Des chercheurs ont réalisé une étude afin de comprendre l’utilité et l’efficacité du réseau social numérique Twitter dans le processus d’aide et de soutien pour
Le Cercle des Décideurs Numérique & Santé publie la 3ème édition de son indice de confiance de la e-Santé en France en partenariat avec Care Insight, Laumacom, DSIH et Ticsante.com. Découverte des principaux résultats.
Ce baromètre qui offre une vision à 360° de la e-santé porte sur 6 indicateurs : infrastructures, production et coordination des soins, télémédecine, e-santé à domicile, médias sociaux en santé, création de valeur économique & industrielle. L’indice de confiance numérique & santé est réalisé sur la base d’un sondage auto-administré sur le web, auprès d’un panel d’acteurs de santé et d’experts de la e-santé.
Après une timide hausse de l’Indice de confiance numérique & santé en 2013 par rapport à l’année 2012, la nouvelle édition de ce baromètre dessine un paysage morose voire déprimé de la e-santé en France. “Le plus frappant dans cette tendance globale à la baisse, c’est la disparité de vision entre les différents acteurs” souligne Sandrine Degos, Fondatrice du Cercle des Décideurs Numérique & Santé et Présidente de Care Insight.
On observe des divergences de vision entre les acteurs puisque les représentants des collectivités territoriales et les élus font preuve d’un bel optimisme (leur niveau de confiance à 5 ans augmentant de 12 % entre 2013 et 2014), tandis que la confiance des professionnels de santé s’enfonce de 10 % (20 points d’écart entre ces deux familles d’acteurs).
Quelques tendances se dégagent de cet indice :
La confidentialité des données, un enjeu majeur : perte de confiance sous l’effet des différentes annonces médiatiques des acteurs internationaux du net, les fameux “GAFA” (Google, Amazon, Facebook et Apple), du flop actuel de l’open data en santé ou de l’absence de communication lisible des autorités et institutions en ce domaineConfiance en la télémédecine : la téléconsultation ou la téléexpertise sont plébiscitées. La généralisation passera par la rémunération des actes de télémédecine (attente de l’article 36 du Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2014).L’avenir de l’e-santé est au domicile des Français : confiance en hausse avec l’arrivée de nombreux objets connectés (auto-tensiomètres, balances, glucomètres connectés, détecteurs de chute, piluliers, …), de dispositifs médicaux communicants ou des gérontechnologies.
Découvrez les principaux résultats en infographie :
Uwe DIEGEL est titulaire de plusieurs brevets relatifs au diagnostic médical et est considéré comme un spécialiste dans la gestion des maladies chroniques. Après des études musicales, il a joué dans le monde entier en tant que pianiste de concert pendant plusieurs années. En 1992, il est entré dans le monde du diagnostic médical pour pouvoir assurer une meilleure gestion des patients. iHealth est aujourd'hui le leader mondial dans le domaine de la Santé Connectée. Entretien avec Lionel Buannic...
Le monde de la e-santé : Pour en savoir plus sur la transformation du secteur de la santé vers la e-santé
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« Montrer ses oreilles va devenir branché…euh, je voulais dire connecté ! Une appli pour accéder à plus de 800 applications santé en France : GPM e-Santé
Le groupe Pasteur Mutualité lance » GPM e-Santé « , réalisé en partenariat avec DMD Santé.
Grâce à cette application, c’est une sélection de plus de 800 applications dans le domaine de la santé en France, qui sont proposées.
En premier lieu destinée aux professionnels de santé, le grand public peut également utiliser cette application développée sous iOS et Android pour Windows Mobile, qui est totalement gratuite.
A l’image du site http://www.dmdpost.com/, l’application propose les applications e-santé qui sont classées par spécialités, professions et pathologies.
Rappelons que toutes les applications recensées ont été testées et évaluées de façon collaborative par un collège médical. Une sélection mensuelle des nouveautés permet aux professionnels de santé d’avoir une vision actualisée des applications disponibles.
Une évolution est prévue concernant une sélection des objets connectés du marché.
Innovation: Une machine pour analyser votre état de santé grâce à votre haleine. Et si on pouvait identifier des maladies grâce à un testeur d'haleine?
