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Gain-of-function CXCR4 mutations that affect homologous desensitization of this G-protein coupled receptor have been reported in the WHIM Syndrome (WS), a rare immunodeficiency characterized notably by lymphopenia. In an article that has been recently published in the Journal of Experimental Medicine, two teams of INSERM-Université Paris-Saclay (U996, Clamart and U1170, Villejuif) together with clinical departments (Besançon, Lyon and Paris) have highlighted by using a relevant knock-in mouse model and samples from WS patients that efficient CXCR4 desensitization is critical for lymphoid differentiation of hematopoietic stem and progenitor cells. Impairment of this key mechanism accounts for the lymphopenia observed in mice and likely in WS patients. Contact : karl.balabanian@u-psud.fr
La Fondation maladies rares lance un appel "Genomics of rare diseases"
RAND Europe has been commissioned by the Royal Society and Wellcome Trust to investigate mental health in the research environment. The aim of the work is to establish whether there are specific mental health needs among researchers, what interventions have been considered in this setting, and whether those interventions have been effective in addressing the mental health and wellbeing needs of researchers. This work consists of a review of the existing literature. The report is likely to be of relevance to universities and other research-performing institutions, policy makers, research funders and managers, professional bodies, and the research community more widely. RAND Europe is a not-for-profit policy research organisation which aims to improve policy and decision making through research and analysis.
Annually, the Canon Foundation in Europe grants up to 15 Fellowships to highly qualified European and Japanese researchers. European Fellows are expected to pursue a period of research in Japan whereas Japanese Fellows are expected to do their research in Europe. Canon Foundation Fellowships are for a minimum period of three months up to maximum of one year. We support all fields of research. There are no limitations or restrictions. Applicants do not have to be currently enrolled or employed at the time of applying.
Une publication dans Nature Communications de Hervé Sauquet et al. (Laboratoire Écologie, Systématique, Évolution, Université Paris-Sud, CNRS UMR 8079, UPSaclay, Orsay):
"Recent advances in molecular phylogenetics and a series of important palaeobotanical discoveries have revolutionized our understanding of angiosperm diversification. Yet, the origin and early evolution of their most characteristic feature, the flower, remains poorly understood. In particular, the structure of the ancestral flower of all living angiosperms is still uncertain. Here we report model-based reconstructions for ancestral flowers at the deepest nodes in the phylogeny of angiosperms, using the largest data set of floral traits ever assembled. We reconstruct the ancestral angiosperm flower as bisexual and radially symmetric, with more than two whorls of three separate perianth organs each (undifferentiated tepals), more than two whorls of three separate stamens each, and more than five spirally arranged separate carpels. Although uncertainty remains for some of the characters, our reconstruction allows us to propose a new plausible scenario for the early diversification of flowers, leading to new testable hypotheses for future research on angiosperms"
Contact: herve.sauquet@u-psud.fr
Via Loïc Lepiniec
Dans un article publié récemment dans PLoS Biology, l'équipe de Denis Le Bihan (NeuroSpin, Institut Joliot, CEA, Gif-sur-Yvette) vient de montrer le lien entre le gonflement des neurones et leur activité. Cette étude dévoile un nouveau moyen de mesurer cette activité grâce à l’IRM de diffusion, dont Denis Le Bihan est l'inventeur, et ouvre de nouvelles perspectives à la compréhension des mécanismes cérébraux régissant l’état de conscience. Pour plus d'infos, voir : https://www.universite-paris-saclay.fr/fr/actualite/le-cerveau-sur-ecoute-grace-a-lirm-de-diffusion Contact : denis.lebihan@gmail.com
