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Bernadette Cassel
December 13, 2018 1:52 AM
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Les scientifiques et universitaires venus de partout ont rendu un vibrant hommage à ces grandes chercheuses lors de cette cérémonie de distinction Publié le 07.12.2018 "... Leurs travaux de recherche portent, entre autres, sur les « nouvelles approches du traitement de la tuberculose ; la construction de système de résilience au climat pour les petits producteurs de café ; l’étude pour la préservation des colonies d’abeilles ou encore comment mieux comprendre la relation chimique entre moustiques et êtres humains »." (...) ___________________________________________________________________
SUR LE MÊME SUJET : → Début des activités de la 9e édition du programme L'Oréal-Unesco For Women In Science | Financial Afrik, 04.12.2018 https://www.financialafrik.com/2018/12/04/debut-des-activites-de-la-9eme-edition-du-programme-loreal-unesco-for-women-in-science/ → Kenya : 9e édition de «Women in Science» - RFI, 07.12.2018 http://www.rfi.fr/afrique/20181207-women-in-science-kenya-14-boursieres-selectionnees "Donner plus de visibilité aux femmes scientifiques africaines, c’était le but jeudi soir de la 9e édition de « Women in Science ». Cette cérémonie organisée par la fondation L’Oréal-Unesco à Nairobi, au Kenya, accorde des fonds et des formations à des scientifiques méritantes. Quatorze boursières, doctorantes et post-doctorantes venues d’Afrique du Sud, du Ghana, de l’île Maurice, du Kenya et du Nigeria, ont été sélectionnées parmi plus de 430 candidates."
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Bernadette Cassel
June 22, 2018 5:37 AM
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Mademoiselle Germaine Cousin, spécialiste des Grillons au sein de l’ancien Laboratoire d’Entomologie générale et appliquée du Muséum, a légué par testament en 1993 à la Société entomologique de France, une somme destinée à attribuer des bourses et des prix à des chercheurs amateurs ou professionnels, en entomologie pure ou appliquée.
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Bernadette Cassel
April 8, 2018 12:05 PM
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Une étude s’est intéressée à la visibilité des femmes lors de la conférence annuelle de la Society for Molecular Biology and Evolution (SMBE), une des principales conférences internationales en biologie évolutive, et a constaté une augmentation annuelle du nombre de présentations orales données par des femmes depuis 2001. Cependant ces dernières posent nettement moins de questions aux orateurs et oratrices que les hommes. Cette étude, publiée dans la revue Genome Biology and Evolution, appelle à réfléchir à ces différences de comportement ainsi qu’à de nouvelles mesures pour accroitre la visibilité des femmes. CNRS - Sciences biologiques - Parutions
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Bernadette Cassel
January 17, 2018 12:51 PM
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Une équipe de l’université d’Uppsala, en Suède, dont les travaux sont publiés dans Science Advances, a constaté que le genre de l’expérimentateur (homme ou femme) pèserait sur le comportement des cobayes humains dans les études, rapporte Le Monde dans son édition Science et Médecine. Le neuroscientifique Colin Chapman, qui a analysé la littérature sur le sujet, souligne l’effet booster provoqué par le sexe opposé. Le journal explique que « la présence du sexe opposé dope (…) les résultats aux tests d’apprentissage, aux épreuves physiques ou encore aux évaluations de la douleur ressentie ». Colin Chapman et ses collègues recommandent une prise en compte du phénomène à tous les niveaux de la chaîne scientifique, du laboratoire à la revue, en passant par les agences de financement. Le Monde, édition Science et Médecine (abonnés), 17/01 Au laboratoire, une femme n’est pas un homme https://www.lemonde.fr/sciences/article/2018/01/17/au-laboratoire-une-femme-n-est-pas-un-homme_5242762_1650684.html
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Bernadette Cassel
January 28, 2017 5:54 AM
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Jory Lerback and Brooks Hanson present an analysis that reveals evidence of gender bias in peer review for scholarly publications. ___________________________________________________________________ [via] Sélection scientifique de la semaine (numéro 256) | Passeur de sciences, 27.01.2017 http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2017/01/27/selection-scientifique-de-la-semaine-numero-256/ "Nouveau biais sexiste dans la science : les femmes sont moins souvent invitées que les hommes à faire du peer review, c’est-à-dire à relire les travaux de leurs collègues. (en anglais)"