FeetMe est une semelle orthopédique connectée qui mesure à l’aide de plusieurs capteurs intégrés la baisse de sensibilité au niveau du pied – signe d’une neuropathie débutante chez les patients diabétiques.
FeetMe, une semelle connectée à l’attention des diabétiques.
Créée en 2013 par deux polytechniciens, Alexis Mathieu et Julien Mercier, FeetMe est une start-up innovante qui développe un dispositif médical pour aider dans la prise en charge des patients atteints de neuropathies diabétiques.
Dotées de plusieurs capteurs de pression, la semelle est capable d’analyser en temps réel les forces appliquées sur la plante du pied. Le patient pourra suivre directement depuis son smartphone les différents points de pression au niveau de son pied. Utile pour la prévention du risque d’ulcère causée par la neuropathie diabétique.
Les médias parlent de plus en plus fréquemment de santé mobile et connectée. Mais quel usage font réellement les patients et plus particulièrement des malades atteints de pathologies chroniques des applications mobiles de santé ?
En parlent-ils avec leur médecin ?Conseillent-ils ces applications à d’autres personnes ?Ont-ils confiance ?Ces applications ou objets connectés répondent-ils à leurs besoins ?
Afin de répondre à cette question, nous vous proposons de répondre à un sondage national accessible directement en ligne :
Favoriser l’observance, simple comme le jeu « Candy Crush » ? 31/01/2015 8EnlargeCrédit photo : DR
Et si, pour lutter contre l’inobservance, il fallait jouer sur le ressort ludique ? Pour aider les patients à suivre correctement leur traitement, on a essayé la pédagogie, les incitations financières, les amendes... En vain : une récente enquête du groupe IMS Health révélait que pour 6 maladies chroniques étudiées, le taux d’observance globale était de l’ordre de 40 %.
Face à une telle situation, le temps est peut-être venu de donner leur chance à des solutions innovantes. Aux États-Unis, par exemple, des applications pour smartphone de type « Candy Crush » font gagner aux patients des prix s’ils prennent correctement leurs anti-hypertenseurs ou leurs statines.
Mango Health, start-up basée à San Francisco et fondée par d’anciens professionnels du jeu sur téléphone mobile, est l’un des pionniers dans le domaine. Elle propose une application au design tout en fruits et légumes, comme dans le populaire « Fruit Ninja ».
En prenant ses médicaments conformément aux recommandations, le patient accumule des points pour gagner des bons de réduction chez des commerçants partenaires. Il peut aussi savoir comment ses amis se débrouillent dans le jeu, recevoir des alertes pour ne rien oublier, être averti en cas d’interactions médicamenteuses dangereuses…
Le tout est gratuit pour l’utilisateur. Mango Health est financé par les prestataires de soins et les assureurs, qui estiment qu’ils pourront bénéficier des économies générées par une meilleure adhérence aux traitements.
À quand le premier « Angry Birds » sanitaire français ?
Alors, ce qui est possible aux États-Unis l’est-il en France ? « En Europe, en matière d’observance, on a beaucoup de progrès à faire sur la "gamification" », explique au « Quotidien » Benhamin Sarda, directeur marketing d’Orange Healthcare. Ce cadre du géant français des télécommunications indique que des projets existent pour aider les patients à suivre leur traitement, mais qu’il s’agit surtout d’outils pédagogiques.
Quand des incitations financières sont en jeu, ce sont souvent des incitations négatives. C’est par exemple le cas de la fameuse télésurveillance des malades souffrant d’apnée du sommeil, qui visait à dérembourser l’appareil de pression positive continue des patients qui ne l’utilisaient pas correctement.
Il y a donc de la place pour des applications de type « Mango Health » en France. Mais attention, avertit Benhamin Sarda, il ne faut pas s’attendre à ce que les jeux pour smartphone permettent de solutionner tous les problèmes d’inobservance. Ce qu’il appelle la « gamification » doit donc d’après lui être un élément d’une stratégie plus large.
Ce qui ne l’empêche pas de penser qu’il est nécessaire de développer ce genre d’outil en Europe. Dans ce cas, Orange Healthcare doit s’attendre à subir la concurrence américaine. Jason Oberfest, le directeur de Mango Health, a en effet confié au « Quotidien » son intention de s’implanter prochainement sur le Vieux Continent.
