Chaleur record pour un mois de mai hier à Toulouse, Albi, Montélimar / Faudra-t-il fuir les villes pour échapper aux prochaines canicules ?
"La journée de mercredi 18 mai a été frappée par un mercure exceptionnellement élevé sur l’ensemble de l’Hexagone. 32° à Lyon, 33,4° à Toulouse, 30° à Paris : le printemps 2022 est en lice pour être l’un des plus chaud jamais connus à cause d’un dôme de chaleur persistant. Depuis plusieurs années, les épisodes de sécheresses et de canicules spectaculaires ne cessent d’augmenter, tant en fréquence qu’en intensité, à cause du réchauffement climatique. Ce phénomène est davantage prononcé dans les métropoles où l’air est accumulé au sein “d'îlots de chaleur urbains” créés par la concentration des activités humaines. Faudra-t-il fuir les villes pour échapper aux prochaines canicules ? On en parle avec nos invités."
Les invités :
Christine Leconte, présidente du Conseil national de l'Ordre des architectes
Olivier Razemon, journaliste
Guillaume Faburel, Professeur d'Etudes urbaines
Via CAUE d'Alsace