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Bernadette Cassel
March 5, 6:38 PM
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L'Ă©tude a Ă©tĂ© menĂ©e par des chercheurs et des chercheuses des universitĂ©s d'Hong Kong et de Florence, ils plaident pour une Ă©volution du systĂšme de financement concernant la protection de la biodiversitĂ©.  PubliĂ© le 28/02/2025 08:00  "Selon cette Ă©tude, les amphibiens sont les vertĂ©brĂ©s les plus menacĂ©s depuis deux dĂ©cennies, mais ils ne reçoivent qu'une infime partie des financements (2,8 %), un chiffre qui a en plus tendance Ă baisser. Les invertĂ©brĂ©s, et notamment les insectes, reçoivent Ă©galement peu de financements, malgrĂ© leur niveau de menace et leur rĂŽle fondamental dans le fonctionnement des Ă©cosystĂšmes." (...)  ------ NDĂ L'Ă©tude   Benoit GuĂ©nard, Alice C. Hughes, Claudianne LainĂ©, ..., and Gray A. Williams  Image via Recherche Google Â
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Bernadette Cassel
May 12, 10:52 AM
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La propolis est une substance produite par les abeilles Ă partir des rĂ©sines rĂ©coltĂ©es sur les plantes avoisinant leur rucher. Ă Marseille, lâĂ©quipe Inserm de Jean-Michel Brunel vient de dĂ©montrer que les propolis rĂ©coltĂ©es sur deux sites au Rwanda permettent de lutter contre C. acnes, la bactĂ©rie responsable des boutons dâacnĂ©. Les chercheurs et les chercheuses ont identifiĂ© et caractĂ©risĂ© les molĂ©cules actives responsables de cette propriĂ©tĂ© antibactĂ©rienne : une dĂ©couverte qui devrait, ils lâespĂšrent, attirer lâintĂ©rĂȘt des industriels.  AcnĂ© : la propolis comme nouveau traitement ? · Inserm, La science pour la santĂ©  Sources : F. Rouvier et coll. Identification of 2,4âDi-tert-Butylphenol as an Antimicrobial Agent Against Cutibacterium acnes Bacteria from Rwandan Propolis. Antibiotics, 13 novembre 2024 ; DOI :10.3390/antibiotics13111080 et F. Rouvier et coll. Linoleic Fatty Acid from Rwandan Propolis : A Potential Antimicrobial Agent Against Cutibacterium acnes. Curr Issues Mol Biol 27 fĂ©vrier 2025 ; DOI :10.3390/cimb47030162 Sources : F. Rouvier et coll. Identification of 2,4âDi-tert-Butylphenol as an Antimicrobial Agent Against Cutibacterium acnes Bacteria from Rwandan Propolis. Antibiotics, 13 novembre 2024 ; DOI : 10.3390/antibiotics13111080 et F. Rouvier et coll. Linoleic Fatty Acid from Rwandan Propolis : A Potential Antimicrobial Agent Against Cutibacterium acnes. Curr Issues Mol Biol 27 fĂ©vrier 2025 ; DOI : 10.3390/cimb47030162
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Bernadette Cassel
May 11, 12:56 PM
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Longtemps nĂ©gligĂ©, le virus d'Oropouche circule Ă grande vitesse dans des rĂ©gions propices Ă sa diffusion. Avec le changement climatique, sa zone de risque pourrait s'Ă©tendre bien au-delĂ du bassin amazonien.  Ămilie Staeger â 9 mai 2025 Ă 18h25  "DĂ©crit pour la premiĂšre fois en 1955 Ă TrinitĂ©-et-Tobago, le virus d'Oropouche tire son nom du fleuve traversant la rĂ©gion. Il est transmis principalement par une sorte de diptĂšre hĂ©matophage appelĂ© cĂ©ratopogonidĂ©. Initialement limitĂ© au bassin amazonien, il s'est depuis propagĂ© Ă de nombreux pays d'AmĂ©rique latine, dont le BrĂ©sil, la Colombie, le PĂ©rou ou encore la Bolivie, explique le magazine SciTechDaily. Sa propagation est facilitĂ©e par des conditions climatiques favorables, notamment les fortes pluies et les tempĂ©ratures Ă©levĂ©es et constantes." (...)  ------ NDĂ L'Ă©tude   Traduction  Le virus Oropouche (OROV) est un virus transmis par les arthropodes (c'est-Ă -dire un arbovirus) endĂ©mique en AmĂ©rique latine. L'OROV est probablement maintenu dans des cycles de transmission sylvatique et urbaine, tous deux impliquant des moucherons piqueurs (genre Culicoides) comme vecteur primaire.  Depuis 1955, un nombre croissant d'infections humaines par le virus OROV ont Ă©tĂ© signalĂ©es. Depuis la fin de l'annĂ©e 2023, l'AmĂ©rique latine connaĂźt une Ă©pidĂ©mie de virus OROV d'une ampleur sans prĂ©cĂ©dent, caractĂ©risĂ©e par des milliers de cas signalĂ©s et une large diffusion gĂ©ographique, y compris dans des zones densĂ©ment peuplĂ©es en dehors du bassin du fleuve Amazone (oĂč le virus OROV avait auparavant Ă©tĂ© dĂ©tectĂ© dans la plupart des cas).  Des dĂ©cĂšs sporadiques d'adultes et de fĆtus ainsi que des malformations congĂ©nitales ont Ă©tĂ© signalĂ©s et, en aoĂ»t 2024, l'OMS a dĂ©clarĂ© que le virus OROV reprĂ©sentait un risque rĂ©gional Ă©levĂ© pour la santĂ© publique.  Figure 1 Characteristics of the 9420 serum samples tested for Oropouche virus-specific IgG class antibodies
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Bernadette Cassel
May 9, 2:33 PM
