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Les TPE-PME ont toujours été le parent pauvre de la formation en France. La taille est en effet le premier critère discriminant pour l’accès et l’investissement en formation. Les chiffres du Jaune Budgétaire sont éloquents en la matière.
Les pics de chaleurs estivales ont un impact directe sur la productivité des salariés. Pourtant, près d'une entreprise sur deux n'a pas les moyens d'y faire face.
La technologie de Tessian analyse les e-mails de l’entreprise pour reconnaître les modèles courants et détecter les anomalies.
Le règlement général de protection des données (RGPD) harmonise les règles européennes et offre un cadre juridique unique aux professionnels. Tout organisme traitant des données de résidents européens est concerné.
Une fois que vous avez procédé à la création de votre entreprise et obtenu votre immatriculation, vous allez devoir accomplir d’autres démarches le plus rapidement possible afin que tout soit en place pour démarrer votre activité avec sérénité. Le coin des entrepreneurs vous informe à propos de plusieurs démarches à accomplir juste après avoir créé votre entreprise : J’ouvre mon compte bancaire professionnel Sauf si vous avez choisi d’exercer en entreprise individuelle, vous allez devoir ouvrir un compte bancaire dédié à votre entreprise. Concernant le compte bancaire, voici les principales à retenir : Si votre entreprise est une société commerciale, vous devez ouvrir un compte bancaire professionnel si cela n’a pas déjà été fait préalablement (en cas d’apports en numéraire sur un compte bloqué dans un établissement bancaire). L’ouverture d’un compte est d’ailleurs obligatoire pour procéder au dépôt des apports en numéraire. Si votre entreprise est une entreprise individuelle, vous devez ouvrir un compte bancaire dédié à votre activité en cas d’option pour l’EIRL. Dans les autres cas, l’ouverture d’un compte dédié à votre activité est recommandée. Si vous ne respectez pas les règles au niveau du compte bancaire dédié à votre entreprise, vous encourez de graves sanctions en cas de contrôle par l’administration. Je débloque les apports déposés sur un compte bloqué Le déblocage des sommes relatives aux apports en numéraire libérés dès la constitution de la société s’effectue en communiquant votre extrait K-Bis au dépositaire des fonds (la banque en général). Ainsi, les fonds seront versés sur le compte bancaire de l’entreprise et ils pourront être utilisés pour payer vos dépenses, vos investissements, vos frais… Vous n’avez aucune obligation de conserver ces fonds sur le compte de l’entreprise ou sur un compte spécifique, ils peuvent être utilisés en intégralité. Par exemple, une entreprise ayant un capital social de 100 000 euros constitué avec des apports en numéraire peut très bien n’avoir aucune trésorerie sur son compte bancaire. Je vérifie les informations fiscales de mon entreprise Suite à l’immatriculation de votre entreprise, l’administration fiscale vous transmettra un courrier ayant pour objet la création de votre activité professionnelle. Dans ce courrier, l’administration fiscale indique les informations fiscales dont elles disposent à propos de votre entreprise. On y retrouve notamment : le type d’imposition des bénéfices (IS ou IR), le régime d’imposition des bénéfices (régime réel normal, régime réel simplifié, régime de la déclaration contrôlée, régime micro-entreprise…), le régime d’imposition à la TVA (régime réel normal, régime réel simplifié, régime de la franchise en base, régime des non-imposables). Vous devez vérifier les informations figurant dans ce courrier pour vous assurer que tout est correct. En cas d’erreur, il faut contacter le plus rapidement possible le service des impôts dont vous dépendez pour effectuer les corrections nécessaires. Je souscris les contrats d’assurance nécessaires Avant de débuter votre activité, il est important de couvrir votre entreprise contre tous les risques auxquels elle peut être confrontée. La typologie des assurances à souscrire dépend de la nature de votre activité et de