 Your new post is loading...
 Your new post is loading...
Le rebond du marché des logements neufs récemment souligné par les observatoires des professionnels est confirmé par les dernières statistiques ministérielles. Selon ces dernières, au quatrième trimestre 2014, 23.900 logements neufs ont été vendus au détail aux particuliers, soit 3,4 % de plus qu’au quatrième trimestre 2013. Mais il s’agit là du total des ventes. Or les promoteurs ont été davantage à la fête en fin d’année 2014 que les constructeurs de maisons individuelles (qui représentent la moitié du marché du neuf vendu aux particuliers). « Cette reprise des ventes (...) est portée exclusivement par le collectif (+ 3,8 %) alors que la demande reste atone pour les maisons individuelles (–0,8 %) », confirme le ministère. Ce rebond trimestriel est bien inférieur, pour les logements collectifs, à celui mesuré par la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), mais « c’est habituel : les données ministérielles sont plus lisses, elles reflètent notamment moins les effets de saisonnalité, par ailleurs elles incluent les ventes de résidences de service, or ces dernières ont beaucoup baissé en 2014 », explique le président de la FPI, François Payelle. Par type d’appartements, au quatrième trimestre, « le regain d’activité concerne principalement les deux et trois pièces (+ 5,5 % pour les deux pièces et + 5 % pour les trois pièces) », précise le ministère. Pléthore de studiosSur l’année 2014, le ministère mesure un recul annuel des ventes d’appartements de 2,4 % soit moins que le recul annuel de l’ensemble des logements neufs, qui s’établit selon lui à 3,9 %, contre + 3% selon la FPI. Les mises en vente annuelles ont beaucoup diminué (–13,3 %) entre 2013 et 2014, reflétant la défiance des professionnels jusqu’en octobre. Mais paradoxalement, alors que les ventes d’appartements sont mauvaises pour les studios, c’est sur ce type d’appartement que les promoteurs ont le moins réduit leurs mises en vente : en 2014, elles ont baissé de 11,7 % pour l’ensemble des appartements mais de seulement 2 % pour les studios, peut être parce que c’est le produit d’investissement locatif par excellence. « Au final, l’encours de logements s’est maintenu en 2014 à un niveau élevé, estime le ministère dans sa note de conjoncture. Il représente fin 2014 103.300 logements restant à vendre », mais cela inclut une grande majorité de logements en cours de construction ou qui n’en sont même pas à ce stade, soulignent régulièrement les promoteurs, qui ont encore noté récemment que le stock de logements achevés de construire et non encore vendus, s’il avait progressé fin 2014, restait très raisonnable
Les ventes au détail en France ont progressé de 14,6%, et les ventes en bloc ont, elles, augmenté de 11,7% par rapport à la même période de 2013. Ce qui permet à l'ensemble des ventes de s'afficher en légère croissance sur l'année. La Fédération des Promoteurs Immobilier faisait part ce matin des chiffres de ventes sur l’ensemble de l’année 2014 au niveau national. Et l’exercice, s’est finalement soldé par une légère croissance des ventes, comme en région lyonnaise : +3% par rapport à 2013, à 76 580 logements. « Le dernier trimestre a compensé la baisse des 9 premiers mois » a noté la fédération. Les prix, eux, sont stables : 3932 euros sur l’année 2014, soit seulement 0.1% de moins qu’en 2013. Ce regain d’optimisme de fin d’année ne s’est bien sûr pas immédiatement traduit dans les mises en vente. Celles-ci reculent en effet de 8,9% à 85 604 unités. L’offre a dû « s’ajuster à la baisse en raison de la difficulté à lancer de nouvelles opérations, dans un contexte où l’extrême frilosité de nombreuses collectivités locales s’est aggravée depuis un an » indique l’organisation. L’offre commerciale retrouve son niveau de fin 2013, à 90 000 unités soit 14,1 mois de ventes. Regain au niveau de l’investissement Cette croissance des ventes s’explique notamment par un regain au niveau de l’investissement, qui est, lui, en hausse sensible sur l’année, de 11.6%. Grâce notamment à un retour de l’investissement