Ludicalm, le jouet digital pour apaiser les patients et les soignants, proposé par Ludicalmant Votre Une innovation eSanté au service pédiatrique du Centre Hospitalier d’Alés, Cévennes (CHAC)
Sylvie Marie Brunet fondatrice de "Ludicalmant votre" présente dans un communiqué de presse Ludicalm
Transfusion, infiltration, perfusion, simple piqûre... quand ça pique, ça fait mal et on appréhende. Que dire des soins répétitifs et douloureux chez les enfants hospitalisés ?
S’ajoutant au stress de la vie hospitalière, les soignants affrontent chaque jour l’appréhension de leurs patients petits et grands. Comment prévenir cette anxiété,instituer la confiance d’emblée ? Comment gérer soi-même cette tension ?Si la technologie assiste les soignants dans leur quotidien, pour confirmer un diagnostic ou simplifier un geste médical, il n'existe aucun support technologique pour aider dans la prise en charge psychologique du patient. Ludicalm vient combler cette lacune : un jouet digital de réalité augmentée pour distraire et apaiser les jeunes patients, lors d’un soin de santé court comme une prise de sang, un changement de pansement douloureux... Premier hôpital certifié Haute Qualité Environnementale, le CHAC œuvre au respect de l’environnement mais aussi au bien- être des personnes.C’est à ce titre que le service de pédiatrie vient d’introduire début mai, la luciole Ludicalm, en tant que support de soin pour améliorer la prise en charge de l'anxiété et la douleur de l'enfant
En combinant son expertise en communication digitale et en thérapies brèves, l’inventeur de Ludicalm, Sylvie Marie Brunet a eu l’idée de rapprocher deux mondes que rien, à priori, n’appelait à se rencontrer, dans un but thérapeutique.L’idée est de tirer partie des principes de l’immersion en Réalité Augmentée pour favoriser une qualité de présence, essentielle dans la médiation thérapeutique et transformer le soin en une expérience ludique et calmante pour le patient comme pour le soignant « L’immersion c’est un peu comme plonger dans un conte, on se sent immédiatement bien et calme »Ludicalm fonctionne sur les tablettes tactiles et les smartphonesLe projet "Ludicalm" sera présenté au jury des Trophées de la e-santé à Castres.Pour télécharger l’application il suffit d’en faire la demande sur le site Ludicalmantvotre.fr, onglet Application Ludicalm Pour en savoir plus sur Ludicalm et la ludothérapie http://ludicalmantvotre.fr/ Contact : Sylvie Marie Brunet : sylvie. brunet@ludicalmantvotre.fr Pour télécharger le communiqué de presse, cliquer ici
A l'occasion du Colloque TIC Santé 2013, Sylvie Marie Brunet avait présenté avec le Professeur Rolland Jouvent Psychiatre, Directeur du Centre Emotion du CNRS à l’Hopital Pitié Salpêtrière une communication sur le thème * Thérapie virtuelle et jouets détournés : une réalité pas si virtuelle au service de la relation thérapeutes et patients.
Guillaume Renouard 27/02/15 : "Mis au point par une équipe de chercheurs américains et britanniques, un algorithme qui sonde l’activité cérébrale pourrait donner un coup de pouce à la recherche médicale. En analysant une IRM fonctionnelle faite peu de temps après la prise, il permet de déterminer si une personne a ingéré un véritable analgésique ou un simple placebo. Rappelons qu’un placebo est un médicament neutre, ne contenant aucun composant actif destiné à combattre une maladie, mais susceptible, par un mécanisme neurologique, d’avoir malgré tout une certaine efficacité sur le patient, lorsque celui-ci croit avoir pris un vrai médicament...
L’effet placebo n’est pas seulement véhiculé par les médicaments. Quand un parent pose un baiser sur le bobo d’un enfant et que le bambin cesse de pleurer, ce n’est pas la magie du baiser qui l’a soulagé, mais juste l’effet placebo....
