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"Conçu comme un carrefour des publics et des savoirs, le Festival de l’histoire de l’art (FHA) propose gratuitement pendant trois jours conférences, débats, visites, concerts, expositions, projections, lectures et rencontres au sein du château ainsi que dans plusieurs sites de la ville de Fontainebleau, à Avon et à Milly-la-Forêt. Événement convivial et ouvert, la manifestation a pour ambition de rassembler tous les publics, amateurs et professionnels."
Via Réseau Canopé
Le Pays d'Art et d'Histoire forme les « ambassadeurs » du patrimoine
Crédit photo : © Pays d’art et d’histoire des vallées d’Aure et du Louron "Suite à une demande croissante d’information des populations sur le patrimoine, les élus de la Communauté de Communes Aure Louron ont souhaité que le Pays d’art et d’histoire des vallées d’Aure et du Louron organise une journée de sensibilisation dans un souci d’améliorer l’accueil et la médiation autour du patrimoine religieux. Cette journée de rencontre et de formation a eu lieu mardi 16 mai à Arreau et Jézeau.
Une trentaine de personnes (bénévoles ou membres d’associations qui œuvrent à la valorisation des églises notamment en les ouvrant au public) ont participé à cette journée. La présence du diocèse et des curés des paroisses d’Arreau-Sarrancolin-Louron et de celle de Saint-Lary ont permis d’apporter un éclairage sur le rôle de chacun : la commune en tant que propriétaire de l’édifice ; le curé en tant qu’affectataire et donc responsable de l’utilisation de l’église.
La journée avait pour objectif d’apporter des connaissances sur l’histoire et l’architecture des édifices, ainsi que sur les peintures murales, les retables et autres mobiliers qui font la richesse des églises des vallées d’Aure et du Louron. Il s’agissait également de donner aux participants quelques notions pour savoir présenter un édifice face au public, sans en faire des guides-conférenciers. L’après-midi, la visite guidée de l’église de Jézeau par Quentin Massias, guide-conférencier au Pays d’art et d’histoire, leur a permis de voir sur le terrain le déroulement d’une visite guidée.
Les participants ont montré un vif intérêt pour cette formation, et vont pouvoir devenir des « ambassadeurs » du patrimoine local auprès des visiteurs.
A travers cette opération, le Pays d’art et d’histoire, en lien avec les collectivités locales et l’évêché, est un soutien pour ces « ambassadeurs » qui ont une forte volonté à ouvrir l’église de leur village." Le Pays d'Art et d'Histoire des vallées d'Aure et du Louron
Via Philippe Villette
Roubaix : l'usine La Lainière au coeur d'un romanNord Eclair.fr37 ans plus tard, le même Vincent Di Martino est l'auteur du roman Le couloir de l'horloge, un hommage à "son" usine.
Via Murielle Lucie Clément
Fondée en 1911, La Lainière de Roubaix est morte depuis 17 ans et il ne reste plus qu’un bâtiment historique sur les 17 ha de son gigantesque cadavre aux confins de Roubaix et Wattrelos.
Via CAUE du Nord
Souvent dédaignée, l’architecture des ceintures urbaines peut parfois bénéficier d’un classement qui empêche sa destruction.Sauvegarder le patrimoine de banlieue, une question politiqueLes touristes iront-ils un jour visiter des HLM en «banlieue» comme ils le font pour des châteaux de style classique ? A Marseille, la Cité radieuse de Le Corbusier attire déjà plus de 50 000 curieux par an, une revanche pour la «Maison du fada», qui passa longtemps, après son inauguration en 1952, pour l’archétype du béton moche et des logements en cubes sans intérêt. Mais l’œil s’y est fait. Les riverains n’appellent plus à dynamiter les créations du «Corbu», qui ont même fait leur apparition sur la liste des Monuments historiques, ce qui encourage le tourisme et interdit de les démolir. Ces HLM sont ainsi protégés depuis 1995, tout comme les autres «cités radieuses» de l’architecte, à Rezé (Loire-Atlantique) ou Briey (Meurthe-et-Moselle). Le classement de l’œuvre du Corbusier au patrimoine mondial de l’Unesco en 2016 est venu renforcer cette protection. ReconnaissanceLa banlieue a rarement droit à son inscription aux Monuments historiques. Hormis quelques constructions des années 30, comme les Dents de scie, regroupant quarante logements à Trappes (Yvelines), rangés sur la liste en 1992. La Cité 212 Germain-Dorel du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), conçue dans le style viennois, a été classée quatre ans plus tard. «On accepte l’architecture des années 30 [souvent Art déco] voire celle des années 70, mais on est toujours frileux avec les réalisations des Trente Glorieuses», constate Bernard Toulier, conservateur général honoraire du patrimoine. «Il est vrai que ce n’est pas une période faste pour l’architecture, comme le montrent les temples du béton, les grands ensembles comme à la Grande Motte. Mais il faut admettre cette postérité.» Aujourd’hui conseiller de l’association Sites & Monuments, Toulier a contribué à créer, en 1999, le label «Patrimoine du XXe siècle», qui protège autant que possible les lieux menacés de démolition. Des dizaines de sites ou édifices entrent dans cette antichambre de la reconnaissance (avant une possible estampille Monument historique) : usines, gares, églises, barrages de montagne, blockhaus sur les côtes de l’Atlantique… Et donc, cités de banlieue. Plus ou moins oniriques, disposées en barres ou en tours, en région parisienne et ailleurs, les réalisations d’Emile Aillaud bénéficient de cette demi-protection. Il est donc légal de raser la Cité Picasso (à Nanterre), l’Abreuvoir (Bobigny et Drancy) ou encore la Grande Borne (Grigny et Viry-Chatillon), mais l’architecte en chef des bâtiments de France est tenu de donner son avis et peut, en théorie, suspendre la destruction. A Pantin, c’est davantage la concertation entre habitants et pouvoirs publics qui a évité un massacre architectural aux Courtillières, autre bébé d’Aillaud. «Appétits»Bernard Toulier propose ainsi une mobilisation de l’opinion autour du patrimoine de banlieue, «une question davantage sociale qu’esthétique», souligne-t-il. «Dans les années Jack Lang, de grandes expositions sur les gares ont éveillé les consciences et suscité des travaux de réhabilitation respectueux. Il faudrait organiser une grande expo sur la banlieue au Centre Pompidou. Mais le ministère de la Culture a-t-il aujourd’hui le poids nécessaire pour faire respecter son patrimoine face aux appétits des collectivités locales et aux promoteurs ?» Pierre Carrey
Via Logement Consult
UNESCO encourages international peace and universal respect for human rights by promoting collaboration among nations. Its mission is to contribute to the building of peace, the eradication of poverty, sustainable development and intercultural dialogue.
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Après s'être longuement mobilisés contre la déréglementation et l'ubérisation de leur profession et avoir, en partie, obtenu gain de cause, les guides-conférenciers du SPGIC ont signé un accor
Via Murice Rodolphe
Quelles aides à l’emploi peut-on toujours mobiliser dans le contexte actuel de réduction de ces dispositifs ? Quelles aides spécifiques pour le secteur culturel ?
Via Aurelien Guillois
Le photographe lillois Éric Le Brun a parcouru le quartier de La Lainière, entre Wattrelos et Roubaix, durant l’été. Il a retenu 24 clichés pour monter « Comme des flocons de laine », une exposition à l’extérieur de la Maison du projet pour laquelle il a invité son aîné, Gérald Bloncourt, qui avait photographié cet univers ouvrier dans les années 50-60.
Via CAUE du Nord
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