au 4ème trimestre, dont les annonces réalisées fin août par Manuel Valls ne sont pas étrangères. «Cette évolution témoigne d’un retour de la confiance pour l’investissement dans la pierre, consécutif aux annonces du Gouvernement et au lancement du dispositif Pinel » explique la FPI dans son communiqué. Mais la confiance semble également être revenue au 4ème trimestre du côté de l’accession à la propriété. Toutefois, sur l’année, les chiffres demeurent en deçà de ceux de 2013, malgré la faiblesse des taux d’intérêt : « cette baisse témoigne à la fois de l’inquiétude des accédants face à la conjoncture économique et sociale, de la difficulté de l’accès au crédit et de l’absence en 2014 de mesures significatives de nature à relancer l’accession. Toutefois, l’évolution récente du prêt PAS apporte une réponse nouvelle notamment aux primo‐accédants » indique la FPI. Le Plan de relance « a répondu aux attentes » Pour François Payelle, président de la FPI, une reprise en 2015 de la construction de logements est « crédible », si tant est que les pouvoirs publics la consolident. « Le Plan de relance du Gouvernement a répondu aux attentes, pour peu que les derniers décrets relatifs à des mesures techniques importantes sortent rapidement ». Mais il pointe également les freins qui existent au niveau local. « Les acteurs publics locaux doivent aussi faire preuve de détermination et de responsabilité pour accompagner un marché de l’immobilier qui reste fragile, là où sont les besoins. Or ces derniers mois, trop de projets conformes aux règles d’urbanisme ont été bloqués sans fondement réel, mettant en difficulté les entreprises qui les portent souvent depuis longtemps et hypothéquant la relance qui se dessine. Il ne faut pas que cette situation dure, sinon la rechute pourrait être rapide et les besoins en logements des Français encore moins bien satisfaits» a indiqué le président de la FPI.
Bouygues Immobilier multiplie les innovations numériques pour améliorer l'expérience d'achat de ses clients Issy-les-Moulineaux, le 16 Janvier 2015, Conscient de l'opportunité que représentent les services numériques dans un marché du logement où l'acte d'achat se complexifie, Bouygues Immobilier apporte toujours plus de valeur à ses clients en leur proposant des outils digitaux pour mieux se projeter dans leurs futurs logements. Bouygues Immobilier a ainsi déployé plusieurs solutions d'immersion virtuelle comme la réalité augmentée, la maquette numérique, le casque de réalité virtuelle et les lunettes Google Cardboard lors des phases de commercialisation de plusieurs de ses opérations.
Pour le programme Blue Bay à Nice, Bouygues Immobilier propose ainsi à ses clients de visiter virtuellement l'ensemble des appartements, grâce à une maquette numérique, en ligne sur le mini-site du projet (www.residence-bluebay.com).
À Lyon, sur le programme Follement Gerland, ainsi qu'à Saint-Jean-de-Braye avec l'éco-quartier ECLO, un casque de réalité virtuelle a été mis en place, identique à celui utilisé pour les lunettes Oculus. Les clients peuvent ainsi prendre conscience des volumes des pièces, visualiser les aménagements qu'il est possible de réaliser, changer les couleurs des murs ou encore les revêtements de sol. À Ermont (95), sur le programme 360°, les clients réservataires peuvent découvrir leur logement au travers des Google Cardboard, des lunettes en carton à monter soi-même. Il leur suffit de télécharger une application sur leur smartphone et de le glisser à l'intérieur du kit. Une fois chez eux, ils peuvent faire visiter leur future acquisition à leurs proches. Ce type de dispositif a également été expérimenté dans le secteur tertiaire, pour aider les futurs utilisateurs à aménager leurs bureaux, sur les immeubles Green Office® de Rueil-Malmaison et de Nanterre, avec le concours de My Cloud 3D, une start-up soutenue par Bouygues Immobilier. De même, le spécialiste des maquettes 3D en temps réel Vectuel a conçu pour Bouygues Immobilier une maquette numérique du projet Nanterre Cœur de quartier permettant à chacun de visiter virtuellement le quartier.