Qu’ils soient bénéfiques ou non, les biofilms sont présents partout : d’après l’Institut national de la santé (NIH), ils seraient responsables de 80% des infections chez l’Homme. Dans ces cas, l’infection est d’autant plus difficile à traiter que cette organisation est tolérante aux antimicrobiens. Les biofilms agissent en effet comme une bulle de protection pour les microorganismes les préservant de la sécheresse, des composants toxiques et polluants, leur permettant ainsi de se diversifier et de se développer. En étudiant le fonctionnement des biofilms, les chercheurs en microbiologie de l’Institut Micalis (INRA de Jouy-en-Josas, UPSaclay), ont eu l’idée d’utiliser leurs propriétés au service de l’Homme et en particulier pour la protection des cultures. Le principe est de remplacer les produits traditionnellement utilisés par des biofilms de micro-organismes permettant de lutter contre les pathogènes des cultures, appelés « agents de bio-contrôle ». Les agents de bio-contrôle sont déjà présents sur le marché agricole, principalement en Europe et en Amérique du nord. Biofongicides, biobactéricides et biofertiliseurs sont produits à partir de bactéries comme Bacillus amyloliquefaciens ou Bacillus subtilis, sécrétant des substances comme la surfactine, la fengycine ou l’iturine, qui peuvent être utilisés sur de nombreuses cultures (blés, champignons de Paris, avocats, fleurs, arbres fruitiers, vignes…). Contacts : romain.briandet@inra.fr ou caroline.pandin@inra.fr
Agnès BUZYN, Ministre des Solidarités et de la Santé, Frédérique VIDAL, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, et Louis SCHWEITZER, Commissaire général à l’investissement, annoncent l’attribution de 74,5 M€ aux 10 lauréats de ce troisième appel à projets « Recherche Hospitalo-Universitaire en santé » (RHU). Cet AAP RHU vise à soutenir des projets de recherche innovants et de grande ampleur dans le domaine de la santé. Parmi les 10 projets retenus, le projet MyProbe, doté de 9,3 M€ et porté par le Pr. Fabrice André, directeur de l'UMR-S 981 Inserm-UPSud à l’Institut Gustave Roussy (Villejuif), vise à développer des outils efficaces pour identifier les risques élevés de rechute du cancer du sein et ainsi réduire l’utilisation de traitements supplémentaires coûteux et lourds pour les patientes. Depuis 2015, 24 projets ont été retenus en trois vagues d'AAP successives. Avec BIOART-LUNG 2020 (Olaf Mercier, 2015, 5 M€), Ilite (Jean-Charles Duclos-Vallée, 2016, 8,5 M€) et LUMIERE (Laurence Zitvogel, 2016, 9 M€), MyProbe est le 4ème projet financé au sein de l'UPSaclay. Félicitations au lauréat 2017 !
Contact : fabrice.andre@gustaveroussy.fr
Destinées à des doctorants inscrits dans une université américaine, ces bourses entendent renforcer les liens entre laboratoires français et américains, par des collaborations, partenariats et projets communs. Les bourses sont offertes par l’“Office for Science & Technology” (OST) de l’Ambassade de France à Washington, en partenariat avec des universités et centres de recherche français et américains, dont le CNRS, l’Inria, l’Inserm et l’Université Paris-Saclay.
Parmi les 50 doctorants récompensés qui viendront en France, 5 seront soutenus financièrement par l’Université Paris-Saclay, dont 2 dans le domaine SDV : - M. Nathan Jespersen, de l’Oregon State University, qui viendra pour 5 mois à l’I2BC – CNRS/CEA/UPSud-UFR Sciences de Gif-sur-Yvette. - Mme Josephine McGowan, de la Columbia University, qui viendra pour 4 mois à l’UMRS 1178 « Dépression, Plasticité & Résistance aux antidépresseurs » (Inserm/UPSud-UFR Pharmacie)
Cinq autres lauréats seront accueillis à l’Université Paris-Saclay sans cofinancement, dont 1 dans le demaine SDV : M. Eric Commendatore, de l’University of California, qui rejoindra le Laboratoire de Pharmacognosie (CNRS/UPSud-UFR Pharmacie).
Le prochain appel à candidature pour les bourses Chateaubriand 2018-2019 sera lancé en Octobre 2017. Voir: https://www.chateaubriand-fellowship.org/Eligibility-Guidelines-STEM
Le professeur Claude Jasmin, cancérologue et hématologue, est décédé samedi à l'hôpital Pitié-Salpêtrière à l'âge de 78 ans. Disciple et successeur de Georges Mathé, une figure de la cancérologie disparue en 2010, Claude Jasmin s’était spécialisé dans la recherche multidisciplinaire en matière de leucémies, cancers et sida. Fondateur de l’association Vaincre le cancer en 1987 qui soutient la recherche et la formation de jeunes chercheurs, il était membre de sociétés savantes internationales et signataire de plus 350 publications scientifiques. Ancien chef de service d'oncologie médicale à l'hôpital Paul-Brousse (UFR de Médecine de l'UPSud, Villejuif), Claude Jasmin, cancéro-hématologue, a également été directeur des unités de recherche Inserm 268 “Oncogenèse appliquée” de 1984 à 1994 et “Différentiation hématopoïétique normale et leucémique” de 1995 à 2004.
Universities can help cities grow and boost employment opportunities.