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La derniĂšre Ă©tude sur la pĂ©riode dâinactivitĂ© des culicoĂŻdes dans lâhexagone porte sur des rĂ©sultats rĂ©coltĂ©s entre 2009 et 2012. Il y a 10 ans, certaines rĂ©gions comme les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ou la Bretagne affichaient dĂ©jĂ des pĂ©riodes dâinactivitĂ© minimale des culicoĂŻdes autour de 4 semaines. Le bassin mĂ©diterranĂ©en et la façade atlantique affichaient quant Ă eux entre 5 et 8 semaines dâinactivitĂ© : « on voit bien que lâon a presque plus dâhiver, les tempĂ©ratures douces permettent la survie des populations »  Par Alice Peucelle PubliĂ© avant-hier Ă 14h15  "Presque invisible Ă lâĆil nu, le culicoĂŻde fait pourtant de grands dĂ©gĂąts dans les campagnes françaises. Entre sa petite taille qui favorise sa dispersion, et le changement climatique qui rend nos contrĂ©es particuliĂšrement accueillantes, le moucheron nâest pas prĂȘt de plier bagage. Dâautant que les entomologistes peinent Ă trouver des moyens de lutte concluants. MalgrĂ© son nom barbare, le culicoĂŻde sâest fait une place dans le vocabulaire agricole. Initialement craint dans les zones tropicales pour les maladies dont il est vecteur, il est peu Ă peu devenu une problĂ©matique pour lâĂ©levage europĂ©en. FCO, MHE : « des maladies quâon considĂ©rait comme exotiques touchent aujourdâhui les zones tempĂ©rĂ©es », note Claire Garros, entomologiste au Cirad dans lâĂ©cho santĂ© des Ă©levages, proposĂ© par GDS France." (...)  Image : DurĂ©e minimale d'inactivitĂ© vectorielle observĂ©e entre 2009 et 2012. (CrĂ©dit : Cirad)
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Bernadette Cassel
May 7, 1:43 PM
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Il ouvrait la voie au retour des nĂ©onicotinoĂŻdes, pesticides tueurs dâabeilles, toxiques pour toute la biodiversitĂ© et la santĂ© humaine, interdits depuis 2018  Groupe Ecologiste et Social, 07.05.2025  ------ NDĂ Â Â n° / Emplacement / Auteur / Ătat / Sort / Date d'examen / Date de dĂ©pĂŽt â CD205 / Article 2 / Socialistes et apparentĂ©s / M. Fabrice Barusseau / DiscutĂ© / AdoptĂ© / 7 mai 2025 / 30 avril 2025     Cet amendement du groupe Socialistes et apparentĂ©s vise Ă supprimer lâarticle 2 qui vise tout Ă la fois Ă remettre en cause lâindĂ©pendance de lâAnses, Ă faciliter lâusage du drone pour lâĂ©pandage de produits phytopharmaceutiques et Ă rĂ©introduire lâutilisation des nĂ©onicotinoĂŻdes.  ------ Dans la presse  â Ă lâAssemblĂ©e, la rĂ©introduction des nĂ©onicotinoĂŻdes ne passe pas lâĂ©tape de la commission | Mediapart, 07.05.2025 https://www.mediapart.fr/journal/politique/070525/l-assemblee-la-reintroduction-des-neonicotinoides-ne-passe-pas-l-etape-de-la-commission  "Câest un coup de frein inattendu pour les tenants dâune agriculture dopĂ©e aux pesticides. Mardi 6 et mercredi 7 mai Ă lâAssemblĂ©e nationale, en commission de lâamĂ©nagement du territoire et du dĂ©veloppement durable, la proposition de loi Ă lâinitiative du sĂ©nateur Les RĂ©publicains (LR) Laurent Duplomb sâest vue retoquĂ©e dans ses grandes largeurs par un Ă©ventail politique allant de la gauche Ă la droite." Â
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Bernadette Cassel
May 3, 1:55 PM
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The troubling extent of insect declines across the UK has been highlighted once again by the results of the 2024 Bugs Matter citizen science survey published today. The latest data shows that the number of flying insects sampled on vehicle number plates, across the UK, has fallen by a staggering 63% since 2021.  Wednesday 30th April 2025  ------ NDĂ Traduction  Les rĂ©sultats de l'enquĂȘte scientifique citoyenne 2024 Bugs Matter, publiĂ©s aujourd'hui, mettent une nouvelle fois en Ă©vidence l'ampleur inquiĂ©tante du dĂ©clin des insectes au Royaume-Uni. Les derniĂšres donnĂ©es montrent que le nombre d'insectes volants Ă©chantillonnĂ©s sur les plaques d'immatriculation des vĂ©hicules, dans tout le Royaume-Uni, a chutĂ© de 63 % depuis 2021.  Â
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Bernadette Cassel
April 29, 12:46 PM
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Cette trouvaille prouve que les fourmis existent depuis plus longtemps quâon ne le pensait, rĂ©vĂšle une Ă©tude publiĂ©e jeudi 24 avril. Selon les chercheur·euses, cet insecte empalait ses proies Ă lâaide de mĂąchoires semblables Ă des faux.  Fourmi de lâenfer : un fossile vieux de 113 millions dâannĂ©es dĂ©couvert au BrĂ©sil  publiĂ© le 25 avril 2025 Ă 12h33  L'espĂšce fossile, qui a Ă©tĂ© baptisĂ©e Vulcanidris cratensis, avait des mĂąchoires en forme de faux qu'elle utilisait probablement pour Ă©pingler ou empaler ses proies.  ------ NDĂ L'Ă©tude   Anderson Lepeco â Odair M. Meira â Diego M. Matielo â Carlos R.F. BrandĂŁo â Gabriela P. Camacho  Nous prĂ©sentons ici le plus ancien Haidomyrmecinae connu, prĂ©servĂ© sous la forme d'une empreinte rocheuse dans le calcaire de la Crato Konservat-LagerstĂ€tte, dans le nord-est du BrĂ©sil. Cette dĂ©couverte reprĂ©sente Ă©galement la plus ancienne fourmi incontestĂ©e connue de la science. La tomographie assistĂ©e par ordinateur appliquĂ©e Ă l'analyse phylogĂ©nĂ©tique des fourmis primitives montre que la nouvelle espĂšce est Ă©troitement liĂ©e aux fourmis de l'enfer que l'on ne trouve que dans l'ambre birman. La prĂ©sence de fourmis de l'enfer dans l'Aptien du nord-est du BrĂ©sil constitue la premiĂšre preuve de l'histoire biogĂ©ographique des Formicidae dans les temps profonds.  Image : Habitus of Vulcanidris cratensis gen. et sp. nov. Â
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Bernadette Cassel
April 28, 12:24 PM
