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Bernadette Cassel
July 5, 2023 12:34 PM
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C'est un communiqué de presse du 19 juin 2023 qui provient de la CDD (Conférence des doyens de médecine) et du CNU santé (Conseil national des universités). Que dit ce communiqué : "L’avènement des publications en libre accès a fait émerger des pratiques douteuses voire frauduleuses de la part d’éditeurs… Publié le 23/06/2023 Liste blanche de 3400 revues, domaine biomédical Le site de la conférence des doyens donne accès à la liste de Sorbonne Université qui contient environ 3 400 revues présumées non prédatrices. Ce sont 100 pages comme la page 1 dans l’image [ci-dessus, ndé]. Un nettoyage a été fait, et n’y a aucune revue de Frontiers ou MDPI. Cela me paraît très bien BRAVO. Le message est clair, mais beaucoup de collègues n’ont pas compris… Cette liste est utile… ------ NDÉ Le pdf La Conférence des doyens de médecine (CDD) et le Conseil national des universités pour les disciplines de santé (CNU Santé) ont publié, lundi 19 juin, une liste de 3 400 revues non prédatrices, donc « recommandables ».
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Bernadette Cassel
March 20, 7:52 PM
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L’ordre des Embioptera, aussi appelés embioptères ou tisseurs de toile (en anglais "webspinner"), regroupe des insectes principalement tropicaux et subtropicaux au mode de vie complexe. Seulement 400 espèces ont été décrites dont seulement quelques espèces en Europe. Les embioptères vivent en groupes dans des galeries de soie qu’ils tissent à partir de glandes situées sur leurs pattes avant et dont les tarses sont enflés. Les colonies sont généralement composées de femelles apparentées et de leur progéniture. Les mâles adultes sont ailés et peuvent se disperser en vol, tandis que les femelles restent près du site d’éclosion. Myrmecofourmis Publié le 2 mars 2025 et mis à jour le 8 mars 2025
Combien d’espèces d’Embioptères existe-t-il en France et dans le monde ?
Plus de 400 espèces d’embioptères sont décrites, principalement dans les régions tropicales, mais le nombre d’espèces réel est probablement bien plus élevé, au delà d’un millier d’espèces [1]. Malgré ce faible nombre d’espèces pour un ordre d’insectes, la complexité du cycle de vie et la diversité de comportements des Embioptères est importante.
En France on retrouve trois espèces méditerranéennes dont Haploembia solieri qui a été introduite aux États-Unis et au Japon [2], Haploembia palaui et Oligotoma nigra [3]." (...)
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Bernadette Cassel
March 19, 12:45 PM
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Dans le cadre du Rassemblement Mitig : Rayonnement des perspectives et des savoirs autochtones, découvrez une discussion avec Coralie Niquay, étudiante au doctorat professionnel en santé publique à l'École de santé publique de l'Université de Montréal. 15 mars 2025 MONTRÉAL
"Originaire de la communauté atikamekw, Coralie partage son regard sur l’intégration des savoirs autochtones en santé publique. Co-fondatrice du Cercle en santé publique aux côtés de Laila Mahmoudi, elle présente cette initiative étudiante qui vise à visibiliser et valoriser les savoirs autochtones en santé. Dans cette capsule, Coralie aborde la vision holistique de la santé portée par les Premiers Peuples, les Inuit et Métis où le bien-être physique, émotionnel, spirituel et social est profondément lié au territoire et aux relations. Elle met en lumière les iniquités épistémiques entre les savoirs autochtones et les approches occidentales, notamment en santé publique, et souligne l'importance de mieux reconnaître et intégrer ces connaissances."
