Comme le très médiatisé plastique, il se répand dans l’océan et se retrouve dans les assiettes. Seulement, le mercure est plus discret car invisible. Même à faible dose, ce polluant peut être néfaste pour l’être humain. En milieu marin, il prend une forme encore plus toxique : le méthylmercure, qui se retrouve accumulé dans les gros poissons que l’on pêche. Lars-Eric Heimbürger-Boavida, chercheur au CNRS et chimiste marin à l’Institut méditerranéen d’océanologie (Marseille), s’intéresse à l’origine de cette contamination dans les océans.
En savoir plus sur le cycle du mercure http://sciences-en-ligne.net/news/item/259
Le compte Twitter du chercheur interviewé @LarsEric_Hg et du labo de recherche @M3lab