Plant scientists plan massive effort to sequence 10,000 genomes By Dennis NormileJul. 27, 2017 , 8:00 AM SHENZEN, CHINA—Hopes of sequencing the DNA of every living thing on Earth are taking a step forward with the announcement of plans to sequence at least 10,000 genomes representing every major clade of plants and eukaryotic microbes. Chinese sequencing giant BGI and the China National GeneBank (CNGB) held a workshop yesterday on the sidelines of the International Botanical Congress, being held this week in BGI's hometown of Shenzhen, to discuss what they are calling the 10KP plan. About 250 plant scientists participated in the discussions and "are raring to go," says Gane Ka-Shu Wong, a genomicist and bioinformaticist at University of Alberta in Edmonton, Canada. The 10KP plan will be a key part of the Earth BioGenome Project (EBP), an ambitious and still evolving scheme to get at least rough sequence data on the 1.5 million eukaryotic species, starting with detailed sequences of one member of each of the 9000 eukaryotic families. The effort to sequence plants is moving ahead a bit faster than other aspects of EBP "because plant scientists are more collaborative," Wong says jokingly. The 10KP plan is also building on a previous 1000 plant (1KP) transcriptome project. That effort, launched in 2012 and now nearing completion, was also led by BGI, where Wong is an associate director.
Via Loïc Lepiniec
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Le Fonds de recherche en santé respiratoire et la Fondation du souffle financent des recherches cliniques. Montant : de 15 000 € à 20 000 € / subvention Date limite de candidature : 17 octobre 2017
L'Agence nationale de la recherche lance la 2e vague de l'appel "Instituts hospitalo-universitaires". Date limite de candidature : 12 octobre 2017
L'Agence nationale de la recherche et le CoEN (Network of Centres of Excellence in Neurodegeneration) lancent un appel à projets de recherche internationaux sur les maladies neurodégénératives. Date limite de candidature : 18 septembre 2017
Le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation et Airbus lancent la 16e édition du Prix Irène Joliot-Curie. La date de clôture des candidatures est fixée au 15 septembre à minuit.
Le Point brosse le portrait et retrace le parcours d’Archana Singh-Manoux, une chercheuse Inserm de talent, qui codirige deux grands laboratoires spécialisés en épidémiologie, à Villejuif(le Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations, au côté d’Alexis Elbaz, UPSud et UPSaclay) et à Londres. Récompensée en 2015 par le prix Recherche de l’Inserm pour ses travaux sur le vieillissement cognitif, son travail consiste à suivre de grandes cohortes de personnes pour évaluer l’influence de différents facteurs de risques sur le vieillissement et tenter de prévenir ou retarder l’apparition des premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer. « Mon principal souci est de vérifier qu’on identifie les vrais facteurs de risque et qu’on ne les confond pas avec les conséquences d’une maladie à un stade préclinique », insiste-t-elle. Jean-François Dartigues, directeur de recherche Inserm spécialisé dans le vieillissement souligne : « Archana devrait être un modèle pour tous les jeunes chercheurs ». Contact: Archana.Singh-Manoux@inserm.fr
Dans une tribune publiée dans le British Medical Journal ( http://www.bmj.com/content/358/bmj.j3418) et reprise dans le Figaro.fr, dix experts britanniques remettent en cause remettent en cause les recommandations internationales qui enjoignent aux patients de terminer leurs traitements antibiotiques. Une prise de position qui soulève un débat dans la communauté scientifique. Les spécialistes contactés, dont Thierry Naas (praticien hospitalier et directeur du laboratoire associé du Centre de référence national de résistance aux antibiotiques à l'Hôpital Bicêtre, UFR Médecine, UPSud-UPSaclay) regrettent également le manque de preuves scientifiques dans cette tribune, qui ne présente aucune étude. Même si elles sont imprécises - du fait de l’hétérogénéité de la population qui prend des antibiotiques- , «les doses, les durées et les temps d’exposition aux antibiotiques ont été établis par des essais cliniques», explique Thierry Naas. Dans l’attente de ces essais cliniques qui confirmeront ou infirmeront les dires des Britanniques, «il faut rester dans les recommandations des sociétés savantes», plaide le Dr Thierry Naas. «Après, certaines recommandations peuvent évoluer avec le temps, mais pour le moment, il faut garder cette ligne de conduite». Contact: thierry.naas@aphp.fr
Les experts de la MIT Technology Review ont sélectionné 10 jeunes talents français incontournables pour construire notre avenir. Parmi ces 10 entrepreneurs de moins de 35 ans, 5 sont diplômés d’un membre de l’Université Paris-Saclay et 4 d'entre eux proposent des projets en santé : - Clémence Franc & le cancer. Diplômée d’HEC Entrepreneurs, Clémence Franc a co-fondé NovaGray qui améliore la vie des patients atteints de cancer : l’entreprise permet d’identifier quels patients risquent des effets secondaires lourds à la suite d’une radiothérapie, pour mieux personnaliser le traitement. - Sidarth Radjou & les erreurs médicales. Diplômé de l’École Centrale de Paris (maintenant CentraleSupélec), Sidarth Radjou est co-fondateur de Biomodex. Cette entreprise peut reproduire à l’identique, via une impression 3D, les organes d’un patient, afin que les chirurgiens puissent s’entraîner avant l’opération. L’objectif est de réduire le taux d’erreurs médicales. - Antoine Noël & la lombalgie. Diplômé de HEC, Antoine Noël a co-créé Japet Medical Devices. Connecté à une application mobile, leur exosquelette Atlas décompresse la colonne vertébrale pour aider les personnes souffrant de douleurs lombaires à suivre une série d’exercices. Les patients peuvent ainsi muscler correctement leur dos et soulager la douleur. -Hugo Mercier & l’insomnie. Diplômé de l’École polytechnique, Hugo Mercier dirige la société Rythm, qui a créé le dispositif Dreem pour améliorer la qualité du sommeil. En envoyant des stimulations auditives, ce bandeau module ainsi l’activité cérébrale et prolonge les phases de sommeil profond.
