Les associations bretonnes et du patrimoine bretons sont inquiètes. Selon elles la Poste multiplie les conseils aux municipalités pour simplifier les nouveaux noms de rue bretonne.
Face à la levée de boucliers à la suite de ses propos sur l’école immersive, Jean-Michel Blanquer veut calmer le jeu. Le ministre de l’Éducation nationale a publié un communiqué ce jeudi dans...
Après les vives polémiques provoquées par les propos du ministre de l'Éducation nationale sur l'enseignement immersif des langues régionales, ce 23 mai, Jean-Michel Blanquer a publié un communiqué...
Les langues régionales ? Mais la France les adore, voyons... sauf quand il s'agit de passer aux actes. Illustration en Corse… Michel Feltin-Palas, rédacteur en à L'express, publie un excellen...
Sàlu bisàme, wie geht’s ? L’Office pour la Langue et les Cultures d’Alsace (OLCA) et l’association e Friehjohr fer unseri Sproch lance dès demain – mercredi 20 mars – la 18e édition de la fête de la langue régionale.
Des occitanistes ont manifesté au centre de Toulouse pour protester contre la réforme de l’Éducation nationale, qu'ils jugent « nuisible à l'enseignement de l'occitan ».
Intervention de Fanny Chappé sur la nouvelle politique linguistique de la Région Bretagne en faveur du breton et du gallo, lors de la session plénière du Con...
Intervention de Jean-Michel Le Boulanger sur la nouvelle politique linguistique de la Région Bretagne en faveur du breton et du gallo, lors de la session plé...
Une contre-attaque, c’est Enep-argad. Un écran de retard, c’est Skramm daleet et encore un fade away jumper, c’est un Tenn war-gil. A l’occasion du derby contre Nantes -une ville que les Bretons voudraient voir revenir dans leur Région-, l’UJAP Quimper a sorti un lexique « le basket en breton » sous forme d’un livret. « Ce lexique entre dans le cadre du programme d’UJAP Citoyen concernant la langue bretonne. Ce programme tend à favoriser les échanges en breton, en anglais et en français pour montrer que le breton est une langue vivante qui sait s’adapter à tous les pans de la société. L’UJAP remercie Produit en Bretagne, Keven Ar Fur créateur du lexique et Directeur de l’école Diwan à Quimper et son partenaire K Unique qui ont réalisé ce lexique », explique le club. Vous pouvez le découvrir ici. Lire aussi... (et ce ne sont PAS des pubs) Pro B : Bernard King prolonge à Quimper L'UJAP Quimper vient d'annoncer la prolongation de contrat de Bernard King (1,96m, 37 ans). Le vétéran qui a été décisif dans le maintien du club breton en Pro B sera toujours sous les... Lire la suite Pro B : Quimper prolonge son meneur titulaire Maxime Choplin Monté en Pro B avec l'UJAP l'été dernier, Maxime Choplin (1,81m, 25 ans) va continuer l'aventure avec le club breton pour une année supplémentaire, indique le club. Promu en Pro B cette... Lire la suite N1: Quimper obtient son laissez-passer pour la Pro B Menée un temps de 19 points, l'UJAP Quimper a réussi à renverser la vapeur à Souffelweyersheim pour s'imposer au cours d'une prolongation qui a vu les Alsaciens s'effondrer (92-79). Déjà... Lire la suite
La Lorraine est riche de ses langues régionales. Si le Lothringer Platt reste parlé par des dizaines de milliers de personnes dans le Nord et l’Est lorrains, la pratique du Lorrain roman et du Vosgien est désormais confidentielle.
Les « Jornadas Occitanas » (Journées Occitanes) sont des actions de sensibilisation à l'occitan auprès des lycéens de la Région Nouvelle-Aquitaine, commanditées par l'Oplo (Office public de la langue occitane) et organisées par l'EPCC CIRDOC-Institut occitan de cultura.
