Biodiversité

La truite commune (Salmo trutta), hôte emblématique des cours d’eau froids et oxygénés d’Europe et d’ailleurs, est sans doute l’un des poissons d’eau douce les plus connus et étudiés au monde. Pourtant, sa biologie et notamment ses déplacements au sein du réseau hydrographique recèlent encore de nombreuses zones d’ombre, en particulier en montagne. Cette synthèse porte sur l’atelier scientifique ayant rassemblé en 2021 chercheurs, gestionnaires et experts francophones de l’espèce.

La surveillance de l’insecte porte sur l’intensité des dégâts de la chenille, sur l’observation des niveaux de populations, sur les anomalies éventuelles au niveau de sa biologie ainsi que sur l’évolution de l’aire de l’insecte.

La 3e campagne consécutive de suivi du puffin des Baléares a permis à l’Office français de la biodiversité et ses partenaires d’acquérir des données sur cette espèce dans les eaux de l’ouest et du nord de la Bretagne.

Dans ce 13e numéro, venez découvrir comment mieux inclure la nature dans nos villes, au bénéfice mutuel de tous les êtres vivants.  Avec les regards croisés d’historiens, géographes, urbanistes, architectes, biologistes, écologues, juristes, philosophes, interrogeons-nous sur notre rapport au vivant et nos manières de cohabiter.  Retrouvez des enquêtes, interviews, reportages-photos et dessins qui éclaireront cette problématique.

30 ans après l'ouverture de la Grande Galerie de l’Évolution, site emblématique du Muséum qui s'affirme plus que jamais comme un lieu de questionnement, quelle vision avons-nous de notre planète aujourd'hui ? Que savons-nous que nous ignorions il y a 30 ans ? Quel est l’avenir de notre planète et des espèces qui y vivent, y compris la nôtre Homo sapiens ? Quelles solutions sont envisageables à notre échelle de citoyens et à celle des gouvernements ?

Ce projet vise à élaborer et diffuser un référentiel complet des syntaxons jusqu’au niveau de l’association végétale, et ainsi améliorer significativement la connaissance des végétations présentes sur le territoire métropolitain.

L’objectif principal est d’apporter des clés de compréhension sur ce qu’est ce groupe des Petits Mammifères et surtout comment mieux les étudier tout en respectant certaines règles, notamment éthiques.
La majorité du document est organisée sous forme de fiches. La structuration du Guide offre deux entrées de lecture : par technique d’étude ou par espèce.

La revue Insectes vient de paraitre ! Découvrez le monde des insectes et approfondissez vos connaissances autour de différents thèmes : biologie, élevage, histoire, place dans les arts, photographie…

Cette année, les journées du vivant et de la Terre organisées à Rouen par le collectif Biogée ont pour thème les microbiotes. Rencontre avec Marc-André Selosse, président du collectif Biogée, organisateur de l’événement.

La protection des zones humides joue un rôle clé dans l’adaptation des oiseaux au changement climatique. Pourtant, nombre d’entre elles ne sont toujours pas protégées.

Compte tenu des stratégies de mobilité très variées des espèces animales et végétales concernées – voler, ramper, nager, vivre enraciné – et des contextes environnementaux multiples, les chercheurs s’attendaient initialement à ce que la répartition des espèces varie considérablement d’une biorégion à l’autre. Or, ils ont observé la "même tendance" partout.

La "règle" qu'ils ont pu formaliser est simple : dans chaque région terrestre ou marine, la plupart des espèces se concentrent dans de petites zones, puis se propagent progressivement vers l'extérieur. Ainsi, à mesure qu'elles s'éloignent de ces "points chauds", de moins en moins d'espèces s'avèrent capables de prospérer.

Quelles sont les généralités de ces groupes ? Comment les identifier ? Combien d’espèces sont présentes en France ? Combien d’entre elles sont endémiques ou menacées ? Quels sont les enjeux et les menaces qui pèsent sur ces espèces ?
Découvrez les réponses à ces questions via des exemples d’espèces qu’il est possible d’observer en hexagone, en Corse et en outre-mer.

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IA : le mur de l’énergie

Grâce au travail de biologistes-citoyens, le mystérieux phénomène de la migration des papillons s’éclaircit. Une avancée de taille pour la biologie et la sécurité alimentaire.

Ce projet vise à étudier le vivant sous le prisme de deux marges : une marge géographique - la haute montagne - et une marge scientifique - la construction d'une connaissance hybride entre sphères non académiques et recherche académique. Les trois parties de la thèse se structurent ainsi : (i) l'analyse de la construction d'un savoir biologique à limite même de la vie ; (ii) les recherches contemporaines menées sur les plantes de hautes altitudes (évolution et écologie historique) ; (iii) une analyse de différentes mises en récit de cette science en haute montagne (scientifique, artistique, littéraire, populaire) et leur implication possible sur la relation humains/non humains.

La complexité des enjeux de conservation de la biodiversité a conduit à un engagement accru des parties prenantes par le biais de processus participatifs, mais souvent sans que l’on comprenne clairement comment ou si ces processus conduisent effectivement à de meilleurs résultats en matière de conservation de la biodiversité.

Les chercheurs spécialistes de l’écologie microbienne de l’unité mixte de recherche « Agroécologie », rattachée à l’INRAE Bourgogne Franche-Comté ont inventorié les champignons des sols grâce aux techniques de séquençage génétique. Ils ont ainsi pu étudier la composition, l’organisation et la répartition des réseaux mycéliens dans les différents types de sols, l’influence des conditions écologiques et de l’utilisation des sols par l’homme. Ils nous ouvrent une fenêtre sur un monde méconnu et fascinant.

Le concours du Mollusque international de l'année s'ouvre mercredi. Il vise à mettre en lumière ces espèces pour mieux les protéger. Comme chaque année, le génome du mollusque qui remportera le concours sera cartographié pour mieux comprendre son évolution et son intérêt scientifique. 

Les serpents forment un groupe extrêmement diversifié, plus de 4 000 espèces peuplent la quasi-intégralité du globe. Comment expliquer ce succès évolutif ? Une nouvelle étude révèle que les serpents présentent des innovations plus nombreuses et surtout plus rapides que le reste des squamates.

Il existe des centaines d’espèces disparues à travers le monde et leur nombre augmente de décennie en décennie. Pourquoi certaines espèces sont redécouvertes, alors que d’autres ne le sont pas ?

Le Plan national d’actions (PNA) en faveur des libellules est un outil qui vise à assurer la conservation de libellules menacées ou faisant l’objet d’un intérêt particulier.