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Bernadette Cassel
March 18, 6:32 AM
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Camille Parmesan est une des grandes figures des recherches sur le climat. Depuis cinq ans, en France, elle revient pour nous sur les enseignements des travaux qu'elle mène en France depuis 5 ans. Par Carla Peyrat - Le 25 juin 2024 "Pour Camille Parmesan, directrice de recherche de la Station d'écologie expérimentale et théorique (SETE) du CNRS à Moulis, tout a commencé avec un papillon : le Damier d'Edith [Euphydryas editha, ndé]. De 1992 à 1996, elle a suivi ce papillon du Mexique au Canada. Au fil du temps, elle a constaté que l'espèce entière se déplaçait. Ainsi est née l'une des premières études à révéler les effets du changement climatique sur la faune. Désormais, le travail de Camille Parmesan porte sur tous types d’espèces sauvages. Elle a exploré les régions les plus reculées, et est l'auteure de l'article le plus cité dans le domaine de la recherche sur le changement climatique. Elle a joué un rôle essentiel en tant que contributrice officielle au Prix Nobel de la paix décerné par le GIEC en 2007. Son parcours professionnel reflète son engagement pour sensibiliser le public aux enjeux environnementaux critiques. Depuis cinq ans, elle est installée à la Station d'écologie expérimentale et théorique (SETE) du CNRS à Moulis, en France, où elle poursuit ses études sur la dynamique complexe des systèmes écologiques face aux bouleversements climatiques. Alors que le programme « Make Our Planet Great Again » touche à sa fin, elle revient sur son parcours et sur l'état d'avancement des actions de lutte contre le changement climatique." ------ NDÉ L'étude Image : Un damier d’Edith dans une prairie du Nevada. M.SINGER - C. PARMESAN via Le papillon damier piégé par l’homme, 20.05.2018 - màj 05.06.2018 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2018/05/20/le-damier-papillon-piege-par-l-homme_5302044_1650684.html
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Bernadette Cassel
March 16, 6:49 AM
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Témoin de la contamination de la plaine niortaise, Vincent Bretagnolle estime que les solutions pour sortir des pesticides sont identifiées et connues. C’est leur mise en pratique qui bloque. Courrier de l'Ouest Julien RENON Publié le 11/03/2025 à 17h50 [...] « On n’a pas à être un alibi ou un pompier de service » "... « ... nos travaux ont contribué au moratoire français de 2013 puis à l’adoption de la loi de 2016 interdisant ces insecticides tueurs d’abeilles. Mais il s’est écoulé vingt ans entre les cris d’alarme des apiculteurs et les décisions politiques en France. Entretemps, 1200 articles scientifiques convergents ont été publiés sur ce sujet, c’est un effort considérable. Cela en valait la peine car l’enjeu était énorme mais il ne faut pas se contenter de lister les effets délétères. Il y a un risque de se laisser enfermer. » Qu’entendez-vous par là ? « Que les scientifiques doivent être vigilants face aux lobbies qui font tout pour gagner du temps jusqu’à financer des études et encore des études. Il se passe la même chose qu’avec l’industrie du tabac. Or, le rôle des chercheurs ne se résume pas à démontrer que des substances mises sur le marché sont nocives. Comme il ne se résume pas à trouver des alternatives au glyphosate ou à d’autres herbicides. On n’a pas à être un alibi ou un pompier de service. (...) » (...) Image : « Raisonner molécule par molécule, ça n’a pas de sens. C’est l’assurance de continuer à faire du surplace et de maintenir cette dépendance vis-à-vis de l’agrochimie », estime Vincent Bretagnolle. | CO - MARIE DELAGE
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Bernadette Cassel
March 14, 5:32 AM
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Franck Courchamp est directeur de recherche au CNRS. Il dirige à l’université Paris-Saclay une équipe de recherche sur la dynamique de la biodiversité et les impacts des activités humaines sur les écosystèmes et les espèces. Il s'est spécialisé dans l'étude des espèces exotiques envahissantes, c'est-à-dire celles introduites dans un milieu hors de leur aire de distribution naturelle et dont l'intégration finit par altérer tout un écosystème. Un terrain de recherche qui prend de plus en plus d'ampleur à l'heure du réchauffement climatique et dont les répercussions sur l'économie et les sociétés restent encore sous-évaluées. Il est invité à occuper pour l’année 2024-2025 la chaire Biodiversité et écosystèmes, qui bénéficie du soutien de la Fondation Jean-François de Clermont-Tonnerre. Publié le 03 février 2025 Franck Courchamp Biodiversité et écosystèmes 2024 [...] Cibler les espèces exotiques envahissantes Ces dernières années, il s’est ainsi efforcé de mettre au point une méthode qui permettrait de détecter si une espèce exotique sera envahissante ou non, ce qui pourrait aider à leur prévention en amont de son introduction dans