A propos de Bouygues Immobilier Bouygues Immobilier, leader de la promotion immobilière privée en France et en Europe, compte 1 558 collaborateurs au 31 décembre 2013, pour un chiffre d'affaires de 2 510 M€ en 2013. Présent au travers de 35 implantations sur l'hexagone, deux en Europe et une au Maroc, Bouygues Immobilier développe depuis 50 ans pour ses clients des projets immobiliers résidentiels, tertiaires et commerciaux couvrant plus de 230 villes. Engagé dans une politique volontariste en matière de développement durable et d'innovation, Bouygues Immobilier s'inscrit dans une démarche d'amélioration continue de la qualité technique et architecturale de ses immeubles et de satisfaction de ses clients. Bouygues Immobilier est le premier promoteur certifié ISO 9001 en France. Depuis le 1er juillet 2010, avec plus de deux ans et demi d'avance, Bouygues Immobilier s'est engagé dans une démarche systématique de labellisation BBC- effinergie® de l'ensemble de ses logements.
Le but est de construire des logements 'essentiels' à un prix nettement inférieur à ceux du marché...
La ministre de l'Égalité des territoires et du logement participait mercredi 19 septembre à Deauville au 42ème congrès de la fédération des promoteurs (...)...
Pour Benoist Apparu, ancien ministre du logement, le nouveau dispositif d’investissement locatif dévoilé par le gouvernement ne fera qu’entretenir la hausse des prix de l’immobilier. Fustigeant le projet de loi sur le logement social, qui sera examiné la semaine prochaine à l’Assemblée, le député UMP de la Marne annonce aussi le dépôt de plusieurs amendements.
La ministre du Logement, Cécile Duflot, va proposer aux particuliers investisseurs dans l'immobilier de bénéficier d'une réduction d'impôt en 2013. Une mesure pour tenter de tenir l'objectif de bâtir 500.000 logements par an.
(AFP) - L'ex-ministre Jean-Louis Borloo, président du Parti radical, a plaidé lundi pour la vente de logements HLM pour financer de nouvelles constructions. Sur France Info, le député du Nord a argumenté: "Nous avons une famille HLM la plus puissante du monde, qui détient 4,5 millions de logements, 30 milliards de fonds propres, à elle de construire en priorité". "Ce ne sont pas les communes qui construisent, c'est le parc HLM", a-t-il dit.
Conseils pratiques de l'immobilier neuf : quels sont les avantages de l'immobilier neuf dans le cadre de l'achat d'une résidence principale ?
Actualités Batiweb.com : 04-09-2012 La maîtrise d’ouvrage et l’ensemble des membres de l’association Équilibre des Énergies sollicitent les pouvoirs publics pour participer aux futures discussions sur la transition énergétique et y apporter leur...
Une idée reçue ou une réalité ? L’analyse des chiffres et résultats des sociétés de promotion immobilière sur 2011 nous révèle des difficultés à atteindre les sommets du passé.
Où en est le chantier des futures tours jumelles, Hermitage Plaza, concept mixte avec plus de 500 appartements neufs de luxe, qui doit se construire à Paris La Défense ?
Un autre dispositif, moins avantageux pour les investisseurs, doit être mis en place en 2013.
La ministre du Logement Cécile Duflot a confirmé mercredi "la mort du Scellier", dispositif fiscal pour les investisseurs achetant des logements neufs pour louer, et son remplacement en 2013 par un autre moins avantageux, avant le vote d'une grande loi au printemps. "La mort du Scellier" aura lieu "fin décembre" et ce dernier sera remplacé par un "autre dispositif" en 2013, a déclaré la ministre devant la presse, confirmant une annonce faite dans un entretien accordé fin juillet.
|
Après trois trimestres de baisse, le secteur a quelque peu retrouvé des couleurs fin 2014, selon la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). (LaVieImmo.com) - Le quatrième trimestre 2014 a marqué «le retour des investisseurs et la réapparition des accédants à la propriété », selon l'observatoire de la FPI. Les ventes se sont redressées à la fin de l'année, après neuf mois de baisse continue, tant pour ce qui est des investisseurs (+21,7 % sur un an), que des particuliers (+14,6 %). Autre bonne nouvelle, cette fois pour les acheteurs : « les prix de vente restent globalement assez stables et contenus par la légère baisse des coûts de construction ». Une année hors de l'eau Résultat : l'ensemble de l'année 2014 s'est soldé par 76 580 logements vendus, en hausse de 3 % comparé à 2013 (102 800 ventes en incluant les ventes en bloc et les résidences services). De quoi « sauver » l'année du marasme redouté, indiquent les promoteurs. Pour 2015, « les bases sont posées pour une reprise » poursuit l'étude. Reprise amorcée par le regain d’intérêt de la part des acheteurs fin 2014. Et la FPI de conclure : « tous les efforts devront être cependant maintenus et tous les élus convaincus qu’il leur faut désormais faciliter cette reprise avec l’ensemble des acteurs ».