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Des biologistes allemands viennent dâĂ©tablir que chaque abeille a un caractĂšre et une personnalitĂ© qui lui est propre. Le point sur cette Ă©tude avec Vincent Nouyrigat, rĂ©dacteur en chef du magazine Epsiloon.  PubliĂ© le 27/04/2025 10:00  "... depuis environ 10 ans, les chercheurs se rendent compte quâau sein dâune mĂȘme population, il y a des cafards plus ou moins audacieux, des fourmis et des papillons plus ou moins impulsifs, des scarabĂ©es plus ou moins curieux ou hyperactifs, des abeilles et des guĂȘpes plus ou moins sociables. MĂȘme les larves affichent une personnalitĂ©. Tous ces invertĂ©brĂ©s, que lâon pourrait croire interchangeables, ont en fait des sensibilitĂ©s diffĂ©rentes."   Image : Experimental methods. (a,b) Consistency experiment. (a) One or two bees were placed in modified syringes (left), then tested in the stinging assay with a rotating dummy (right). Arrows indicate odour entry points for iso-amyl acetate (IAA), a sting alarm pheromone compound, or the solvent control mineral oil (MO). (b) Bees were tested repeatedly on four consecutive trials (T1âT4), each lasting 3 minutes, with an intertrial interval of 30â40 minutes (left). We tested four conditions (2 group sizes Ă 2 odours; right). (câe) Group composition experiment. (c) Individual bees were marked with a unique colour ID on their thorax and abdomen and placed in syringes in groups of six. (d) Each group of bees was tested a first time (test duration: 10 minutes), and individuals were classified as âaggressiveâ or âgentleâ if they stung or not, respectively. (e) Following the first test of all available groups, bees were cooled down and shuffled on ice, to create three types of group: even mix of aggressive and gentle, all-gentle and all-aggressive groups. After a recovery period of 15 minutes, bees were tested a second time in these new groups. Â
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Bernadette Cassel
April 25, 2:00 PM
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La technique de lâinsecte stĂ©rile, qui permet de limiter la reproduction des insectes ravageurs, est envisagĂ©e en France. Peut-elle se substituer aux pesticides ?  Simon Fellous et Tasnime Adamjy PubliĂ©: 22 avril 2025, 17:25 CEST  [...] Les risques de la TIS pour lâenvironnement "La France est, peu ou prou, le premier pays Ă interroger formellement les possibles effets nĂ©fastes de la TIS sur lâenvironnement. Lâabsence actuelle de donnĂ©es, malgrĂ© lâanciennetĂ© de la technique, peut sâexpliquer par des a priori positifs sur son innocuitĂ© en raison de sa grande spĂ©cificitĂ©. Comme les mĂąles stĂ©riles ne sâaccouplent gĂ©nĂ©ralement quâavec les femelles de leur espĂšce, on attend peu dâeffets sur les Ă©cosystĂšmes, contrairement aux insecticides qui sont toxiques pour de nombreuses espĂšces diffĂ©rentes.  Reste un paradoxe : les insectes relĂąchĂ©s ne sont jamais tous stĂ©riles Ă 100 %. Il arrive quâune reproduction rĂ©siduelle soit possible avec des insectes sauvages. Il est donc prĂ©fĂ©rable dâĂ©lever, de stĂ©riliser et de relĂącher une population locale dâinsectes, afin dâĂ©viter dâintroduire dans la population dâinsectes Ă contrĂŽler des gĂšnes provenant dâune autre localitĂ©.  Enfin, les insectes stĂ©riles, relĂąchĂ©s en masse, peuvent transmettre leur microbiote aux insectes sauvages, notamment lors des accouplements. Cette possibilitĂ© est peu inquiĂ©tante, car les microbiotes des insectes dâĂ©levage nâont pas de raison dâĂȘtre dangereux pour les humains ou pour lâenvironnement. Aucun effet nĂ©faste notable sur lâenvironnement nâa Ă©tĂ© rapportĂ© parmi les dizaines de programmes de TIS dĂ©ployĂ©s dans monde.  Toutefois, le suivi postintroduction est important. Cela permet dâassurer la transparence vis-Ă -vis des diffĂ©rents acteurs et de pouvoir interrompre les lĂąchers en cas de doute." (...)   Robin Guilhot, Anne XuĂ©reb and Simon Fellous  Image : Des moustiques prĂȘts Ă ĂȘtre relĂąchĂ©s au BrĂ©sil pour lutter contre la dengue. Dean Calma/IAEA, CC BY-SA
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Bernadette Cassel
April 23, 12:12 PM
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Dans une dĂ©couverte aussi Ă©tonnante quâinquiĂ©tante, des biologistes ont retrouvĂ© des microplastiques dans des insectes aquatiques dâeau douce collectĂ©s dĂšs 1971. Une rĂ©vĂ©lation rendue possible grĂące aux prĂ©cieuses collections dâhistoire naturelle, qui réécrit lâhistoire de l  Il y a 1 heure Par Julie De Coucy   Image : Graphical Abstract
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April 21, 11:04 AM
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Des Ă©tudes Ă long terme aprĂšs les tempĂȘtes Vivian et Lothar montrent que la plupart des insectes et autres arthropodes profitent des chablis.  Institut fĂ©dĂ©ral de recherches WSL 21.04.2025  "Des arbres dĂ©racinĂ©s et brisĂ©s (ce que l'on appelle des chablis), des troncs en croix, des routes et des chemins obstruĂ©s: lpour nous, le passage dâune tempĂȘte est un triste spectacle. La nature voit les choses diffĂ©remment. Des dĂ©cennies d'Ă©tudes sur les invertĂ©brĂ©s dans diffĂ©rents chablis en Suisse ont montrĂ© que la nature s'adapte bien Ă de tels Ă©vĂ©nements et que le nombre d'espĂšces d'insectes et d'araignĂ©es y est nettement plus Ă©levĂ© que dans une forĂȘt intacte. En principe, le bois Ă terre est rĂ©coltĂ© le plus rapidement possible aprĂšs une tempĂȘte. Cela entraĂźne une modification des communautĂ©s d'espĂšces d'arthropodes par rapport aux surfaces de chablis non dĂ©blayĂ©es. Une mosaĂŻque de parcelles nettoyĂ©es et non nettoyĂ©es est donc la plus favorable Ă la biodiversitĂ©." (...)  Surface de chablis prĂšs de Zurich deux mois aprĂšs la tempĂȘte Lothar. Photo : Beat Wermelinger (WSL)