un milieu. L’écologue et ses collègues scientifiques ont essayé de dresser le profil type d’une fourmi envahissante, un peu comme un policier de la criminelle : « Les profils des tueurs en série sont obtenus à partir de combinaisons statistiques de caractéristiques psychologiques. Nous avons repris le même principe, mais en modélisant les combinaisons de caractéristiques d’espèces écologiques des fourmis qu’on sait être envahissantes à l’heure actuelle, à savoir dix-neuf espèces sur des milliers. En nous basant sur des caractéristiques comme le type de système social, le moyen de reproduction, le type de fondement de nouvelles colonies ou encore les modes de régime alimentaire, il nous a ainsi été possible d’établir un véritable portrait-robot de la fourmi envahissante type. En s’appuyant sur ces profils, les chercheurs ont ainsi pu identifier de potentielles futures espèces à risque, puis déterminer quelles régions chacune de ces espèces de fourmis pourrait envahir ». Les travaux de Franck Courchamp ont également eu pour objectif d’estimer les coûts pour la société liés aux dégâts causés par l’introduction d’une nouvelle espèce envahissante. Après cinq années de travail, lui et ses collègues les ont estimés à hauteur de plus de 2 000 milliards de dollars. Pour ce faire, ils ont élaboré une base de données réunissant des milliers de coûts recueillis dans la littérature scientifique, totalisant des milliers de milliards d’euros à l’échelle du globe. Puis, ils ont compilé et analysé les coûts listés dans cette base de données. « Les invasions biologiques n’ont pas uniquement des conséquences sur la biodiversité, elles impactent l’agriculture, la santé humaine, et également les infrastructures et les réseaux électriques et de communications. » En France, leurs coûts économiques y sont évalués entre 1,14 et 10,2 milliards d’euros en seulement vingt-cinq ans. Certaines espèces se placent en championnes des pertes et dégâts, à l’image des moustiques tigres, vecteurs de nombreuses maladies comme la dengue, Zika ou le chikungunya, ou bien l’ambroisie, cette plante aux feuilles vertes hautement allergisante qui provoque de nombreux rhumes des foins et des pertes agricoles. ------ via La Lettre du Collège – 11 mars 2025
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Bernadette Cassel
March 12, 6:57 AM
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Les beaux jours reviennent et avec eux les premiers papillons prennent leur envol. Si vous souhaitez allier le plaisir de les observer et la récolte de données utiles aux scientifiques, nous vous proposons de vous engager dans l’Opération Papillons Sciences participatives au jardin La minute papillon - Mars 2025, 11.03.2025 Une démarche accessible "L’Opération Papillons est un programme de sciences participatives : vous pouvez, en tant que citoyens, participer à la production de connaissances scientifiques à travers la récolte de données d’observation de papillons. Pour cela, il suffit de suivre une démarche très simple, partagée par l’ensemble des participants et permettant ainsi de rendre leurs données comparables" (...)
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Bernadette Cassel
March 10, 6:59 AM
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Ses premiers symptômes sont une volonté affichée de détruire ou d’assujettir la science, dès lors que celle-ci se penche sur le climat, la biodiversité, la santé environnementale, l’héritage colonial, les inégalités de genre, ou encore les rapports de domination dans la société. Ce sont des marqueurs de toute la droite américaine, depuis de nombreuses années. Stéphane Foucart Publié aujourd’hui à 04h00 Parallèle frappant "La même maladie couve en France et les signaux d’alerte ne manquent pas. En 2021, dans la foulée des déclarations du ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer sur les « ravages » de « l’islamo-gauchisme » à l’université, la ministre de l’enseignement supérieur, Frédérique Vidal, annonce sur la chaîne CNews avoir ordonné une « enquête » sur le sujet – Le Monde révélera deux ans plus tard qu’aucune enquête n’a en réalité jamais été diligentée. Comme l’a dit la climatologue Valérie Masson-Delmotte, mercredi 5 mars sur France Inter, ce sont aussi les sciences de l’environnement et de la durabilité qui sont ciblées. De fait, aux États-Unis, les premières censures systématiques ont été mises en œuvre par la première administration Trump, principalement pour mettre sous contrôle l’Agence fédérale pour la protection de l’environnement. Le parallèle est frappant : en France, c’est son homologue, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), qui encaisse une pression inédite. En janvier 2024, le ministre de l’agriculture, Marc Fesneau, bloque la publication de l’expertise collective sur les nouveaux OGM pilotée par l’Anses, ses conclusions ne servant pas les attentes du gouvernement – le rapport ne sera publié qu’après un vote déterminant des députés européens." (...)