Les mauvaises langues disent souvent que la fiscalité est le seul sport dans lequel le leadership de la France n’est jamais inquiété. Qu’en est-il de l’immobilier neuf ? Une étude récente dresse un portrait peu flatteur. Une fiscalité lourde pour l’acquisition d’un logement neuf Menée par le cabinet d’avocats Fidal à la demande de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), une étude publiée en fin d'année 2014 s’intéresse à la fiscalité pesant sur l’acquisition et la détention d’un logement neuf, sur la base d’un comparatif européen. En prenant en compte notamment les frais de notaire, les divers droits d’enregistrement et surtout la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), l’étude estime tout d’abord que l’imposition strictement liée à la construction et à l’acquisition d’un logement neuf correspond à 27 % du prix payé par le particulier. La France détient non seulement le record des pays étudiés, mais s’offre en plus une confortable avance : la deuxième place revient au Royaume-Uni, à seulement 20 %. A comparer avec l’imposition moyenne de 10 % à laquelle sont soumis les acquéreurs allemands. Chiffre clés Lorsque vous achetez un logement neuf, 27 % du prix correspond à des taxes. En 10 ans, un propriétaire va payer 29 % du prix d'achat du bien en taxes Les réjouissances ne s’arrêtent pas là, puisque l’étude s’intéresse également à la fiscalité moyenne qui s’applique pendant les dix premières années de détention. Elle prend bien sûr en compte la taxe foncière, mais également l’imposition sur le revenu et les cotisations sociales à payer en cas de mise en location du bien (ce calcul n’est donc pas pertinent pour une résidence principale). Au total, le contribuable devra débourser à nouveau l’équivalent de 29 % du prix d’achat du bien, contre 20 % au Royaume-Uni, 16 % en Allemagne ou seulement 3 % en Belgique. Le compte est bon Didier et Marianne, 35 ans, font l’acquisition d’une résidence principale de 120 m⊃2; pour la somme de 200 000 €. Les taxes incluent : Environ 16,4 % de TVA (moyenne du taux standard de 20 % et des taux réduits sur certains postes de dépenses), déjà incluse dans le prix d’achat, soit 32 800 €.Des frais de notaire de 3 %, soit 6 000 €.La taxe foncière de 1 300 € par an, pendant dix ans, soit 13 000 €.L’imposition totale sur dix ans (sans compter la taxe d’habitation) atteint 51 800 €, soit 30,98 % du prix du bien hors taxe.Un appel du pied aux autorités publiques ? Il est possible de trouver quelques défauts de conception dans l’étude, dont l’absence de prise en compte de certaines aides à l’accès à la propriété (subventions diverses, crédits d’impôt, prêt à taux zéro…) ou, dans le cas du locatif, les facilités offertes par le dispositif Pinel. Toutefois, le message de la FPI reste clair : un regain de compétitivité et de pouvoir d’achat des Français passera d’abord, et avant tout, par une refonte ambitieuse de la fiscalité de l’immobilier. Les points clés à retenirLa Fédération des promoteurs immobiliers pointe la taxation record de l’immobilier neuf en France.Notre pays arrive en tête du classement, tant pour l’acquisition que pour la détention d’un logement.Les promoteurs appellent à une modération fiscale dans leur cœur d’activité.