Les propos tenus par JM Blanquer le 16 mai lors du débat sur la loi Ecole de la confiance mobilisent les partisans des langues régionales. En réponse à un amendement, le ministre de l'éducation nationale avait tenu des propos durs contre l'enseignement immersif des langues régionales estimant qu'il pose problème sur le plan pédagogique et qu'il est anti constitutionnel. Devant la montée des critiques JM Blanquer tient maintenant des propos apaisants. L'enseignement immersif condamné le 16 mai... "Ce que recouvre la notion de maternelle immersive, c’est le fait que les enfants ne parlent que la langue régionale... Dans une perspective précisément cognitive, on pourrait dire que cette politique n’est pas positive, a fortiori si l’enfant est placé dans la situation d’ignorer la langue française". Le 16 mai en fin de soirée, le débat feutré sur la loi Blanquer bascule dans la polémique. Deux sénateurs, A Marc (indépendants) et Ronan Dantec (RDSE) proposent un amendement renforçant l'enseignement immersif. Cela semble une formalité quelques semaines après les engagements pris par le premier ministre en Bretagne en février et un premier échange entre JM BLanquer et un député à l'Assemblée le 16 février. Or le 16 mai, JM Blanquer bloque sur l'enseignement immersif. "En clair, sur le plan pédagogique, l’immersion pose une véritable question... Puisque les expériences immersives ont commencé il y a quelques années, acceptons-en l’augure – elles ont été faites, c’est une réalité. Comme il s’agit d’une expérimentation, celle-ci doit être évaluée. S’il en ressort quelque chose de très positif sur le plan pédagogique, peut-être pourrons-nous aller plus loin. En attendant, nous ne saurions le consacrer d’un point de vue strictement juridique... La proposition consistant à consacrer prématurément l’immersion est anticonstitutionnelle". Il s'attire les foudres de Ronan Dantec qui lui dit "je pense que vos propos, monsieur le ministre, seront extrêmement commentés. Je vous le dis en toute sincérité, ils sont extrêmement datés". Et "intéressant" le 23 mai... Selon France info, JM Blanquer vient de prendre une position nettement différente et particulièrement de céder sur les copies d'examen rédigées en langue régionale. " Dans le cadre de la réforme du baccalauréat 2021, il sera proposé aux lycéens qui le souhaitent de composer les épreuves de contrôle continu d’histoire-géographie et d’enseignement scientifique en langue régionale", dit le ministre. "L’attractivité des langues régionales passe par des modalités d’enseignement innovantes. Chacun reconnaît l’intérêt du plurilinguisme pour le développement cognitif des enfants... C’est ce que devra confirmer l’évaluation en cours pour le cas spécifique des langues régionales. Dans ce cadre, l’enseignement immersif est une modalité intéressante dès lors qu’elle respecte le cadre constitutionnel." F Jarraud Sur France info Au Sénat le 16 mai
Les Archives Départementales de la Dordogne organisent une journée de rencontres consacrée à la collecte, la conservation et la valorisation du patrimoine culturel immatériel occitan de la Dordogne, dans le cadre de l’exposition Jean Roller et en partenariat avec l’Ethnôpole occitan...
24 Likes, 2 Comments - E2C Guyane (@e2c_guyane) on Instagram: “Communiquer en langues régionales : Concours de Karaoké - les stagiaires ont traduit les paroles…”...
Les défenseurs de la langue occitane se retrouvent ce dimanche après-midi à Toulouse.Ils manifesteront contre un projet de réforme qui risque de pénaliser...
Remarques ce courrier a été accompagné d’un tableau comparatif mettant en évidence les graves effets de la réforme : 1811-03 Comparaison place LR dans RL Tableau visualiser la version PDF du courrier : 1811-02-FELCO-M.E.N.-réforme du lycée et enseignement des langues régionales Yan LESPOUX Président de la FELCO à Monsieur le Ministre de l’Éducation Nationale Monsieur l’Inspecteur Général des langues de France Monsieur le Conseiller langues régionales Objet : réforme du lycée et du baccalauréat et situation des langues régionales Notre association a pris connaissance de la réponse du Ministère, datée du 26 juillet, aux questions que nous posions à propos des conséquences de la réforme du lycée et du baccalauréat sur l’enseignement des langues régionales. Nous savons que ces questions ont été relayées par un certain nombre d’élus que nous remercions de leur soutien. Nous avons donc soumis cette réponse à nos adhérents, et, après une rentrée qui s’est avérée compliquée pour beaucoup d’entre eux, le moment est venu de vous faire part, Monsieur le Ministre, des remarques que la réponse du vos services nous inspire. « Le cadre d’enseignement des langues régionales au Lycée n’est en rien modifié par la réforme du baccalauréat », y lit-on : cette affirmation audacieuse (pour ne pas dire cette fausse nouvelle !) n’a que peu de rapports avec la réalité, comme le montre assez clairement le tableau en annexe (1811-03 Comparaison place LR dans RL Tableau). – Qui peut croire que la suppression de la série L n’a aucune incidence sur ce « cadre d’enseignement » ? Dans cette série, il était possible de choisir la langue régionale comme LV2, à l’écrit comme à l’oral, avec un coefficient 4 représentant un peu plus de 10 % de la note finale. Ce coefficient était doublé si l’élève choisissait