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Bernadette Cassel
April 18, 1:53 PM
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Des fleurs urbaines absorbent des mĂ©taux toxiques du sol, exposant les abeilles Ă des risques neurotoxiques qui compromettent leur survie.  PubliĂ© le 18 Avr 2025 Ă 07H00 "Alors que les villes cherchent Ă reverdir leurs espaces pour contrer lâĂ©rosion de la biodiversitĂ©, les prairies fleuries urbaines sâimposent comme une solution simple et visible en faveur des pollinisateurs. Abeilles et papillons y trouvent de quoi se nourrir, dans un contexte de dĂ©clin alarmant des populations sauvages.  Pourtant, une rĂ©cente Ă©tude soulĂšve un problĂšme souvent ignorĂ© : la contamination des sols urbains par des mĂ©taux toxiques issus de lâhĂ©ritage industriel.  PubliĂ©e dans la revue Ecology and Evolution, cette recherche conjointe de lâUniversitĂ© de Cambridge et de lâUniversitĂ© dâĂtat de lâOhio montre que certaines fleurs absorbent ces polluants et les transmettent directement aux insectes via leur nectar. Ă Cleveland, oĂč lâĂ©tude a Ă©tĂ© menĂ©e, les fleurs poussant sur dâanciens terrains industriels contiennent du plomb, du chrome ou du cadmium, substances nĂ©fastes pour la mĂ©moire, le comportement et la survie des abeilles.  Â
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April 16, 12:48 PM
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Des milliers de fourmis reines saisies, des suspects internationaux arrĂȘtĂ©s : le Kenya fait face Ă un trafic inĂ©dit dâinsectes exotiques.  Maceo Ouitona PubliĂ© le 16 avril 2025 Ă 07h00  "Un trafic aussi insolite que lucratif vient de secouer le Kenya : des milliers de fourmis reines, extraites illĂ©galement de leur habitat naturel, ont Ă©tĂ© saisies alors quâelles sâapprĂȘtaient Ă quitter le pays. Une affaire inĂ©dite qui expose un marchĂ© noir mĂ©connu, mais en plein essor, et relance le dĂ©bat sur la biopiraterie des espĂšces africaines." (...)  ------ NDĂ ComplĂ©ment  "... Le KWS (Kenya Wildlife Service) a dĂ©clarĂ© que les autoritĂ©s avaient interceptĂ© des fourmis reines vivantes, y compris de l'espĂšce Messor cephalotes, Ă©galement connue sous le nom de fourmi gĂ©ante africaine, dissimulĂ©es dans des Ă©prouvettes et des seringues modifiĂ©es.  « Les enquĂȘtes ont rĂ©vĂ©lĂ© que les tubes Ă essai avaient Ă©tĂ© conçus pour permettre aux fourmis de survivre jusqu'Ă deux mois et d'Ă©chapper Ă la dĂ©tection de la sĂ©curitĂ© aĂ©roportuaire », a dĂ©clarĂ© le KWS dans un communiquĂ©, qualifiant cette opĂ©ration de « prĂ©mĂ©ditĂ©e et bien exĂ©cutĂ©e ».  Si certaines personnes considĂšrent les fourmis comme une nuisance qui gĂąche les pique-niques, les aficionados aiment les garder dans des formicariums, des boĂźtes transparentes oĂč ils peuvent les observer construire des colonies complexes. Un document judiciaire consultĂ© par Reuters indique que les autoritĂ©s ont interceptĂ© environ 5 000 reines emballĂ©es dans 2 244 conteneurs, d'une valeur marchande d'environ 1 million de shillings kenyans (7 800 dollars)."  via Zonebourse Suisse "Des agents kenyans dĂ©mantĂšlent un complot visant Ă faire passer en contrebande des fourmis gĂ©antes pour les vendre Ă des amateurs d'insectes Ă©trangers", 15.04.2025 https://ch.zonebourse.com/actualite-bourse/Des-agents-kenyans-demantelent-un-complot-visant-a-faire-passer-en-contrebande-des-fourmis-geant-49622890/ Â
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May 13, 12:52 PM
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EspĂšce invasive, la fourmi aiguille asiatique progresse silencieusement aux Ătats-Unis. Son venin, potentiellement mortel, inquiĂšte de plus en plu  ChloĂ© Gurdjian PubliĂ© le 12/05/2025 Ă 6h37  A photo of an Asian needle ant. (Clemson University / FOX Weather)  ------ NDĂ Article source   Traduction  Un ravageur venimeux envahissant dĂ©clenche une alerte Ă l'anaphylaxie dans le Sud-Est. Outre son impact nĂ©gatif sur l'homme, la fourmi asiatique Ă©limine Ă©galement d'autres espĂšces de fourmis indigĂšnes dans une zone qui pourrait ĂȘtre importante pour la dispersion des graines, selon le ministĂšre amĂ©ricain de l'agriculture.  Â
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Bernadette Cassel
May 11, 2:16 PM