Un homme apprend qu’il souffre d’un cancer du foie en phase terminale et qu’il ne lui reste plus que quelques mois à vivre. L’homme meurt effectivement quelques semaines plus tard et pourtant les résultats de l’autopsie révèlent que les médecins s’étaient trompés : la tumeur était en réalité minuscule et il n’y avait aucune trace de métastases. « Il n’est pas mort du cancer, il est mort parce qu’il croyait qu’il était en train de mourir du cancer » Quand tout le monde vous traite comme un mourant, vous finissez par croire que vous êtes mourant. Tout votre être est convaincu qu’il va mourir.
Via ce blog « Le monde de la e-santé », accédez à mon mapping comportant à ce jour 400 références digitales concernant la e-santé. C’est un outil incontournable pour découvrir les sites web, applications mobiles, serious games, sites communautaires, web TV… réalisés par les divers acteurs de la santé au profit des professionnels de santé…
Le Comité d’études, d’éducation et de soins auprès des personnes polyhandicapées (Cesap) est en train de mettre en place un dispositif d’e-santé dans le cadre de la prise en charge des enfants polyhandicapés. Les infirmières sont au coeur de ce dispositif, au niveau du repérage des besoins et des téléconsultations.
A la suite d’un appel à projet de l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France, le Cesap a été retenu comme pilote de l’expérimentation de télémédecine dans le champ du polyhandicap.
Il s’agit d’une démarche innovante sur trois ans, de téléconsultation et de télé-expertise médicale autour des enfants et adolescents polyhandicapés (déficiente mentale, handicap moteur et mobilité réduite), réalisée sur onze sites en IDF.
« Ce projet se met en place avec deux hôpitaux, Necker et Trousseau », a fait savoir Monique Bredillot, cadre de santé et chef de projet polyhandicap télémédecine au Cesap, lors du Salon infirmier 2014.
Ces enfants, en raison de leurs handicaps, sont suivis par des neuropédiatres ou devraient l’être. Le pivot du projet est donc l’Assistance publique-hôpitaux de Paris.
La consultation
La téléconsultation va être réalisée pour répondre à un questionnement que le médecin du centre ne parvient pas résoudre.
« Il faut que cela soit appuyé par des examens qui montrent que la situation médicale de l’enfant a changé », rapporte Monique Bredillot. Il appartient à l’infirmier de repérer les enfants ayant besoin d’une téléconsultation avec le neuropédiatre, et ensuite aux parents de fixer le rendez-vous pour la téléconsultation.
« Nous sommes en train de construire un calendrier partagé sur une plateforme sécurisée afin que chacun note ses disponibilités », explique-t-elle. Les premiers rendez-vous devraient avoir lieu en décembre.
Après avoir obtenu le consentement de l’enfant, lui, sa famille, la personne qui vit au quotidien avec lui, le médecin et l’infirmière vont alors se retrouver en téléconsultation avec un neuropédiatre de l’AP-HP qui aura auparavant reçu l’enfant au moins une fois en consultation.
Un questionnaire, rédigé par le médecin ou l’infirmière du centre, a également été créé pour éviter d’avoir à transférer l’ensemble du dossier médical à l’hôpital. Et pour réaliser les visio-conférences, des salles au sein des différentes structures d’accueil des enfants, ont été aménagées avec des caméras.
Bénéfices
Les bénéfices attendus reposent sur la régularité du suivi de ces enfants et une moindre hospitalisation en urgence car beaucoup d’enfants décompensent.
Ce dispositif va améliorer les interactions entre l’établissement médico-social, les équipes proches des enfants et l’hôpital, et diminuer les déplacements.
« Les enfants polyhandicapés font souvent des crises d’épilepsies, d’où l’intérêt de ne pas les transporter dans des ambulances car ils convulsent », explique la chef de projet. Et d’ajouter : « En termes de démocratie sanitaire, ce dispositif va offrir un meilleur accès aux soins à ces enfants qui sont fragiles et peu mobilisables. »
Il va également permettre une montée en compétences du personnel car les infirmiers vont participer aux réunions avec les médecins. L’ARS prévoit une évaluation du projet par des experts.
Encyqlo : moteur de recherche pour notices de médicament
21 novembre 2014 — rteston
Une nouvelle plateforme web permettant de rechercher les notices de médicaments a été lancée il y a quelques semaines : Encyqlo. Présentation.
Partant du constat que l’information dispensée par les notices de médicaments est certes très complète, mais « obstruée par une mise en page monotone, des formulations opaques ou tout simplement difficile à trouver« , une jeune start up a lancé une plateforme permettant de les rechercher et de les consulter en ligne : Encuqlo.com.