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Bernadette Cassel
December 11, 2016 5:36 PM
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Isabelle Olivieri nous a quittés ce samedi 10 décembre à 4h. Elle s’est éteinte tranquillement après avoir lutté avec un courage admirable contre le cancer mais aussi contre ce syndrome paranéoplasique qui l’a lourdement handicapée au cours des dernières années. Isabelle aurait eu 60 ans en mars 2017. Entrée à l’INAPG (AgroParisTech) en 1977, elle s’est spécialisée en zoologie puis s’est orientée vers la génétique évolutive. Elle a passé une thèse sur la biologie des populations de chardons méditerranéens. Ces plantes étaient invasives en Australie et un des buts du CSIRO où elle était basée à Montpellier était de trouver des insectes permettant de les contrôler. Elle ne reviendra que beaucoup plus tard sur ces questions de relations entre plantes et insectes. (...) Par Pierre-Henri Gouyon, Agnès Mignot, Ophélie Ronce & Myriam Valéro. Blog : Science & Conscience. Le Club de Mediapart, 11.12.2016
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Bernadette Cassel
September 30, 2016 1:59 PM
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Anaïs Orsi développe une nouvelle technique pour reconstituer l’histoire du climat. Objectif : mieux prévoir l’ampleur du changement climatique et la variabilité des températures en particulier. Son terrain d’expérimentation favori : le continent Antarctique et les régions polaires en général. « Là où les variations climatiques naturelles sont les plus significatives ».
« Avant d’utiliser la spectrométrie laser, le LSCE a été pionnier dans la spectrométrie de masse pour étudier les isotopes de l’eau, rappelle la chercheuse de l’Université Paris-Saclay. Mon travail consiste à apporter une méthode complémentaire basée sur l’étude de gaz rares (inertes) que sont l’argon et le krypton présents dans la glace polaire ». L’approche est unique en Europe.
(...) Anaïs Orsi (LSCE), lauréate de la Bourse L’Oréal-Unesco « Pour les femmes et la science ». Université Paris Saclay, 13.11.2015
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Bernadette Cassel
July 17, 2016 5:59 PM
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Les travaux de cette généticienne américaine, née le 7 juillet 1861 à Cavendish, dans le Vermont, ont permis de découvrir que le sexe de chaque individu était déterminé par la présence ou l'absence du chromosome Y. Par Lise Loumé, Sciences et Avenir, 07.07.2016 "... en s'intéressant de près à un coléoptère du genre Tenebrio, elle découvre que les mâles ont des cellules reproductrices avec deux chromosomes, X et Y, alors que celles des femelles ne possèdent que le X." (...)
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Bernadette Cassel
January 4, 2016 5:06 AM
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Ses recherches ont contribué à la mise en évidence du cytosquelette d’actine des bactéries, une découverte qui a ouvert de nouveaux horizons de recherche. Aujourd’hui, toujours plus finement, Rut Carballido-Lopez et son équipe étudient les processus cellulaires qui ont lieu au niveau de la paroi bactérienne et leurs interactions avec les antibiotiques. Au-delà de ses travaux de recherche et de ses fonctions de manager d’un pôle scientifique, Rut Carbadillo-Lopez a œuvré au service de la formation de chercheurs en Asie du Sud-Est, dans le cadre d’un programme soutenu par l’UNESCO, et rejoint le programme « Women in Science » d’EMBO (European Molecular Biology Organization). Régulièrement récompensée pour la qualité de ses travaux, la jeune directrice de recherche reçoit avec ce prix une reconnaissance plus large, valorisant, au-delà de ses brillants résultats scientifiques, son investissement personnel pour promouvoir la place des femmes dans la recherche. INRA, 25.11.2015
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Bernadette Cassel
December 30, 2015 10:55 AM
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L’Asie et l’Océanie offrent de nombreuses opportunités aux étudiants à la recherche d’un premier emploi à l’international, ou qui souhaitent créer leur entreprise. De Shanghaï à Sydney en passant par Djakarta, ils racontent leur parcours, souvent guidé par l’intuition que les opportunités sont ailleurs.
