Les chiffres du dernier décompte de la brigade nature du Parc ont été présentés début mars au conseil d’administration : on dénombre 30 sites de moins qu’au dernier comptage mais la situation reste préoccupante.Par ailleurs, un bilan 2023 a permis de mettre en évidence que la surface déforestée par l’orpaillage illégal sur le Parc amazonien a été de 100 hectares. Et le linéaire de cours d’eau impactés par la turbidité, d’environ 1 750 kilomètres : des données stables.
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