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Fagus sylvatica L. is a main forest tree species in Europe but has been subjected to massive decline events over the last decades. This phenomenon has been mainly attributed to the increase in drought frequency and intensity, but it is unclear how the local specificities in stand structure, climatic, soil and topographic conditions interact, and if statistical models are able to capture the high spatial and temporal variability in tree decline. To address this challenge, we measured 5380 Fagus sylvatica trees from 308 plots distributed in four regions of France with contrasting environmental conditions, and designed models predicting decline at both regional and national scales. These models aimed at assessing the percentage of stems by plot with at least 50% crown biomass loss based on 229 dendrometric, topographic, soil and climatic variables.The climatic factors explained most of the variability in stand decline, especially the interannual climate variability from the 30-years mean in maximal temperature and in hydric deficit. Regional models were the most efficient in predicting beech decline in their calibration areas (Q2 Stone-Geisser coefficient varied from 0.26 to 0.42) as they better consider the local environmental factors. They were less effective in the other regions, and the national model was an acceptable compromise on a larger scale. These statistical models provide valuable insights for forest managers and could be improved through a more detailed temporal stand monitoring to control the effects of management and decline dynamics.  Multiscale modelling of European beech decline: the role of interannual climate variability and local environmental factors | European Journal of Forest Research  ------ via LinkedIn, 06.05.2025  đł đđ đŹđą đ„đđŹ đđšđ«đÌđđŹ đđÌđđ„đąđ§đđąđđ§đ đđź đĆđźđ« đŠđÌđŠđ đđ đ„đđźđ« đ§đąđđĄđ đđ„đąđŠđđđąđȘđźđ ? Nous venons de publier une Ă©tude sur le dĂ©pĂ©rissement du hĂȘtre en France, avec lâappui de lâ hashtag#INRAe et hashtag#Aix-Marseille UniversitĂ© â et les rĂ©sultats risquent de vous surprendre ou pas đ : đ 5380 arbres analysĂ©s sur 308 placettes dans 4 rĂ©gions đ +200 variables testĂ©es : climat, sol, topographie, sylviculture đ Objectif : modĂ©liser le % dâarbres fortement dĂ©pĂ©rissants (dĂ©ficit foliaire â„ 50 %)
đ„ RĂ©sultat central : đđ đ§đ đŹđšđ§đ đ©đđŹ đ„đđŹ đđšđ§đđąđđąđšđ§đŹ đŠđšđČđđ§đ§đđŹ đȘđźđą đđ±đ©đ„đąđȘđźđđ§đ đ„đ đđÌđ©đÌđ«đąđŹđŹđđŠđđ§đ, đŠđđąđŹ đđąđđ§ đ„đđŹ đÌ-đđšđźđ©đŹ đđ„đąđŠđđđąđȘđźđđŹ đđ±đđ«đÌđŠđđŹ (sĂ©cheresses, canicules, anomalies rĂ©pĂ©tĂ©es).đ„ Leurs impacts peuvent ĂȘtre aggravĂ©s ou attĂ©nuĂ©s selon les conditions locales (sol, topographie, gestion forestiĂšre).
Et le plus frappant đ đĄïž đđđŹ đđÌđ©đÌđ«đąđŹđŹđđŠđđ§đđŹ đđšđźđđĄđđ§đ đ„đ đĆđźđ« đŠđÌđŠđ đđ đ„đ đ§đąđđĄđ đđ„đąđŠđđđąđȘđźđ đđź đĄđÌđđ«đ, dans des zones historiquement favorables. Ce type de rĂ©sultat nâest pas nouveau. Manion (1981), le fondateur de la spirale des dĂ©pĂ©rissements Ă©crivait : âđŒđĄ đđ đđđĄđđđđ đĄđđđ đĄâđđĄ đđđđđđđđ đđđđąđ đ€đđđ đ€đđĄâđđ đĄâđ đđđĄđąđđđ đđđđđđđâđđ đđđđđ đđ đĄâđ đ đđđđđđ đđđ đđđĄ đđ đĄâđ đđđđđâđđđŠ đđ đĄâđ đđđđđđđâđđđđ đđđđđ.â
đ Avec le changement climatique, les Ă©vĂ©nements extrĂȘmes frappent en rĂ©alitĂ© des arbres non prĂ©parĂ©s physiologiquement Ă de tels stress.
đ Autre enseignement fort : Les modĂšles rĂ©gionaux sont plus performants que le modĂšle national, mais deviennent imprĂ©cis hors de leur zone de construction. La transfĂ©rabilitĂ© spatiale a aussi ses limites đ.  Jean Lemaire
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May 10, 11:45 AM
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Des chercheur·euses californien·nes utilisent les ailes iridescentes du papillon morpho pour repĂ©rer, Ă moindre coĂ»t, des signes prĂ©coces de cancer dans les tissus humains. Une alternative prometteuse aux technologies mĂ©dicales lourdes.  Thomas Messias â 9 mai 2025 Ă 7h55  "... Objectif final de la mĂ©thode: dĂ©tecter les tissus fibreux susceptibles de signaler un cancer du sein et dĂ©terminer si ce cancer se prĂ©pare Ă se propager."  "... Faire appel au papillon morpho constituerait un moyen plus simple et moins coĂ»teux de diagnostiquer la nature fibreuse des tissus cancĂ©reux, puisqu'elle ne nĂ©cessite qu'un microscope et une aile. Autre avantage non nĂ©gligeable, mis en avant par Poulilakos: le tissu n'est altĂ©rĂ© par aucune substance, puisqu'il est simplement traversĂ© par la lumiĂšre."   ------ NDĂ L'Ă©tude   Paula Kirya, Aida Mestre-Farrera, Jing Yang, Lisa V. Poulikakos Image : Figure 1 schematically illustrates the principle of Morpho-Enhanced Polarized Light Microscopy (MorE-PoL) introduced in this work. Â
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May 8, 7:19 AM
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Une Ă©tude publiĂ©e dans la revue Nature, menĂ©e par lâUniversitĂ© de Tartu (Estonie) et impliquant plus de 200 scientifiques Ă travers le monde, dont plusieurs chercheurs français du CNRS, met en lumiĂšre lâeffet majeur des activitĂ©s humaines sur lâĂ©rosion de la biodiversitĂ© vĂ©gĂ©tale. Lâanalyse simultanĂ©e de la diversitĂ© observĂ©e et de la diversitĂ© qui, au vu de ses caractĂ©ristiques, devrait ĂȘtre prĂ©sente, rĂ©vĂšle que de nombreuses espĂšces de plantes natives sont absentes de leurs habitats naturels, notamment dans les rĂ©gions les plus impactĂ©es par lâactivitĂ© humaine.  AurĂ©le Toussaint, Richard Michalet, Blaise Touzard, Christopher Carcaillet, 4 avril 2025  En rĂ©sumĂ© - La "diversitĂ© fantĂŽme" dĂ©signe les espĂšces qui pourraient naturellement occuper un environnement en raison de leurs besoins Ă©cologiques, mais qui en sont absentes pour des raisons historiques.