LOGEMENT - Pascal Bertrand, président de la Fédération des promoteurs immobiliers d'Aquitaine et de Poitou-Charentes, organise du 28 au 30 septembre le premier salon du logement neuf à Bordeaux. Dans un contexte tendu pour les promoteurs... Vous annonciez à la fin du premier trimestre une baisse des ventes des logements neufs dans Bordeaux de 60% par rapport à 2011. Quelle est la situation à ce jour? Elle s’est empirée. Selon les derniers chiffres, la baisse des ventes au deuxième trimestre est de 73%. C’est vraiment alarmant. Le marché de l’investissement s’est complètement arrêté en raison de l’arrêt du dispositif Scellier, or il représentait 75% du marché. Nous attendons donc avec impatience la loi d’orientation pour 2013, qui doit nous être présentée vendredi ou samedi. Quel nouveau dispositif attendez-vous? La ministre du Logement Cécile Duflot a présenté un nouveau dispositif, de type Scellier, avec des avantages fiscaux pour l’investisseur de l’ordre de 17 à 20% du prix d’achat en réduction d’impôt, contre un loyer inférieur de 20% par rapport à la moyenne des loyers constatée in situ. Ce serait dramatique car cela obligerait le promoteur à baisser son prix de vente de 20%, or il n’a pas cette marge, qui n’est que de 7,5%. Mais les loyers n’ont pas cessé d’augmenter ces dernières années. Vous pensez que l’investisseur ne pourrait réellement pas supporter une baisse de 20%? Bordeaux est un des marchés locatifs les plus bas de France, grâce aux investisseurs qui ont permis de maintenir des prix raisonnables. Nous sommes actuellement aux alentours des 15€ le m2 pour un studio, 12,50€ pour les T2, 10,50€ pour les T3, et en dessous des 10€ pour les appartements plus grands. Cette nouvelle mesure abaisserait donc le prix d’un T3 à 8,50€, soit les prix pratiqués dans l’habitat social. L’investisseur « lambda » va sortir sa calculette, et constater que cela ne passe pas… Et si le promoteur ne peut pas baisser ses prix, et bien il construira de plus petites surfaces. D’un T2 de 45 m2, la moyenne actuellement, on passera à 36 m2. Ce serait dommageable. Espérez-vous tout de même une reprise pour l’année prochaine? Nous avons la chance d’être dans une communauté urbaine dynamique. Les promoteurs ne vendent plus rien depuis un an, mais ils continuent de monter des projets, ce qui veut bien dire que la profession est optimiste. Je mise sur une reprise pour le deuxième semestre 2013.
La commission des Affaires économiques de l'Assemblée a adopté jeudi soir le projet de loi sur la mobilisation du foncier public qui prévoit la...
Le gouvernement Ayrault signera-t-il le retour du prêt à taux zéro plus (PTZ+) pour l'achat d'un bien immobilier ancien ? «Nous y pensons mais le débat n'est pas tranché», répond la ministre du Logement Cécile Duflot dans une interview au «Figaro». Fin 2011, l'Assemblée nationale a en effet décidé de réserver ce dispositif aux seuls logements neufs, en prévoyant de le maintenir dans l'ancien uniquement pour les acquisitions de logements appartenant à un organisme d'HLM.
Selon le baromètre du réseau immobilier Orpi, chiffres à l'appui, l'écart entre le prix souhaité par le vendeur et le prix définitif ne cesse d'augmenter. Tout comme les délais de vente. À en croire Bernard Cadeau, président du réseau immobilier Orpi, nous sommes entrés dans l'ère de «l'immobilier paradoxal». Un paradoxe qui tient au déséquilibre accru entre l'offre et la demande aussi bien pour les volumes que pour le type de biens proposés, tandis que les prix, eux, n'évoluent que très lentement.
Le Groupe TAGERIM développe chaque année de nombreux programmes de grandes qualités sur toute la France, c’est pour cette raison que la société ACHETERDUNEUF se réjouit de ce nouvel accord.
Selon les données chiffrées fournies par le ministère de logement, le marché du neuf est marqué par une chute majeure des ventes. Au cours du second trimestre 2012, en effet, le nombre des logements neufs vendus a reculé de 13,9 %. Il faut dire que la disparition prochaine du dispositif Scellier prévue à la fin de l’année, une défiscalisation accordée en cas d’achat de logements neufs, est loin de suffire pour inciter les éventuels investisseurs.
Focus sur une compétition de maisons écologiques solaires, Solar Decathlon, organisée en Espagne avec des équipes d'universitaires français, dont un projet grenoblois.
L'agence Karawitz réalise à Bessancourt (France) la deuxième maison française à être certifiée passive par le Passivhaus Institut. La valeur de cette reconnaissance est due au fait d'avoir construit un ouvrage exemplaire non seulement du point de vue du confort et de la durabilité environnementale mais aussi de celui de la composition architecturale.
Actualite du batiment, batijournal : Le double vitrage de demain sera plus mince et plus performant : Les chercheurs du projet Winsmart ont développé un nouveau vitrage isolant sous vide trois fois plus mince qu'un vitrage double usuel...
Emplacement, délais de livraison, défauts éventuels... Certaines précautions s'imposent quand on achète un logement qui n'existe encore que sur papier.
|