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Bernadette Cassel
March 8, 5:06 AM
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Il faut se réjouir lorsque des moyens (ici $ 25 000 par an pendant 4 ans) sont mis à disposition pour créer des revues en langue française. Tous les détails de cet appel à projet sont sur le site du Fonds de Recherche du Québec (FRQ) Publié le 24/02/2025 Par HM -
Créer deux revues en français en santé et en science et génie -
Une revue dans le champ de la santé durable -
Revue du secteur Nature et technologies "Félicitons nos amis canadiens qui défendent la langue française pour publier des revues scientifiques."
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Bernadette Cassel
March 6, 6:40 AM
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8th International Entomophagous Insects Conference ------ NDÉ via Institut de Recherche sur la Biologie de l'Insecte (IRBI) — Bluesky https://bsky.app/profile/irbi-tours.bsky.social/post/3lj7xhwjl7s2p Traduction 🌟 Des nouvelles passionnantes ! L'IRBI est fier d'accueillir la 8e Conférence internationale sur les insectes entomophages (IEIC) du 1er au 4 juillet 2025. Rejoignez des scientifiques du monde entier pour découvrir les dernières nouveautés en matière de biologie des parasitoïdes et des prédateurs ! #IEIC2025 #Entomologie #CommunautéScientifique
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Bernadette Cassel
March 4, 5:48 AM
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Nouvelle chronique de l’entomologiste angoumoisin Benoît Gilles (1). Il explique aujourd’hui qu’aussi étonnant que cela puisse paraître, la mouche du vinaigre adore jouer. Comme un toutou ou un dauphin.
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Bernadette Cassel
March 2, 6:17 AM
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... les seuls arthropodes producteurs de méthane sont des mille-pattes, des cafards, certains scarabées et les termites. Les diptères (le groupe d’insectes dans lequel on retrouve toutes les mouches mais aussi les moustiques, cousins et autres joyeusetés qui font bzzzz) ne produisent pas de méthane. Est-ce que ça veut dire que les mouches ne pètent pas ? Pas sûr. Quiz: info ou intox? 02.03.2018 By Eléa HEBERLE
La réponse au quiz par Taupo "Déjà, il faut savoir que d’autres insectes émettent des gaz par l’anus sans que ce soit du méthane. Les larves de l’espèce de neuroptère Lomamyia latipennis sont carnivores et consomment des termites. Sachant qu’elles font une fraction de leur poids, elles doivent les immobiliser en leur pétant une molécule encore inconnue dans leur direction. Ce n’est pas du méthane, c’est probablement ce qu’on appelle une allomone, mais ça compte bien comme un agent volatile sortant du fion : cette larve pète. Chez les odonates anisoptères (ou les libellules pour les incultes), les larves aquatiques possèdent une ampoule rectale renflée, garnie de branchies trachéennes qui leur permettent d’extraire de l’oxygène de l’eau pompée à l’intérieur de l’ampoule (elles respirent donc par le cul), mais mieux, d’accumuler de la pression dans la dite ampoule et d’éjecter violemment de l’eau par l’anus pour se propulser: cette larve de libellule pète (de l’eau, certes, donc c’est un peu triché). Le coléoptère bombardier produit pour se défendre un mélange explosif d’hydroquinone et de peroxyde d’hydrogène qu’il expulse dans un jet bouillant sortant de l’anus : ce coléoptère pète. Et enfin, j’ai trouvé que des mesures par spectrométrie chez certaines larves de diptères identifient des émanations de dihydrogène et de H2, probablement d’origine microbienne. C’est le cas chez les larves de tipules, ce qu’on appelle communément des cousins, mais aussi chez les larves de mouches soldat noire, Hermetia illucens, qui sont souvent utilisées pour réaliser des composts. A vrai dire, le fait que ces larves d’insectes n’émettent pas de méthane, mais d’autres gaz, est une aubaine pour l’environnement car ça limite l’émission de gaz à effet de serre, et permettrait éventuellement de réaliser des fermes pour recycler des déchets organiques et récupérer des protéines d’insectes pour les entomophages amateurs.