Cette plateforme organise les informations des notices pour aider l’internaute à les trouver en quelques clics et à les lire facilement. Le contenu des notices est entièrement issu des sites officiels du ministère de la santé et de l’Agence Nationale de sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM).
Aujourd’hui, Encyqlo propose une centaine de notices parmi les médicaments les plus populaires en France. Les informations d’une notice sont présentées via différentes entrées dans le moteur de recherche : Quand Prendre ? Comment Prendre ? Effets Indésirables Possibles.
Les Google Glass sont déjà utilisées dans le milieu professionnel, et notamment dans le cadre de la médecine et de la santé, où ses fonctionnalités pr...
Google a annoncé il y a quelques semaines un projet de diagnostic révolutionnaire grâce à des nanoparticules. Vous sentez-vous prêts pour une telle révolution médicale ?
Un ancien de Zynga veut "gamifier" la santé pour sensibiliser à l'obésité, aux dangers du tabac...
David Ko, anciennement en charge du mobile chez le développeur californien de jeux sociaux Zynga (éditeur de Farmville notamment), a rejoint la start-up Rally Health. Son but : sensibiliser la population aux problématiques de santé public par le jeu.
Des sommes faramineuses sont dépensées chaque année dans le domaine de la santé, particulièrement aux États-Unis, où l'obésité et le diabète sont des fléaux. Rally Health, une start-up basée à San Francisco, vient de lancer une plate-forme de santé digitale "gamifiant" la santé pour répondre à ces problèmes, rapporte le site spécialisé Recode. David Ko, ancien responsable du mobile chez Zynga, a rejoint la start-up en tant que président et responsable des opérations.
Distribuée à travers les employeurs et les plans de couverture santé proposés par les assureurs, Rally Health tente de changer les comportements des utilisateurs grâce à un système de points, similaire à celui des compagnies aériennes ou des cartes de crédit américaines. Par exemple, les utilisateurs sont incités à faire de l'exercice trois fois par semaine ou à arrêter de fumer.
Une plate-forme nourrie par les données et fondée sur la personnalisation
Les utilisateurs commencent par répondre à un questionnaire qui prend en compte leurs habitudes alimentaires, sportives, leur consommation de tabac ou d'alcool. Selon le score obtenu, Rally Health propose des activités intitulés "missions". Quand elles ont été effectuées, les résultats sont enregistrés manuellement par l'utilisateur sur le tableau de bord ou automatiquement compilés via les wearables qu'ils utilisent. A la clé, des points, qui permettent de participer à une loterie pour obtenir des avantages comme des cartes cadeaux, de l'électronique, etc. Ces prix sont distribués directement par la start-up, par les employeurs, ou par les compagnies d'assurance.
En plus de son système de points, Rally Health a ajouté une couche sociale à son application. Les utilisateurs peuvent interagir entre eux anonymement via des forums, ou bien se mesurer les uns aux autres lors de compétitions. Le service fournit aussi des séances de coaching par téléphone ou par e-mail, menés par des spécialistes. Pour l'instant, les outils de Rally Health ne sont disponibles que sur ordinateur et depuis un site mobile. Les applications mobiles sont en cours de création.
Rally Health mise sur les partenariats
La compagnie d'assurance UnitedHealth est le principal soutien financier de la start-up. Rally Health affirme dans un communiqué que "5 millions de gens ont accès à la plate-forme", grâce à ses partenaires. Il n'est pas précisé combien d'entre eux utilisent activement ses services. Rally Health a aussi annoncé un partenariat avec une autre compagnie d'assurance, Health Alliance. Le but est de s'allier avec un maximum d'organisations qui ont intérêt à offrir des solutions de santé innovantes à leurs employés. Grâce à ces partenariats, la start-up espère atteindre 350 millions d'utilisateurs, selon le San Francisco Chronicle.
Rally Health compte environ 200 employés, répartis entre San Francisco, Chicago et Washington. "Le but de l'entreprise est de mettre la santé entre les mains du consommateur. Nous nous sommes concentrés sur ce but via la création d'une plate-forme nourrie par les données des utilisateurs afin de créer un engagement toujours plus fort," explique David Ko.