- Une Ă©quipe de chercheurs internationale a analysĂ© le potentiel de la diversitĂ© vĂ©gĂ©tale de plus de 5 000 sites dans le monde, en mesurant la part de diversitĂ© rĂ©ellement prĂ©sente, rĂ©vĂ©lant lâimpact inapparent des activitĂ©s humaines sur la vĂ©gĂ©tation.
- Dans les rĂ©gions fortement affectĂ©es par les activitĂ©s humaines, les Ă©cosystĂšmes ne contiennent que 20 % des espĂšces qui pourraient sây Ă©tablir, contre 35 % dans les rĂ©gions les moins impactĂ©es, un Ă©cart causĂ© par la fragmentation des habitats, favorisant la part de la diversitĂ© fantĂŽme.
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Bernadette Cassel
May 4, 2:17 PM
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"Tout juste conçu par une Ă©quipe texane, le Goby est un minuscule robot mobile dotĂ© dâune camĂ©ra embarquĂ©e. Facile Ă piloter Ă distance, et dotĂ© d'une technologie de pointe, il promet une expĂ©rience inĂ©dite dans le monde miniature."  AdĂ©lie Clouet dâOrval PubliĂ© le 03/05/2025 Ă 18h44  "Avez-vous dĂ©jĂ rĂȘvĂ© dâĂȘtre une petite fourmi, et de pouvoir observer le monde Ă travers les yeux dâune minuscule crĂ©ature ? Ce rĂȘve pourrait bientĂŽt devenir rĂ©alitĂ© grĂące au Goby, un robot de quelques centimĂštres seulement, contrĂŽlable Ă distance via un tableau de bord. NommĂ© d'aprĂšs ce petit poisson vif vivant en eau peu profonde (Gobie en français), il a Ă©tĂ© créé par des ingĂ©nieurs de la sociĂ©tĂ© Charmed Labs, basĂ©e Ă Austin au Texas."  Â
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Bernadette Cassel
April 30, 12:41 PM
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"Sur 759 pollinisateurs â des animaux essentiels Ă la production alimentaire et Ă la santĂ© des Ă©cosystĂšmes â Ă©tudiĂ©s au Canada, plus de 10 % prĂ©sentaient un risque d'extinction plus ou moins Ă©levĂ©, indique cette Ă©tude publiĂ©e cette semaine dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). De plus, sur 1579 pollinisateurs Ă©valuĂ©s aux Ătats-Unis, 22,5 % prĂ©sentaient un risque d'extinction plus ou moins Ă©levĂ©."  Un cinquiĂšme des pollinisateurs dâAmĂ©rique du Nord sont menacĂ©s dâextinction La Presse canadienne PubliĂ© le 30 mars Ă Â 15 h 11 UTC+2  "Cette Ă©tude constitue l'analyse la plus complĂšte Ă ce jour sur les pollinisateurs nord-amĂ©ricains et sur leur Ă©tat de conservation, a mentionnĂ© John Klymko, scientifique au Centre de donnĂ©es sur la conservation du Canada atlantique Ă Sackville, au Nouveau-Brunswick, et un des coauteurs." (...)  Image : Le statut du bourdon terricole, une espĂšce prĂ©sente en Alberta, est considĂ©rĂ© « prĂ©occupant » par le gouvernement du Canada. (Photo d'archives) Photo : Fournie par Tiffani Harrison  ------ NDĂ L'Ă©tude   Tara Cornelisse, David W. Inouye, Rebecca E. Irwin, +11 , and Bruce E. Young  Traduction  Les pollinisateurs sont essentiels Ă la production alimentaire et au fonctionnement des Ă©cosystĂšmes. Bien que l'on pense que les pollinisateurs indigĂšnes sont en dĂ©clin, les preuves sont limitĂ©es.  Cette premiĂšre Ă©valuation de la diversitĂ© taxonomique de l'AmĂ©rique du Nord continentale au nord du Mexique rĂ©vĂšle que 22,6 % (20,6 Ă 29,6 %) des 1 579 espĂšces des groupes de vertĂ©brĂ©s et d'insectes pollinisateurs les mieux Ă©tudiĂ©s prĂ©sentent un risque Ă©levĂ© d'extinction.  Les trois espĂšces de chauves-souris pollinisatrices sont menacĂ©es et les abeilles sont le groupe d'insectes le plus menacĂ© (meilleure estimation, 34,7 % des 472 espĂšces Ă©valuĂ©es, fourchette de 30,3 Ă 43,0 %). Un nombre important de papillons (19,5 % de 632 espĂšces, fourchette de 19,1 Ă 21 %) et de papillons de nuit (16,1 % de 142 espĂšces, fourchette de 15,5 Ă 19 %) sont Ă©galement menacĂ©s, tandis que les "mouches des fleurs" (14,7 % de 295 espĂšces, fourchette de 11,5 Ă 32,9 %), les colĂ©optĂšres (12,5 % de 18 espĂšces, fourchette de 11,1 Ă 22,2 %) et les colibris (0 % de 17 espĂšces) sont plus Ă l'abri.  Les pollinisateurs Ă risque sont concentrĂ©s lĂ oĂč la diversitĂ© est la plus grande, dans le sud-ouest des Ătats-Unis. Les menaces qui pĂšsent sur les pollinisateurs varient gĂ©ographiquement : changement climatique dans l'ouest et le nord, agriculture dans les grandes plaines, et pollution, agriculture et dĂ©veloppement urbain dans l'est. Les habitats forestiers, arbustifs/chaparraux et les prairies abritent le plus grand nombre de pollinisateurs en danger.  Les stratĂ©gies d'amĂ©lioration de l'habitat des pollinisateurs sont de plus en plus nombreuses et cette Ă©tude identifie les espĂšces, les habitats et les menaces qui nĂ©cessitent le plus d'actions de conservation au niveau des Ătats, des provinces, des territoires, du pays et du continent.