Une fois de plus, le classement annuel des meilleures universités du monde, publié mardi 15 août 2017, met d'abord à l'honneur celles situées sur le territoire américain. Et pour cause, 16 d'entre elles occupent les 20 premières places du classement. Le podium est ainsi tenu par l'indéboulonnable université de Harvard qui, pour la 15e année consécutive, caracole en tête du classement, suivi par l'université de Stanford puis par l'université britannique de Cambridge qui gagne ici une précieuse place au classement. Un classement international où la France n'a pas à pâlir. Les trois meilleures universités françaises d'après ce classement sont l'université Pierre et Marie Curie (Paris 6) qui se classe au 40e rang mondial, suivi de l'université de Paris-Sud (41 place), puis l'Ecole Normale Supérieure de Paris (69è place). Par rapport au classement de l'année dernière, l'université Pierre et Marie Curie (40e) perd une place, Paris-Sud (41e) en gagne cinq, et l'Ecole normale supérieure (69e) en gagne 18.
Spindle microtubules are well known to orchestrate the segregation of chromosomes during egg development. But the other major cytoskeletal component, actin, has not been thought to play a role in this process. Mogessie and Schuh examined how chromosomes are segregated in mammalian cells (see the Perspective by Maiato and Ferrás). Instead of using an entirely microtubule-dependent mechanism, mammalian oocytes use a second spindle that is made of F-actin to segregate their chromosomes correctly. Actin associated with the spindle bundles microtubules into functional kinetochore fibers, the key structures that drive chromosome segregation. Increasing or decreasing the number of actin filaments in the spindle causes an imbalance in kinetochore fiber bundling, which results in chromosome segregation errors and aneuploidy, a frequent cause of miscarriage and Down syndrome in humans. Science , this issue p. [eaal1647][1]; see also p. [756][2] [1]: /lookup/doi/10.1126/science.aal1647 [2]: /lookup/doi/10.1126/science.aao2461
Ce jeudi, le sénateur (LREM) Michel Berson, a présenté son rapport d’information sur « L’agence national de la recherche et le financement de la recherche sur projets » (ANR). En quête de moyens financiers, l’agence connaît actuellement une profonde crise de défiance de la part des chercheurs. Récente démission de son président ou encore perte de légitimité dans le milieu de la recherche. Le rapport du sénateur dessine des perspectives pour que l’organisme puisse faire peau neuve.
Via Cirad
Genome editing has potential for the targeted correction of germline mutations. Here we describe the correction of the heterozygous MYBPC3 mutation in human preimplantation embryos with precise CRISPR–Cas9-based targeting accuracy and high homology-directed repair efficiency by activating an endogenous, germline-specific DNA repair response. Induced double-strand breaks (DSBs) at the mutant paternal allele were predominantly repaired using the homologous wild-type maternal gene instead of a synthetic DNA template. By modulating the cell cycle stage at which the DSB was induced, we were able to avoid mosaicism in cleaving embryos and achieve a high yield of homozygous embryos carrying the wild-type MYBPC3 gene without evidence of off-target mutations. The efficiency, accuracy and safety of the approach presented suggest that it has potential to be used for the correction of heritable mutations in human embryos by complementing preimplantation genetic diagnosis. However, much remains to be considered before clinical applications, including the reproducibility of the technique with other heterozygous mutations.
The Nature Index tracks the affiliations of high-quality scientific articles. Updated monthly, the Nature Index presents research outputs by institution and country. Use the Nature Index to interrogate publication patterns and to benchmark research performance.
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