Par contre, même interrogation que pour les termites : est-ce que ça passe par l’anus ou seulement par le système trachéen… Difficile de savoir, mais ce serait très surprenant que ce ne soit pas le cas. On peut donc dire que, très probablement, la mouche pète." (...)
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Bernadette Cassel
February 28, 7:24 AM
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Découvrez Benoît Gilles, un biologiste diplômé de l’Université de Tours (Institut de recherche sur la Biologie de l’Insecte – IRBI), passionné par les insectes et leur rôle dans les écosystèmes. Publié par Mauna Kea dans Témoignages le 26/02/2025 à 15:05
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Bernadette Cassel
Today, 7:34 AM
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"... Une méta-analyse* parue en 2021 dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences recense les preuves des bienfaits pour la santé des paysages sonores naturels. Vocalisations des oiseaux, concert de cigales, bruit de l’eau, murmure du vent dans les feuilles… Les résultats «confirment que les sons naturels améliorent la santé, augmentent les affects positifs et réduisent le stress», écrivent les auteur·rices." Sons de la nature : quand les chants d’oiseaux nous donnent des ailes par Coralie Schaub publié le 20 mars 2025 à 20h59 [...] "« Nous avons constaté des réactions émotionnelles positives de la part des personnes qui ont pu réécouter les sons de la nature grâce à des prothèses auditives, comme une forme de réveil », rapporte le psycho-acousticien Christian Lorenzi, chercheur à l’ENS. L’exposition aux paysages sonores naturels, dont les chants d’oiseaux, « produit un effet de ressourcement via le système nerveux parasympathique, qui, quand il est enclenché, vous met en état de “repos digestion”. C’est désormais bien documenté, en tout cas dans les pays occidentaux », ajoute-t-il. Et de citer cette formule de l’écrivain britannique malentendant Neil Ansell : « Les sons urbains recrutent mon attention, alors que ceux de la nature l’invitent », la nuance signalant dans le premier cas un effort d’écoute, une fatigue, et, dans le second, une sollicitation plaisante." (...) ------ NDÉ * A synthesis of health benefits of natural sounds and their distribution in national parks | PNAS, 22.03.2021 https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2013097118 Rachel T. Buxton et al Dans les études examinant les avantages de l'exposition aux sons naturels, Les résultats positifs en matière de santé et dde bien-être mental tandis que le stress et la gêne ont diminué ont permis d'améliorer la santé et les résultats affectifs positifs, tout en réduisant le stress et la gêne. Les tailles d'effet moyennes pondérées sont issues de modèles méta-analytiques de 18 études, et les barres d'erreur indiquent les IC à 95 %. Une valeur moyenne positive (à droite de la ligne pointillée du zéro) indique que la santé et les résultats affectifs positifs se sont améliorés dans les groupes exposés aux sons naturels, et une valeur négative (à gauche de la ligne pointillée du zéro) indique que les indicateurs de stress et de gêne ont diminué dans les groupes exposés aux sons naturels. Les indicateurs de santé et d'affect positif comprennent l'amélioration de l'humeur et des capacités cognitives, et les indicateurs de stress et de gêne comprennent la diminution de la douleur, de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle. Image : Figure 2, capture partielle (du résultat le plus élevé)
Des sociétés peu scrupuleuses, souvent chinoises, rachètent des revues de qualité puis multiplient le nombre de publications tout en augmentant les tarifs. Au détriment de la qualité.