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Bernadette Cassel
April 29, 11:24 AM
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The last time anyone in the state had officially documented the Appalachian grasshopper was in 1946, and the species was once thought to be extinct  Sarah Kuta - Daily Correspondent February 26, 2025  ------ NDĂ Traduction  Un biologiste aperçoit un criquet rare et incapable de voler en Virginie pour la premiĂšre fois depuis prĂšs de 80 ans  ------ via iNaturalit, April Newsletter du 28.04.2025 iNaturalist in the wild News & updates featuring iNaturalist observations & communities  Traduction :  Les criquets des Appalaches n'avaient pas Ă©tĂ© observĂ©s en Virginie depuis 1946, mais en 2018 [72 ans plus tard, ndĂ©], des personnes ont partagĂ© leurs observations sur iNaturalist et ces criquets Ă©tĂ© vus plusieurs fois depuis, ce qui prouve que l'espĂšce n'Ă©tait pas Ă©teinte comme on le pensait.  Image : Appalachia hebardi de Monongahela National Forest, Parsons, WV, US le 22 Sep 2018 Ă 14:42 par emilyw3 · iNaturalist https://www.inaturalist.org/observations/16810327 Â
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Bernadette Cassel
April 27, 12:53 PM
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Une fourmi vieille de 16 millions d'annĂ©es, prisonniĂšre de l'ambre dominicain, Ă©claire l'Ă©volution d'un  Â
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Bernadette Cassel
April 24, 1:50 PM
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Non-native plants in road verges attract pollinators despite associated declines in native flowers  Global Ecology and Conservation Available online 14 February 2025 Version of Record 18 February 2025.  Massimo Martini, Emily Kaul, Reid Miller, Jason Gibbs, Kyle Bobiwash  ------ NDĂ Traduction  Les habitats marginaux sont de plus en plus reconnus pour leur valeur potentielle dans la conservation des pollinisateurs. Les accotements routiers, qui couvrent de vastes zones, fournissent d'abondantes ressources florales et contribuent Ă l'hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© et Ă la connectivitĂ© des habitats dans les paysages homogĂšnes.  Cependant, les accotements sont Ă©galement des points chauds pour l'Ă©tablissement et la dispersion de plantes non indigĂšnes, ce qui soulĂšve des doutes quant Ă leur capacitĂ© Ă accueillir des populations de pollinisateurs diversifiĂ©es.  Nous avons Ă©chantillonnĂ© des plantes Ă fleurs et des insectes visiteurs sur les bords de route du sud-est du Manitoba, au Canada, et nous avons exploitĂ© des ensembles de donnĂ©es sur les communautĂ©s d'abeilles des zones environnantes et des zones de gestion de la faune (WMA) pour comparer les communautĂ©s de pollinisateurs dans les diffĂ©rents habitats.  Les communautĂ©s vĂ©gĂ©tales des accotements Ă©taient dominĂ©es par un sous-ensemble d'espĂšces non indigĂšnes abondantes et Ă©taient visitĂ©es de maniĂšre disproportionnĂ©e par les pollinisateurs gĂ©nĂ©ralistes.  L'abondance des plantes non indigĂšnes Ă©tait nĂ©gativement corrĂ©lĂ©e Ă la richesse et Ă l'abondance des plantes indigĂšnes dans les accotements, mais positivement associĂ©e Ă la richesse et Ă l'abondance des abeilles.  Le contexte et l'Ă©chelle du paysage ont Ă©galement influencĂ© les pollinisateurs. Nous avons constatĂ© de fortes diffĂ©rences dans la richesse, l'abondance et la composition des communautĂ©s de pollinisateurs Ă des Ă©chelles plus grandes (Ă©cozones), la composition et la configuration du paysage local y contribuant Ă©galement de maniĂšre significative, bien que dans une moindre mesure.  Les communautĂ©s d'abeilles des accotements routiers Ă©taient distinctes et moins homogĂšnes que celles des zones environnantes et des AMM, et prĂ©sentaient une proportion nettement plus Ă©levĂ©e d'individus polylectiques qu'oligolectiques.  Ces rĂ©sultats suggĂšrent que les accotements routiers peuvent accueillir des pollinisateurs gĂ©nĂ©ralistes mais sont moins adaptĂ©s aux spĂ©cialistes, soulignant leur potentiel pour maintenir les services de pollinisation dans les paysages fortement perturbĂ©s ou densĂ©ment boisĂ©s, tout en rĂ©vĂ©lant Ă©galement les limites de l'hĂ©bergement de communautĂ©s reprĂ©sentatives diversifiĂ©es et homogĂšnes.  Traduit avec DeepL.com (version gratuite)  ------ via Massimo Martini: "Paper alert! I'm happy to share that my first research paper has been published! đđž Road verges can support #pollinators but their potential for preserving representatively diverse and even communities is limited, due in part to high densities of non-native plants. doi.org/10.1016/j.ge..." â Bluesky, 19 fĂ©vrier 2025 Ă 08:17 https://bsky.app/profile/entomassi.bsky.social/post/3lija7y7zvk2d Â
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Bernadette Cassel
April 22, 1:25 PM
