"Ce patrimoine survit aujourd’hui uniquement grâce au « Mastrou », un petit train à vapeur qui traverse les gorges du Doux. Cette ligne, ouverte en 1891, est empruntée par 110.000 touristes chaque saison, attirés par la beauté sauvage du paysage.

« On est une exception culturelle parce qu’on est passé du côté patrimonial, du musée vivant, alors que le train du quotidien, il doit desservir les populations », reconnaît Vincent Piotti, un des responsables de la société qui l’exploite."

"Au programme, donc, des découvertes inédites, des rencontres avec les grands maîtres des métiers d’art et la possibilité d’assister à des démonstrations en direct, voire d’y participer. Ici et là, les artisans révéleront leur savoir-faire afin que les visiteurs en prennent la pleine mesure. Des passionnés, c’est sûr. Et qui sait, peut-être susciteront-ils des vocations!"

[VIDÉO] Extrait ▶️ 2m46s - La paille récoltée dans un champ sert à faire des meubles ou des motifs. C'est un métier rare qu'il faut mettre en avant. Il lui faut beaucoup de techniques et de finesse. Un savoir-faire qui commence dans les champs.

"Le Victory est le seul navire toujours existant à avoir participé à la guerre d'indépendance américaine, aux guerres révolutionnaires françaises et aux guerres napoléoniennes. Il fait actuellement l'objet d'une rénovation de 45 millions de livres sterling, soit environ 53 millions d'euros. Il s'agit du deuxième plus grand projet de restauration en Europe après celui de la cathédrale Notre-Dame de Paris, dévastée par un incendie.

Cette rénovation d'envergure s'est imposée après la découverte de la présence massive de vrillettes, des insectes de la famille des coléoptères. Parfois nommés "insectes foreurs", les vrillettes ont été attirées par les infiltrations d'eau de pluie et ont fait pourrir une grande partie de la structure en bois du navire."

"Le tourisme créatif est une approche innovante qui combine voyage et expérience artistique ou artisanale. Contrairement au tourisme traditionnel axé sur la visite de sites célèbres, le tourisme créatif met l’accent sur la participation à des activités culturelles et artistiques locales. Cette forme de tourisme permet aux voyageurs de s’immerger dans la vie quotidienne des locaux et de découvrir leurs traditions artisanales et artistiques de manière authentique."

"Depuis 1976, la forteresse du XIIIe siècle aux remparts imposants accueille des curieux, qui la restaurent et la mettent en avant. Les bénévoles de tous âges viennent aussi découvrir des métiers originaux : tailleurs de pierres, menuisiers ou forgerons par exemple."

"Résultat de cinq ans de périple, ce projet d’IDE consiste en des rencontres entre designers internationaux, artisans locaux et chefs culinaires. À travers des voyages en Italie, Pologne, France, Cambodge et Suède, sont nés 150 objets de céramique mélangeant design, artisanat et cultures culinaires. "

"Début juillet, un article de Paris Match a levé le voile sur un pan inconnu et insolite du patrimoine local: la présence, près du parking municipal, de la dernière cabine téléphonique encore en fonction en France. Deux autres « points phone » sont également actifs, dans le Territoire de Belfort et dans la Drôme, mais ils sont « sans habitacle », contrairement à la cabine de Murbach, précise Orange."

"Les activités créatives et manuelles connaissent un franc succès en France, particulièrement chez les jeunes adultes. En effet, 42 % des 25-34 ans seraient adeptes du DIY (“Do It Yourself”). Pour 7 % des Français, cette pratique est même leur loisir principal. Plus globalement, 34 % s'adonnent à une activité créative et manuelle en France."

"En 1997, les moulins de Kinderdijk ont été inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO. Cette reconnaissance internationale souligne non seulement leur importance historique et culturelle mais incite également à leur préservation pour les générations futures."

"Les Artisans de Belleville fédèrent une soixantaine d’artisans implantés dans ce quartier parisien populaire et cosmopolite. Tout au long du week-end, ils accueilleront le public dans leurs ateliers et feront découvrir ces métiers captivants de l’esprit et du geste, entre tradition et innovation."

"Fermé depuis 1996, le phare d'Ault (Somme) est de nouveau ouvert au public. L'occasion de redécouvrir ce monument emblématique du littoral picard, situé 108 mètres au-dessus du niveau de la mer, et les merveilleux paysages qui l'entourent."

"En 2021, le gouvernement a publié une loi visant, je cite, "à définir et protéger le patrimoine sensoriel des campagnes françaises". Ce texte, d'une seule page, ajoute dans le code de l’environnement "les sons et odeurs" à côté des paysages diurnes et nocturnes, de la qualité de l’air et de l’eau, des êtres vivants et de la biodiversité. La loi intègre donc des composantes sensorielles comme éléments de notre patrimoine."

"Derrière les murs de la cathédrale Saint-Pierre d'Angoulême, les biens les plus précieux de l'édifice religieux se déploient dans une ambiance féérique. La scénographie, faite de jeux de lumière, a été imaginée par Jean-Michel Othoniel, artiste de renommée internationale."

Le musée des Arts décoratifs de Paris se prépare à une soirée inédite. Le 6 juillet 2025, l'institution dédiée à la mode et à sa culture va organiser son tout premier bal, avec pour objectif principal de célébrer la couture et l’art de vivre à la française.

"On en prendra plein les yeux cet été, c’est promis ! Dans le nord, deux expositions, à Lille et à Calais, réjouiront ceux qui aiment être surpris. En Alsace, une centaine de bijoux Lalique vous attendent. Côté sud, laissez-vous conter des histoires de cinéma par Jean-Paul Gaultier.

À Paris, c’est au cœur de l’École des arts joailliers, laquelle vient de s’installer dans un splendide hôtel particulier des Grands Boulevards, qu’il faut filer pour admirer des bijoux de scène de la Comédie-Française. Avant d’aller faire un petit tour au BHV Marais pour croiser l’homme au catogan, Karl Lagerfeld. Et bien d’autres sorties : suivez le guide !"

"Les discussions entre les experts de la commission se sont appuyées sur les rapports rédigées par l’inspection générale des monuments historiques et celui de l'historien de l'art Alexandre Gady. Ils ont conclu que les vitraux XIXe voulu par Eugène Viollet le Duc n’ayant pas été endommagés par l’incendie, il n’y avait pas de raison de les remplacer par de nouveaux vitraux."

"Les fibres de lin ne représentent que 0,5% des fibres textiles dans le monde, mais elles se démarquent par leurs caractéristiques environnementales. Elles nécessitent peu d'intrants et d'eau pour leur culture, et le teillage se fait encore de façon mécanique, et sans solvant. Qualités auxquelles s'ajoute un marché toujours porteur."

Incubateur de nouveaux talents du tissage et de la couleur, la Villa Châteaufavier d'Aubusson, dans la Creuse (23), a ouvert ses portes au public. Une occasion de découvrir des savoir-faire ancestraux qui savent se renouveler,...