Plusieurs cas de « zoombombing », l’intrusion d’individus extérieurs dans les salles de classe virtuelles, ont poussé les autorités scolaires à réagir.
Aux Etats-Unis, plusieurs académies ont interdit l’utilisation de la plateforme Zoom dans les dispositifs de scolarité à distance mis en place pour limiter la propagation du coronavirus. La sécurité de l’outil de visioconférence est en effet remise en cause après plusieurs « zoombombings », explique le Washington Post, ce samedi.