ses modalités d’exercice. Dans tous les cas, il faut au moins souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle ou une assurance multirisque professionnelle. Ensuite, dans certains secteurs d’activité, des assurances sont obligatoires. C’est par exemple le cas dans le secteur du bâtiment avec l’assurance décennale. De plus, si vous avez des besoins spécifiques au niveau de votre protection sociale et/ou de vos droits à la retraite, il faut souscrire les contrats d’assurance complémentaire nécessaires (complémentaire santé, retraite complémentaire, prévoyance). Enfin, si vous embauchez du personnel, vous avez l’obligation de souscrire un contrat d’assurance complémentaire santé pour tous vos salariés qui ne disposent pas déjà d’une couverture complémentaire. Je fais adhérer l’entreprise à une caisse de retraite Une fois que votre entreprise est créée, vous devez adhérer à une caisse de retraite dès lors que vous embauchez votre premier salarié. Lorsque vous n’embauchez pas de salariés, cette adhésion n’est plus nécessaire depuis le 1er janvier 2018. En effet, toute entreprise nouvellement créée est exemptée de l’obligation de s’affilier à une caisse de retraite complémentaire. Ce n’est qu’à l’embauche de votre premier salarié que vous devez effectuer la démarche d’adhésion. Cet outil proposé sur le site agirc et arrco vous permettra de réaliser cette démarche simplement : agirc-arrco. Je mets en place la facturation et la comptabilité Dès que l’activité de l’entreprise démarre, il faut que votre système de facturation soit mis en place afin de pouvoir délivrer vos premières factures. Tout d’abord, vous devez vous renseigner à propos du fonctionnement de la facturation et des règles à respecter. Pour cela, vous pouvez lire ce guide : Gérer la facturation. Ensuite, vous allez devoir choisir votre logiciel de facturation et le paramétrer correctement. Si vous souhaitez gérer vous-même la saisie de votre comptabilité, nous vous conseillons d’utiliser une application qui gère à la fois la facturation et la comptabilité. Cela vous permet d’avoir un enregistrement automatique en comptabilité de toutes les factures clients que vous établissez. Concernant la mise en place de la comptabilité, nous développons ce sujet en détail dans ce dossier : Comment mettre en place sa comptabilité ? Si cela n’est pas déjà fait, vous devez choisir un cabinet d’expertise comptable (sauf si vous gérez toute votre comptabilité vous-même). De plus, si vous êtes à l’impôt sur le revenu et sous un régime réel (réel simplifié, réel normal, déclaration contrôlée) au niveau des bénéfices professionnels, vous devez adhérer à un centre ou une association de gestion agréé. Notre partenaire expert-comptable peut vous proposer un devis gratuit pour gérer votre comptabilité : Plus d'infos ICI. Pierre FACON – Webmaster du coin des entrepreneurs Dirigeant de F.C.I.C, édition et gestion de sites sur la création et la gestion d’entreprise. Conseiller en création d’entreprise.
En 2018, beaucoup de choses changent pour les auto-entrepreneurs. Concernant leur comptabilité, quels sont les nouveautés et les outils sur lesquels ils peuvent s’appuyer ? La comptabilité des auto-entrepreneurs en bref L’auto-entreprise et le micro-entrepreneur ont l’obligation d’éditer des...
Une nouvelle procédure permet à l'administration d'effectuer un contrôle fiscal à distance : l'examen de comptabilité. Et toutes les entreprises sont concernées !
La CNIL et Bpifrance ont présenté, mardi 17 avril 2018, un guide pratique à destination des dirigeants de TPE et de PME. Le but? Préparer aux mieux les chefs d'entreprise aux...
Le réseau associatif national d’aide à la création d’entreprises, BGE, organise sa 3e Semaine des TPE du 26 au 30 mars 2018. Objectif : mettre à l'honneur les
Chaque année, Audecia et Price WaterHouse Coopers publie « Gestion de la PME », le guide pratique du chef d’entreprise. Véritable viatique pour les dirigeants de TPE/PME, mais... - Economie
Le taux de l'impôt sur les sociétés sera ramené de 33 1/3 % à 25 % pour toutes les entreprises d'ici à 2022.
