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Le Nestborn, une méthode d’éclosion des poussins en poulailler, se développe dans l’Ouest. Comme chez Gaëtan Leligois, à Amayé-sur-Seulles (Calvados). Rencontre.
Le 10 juin 2025, le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire a accueilli un séminaire consacré aux « nouveaux actifs agricoles ». Celui-ci fait suite à un appel à projets de recherche (APR) lancé fin 2023 par le ministère, en vue de recueillir des connaissances scientifiques permettant de caractériser ces nouveaux actifs et les transformations du monde agricole auxquelles ils contribuent. Ce séminaire a permis de présenter les conclusions des cinq projets de recherche retenus et financés par le ministère.
Comment agir efficacement et de manière pérenne pour préserver la santé mentale des individus au travail et prévenir une détérioration de leur qualité de vie et des conditions de travail (QVCT) ? Un credo : privilégier les petites victoires à une grande défaite. L’acteur clé : le manager de proximité.
La récurrence d'inondations, la menace d'incendies mais aussi le poids des enjeux sociaux poussent collectivités et citoyens à réinventer leur mode de vie. Transition énergétique, initiatives vertes, partenariats communautaires : le spectre de l'action s'élargit, multipliant innovations et collaborations inédites. Sous la pression du calendrier climatique, ces territoires se révèlent de véritables laboratoires d'innovation écologique. Entre politiques environnementales ambitieuses et stratégies d'adaptation, de nouvelles réussites inspirent déjà l'Europe. C'est dans cette ébullition locale que se dessine peut-être la véritable solution britannique face au dérèglement climatique.
La société Waga Energy vient de réaliser une première à Clermont-Ferrand. Spécialiste de l’épuration du biogaz des sites de stockage de déchets, elle a concrétisé un projet hybride avec le biogaz d’une méthanisation. Le tout est valorisé en biométhane pour le réseau de gaz.
La Chambre d'agriculture de Normandie développe depuis 2015 la solution Bandes Ligno-Cellulosiques pour lutter contre l'érosion des sols et produire de la biomasse. Après récolte, les plantations de saules et de miscanthus sont utilisées dans diverses filières (paillage horticole, chauffage collectif, litière animale). Une association d'agriculteurs nommée Terre Eau Énergie 76 s'est montée en parallèle pour travailler sur ces thématiques et porter les filières. Par exemple, l'association est signataire d'un contrat avec Biocombustibles SAS pour le rachat des plaquettes de saules.
Ce rapport se concentre sur les enjeux liés à la bioénergie, tout en considérant les enjeux liés au puits de carbone et à la gestion durable des forêts et des sols.
Peu d'entreprises françaises semblent avoir adopté l'intelligence artificielle…
L'entreprise pourrait proposer des premières livraisons par ces robots dès l'automne…
Pour prendre des décisions éclairées, il est essentiel de s'appuyer sur des données socio-économiques fiables. Ces données, provenant de sources multiples, couvrent diverses facettes de notre réalité et sont cruciales pour élaborer des politiques régionales, accompagner des publics dans leur reconversion ou orientation et définir la pertinence de nouvelles offres de formation.
Oser est une application web gratuite, simple et ludique destiné aux conseillers, agriculteurs et enseignants. Cela leur permet : • D’explorer la variabilité économique liée aux choix de production • D’analyser la robutesse d'un projet face aux aléas • Et de discuter en toute simplicité des risques et incertitudes. Avec Oser, vous pouvez facilement simuler des scénarios économiques, visualiser des zones de confort et de vigilence, et exporter les résultats.ur éditer le contenu
Le grand soir est en retard. Il y a cinq ans, l’affaire semblait entendue, les protéines animales allaient céder une bonne partie de leurs parts de marché aux protéines d’origines végétales. Finalement, c’est loin d’être le cas et le marché accuse un net repli aux États-Unis depuis l’an dernier quand il continuer de progresser en Europe. On vire l’emballage et on regarde pourquoi ce retournement, c’est le fil du mercredi 4 juin 2025.
C’est un petit logo rouge et or, aisément reconnaissable. Liant une dénomination à un terroir, il est gage d’origine, de typicité et de savoir-faire. L’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC) ou Protégée (AOP), vous connaissez sans doute. Fierté française, pierre angulaire de la politique européenne, l’AOP connaît pourtant quelques remous. C’est que, aux dires des producteurs, le cahier des charges, garant de la promesse de qualité, freinerait l’innovation. Pire, il les empêcherait d’avoir la réactivité nécessaire pour s’adapter à un marché de plus en plus fluctuant comme aux aléas climatiques. Qu’en est-il ? Et comment redonner un peu d’air aux producteurs ?