Via Communication IRIT
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Bernadette Cassel
March 18, 12:58 PM
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Marie Lamouille Hébert, salariée à FNE Haute-Savoie, soutiendra sa thèse sur l'écologie des communautés des mares et étangs alpins dans un contexte de changement climatique. Soutenance ouverte au public et accessible en visioconférence. ------ via Fil d’actualité | LinkedIn, Marie Lamouille-Hébert • 1er Responsable de pole/Chargée de mission biodiversité et milieux aquatiques/Doctorante chez France Nature Environnement Haute-Savoie et avec INRAE (Riverly) et USMB (Carrtel) • 6 j https://www.linkedin.com/feed/update/share:7305286447647911937/
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Bernadette Cassel
March 17, 7:58 AM
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Dès 1996, Camille Parmesan a démontré l’effet du changement climatique sur une espèce animale, le damier d’Édith. Comment ce papillon californien réagit-il au réchauffement ? Quel rôle joue l’écologue américaine au sein du GIEC ? Pourquoi s’est-elle installée en Ariège ? La Science, CQFD Publié le mercredi 5 mars 2025 ------ via la Session de rattrapage de France Culture, 08.03.2025 🦋 L'effet papillon. Camille Parmesan a passé sa vie à observer Euphydryas editha, dit aussi damier d'Edith. Afin de montrer comment le réchauffement climatique affecte ce lépidoptère.
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March 15, 5:19 AM
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Une nouvelle étude parue dans la revue Science of The Total Environment s'est intéressée au contenu digestif des frelons asiatiques pour estimer l'ampleur de l'impact de ce prédateur sur la biodiversité. Y ont été décelées de près de 1500 espèces d'insectes différentes ! Avec sciences, 12.03.2025 Alexandre Morales Avec - Philippe Grandcolas, directeur de recherche au CNRS, directeur du laboratoire Institut de systématique, évolution, biodiversité au Muséum d’Histoire naturelle
------ via France Culture, 15.03.2025 : "Ce prédateur envahissant et particulièrement vorace chasse principalement les abeilles, mais pas seulement, révèle une récente étude parue dans la revue "Science of The Total Environment". ➡️ https://l.franceculture.fr/zRf" — Bluesky https://bsky.app/profile/franceculture.fr/post/3lkfr7vj4yc2k
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March 13, 9:36 AM
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"L’écologie est la science des interactions entre les êtres vivants et leur milieu ; ce milieu est lui-même constitué d’autres êtres vivants, eux-mêmes en interaction avec leur milieu, et d’autres êtres vivants." Franck Courchamp Jeudi 27 mars 2025 Amphithéâtre Marguerite de Navarre, Site Marcelin Berthelot En libre accès, dans la limite des places disponibles 18:00 - 19:00 "On voit bien dès la définition de l’écologie qu’il s’agit là d’une discipline qui traite de phénomènes complexes. Et c’est certainement cette complexité, fascinante et défiante, qui constitue l’un des éléments les plus intéressants des études en écologie. Même lorsque les systèmes semblent simples, ou les interactions logiques, cette complexité souvent discrète nous révèle alors des paradoxes, aussi surprenants que délicieux. La plupart du temps, ces paradoxes ne sont qu’apparents, et dus à notre vision partielle des systèmes étudiés. Au final, quelques décennies d’études nous apprennent que la seule façon d’appréhender la biodiversité, et l’écologie qui l’étudie, est de manière globale, holistique. Au travers des exemples des travaux qui ont jalonné ma carrière de chercheur en écologie, cette leçon inaugurale va cheminer de paradoxe en paradoxe, pour montrer comment la complexité en écologie nécessite une approche holistique. Des chats chassant rats et oiseaux aux lions chassés pour leurs trophées, des combats de fourmis aux scarabées de combat, des feux protecteurs aux espèces à la fois menacées et menaçantes, nous allons explorer ensemble quelques exemples de questions, de systèmes et d’études qui font mon quotidien d’écologue." ------ via La Lettre du Collège – 11 mars 2025
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March 11, 7:21 AM
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Depuis trente ans, la biologiste britannique Patricia Wiltshire a permis de confondre de nombreux criminels grâce à sa connaissance des pollens. Sa discipline, l’écologie médico-légale, est en plein essor malgré l’hégémonie de l’ADN. Par Anaïs Renevier Publié hier à 06h00, modifié hier à 07h40
Les sentinelles du vivant est un podcast imaginé et porté par Laure Cormier, Paula Macé Le Ficher et Sabine Bognon, chercheuses en géographie et aménagement, dans le cadre du programme de recherche ANR ANBioT.