Le laboratoire Sanofi lance une nouvelle application ludique et éducative pour les patients dialysés : Mission Phosphore. Découverte.
Pour permettre au patient dialysés de s’informer sur l’insuffisance rénale chronique et sur leur prise en charge thérapeutique et diététique, le laboratoire Sanofi met à disposition l’application mobile Mission Phosphore.
Cette application, développée à partir de besoins exprimés par les patients et professionnels de santé, se présente sous la forme d’un jeu éducatif qui offre au patient la possibilité de mieux comprendre l’utilité des traitements auxquels il est soumis, tout en lui apprenant à faire des choix diététiques en rapport avec sa santé.
Mission Phosphore® se présente comme un serious game où le joueur doit éliminer le maximum d’icônes de phosphore en excès avant leur absorption par l’intestin. Pour un bon équilibre alimentaire, il faut également assimiler les protéines, les lipides et les sucres en les associant par groupe d’au moins trois billes de même couleur. Après chaque session, un quiz permet d’accumuler des points bonus. Le rythme du jeu s’accélère à chaque passage à un niveau supérieur (16 au total), chacun étant associé à différents repas.
Organisée par la Société Française de Carcinologie Cervico-Faciale (SFCCF) en partenariat avec Merck Serono, la semaine « Prendre le cancer à la gorge » avait pour objectif de sensibiliser le grand public et les médecins généralistes aux cancers de la sphère ORL et à leurs symptômes.
Les cancers des voies aéro-digestives supérieures (VADS) se situent au 5ème rang des cancers les plus fréquents derrière les tumeurs de la prostate, du poumon, du sein, et du côlon/rectum. Si leur incidence a diminué au cours des trois dernières décennies, sous l’impulsion de politiques de prévention en matière de tabac et d’alcool, 15 000 personnes sont touchées chaque année en France et 5 000 personnes en meurent encore.
« Les cancers des VADS sont peu connus du grand public car certains patients présentent des symptômes depuis plus de 3 semaines, voire plusieurs mois et ne consultent pas », explique le Professeur Beatrix Barry, Chef de service de chirurgie carcinologie ORL de l’hôpital Bichat, à Paris et Présidente de la Société Française de Carcinologie Cervico-Faciale (SFCCF).
Une Web TV au coeur du dispositif
Dans le cadre de cette campagne, relayée dans 70 centres hospitaliers et cliniques de France, une Web TV a été lancée par Merck Serono : www.webtv-cancerorl.fr pour sensibiliser le grand public. Celle-ci propose des interviews de professionnels de santé et des témoignages de patients.
Ma Voix : application pour faciliter la communication des patients ayant des difficultés à parler
Au sein du dispositif digital mis en place par Merck Serono, l’application mobile Ma voix a été conçue pour aider ceux qui ont des difficultés ou l’impossibilité de parler. Développée avec des patients et professionnels de santé, cette application permet de répondre aux besoins de ces personnes dans les situations ou détails de la vie courante.
Elle permet à ceux qui se retrouvent sans voix de demander ce qu’ils veulent, d’exprimer leurs émotions à l’aide de différentes fonctionnalités :
plus de 130 icônes associées chacune à un nom et une phrase pré- enregistrée ( sélectionnable par l’utilisateur masculin ou féminin de la voix ) une catégorie » douleur « , utile en cas de douleur , pour décrire l’intensité, le type et la zone du corps dans laquelle elle se produit possibilité d’ajouter de nouvelles icônes personnalisées avec des images et des phrases ou d’ utiliser l’appareil comme une feuille de papier à dessin avec un doigt une fonction » écrire et écouter » qui permet de saisir du texte et le faire jouer dans un synthétiseur de voix une fonction » amplificateur » permet d’enregistrer des messages et de les lire à un volume plus élevé
L'effet placebo existe à tous les âges de la vie, même chez les nourrissons, et on ne note pas de différence sensible selon les sexes. Mais il apparaît plus ou moins efficace selon la nature du patient et du rapport avec son médecin, et selon les maladies. La douleur et les troubles à dimension psychologique comme l'anxiété, l'insomnie, les allergies, les troubles gastro-intestinaux mais aussi les allergies sont naturellement plus concernés...
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