvelable. En complément du déploiement de panneaux photovoltaïques sur les toitures des bâtiments et les ombrières de parkings, de nouvelles centrales, de plus grande capacité, émergent progressivement. À l’automne 2024, on en dénombre une dizaine en Île-de-France, totalisant près de 130 MWc (mégawatts-crête), l’équivalent de la consommation électrique résidentielle de 73 000 personnes. Avec une vingtaine de centrales supplémentaires en projet, recensées par l’Institut, la puissance cumulée devrait atteindre environ 378 MWc, soit un triplement de la capacité actuelle. Année de parution : 2024 consulter en ligne Partager sur : Facebook Twitter Linkedin
L'Institut Paris Region Aménagement du territoire novembre 2024 La Région Île-de-France a adopté son Schéma directeur régional environnemental (SDRIF-E) le 11 septembre dernier, une étape clé pour l’aménagement de la région à l’horizon 2040. Ce document stratégique porte deux principes fondamentaux : la sobriété, notamment foncière, et l’organisation du territoire régional autour de 144 polarités. Il traduit une baisse ambitieuse de consommation/artificialisation des sols en vue de l’objectif zéro artificialisation nette à 2050. Il dessine une Île-de-France aux espaces agricoles, naturels et forestiers protégés et redonne sa place à la nature en ville pour renforcer la qualité de vie, préserver la biodiversité et adapter l’espace aux effets du changement climatique. Il promeut de nouveaux équilibres territoriaux et structure le développement autour de 144 polarités qui offriront aux Franciliens un cadre de vie de plus grande proximité. Il s’agit de concrétiser la région des « 20 mn » dans laquelle chaque Francilien aura un accès à toutes les fonctions de la ville à 20 minutes de chez lui : éducation, santé, culture, commerces, services, sports, espaces verts. Une organisation qui favorise le recours aux modes doux de déplacement et qui implique de mieux répartir l’emploi. La volonté de construire 70 000 logements par an, dont deux-tiers de logements abordables, notamment dans ces polarités et dans les communes les mieux desservies par les transports collectifs, et de réindustrialiser la région sont autant de leviers pour asseoir ces nouveaux équilibres territoriaux. Par ailleurs, la Région prévoit le foncier nécessaire au développement des énergies renouvelables et de récupération et aux installations d’économie circulaire pour favoriser la décarbonation et un usage plus vertueux des ressources. Une dernière étape reste nécessaire avant son entrée en vigueur : l’avis du Conseil d’État et une approbation par décret qui devraient intervenir début 2025. Année de parution : 2024 consulter en ligne Partager sur : Facebook Twitter Linkedin
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