Via Veille du laboratoire AAU, Agrodoc Ouest
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March 7, 6:08 AM
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Le Landais EvoTech élimine les nuisibles sans impact sur l’environnement Par Yannick Revel, Placeco Publié le 05/03/2025 à 10h18. "... L’innovation repose sur l’utilisation de l’azote liquide. « Cette technique est utilisée depuis les années 1970 aux États-Unis, nous l’appliquons avec la robotique », précise Anthony Gavend, président du groupe EvoTech. Présentée au Salon international de l’agriculture à Paris, cette innovation est le fruit d’une collaboration entre EvoTech et Cryodrones. Cette entreprise, basée à Nanterre, a développé le processus de cryogénisation, tandis que la Landaise se charge de la partie robotique et intelligence artificielle. Le traitement est 100 % écologique, éliminant ainsi le besoin d’intrants chimiques." (...) "La première cible est la chenille processionnaire, un problème majeur dans la forêt de Gascogne." (...) Image : Les drones permettent des interventions en hauteur. Crédit photo : EvoTech
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March 5, 6:35 AM
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Savez-vous que les moustiques, en plus de gâcher vos nuits, peuvent transmettre le paludisme ou le virus Zika ? Grâce à ce MOOC, découvrez le rôle majeur des insectes dans la transmission des maladies Du 08 avr. 2025 au 08 avr. 2026 Langues : anglais et français
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March 3, 7:36 AM
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... Les larves de libellules sont capables de respirer sous l’eau à l’aide de branchies… cachées dans leur rectum. Pour respirer, elles pompent donc de l’eau [...] dans une cavité appelée l’ampoule rectale. Elles peuvent contrôler le flux et la pression du jet d’eau qui sort par le rectum si bien qu’elles peuvent utiliser ce système pour se propulser ! Anivatar : les maîtres de l'eau - Strange Stuff And Funky Things Par taupo, vendredi 28 février 2025 "Ces larves de libellule pètent de l’eau ! [Or] un jet d’eau permet à la larve de nager bien plus vite que si elle effectuait ce mouvement avec ses pattes : de vraies fusées à hydropropulsion ! Elles peuvent aussi accumuler de la pression hydraulique à l’intérieur de l’ampoule rectale pour déployer leur sorte de mâchoire diabolique [, le masque], servant à capturer des proies en un éclair. [...]" (...) ------ via Nouveau billet sur Strange Stuff... - Strange Stuff And Funky Things | Facebook, 28.02.2025 https://www.facebook.com/StrangeStuffAndFunkyThings/posts/pfbid0RxZ6F3A8TrExLdhGbZXToUp5iBNRdtTHNmmr7WgcGCZXYS9Gh8mSveXghEXAv3hBl
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March 1, 6:05 AM
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Ce cours permet de découvrir ce qu’est l’agroécologie, quelles en sont les différentes approches, comment elles se traduisent dans des pratiques agricoles et dans la transition agroécologique. Dans une dynamique de formation participative, appuyé sur la diversité sociale et géographique des acteurs et actrices, le MOOC propose de construire une approche de l’agroécologie à l’interface entre sciences agronomiques, écologie et sciences sociales. Inscription jusqu'au 16 mars 2025
Pourquoi suivre ce MOOC ?
"Pour découvrir ce qui se cache derrière l’agroécologie, terme de plus en plus présent dans les médias, dans les politiques scientifiques ou encore dans les expériences de terrain
Pour vous former aux bases scientifiques de l’agroécologie avec une approche interdisciplinaire combinant agronomie, écologie, anthropologie, sciences du sol, sociologie, zootechnie…" (...) Prérequis "Ce MOOC ne nécessite pas de prérequis en particulier. Public ciblé: - les curieux et les curieuses qui veulent découvrir le monde de l’agroécologie : pas de prérequis nécessaires - les professionnel·les qui veulent acquérir des compétences : un dispositif souple et des contenus fondés sur les dernières avancées de la recherche et du développement - les étudiant·es qui veulent se former : des bases scientifiques aux mises en œuvre opérationnelles - les passionné·es qui veulent partager leur savoir et apprendre des autres : un dispositif unique d’échange avec une grande diversité d’apprenant·es"
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February 27, 4:32 AM
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Les négociations de la COP16 sur la biodiversité ont repris mardi, à Rome. Des scientifiques disent leur stupéfaction devant les reculs qui affectent la protection de la nature et essaient de se battre avec leurs moyens.
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