« L’Indonésie offrira bientôt beaucoup d’opportunités »
A 27 ans, Mathilde Savatier est responsable du développement stratégique chez Sanofi Pasteur, la division vaccin du groupe Sanofi à Djakarta, en Indonésie. (...)
Propos recueillis par Béatrice Leproux et Françoise Marmouyet. Le Monde, 29.12.2015
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Bernadette Cassel
October 16, 2015 12:11 PM
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Les abeilles utilisées en apiculture appartiennent très majoritairement à l’espèce Apis mellifera qui possède aujourd'hui une répartition géographique mondiale. Cette large distribution témoigne d’une capacité d’adaptation à des situations écologiques différentes qui se traduit aussi par une variabilité génétique au sein de l’espèce. On parle alors de lignées et de sous-espèces. Une lignée correspond à un ensemble de sous-espèces ayant une histoire évolutive commune. L’espèce Apis mellifera se divise en quatre lignées génétiques caractérisées par une forte structuration géographique, fruit de plusieurs milliers d’années d’évolution :
la lignée A provient d’Afrique ; les lignées C et M proviennent d’Europe ; et la lignée O, provient d'Asie.
Présentes dans un grand nombre de pays exposés à des climats et à une flore variés, dessous-espèces sont apparues au sein de ces lignées, 28 ayant été répertoriées. On parle aussi de races géographiques. Elles résultent d’adaptations à leur environnement qui se traduisent par une morphologie, un comportement ou un cycle de développement variables d’une région à l’autre. Abeilles des îles de l’océan Indien, une diversité à préserver, par Jaëla Devakarne, agriculture-biodiversite-oi.org, 07/09/2015 « Dans l’océan Indien, seule la sous-espèce endémique A. mellifera unicolor avait déjà été caractérisée à Madagascar. Afin de mieux connaître l’ensemble des sous-espèces présentes dans les autres îles du SOOI, un état des lieux de la diversité génétique de l’abeille a été réalisé dans le cadre du projet ePRPV[1]. Lancée en 2012, cette étude a été menée par une doctorante, Maéva Techer sous le co-encadrement d’Hélène Delatte, chercheuse au Cirad de La Réunion (UMR PVBMT) et de Johanna Clemencet, maîtresse de conférences à l’Université de La Réunion (UMR PVBMT). Elle a nécessité un partenariat rapproché avec les acteurs scientifiques et gouvernementaux des îles de l’océan Indien. » [1] Élargissement et Pérennisation du Programme Régional de Protection des Végétaux
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Bernadette Cassel
October 11, 2015 6:44 AM
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L’histoire contemporaine de l’artémisinine commence dans les années 70 pendant la guerre du Vietnam, lorsque l’armée nord-vietnamienne a construit tout un réseau de souterrains. Comme ces tunnels récupèrent toute l’eau de pluie, les anophèles (un genre de moustique) transporteurs du paludisme s’y reproduisent dans l’eau stagnante. Le problème de santé a pris une telle ampleur que l’armée nord-vietnamienne perdra plus de soldats par le paludisme que par les armes.
Les Nord-Vietnamiens se sont alors tournés vers la Chine pour essayer de trouver une solution. Et c’est en 1972 que Youyou Tu et son équipe découvrent un médicament antipaludique de structure complètement nouvelle, l’artémisinine. Un de ces extraits provenant de la plante absinthe (Artemisia absinthium) s’est d’abord montré prometteur chez des souris. S’inspirant d’un document ancien, son équipe a peu à peu modifié le processus d’extraction de cette substance pour la rendre plus efficace avant d’isoler, au début des années 70, l’ingrédient actif de l’absinthe, à savoir l’artémisinine.