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Insects are disappearing at an alarming rate worldwide, but why? Agricultural intensification tops the list of proposed reasons, but there are many other, interconnected drivers that have an impact, according to new research led by Binghamton.  By John Brhel April 22, 2025  Image : Insects are disappearing around the world due to agriculture and numerous other interconnected drivers, according to new research led by Binghamton biologists. Image Credit: Louise Woodrich .   ------ NDĂ Traduction  Les insectes disparaissent dans le monde entier Ă cause de l'agriculture et de nombreux autres facteurs interdĂ©pendants, selon une mĂ©ta-analyse menĂ©e par des biologistes de Binghamton, mettant en Ă©vidence plus de 500 facteurs interconnectĂ©s Ă l'origine du dĂ©clin mondial des insectes   L'intĂ©rĂȘt scientifique et public pour le statut global des insectes a rĂ©cemment augmentĂ©. Cependant, la comprĂ©hension de l'importance relative des diffĂ©rents facteurs de stress et de leurs interrelations reste un problĂšme crucial.  Nous utilisons une approche mĂ©ta-synthĂ©tique pour intĂ©grer les hypothĂšses rĂ©centes sur les facteurs de stress et les rĂ©ponses des insectes dans un rĂ©seau contenant 3385 lignes et 108 nĆuds. Le rĂ©seau est fortement interconnectĂ©, l'intensification de l'agriculture Ă©tant le plus souvent identifiĂ©e comme une cause fondamentale. Les variables liĂ©es Ă l'habitat sont fortement connectĂ©es et semblent ĂȘtre sous-discutĂ©es par rapport Ă d'autres facteurs de stress.  Nous identifions Ă©galement des biais et des lacunes dans la littĂ©rature rĂ©cente, en particulier ceux gĂ©nĂ©rĂ©s par l'accent mis sur les insectes Ă©conomiquement importants et d'autres insectes populaires, en particulier les pollinisateurs, au dĂ©triment des insectes non pollinisateurs et moins charismatiques.  En plus de servir d'Ă©tude de cas sur la façon dont la mĂ©ta-synthĂšse peut cartographier un paysage conceptuel, nos rĂ©sultats identifient de nombreuses lacunes importantes pour lesquelles de futures mĂ©ta-analyses offriront des perspectives essentielles Ă la comprĂ©hension et Ă l'attĂ©nuation de la perte de biodiversitĂ© des insectes. Â
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Bernadette Cassel
April 20, 2:39 PM
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Une thĂ©orie mathĂ©matique de lâinformation aide Ă prĂ©dire la forme des rĂ©seaux dâinteractions chimiques entre plantes et insectes. Des scientifiques neuchĂątelois appliquent maintenant cette approche aux prairies des Alpes suisses. Keystone - ATS 19 avr. 2025, 05:00  AccĂšs limitĂ©  "Que ce soit pour se nourrir, se reproduire ou se dĂ©fendre, les plantes interagissent avec des organismes de leur voisinage en Ă©mettant diffĂ©rentes substances chimiques. Ces interactions tissent une toile que lâon peut modĂ©liser Ă lâaide de la thĂ©orie de lâinformation utilisĂ©e, par exemple, dans des rĂ©seaux de tĂ©lĂ©communications.  Câest ce que fait la professeure Pengjuan Zu, en poste depuis fĂ©vrier Ă lâUniversitĂ© de NeuchĂątel (UniNE), en cherchant à «dĂ©chiffrer le langage chimique entre les plantes et les insectes dans les communautĂ©s Ă©cologiques», selon lâintitulĂ© de son projet soutenu par le Fonds national suisse (FNS).  Pengjuan Zu applique Ă lâĂ©cologie la thĂ©orie de lâinformation, fondĂ©e Ă la fin des annĂ©es 1940 par le mathĂ©maticien amĂ©ricain Claude Shannon. Elle travaille Ă lâĂ©chelle des communautĂ©s dâespĂšces composĂ©es de plantes et dâinsectes, piĂšces maĂźtresses de la biodiversitĂ© et acteurs clĂ©s des Ă©cosystĂšmes aussi bien naturels quâagricoles. MolĂ©cules odorantes «Nous avons dĂ©veloppĂ© un cadre conceptuel sur la maniĂšre..." (...)  Image : Comprendre les relations entre plantes et pollinisateurs, c'est ce Ă quoi s'emploie l'Ă©quipe de chercheur·euses neuchĂątelois·es. Photo: archives Lucas Vuitel
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Bernadette Cassel
April 17, 11:56 AM
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Les PhlĂ©botomes sont des hĂ©matophages pouvant transmettre des maladies, Lison Laroche nous explique ses recherches pour mieux comprendre ces insectes  Par Lison Laroche janvier 27, 2025  "En raison de leur comportement hĂ©matophage, les phlĂ©botomes sont impliquĂ©s dans la transmission de diffĂ©rents agents pathogĂšnes tels que les parasites leishmanies et les phlĂ©bovirus (Famille : Phenuiviridae ; Ordre : Bunyavirales). Certains phlĂ©bovirus sont associĂ©s Ă des pathologies humaines, comme le virus Toscana (TOSV). Ce virus a Ă©tĂ© isolĂ© pour la premiĂšre fois en 1971 chez les espĂšces Phlebotomus perniciosus et Phlebotomus perfiliewi en Italie centrale (Toscane)." (...)   Â
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Bernadette Cassel
April 15, 12:07 PM
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La transmission orale du parasite protozoaire Trypanosoma cruzi, par le biais de boissons et d'aliments contaminĂ©s, est en augmentation dans plusieurs pays.  ------ via Medscape Ă©dition française â Bluesky, 14.04.2025  "[JournĂ©e mondiale de la maladie de #Chagas] Dans lâActu : transmission orale de la maladie de Chagas http://ms.spr.ly/63324qAPPe " https://bsky.app/profile/medscapefrancais.bsky.social/post/3lmrp6ovccn2w Â
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