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Si l'envie est là, et que la technologie existe, le passage à l'acte n'est pourtant pas si simple. Investissement XXL, normes, recrutements… Mettr
Aider les océans à capturer davantage de CO2 en y déversant du fer pour stimuler la croissance du phytoplancton : cette approche relevant de la « bio-ingénierie » du climat est vantée par plusieurs start-ups. Elle est pourtant risquée, car les incertitudes autour des mécanismes naturels à l’œuvre sont nombreuses.
Les hérissons européens, insectivores, sont de redoutables prédateurs à l’alimentation très variée. En étudiant, grâce à l’ADN environnemental, leurs déjections, on peut améliorer notre connaissance de la biodiversité des zones résidentielles, où ils vivent le plus souvent.
De plus en plus, la recherche sur les nouveaux matériaux se tourne vers les champignons. Une équipe vient ainsi de réussir à produire un matériau vivant tirant parti des propriétés du mycélium. Une avancée qui pourrait déboucher sur la production de véritables petites batteries biodégradables.
Le Bale grazing est une technique remise au goût du jour depuis peu qui consiste à faire consommer du fourrage (enrubannage ou foin) directement au champ par les animaux. Cela peut se pratiquer à toute saison. Les avantages sont nombreux : animaux en extérieur, moins de tracteur, pas d'effluents à gérer, restitutions au sol et "semis" naturel.
Les 10 projets lauréats de la 2e édition de l’appel à projets Fonds Maif pour le vivant - Nature 2050 viennent d’être dévoilés. Ils ont été choisis pour leur impact concret sur la restauration des milieux naturels, la préservation de la biodiversité, la gestion durable de l’eau et l’adaptation des territoires au changement climatique.
À partir de quel moment une pratique agricole perturbe-t-elle l'écosystème des prairies au point de perdre ses services écosystémiques comme la séquestration du carbone, le filtrage de l'eau ou le pâturage pour les animaux d'élevage ? C'est à cette question que l'Inrae et le CNRS ont répondu dans le cadre d'une étude portant sur 150 prairies situées en zones tempérées.
Quelles sont les entreprises françaises mises à l'honneur au Next40 / FrenchTech 120 ?
Dans le sud-ouest, les ceps s’arrachent à tour de bras. Mais que faire des parcelles mises à nu ? Ici et là, on teste de nouvelles cultures, avec plus ou moins de bonheur. Revue de détail.
La transition écologique transforme profondément nos modes de vie mais aussi notre rapport au travail. Elle représente une opportunité historique de réinventer les métiers, tout en répondant aux enjeux climatiques et sociaux.
Du fait de leurs propriétés et de leur faible coût, les plastiques se sont largement répandus, notamment dans les systèmes agricole et alimentaire depuis les années 1950. Dans ce contexte, les ministères en charge de l’agriculture et de l’environnement ainsi que l’ADEME ont confié à INRAE et au CNRS le pilotage d’une expertise scientifique collective sur les plastiques utilisés en agriculture et pour l’alimentation, dont les résultats sont présentés le 23 mai lors d’un colloque public, permettant de faire un état des connaissances sur les usages, les propriétés et le recyclage des plastiques mais aussi sur leurs impacts sur l’environnement et la santé.
En 2023, après une décennie marquée par des sécheresses inédites, le Gouvernement français adoptait un Plan d’action pour une gestion résiliente et concertée de l’eau, dit « Plan eau », pour répondre à trois enjeux majeurs : « sobriété des usages, qualité et disponibilité de la ressource ». Jusqu’alors, les problèmes posés par les sécheresses avaient été plutôt traités de manière ponctuelle et sectorielle. C’est en effet un imaginaire d’abondance d’eau nationale qui a longtemps prévalu, au sein duquel l’État a essentiellement encouragé la construction et le fonctionnement d’ouvrages hydrauliques pour (re)distribuer l’eau dans l’espace et dans le temps. Si des réformes menées depuis les années 1990 ont cherché à mettre en place une gestion localement plus attentive aux limites, en pratique, les usages continuent aujourd’hui à être encore peu connus et peu régulés. Comment mettre en œuvre l’injonction à « la sobriété dans tous les usages et dans la durée »1 ?
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