Aujourd’hui, l’artémisinine est devenu le traitement le plus efficace et le plus sûr contre le paludisme, et surtout un produit bon marché. Il faut rappeler que même si le paludisme est en forte régression sur la planète grâce à l’action du Fonds mondial, cette maladie touche encore près de 200 millions de personnes par an et en tue plus de 500 000, principalement des enfants africains.
Par Eric Favereau. Libération, 5 octobre 2015
[Image] Plants in the News, October 9 2015: Artemisia annua and coral bleaching | Plant Science Today http://blog.aspb.org/2015/10/09/plants-in-the-news-october-9-2015-artemisia-annua-and-coral-bleaching/
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Bernadette Cassel
from Variétés entomologiques
October 7, 2015 11:21 AM
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Lundi 5 octobre, la Chinoise Youyou Tu a remporté conjointement avec l'Irlandais William C. Campbell et le Japonais Satoshi Ōmura le prix Nobel de médecine 2015. Récompensée pour "ses découvertes concernant une nouvelle thérapie contre le paludisme", elle est la seulement la 12e femme à recevoir le Nobel de médecine depuis sa création en 1901.
Terrafemina, 06.10.2015
« [...] Après des années de recherche, et après avoir analysé plus de 380 extraits de plantes et 2 000 recettes de remèdes traditionnels, Youyou Tu finit par découvrir en 1972 les effets de l'Artemisia annua, une plante qui réduit le nombre de parasites dans le sang et fait significativement baisser la fièvre des personnes ayant contracté le paludisme.
Selon les chiffres de l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), le nombre d'infections au paludisme dans le monde est passé de 227 à 198 millions entre 2000 et 2013. Le nombre de décès a lui diminué de 882 000 à 584 000 sur la même période. Près de 80 % des cas et 90 % de la mortalité concernent les pays d'Afrique. Les autres cas se concentrent dans les régions d'Asie du Sud-Est et d'Asie Centrale (Inde), et plus faiblement en Amérique du Sud amazonienne.
Selon Médecins sans frontières (MSF), l'artésunate, dérivé de l'artémisinine, est en grande partie responsable de baisse du nombre de décès en cas de paludisme, réduisant la mortalité de 39% chez les adultes et de 24% chez les enfants. »
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Bernadette Cassel
October 2, 2018 5:53 PM
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Les prestigieux prix sont encore très majoritairement remis à des hommes, surtout dans les domaines scientifiques. Les femmes représentent 5 % des lauréats des prix Nobel, 02.10.2018 "... Non pas que les femmes n’aiment pas les prix Nobel : elles n’en ont jamais refusé, contrairement aux hommes (Jean-Paul Sartre en 1964 et Le Duc Tho en 1973). Mais les récompenses ne se sont pas ruées sur elles. Et quand il y a distinction, avec un prix, elle est souvent partagée et sert de prétexte à une diversité de façade." (...) [Image] Donna Strickland celèbre son prix Nobel de physique avec ses collègues et étudiants de l'université de Waterloo, dans l'Ontario, au Canada, le 2 octobre 2018 / AFP [via] Une femme Nobel de physique repousse le plafond de verre - La Croix, 03.10.2018 https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/femme-Nobel-physique-repousse-plafond-verre-2018-10-03-1300973372?from_univers=lacroix
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Bernadette Cassel
May 7, 2018 6:33 AM
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Les chercheurs ont collecté des données sur le genre des orateurs invités lors d’événements scientifiques et en ont interrogé les organisateurs. Il apparait que la proportion de femmes parmi les orateurs invités augmente avec la proportion de femmes parmi les organisateurs, et lorsque les organisateurs prennent en compte le genre des personnes qu’ils invitent. L’étude a été publiée le 21 avril 2018 dans la revue Evolution Letters. CNRS - Sciences biologiques - Parutions, 25.04.2018 Figure : La proportion de femmes parmi les orateurs invités est plus élevée lorsque les organisateurs ont tenu compte du genre des personnes invitées. La ligne tiretée correspond à la proportion estimée de femmes scientifiques en poste dans le domaine. © F. Débarre En savoir plus
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Bernadette Cassel
February 15, 2018 12:18 PM
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Une nouvelle étude a révélé que les pays ayant une plus grande égalité entre les sexes voient une plus faible proportion de femmes diplômées en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STEM). Les décideurs pourraient utiliser les résultats pour reconsidérer les initiatives visant à accroître la participation des femmes dans les STEM. Par Jacqueline Charpentier, 15.02.2018 "Surnommé le paradoxe de l’égalité entre les sexes, la recherche a révélé que des pays comme l’Albanie et l’Algérie comptent un plus grand pourcentage de femmes parmi leurs diplômés en STEM que les pays reconnus pour leur niveau élevé d’égalité entre les sexes comme la Finlande, la Norvège et la Suède. Les chercheurs de l’Université de Leeds Beckett au Royaume-Uni et de l’Université du Missouri aux États-Unis pensent que cela pourrait être dû au fait que les pays moins favorisés bénéficient souvent de peu d’aide sociale ce qui augmente l’attrait pour les métiers du STEM qui sont souvent mieux rémunérés." (...)