l’enseignement dit approfondi. La langue régionale pouvait par ailleurs être choisie comme LV3. – Dans les autres séries (ES et S, voie technologique), l’occitan pouvait être choisi, mais en LV2 seulement, et avec des coefficients nettement moins avantageux. Comme par hasard, après fusion des anciennes filières, c’est par le bas que l’harmonisation a été effectuée : la « réforme » proposée conserve la LV2 (désormais appelée LVB), et elle seule, dans le cadre des enseignements communs, sur le mode du contrôle continu, avec un coefficient qui ne représente plus que 6 % de la note finale. Et on serait là dans un « cadre d’enseignement modifié en rien » ? On pourra encore, nous dira-t-on, choisir une langue régionale en troisième langue vivante (LVC dans la terminologie nouvelle). Cette possibilité ne s’inscrit plus dans le cadre des enseignements communs jusqu’ici possibles en série L, mais uniquement comme enseignement optionnel, en concurrence avec quatre autres options. Par ailleurs, dans la voie technologique, cela n’est autorisé que pour une filière (hôtellerie et restauration). Pour les deux épreuves facultatives possibles jusqu’ici, seuls étaient pris en compte les points au-dessus de 10, avec un coefficient 2 en première option et 1 en seconde option facultative. Avec la réforme il n’y aura plus qu’une option facultative pour les langues et cette seule option possible n’aura plus d’attractivité car elle ne représentera plus que 1% de la note finale et qu’elle pourra faire perdre des points, ce qui n’est pas le cas actuellement. Au passage, depuis des années, les associations de promotion des langues de France (et la FELCO encore il y a quelques semaines à peine) demandaient que ce coefficient soit aligné sur celui dont bénéficient les langues anciennes (coeff. 3) : cette demande, qui pourtant ne coûtait rien, n’a jamais été prise en considération sans qu’aucune explication ne nous soit jamais fournie. Or, dans la réforme proposée, non seulement les langues anciennes conservent leur coefficient, mais elles se trouvent la seule option cumulable avec une autre. Est-il à ce point absurde de réclamer le même statut pour des langues qui appartiennent au patrimoine national selon l’article 75-1 de la constitution ? Une énigme que nous soumettons à votre sagacité, à propos des candidats n’ayant bénéficié d’aucune préparation dans leur lycée, qui pouvaient jusqu’ici présenter cette option facultative en candidat libre. Or, désormais, on se trouve face à deux textes qui se contredisent. Pour l’un, l’accès à l’épreuve est désormais subordonné à l’inscription dès la classe de première à un cours organisé dans l’établissement : de tels cours étant loin d’être proposés partout, faute d’enseignants en nombre suffisant, on mesure quelle déperdition cela en-traînerait. Mais voilà que dans un «projet d’arrêté de Contrôle continu » on lit : « Les candidats qui ne suivent les cours d’aucun établissement, les candidats scolarisés dans les établissements d’enseignement privés hors contrat et les candidats inscrits au Centre national de l’enseignement à distance sont, à la fin de l’année de terminale, convoqués par le recteur de l’académie de leur résidence ou par le vice-recteur à une épreuve ponctuelle pour chaque enseignement faisant l’objet du contrôle continu. ». Qui croire ? On remarque par ailleurs qu’il n’y aura plus de parcours d’excellence avec la possibilité d’évaluer le niveau B2 alors que cela était possible avec la LV2 de spécialité et que les parcours bilingues ne sont pas pris en compte. L’ensemble de ces modifications, toutes plus dévalorisantes les unes que les autres, risque de dégrader l’image de l’enseignement de la langue régionale aux yeux des élèves. Le ministère aura dès lors beau jeu d’en conclure à la non-attractivité de notre discipline, et il est peu probable que cela l’incite à prendre des mesures propres à lui restituer cette attractivité. Qui dès lors osera blâmer certains des membres de notre association d’en conclure que le but inavoué et inavouable du ministre est tout simplement de saborder cet enseignement ? Pour résumer, la réponse lénifiante concédée par le ministère à nos demandes, ainsi qu’à celles de nombreux élus, ne peut en aucun cas être considérée comme satisfaisante. Les professionnels qui se dévouent à la promotion des langues de France ne sauraient l’accepter. C’est la raison pour laquelle nous demandons une véritable concertation pour que soient opérés les réajustements nécessaires permettant une véritable relance de l’enseignement des langues régionales conformément aux besoins, aux engagements de la France et de son président. Notre association, en synergie avec les associations de promotion des autres langues vivantes et avec les organisations syndicales ne manquera pas, d’ores et déjà, de transmettre aux élus et aux organisations syndicales sa lecture argumentée de la réforme et de leur demander d’intervenir auprès du ministère pour qu’il mette fin à ce qui ne peut pas être vu autrement que comme une attaque frontale contre l’enseignement de l’occitan et des autres langues de France.
Intervention de Philippe Hercouët sur la nouvelle politique linguistique de la Région Bretagne en faveur du breton et du gallo, lors de la session plénière d...
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