Dirigeant de PME, découvrez les résultats d'une enquête de BPI , elle met en évidence les atouts d'une PME et recommande les meilleures stratégies pour attirer et fidéliser les talents qui vont booster votre croissance.
Comment augmenter sa part de marché ou ses revenus quand on est déjà à bloc ? C'est la question sur laquelle planchent en ce moment les géants du numérique. Cette recherche des profits futurs conduit les GAFAM à s'affronter sur le terrain des assistants personnels, un marché très récent, mais avec un énorme potentiel disruptif.…
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Avoir un expert-comptable présente beaucoup d’avantages et aussi quelques inconvénients. Le tout étant de le savoir dès le début et de mesurer le pour et le contre. Synthèse des avantages et des inconvénients de décider d’externaliser votre comptabilité.
Avoir une entreprise demande beaucoup de fonds et une organisation assez rigoureuse. Il est alors évident que le chef d’entreprise à lui seul ne peut pas s’occuper de toutes les différentes tâches à effectuer.
Startup Sesame a développé un réseau de 35 événements partenaires dans 20 pays, comme Slush, Hello Tomorrow et Web2day. Interview de Ben Costantini, co-fondateur et CEO de Startup Sesame.
Dans le contexte de la journée mondiale du mot de passe #WorldPasswordDay et l'arrivée à grands pas de la RGPD, les startups doivent être extrêmement vigilantes aux questions de cybersécurité.
Il faut savoir prendre le temps d'analyser vos dépenses pour mieux optimiser vos achats. Entre définition des besoins et choix du fournisseur, cette démarche peut être l'assurance d'économies.
Il est possible de modifier librement la date de clôture de son exercice comptable. Cette opération, qui est susceptible de limiter l’impôt et les cotisations sociales, permet de s’adapter à la conjoncture économique et à la vie de l’exploitation. Tout chef d’exploitation peut modifier librement sa date de clôture d’exercice. Mais quel est l’intérêt de changer de date d’arrêté comptable ? « Cette opération de gestion vise à adapter au mieux la date de clôture à la situation de l’entreprise. Les motivations sont diverses : elles peuvent être conjoncturelles, fonction des productions, de la...
Les profits sont l’angoisse de l’entrepreneur en France. Non seulement, ils sont inavouables et donnent lieu à une stigmatisation systématique, mais ils déclenchent une série de processus fiscaux anxiogènes. Quand on est entrepreneur, mieux vaut ne pas gagner d’argent dans ce pays… Avec les profits prétendument records du CAC 40 (redisons-le: ils n’ont pas retrouvé leur niveau de 2006 et sont donc plus inquiétants que réjouissants pour les actionnaires), les entrepreneurs sont ramenés à leur propre angoisse du résultat. Dans un pays normal et équilibré, un pays qui ne serait pas dominé par la conscience coupable caractéristique de l’héritage monothéiste, l’entrepreneur dont l’entreprise dégage des profits serait heureux de l’afficher. En France, c’est l’inverse. Quand vient le moment de répondre à la question: « Et ta boîte, comment elle va? », la nervosité monte. Voilà bien un malaise qu’on ne soupçonne pas quand on est salarié. Mais, à mesure que l’année défile et que la perspective de clôturer les comptes approche, on sait si on a fait ou pas une « bonne » année. Et là, la tension se fait plus forte. Non parce qu’on n’a fait un mauvais chiffre, mais parce qu’on en a fait un bon. D’abord, il va falloir esquisser le bilan avec l’expert-comptable et mettre un chiffre sur la ligne: profits. L’entrepreneur normalement constitué regarde immédiatement sa trésorerie et demande à l’expert-comptable: « ça fait combien en impôts? » Et là, le nez commence à se tordre. On mesure tout de suite qu’on a été mal avisé de ne pas prendre les devants. Ah! que l’argent