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Bernadette Cassel
February 3, 2017 5:07 AM
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Muriel, Vayssier-Taussat, bactériologiste à l'Inra
Directricede recherches à l'Inra (Institut national de la recherche agronomique), la bactériologiste Muriel Vayssier-Taussat travaille sur les agents pathogènes transmis par les tiques. Elle confirme la fiabilité défaillante des tests actuels de détection de la maladie de Lyme en France.
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from Les Colocs du jardin
January 19, 2017 4:54 AM
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Professeur de biologie à l’université du Cap, elle a découvert les mécanismes cellulaires qui permettent aux plantes de survivre à des périodes de sécheresse. Cette Sud-Africaine de 54 ans poursuit des recherches sur des cultures comestibles et résistantes à la sécheresse, telles que l’eragrostis tef, une plante d’Ethiopie. Les enjeux sont énormes : mieux préparer l’Afrique au réchauffement climatique en cultivant des variétés résistantes, sans forcément recourir aux OGM. Les dix innovateurs africains qui montent. Par Sabine Cessou, RFI, 03.11.2015 [Image] via Jill M. Farrant http://jillfarrant.co.za/
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Bernadette Cassel
November 23, 2016 5:48 AM
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La Royal Netherlands Academy of Arts and Sciences veut uniquement recruter des femmes dans ses prochaines élections. Cela peut sembler stupide à première vue, mais les académies scientifiques sont tellement dominées par les hommes qu’il est impossible de réduire le gap. Les élections vont toujours se baser sur la compétence pure, mais en la rendant exclusive pour les femmes, l’académie pense ainsi réduire le gap sexuel tout en préservant les normes de compétence. Sur 63 académies scientifiques dans le monde, les femmes ne représentent que 12 % des membres. Par Jacqueline Charpentier. Actualités scientifiques de la semaine #13 | Actualité Houssenia Writing, 20.11.2016 [Image] Royal Netherlands Academy of Arts and Sciences President José van Dijck says electing more women won't come at the expense of male candidates. Milette Raats/Flickr via "In bold new step, Dutch science academy holds women-only elections" | Science | AAAS, 15.11.2016 http://www.sciencemag.org/news/2016/11/bold-new-step-dutch-science-academy-holds-women-only-elections
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Bernadette Cassel
from Variétés entomologiques
August 29, 2016 10:59 AM
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"Dans son laboratoire de l'Institut Jacques-Monod à Paris, Virginie Orgogozo remonte le temps. Gène après gène, mutation après mutation, elle réécrit l'évolution à l'envers. En identifiant les mutations qui expliquent l'apparition de la diversité de la vie sur Terre, elle tente de répondre à des questions fondamentales : comment se fait-il que nous, les humains, peuplions la Terre aujourd'hui ? Et devions-nous, forcément, posséder ces caractères qui nous distinguent désormais des autres espèces ?" Par Anne Debroise. La Recherche, 29.08.2016
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from EntomoNews
January 5, 2016 5:58 AM
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Sarah Bonnet, directrice de recherche au sein de l’unité mixte de recherche biologie moléculaire et immunologie parasitaires (BIPAR), reçoit le Prix de biologie Alfred Kastler 2015, pour la mise en œuvre d’une technique permettant l’entretien de tiques sur un support artificiel, évitant, pour leur élevage, de devoir infester des animaux et facilitant ainsi les études des agents pathogènes qu’elles peuvent transmettre
La Fondation Droit Animal, Ethique et Sciences remet le Prix de biologie Alfred Kastler 2015 à Sarah Bonnet - INRA Jouy-en-Josas, Prix Kastler Sarah Bonnet, 09.12.2015
"... Les tiques représentent, au niveau mondial, le second vecteur de maladies infectieuses après les moustiques pour la santé humaine, et le premier vecteur pour la santé animale." (...) → La Fondation Droit Animal, LFDA - Prix décernés : Onze lauréats ont reçu ce prix depuis sa création en 1984 http://www.fondation-droit-animal.org/rubriques/connaitr_fond/connaitr_actions_kastler.htm
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from EntomoNews
January 1, 2016 2:09 PM
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La biologiste Emmanuelle Charpentier et l’historienne Bénédicte Savoy figurent parmi les dix lauréats.
Par Frédéric Lemaître (Berlin, correspondant). Le Monde 'Abonnés), 31.12.2015
"... Après avoir mené des études en France (université Pierre-et-Marie-Curie, Institut Pasteur) et aux Etats-Unis, Emmanuelle Charpentier a d’abord enseigné à Vienne (Autriche) avant que l’Allemagne lui déploie, en 2013, un tapis rouge en lui..." [Image] via Tom Roud sur Twitter : "Emmanuelle Charpentier balance sur la France de la recherche https://t.co/ISWQ3oYftn https://t.co/jJJyeIgSFA" https://twitter.com/tomroud/status/682918504513859584
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from Variétés entomologiques
December 28, 2015 9:20 AM
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Bernadette Cassel
October 14, 2015 6:29 AM
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Chronologiquement, la première équipe à avoir déposé une demande de brevet concernant CRISPR était constituée de Jennifer Doudna et Emmanuelle Charpentier, de l’université de Californie, et date de mai 2012, mais c’est l’équipe du MIT dirigée par Feng Zhang qui a remporté le jackpot, après avoir déposé sa demande en décembre 2012, soit plusieurs mois après Doudna et Charpentier. Que s’est-il passé ? En fait, l’avocat de Feng Zhang aurait simplement coché dans le dossier une case “en accéléré” et accepté de payer une somme supplémentaire. Depuis, les deux universités se livrent une guerre légale sur la question de l’antériorité. Tout ceci n’est pas qu’une question d’honneur universitaire, ou d’obtention du Nobel de chimie (pour lequel, souligne Wired, Doudna et Charpentier ont été pressenties, mais finalement ce dernier été attribué au suédois Tomas Lindahl; il y a quelques jours – The Independant se demandait d’ailleurs si la controverse autour de CRISPR n’allait pas coûter le prix aux deux chercheuses). C’est aussi une question d’argent. Plus de 80 millions de dollars ont été investis dans des startups utilisant CRISPR, nous précise la Technology Review. L’une d’elles, Editas Medicine, a été cofondée par Feng Zhang et… Jennifer Doudna, laquelle a claqué la porte de l’entreprise à la suite du conflit et a décidé plutôt de faire profiter ses droits (si elle les récupère) à Intellia Therapeutics, une entreprise concurrente. Histoire de simplifier les choses, Emmanuelle Charpentier aurait choisi, elle, de céder ses droits à une troisième société, CRISPR Therapeutics.
Par Rémi Sussan. Internet Actu, 12.10.2015
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October 10, 2015 7:08 AM
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Dans cette vidéo, Valérie Masson-Delmotte, directrice de recherche au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement, décrit la réponse de la machine climatique à l’injection dans l’atmosphère des gaz à effet de serre, ainsi que les outils dont se servent les chercheurs pour évaluer ces changements.
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