serait mieux utilisé s’il servait à investir, à faire de la croissance externe, ou augmenter massivement les salaires. Le problème des augmentations salariales, c’est évidemment que tout est fait, en droit français, pour dissuader de les pratiquer. Faire passer à un salarié le stade des 2,5 SMIC conduit à le sortir des dispositifs d’allègements et donc oblige à bien calculer l’énorme surcoût auquel on s’expose d’un coup. Et en cas de retournement de la conjoncture, on est marron. Réduire le salaire est à peu près impossible. Bref, tu as fait des profits et tu es un couillon. Tu ne mérites plus de vivre libre. Comme le répètent les bien-pensants et les médias, l’entreprise n’est pas là pour faire du profit, mais pour s’occuper de tout un tas d’autres choses. D’abord, tu dois faire de l’emploi. Mais pas n’importe lequel. Tu dois bien faire attention à recruter des femmes, des handicapés, et des minorités visibles. Idéalement, si tu trouves une malienne voilée et cul-de-jatte, tu es un héros de la Nation, à condition de prouver que tu la paies aussi bien que le connard de mâle blanc diplômé et entier que tu as l’idée coupable de recruter l’an dernier. Si tu as recruté un petit poulbot qui avait les bonnes compétences avant de recruter une femme musulmane qui a quitté l’école à quinze ans et qui n’a jamais vu un tableur Excel, c’est probablement parce que tu es raciste. Donc il faut que tu te justifies. Ensuite, tu dois faire tout un tas d’opérations obscures pour prouver que tu n’es pas un salaud de patron capitaliste. Par exemple, tu ne dois pas recruter trop de stagiaires, mais tu dois prendre des apprentis. Tu dois respecter l’environnement. Tu dois vérifier que tes données informatiques sont conformes à une multitude de textes dont tu ne soupçonnes même pas l’existence. Tu dois t’assurer que les écrans de tes ordinateurs ne donnent pas mal aux yeux de tes collaborateurs. Bref, tu es patron, tu as la mauvaise idée de faire des profits, mais tu n’as pas passé assez de temps à te préoccuper de tout ce qui n’est pas ton métier. Du coup, tu ne fais pas faillite, tu ne demandes pas de subvention et tu as la mauvaise idée de ne dépendre de personne. Et ça, le système, il n’aime pas. Pour te ramener dans le droit chemin, la loi va changer. Le brillant Bruno Le Maire, qui n’a jamais mis les pieds dans une entreprise et qui va depuis toujours du denier public, va venir t’expliquer qu’une entreprise, ce n’est pas seulement le profit, mais c’est beaucoup plus que ça. Je crois bien qu’on avait compris. En France, mieux vaut rater que réussir. Article écrit par Eric Verhaeghe pour son blog A découvrir
En tant que chef d'entreprise vous avez de nombreuses formalités et obligations à respecter. Au regard de cela il est facile de s'y perdre. En cas de non-respect vous risquez une sanction. La liste de ces documents et registres obligatoires diffère selon la taille de votre entreprise. Vous trouverez ici la liste des documents que vous devez impérativement mettre à disposition de votre personnel dans votre petite ou moyenne entreprise (PME).
Un expert-comptable peut délivrer des devis. Ces derniers permettent aux entreprises d'effectuer des comparaisons. Mais avant cela, il est important d'analyser leur contenu. Voici les points importants à vérifier dans un devis d'expert-comptable.
En tant que chef d'une petite ou moyenne entreprise, vous avez besoin d'un petit coup de pouce pour vous aider dans la gestion comptable et financière ? Vous souhaitez réduire les coûts au maximum, cependant impossible de vous passer d'un bon expert-comptable en ligne. On a la solution parfaite pour vous !
Réussir avec le Web réunit de plus en plus de partenaires spécialistes de la transformation numérique et l’accompagnement aux entreprises
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