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Bernadette Cassel
March 5, 6:38 PM
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L'Ă©tude a Ă©tĂ© menĂ©e par des chercheurs et des chercheuses des universitĂ©s d'Hong Kong et de Florence, ils plaident pour une Ă©volution du systĂšme de financement concernant la protection de la biodiversitĂ©.  PubliĂ© le 28/02/2025 08:00  "Selon cette Ă©tude, les amphibiens sont les vertĂ©brĂ©s les plus menacĂ©s depuis deux dĂ©cennies, mais ils ne reçoivent qu'une infime partie des financements (2,8 %), un chiffre qui a en plus tendance Ă baisser. Les invertĂ©brĂ©s, et notamment les insectes, reçoivent Ă©galement peu de financements, malgrĂ© leur niveau de menace et leur rĂŽle fondamental dans le fonctionnement des Ă©cosystĂšmes." (...)  ------ NDĂ L'Ă©tude   Benoit GuĂ©nard, Alice C. Hughes, Claudianne LainĂ©, ..., and Gray A. Williams  Image via Recherche Google Â
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Bernadette Cassel
April 24, 1:50 PM
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Non-native plants in road verges attract pollinators despite associated declines in native flowers  Global Ecology and Conservation Available online 14 February 2025 Version of Record 18 February 2025.  Massimo Martini, Emily Kaul, Reid Miller, Jason Gibbs, Kyle Bobiwash  ------ NDĂ Traduction  Les habitats marginaux sont de plus en plus reconnus pour leur valeur potentielle dans la conservation des pollinisateurs. Les accotements routiers, qui couvrent de vastes zones, fournissent d'abondantes ressources florales et contribuent Ă l'hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© et Ă la connectivitĂ© des habitats dans les paysages homogĂšnes.  Cependant, les accotements sont Ă©galement des points chauds pour l'Ă©tablissement et la dispersion de plantes non indigĂšnes, ce qui soulĂšve des doutes quant Ă leur capacitĂ© Ă accueillir des populations de pollinisateurs diversifiĂ©es.  Nous avons Ă©chantillonnĂ© des plantes Ă fleurs et des insectes visiteurs sur les bords de route du sud-est du Manitoba, au Canada, et nous avons exploitĂ© des ensembles de donnĂ©es sur les communautĂ©s d'abeilles des zones environnantes et des zones de gestion de la faune (WMA) pour comparer les communautĂ©s de pollinisateurs dans les diffĂ©rents habitats.  Les communautĂ©s vĂ©gĂ©tales des accotements Ă©taient dominĂ©es par un sous-ensemble d'espĂšces non indigĂšnes abondantes et Ă©taient visitĂ©es de maniĂšre disproportionnĂ©e par les pollinisateurs gĂ©nĂ©ralistes.  L'abondance des plantes non indigĂšnes Ă©tait nĂ©gativement corrĂ©lĂ©e Ă la richesse et Ă l'abondance des plantes indigĂšnes dans les accotements, mais positivement associĂ©e Ă la richesse et Ă l'abondance des abeilles.  Le contexte et l'Ă©chelle du paysage ont Ă©galement influencĂ© les pollinisateurs. Nous avons constatĂ© de fortes diffĂ©rences dans la richesse, l'abondance et la composition des communautĂ©s de pollinisateurs Ă des Ă©chelles plus grandes (Ă©cozones), la composition et la configuration du paysage local y contribuant Ă©galement de maniĂšre significative, bien que dans une moindre mesure.  Les communautĂ©s d'abeilles des accotements routiers Ă©taient distinctes et moins homogĂšnes que celles des zones environnantes et des AMM, et prĂ©sentaient une proportion nettement plus Ă©levĂ©e d'individus polylectiques qu'oligolectiques.  Ces rĂ©sultats suggĂšrent que les accotements routiers peuvent accueillir des pollinisateurs gĂ©nĂ©ralistes mais sont moins adaptĂ©s aux spĂ©cialistes, soulignant leur potentiel pour maintenir les services de pollinisation dans les paysages fortement perturbĂ©s ou densĂ©ment boisĂ©s, tout en rĂ©vĂ©lant Ă©galement les limites de l'hĂ©bergement de communautĂ©s reprĂ©sentatives diversifiĂ©es et homogĂšnes.  Traduit avec DeepL.com (version gratuite)  ------ via Massimo Martini: "Paper alert! I'm happy to share that my first research paper has been published! đđž Road verges can support #pollinators but their potential for preserving representatively diverse and even communities is limited, due in part to high densities of non-native plants. doi.org/10.1016/j.ge..." â Bluesky, 19 fĂ©vrier 2025 Ă 08:17 https://bsky.app/profile/entomassi.bsky.social/post/3lija7y7zvk2d Â
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Bernadette Cassel
April 22, 1:25 PM
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Insects are disappearing at an alarming rate worldwide, but why? Agricultural intensification tops the list of proposed reasons, but there are many other, interconnected drivers that have an impact, according to new research led by Binghamton.  By John Brhel April 22, 2025  Image : Insects are disappearing around the world due to agriculture and numerous other interconnected drivers, according to new research led by Binghamton biologists. Image Credit: Louise Woodrich .   ------ NDĂ Traduction  Les insectes disparaissent dans le monde entier Ă cause de l'agriculture et de nombreux autres facteurs interdĂ©pendants, selon une mĂ©ta-analyse menĂ©e par des biologistes de Binghamton, mettant en Ă©vidence plus de 500 facteurs interconnectĂ©s Ă l'origine du dĂ©clin mondial des insectes   L'intĂ©rĂȘt scientifique et public pour le statut global des insectes a rĂ©cemment augmentĂ©. Cependant, la comprĂ©hension de l'importance relative des diffĂ©rents facteurs de stress et de leurs interrelations reste un problĂšme crucial.  Nous utilisons une approche mĂ©ta-synthĂ©tique pour intĂ©grer les hypothĂšses rĂ©centes sur les facteurs de stress et les rĂ©ponses des insectes dans un rĂ©seau contenant 3385 lignes et 108 nĆuds. Le rĂ©seau est fortement interconnectĂ©, l'intensification de l'agriculture Ă©tant le plus souvent identifiĂ©e comme une cause fondamentale. Les variables liĂ©es Ă l'habitat sont fortement connectĂ©es et semblent ĂȘtre sous-discutĂ©es par rapport Ă d'autres facteurs de stress.  Nous identifions Ă©galement des biais et des lacunes dans la littĂ©rature rĂ©cente, en particulier ceux gĂ©nĂ©rĂ©s par l'accent mis sur les insectes Ă©conomiquement importants et d'autres insectes populaires, en particulier les pollinisateurs, au dĂ©triment des insectes non pollinisateurs et moins charismatiques.  En plus de servir d'Ă©tude de cas sur la façon dont la mĂ©ta-synthĂšse peut cartographier un paysage conceptuel, nos rĂ©sultats identifient de nombreuses lacunes importantes pour lesquelles de futures mĂ©ta-analyses offriront des perspectives essentielles Ă la comprĂ©hension et Ă l'attĂ©nuation de la perte de biodiversitĂ© des insectes. Â
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Bernadette Cassel
April 20, 2:39 PM
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Une thĂ©orie mathĂ©matique de lâinformation aide Ă prĂ©dire la forme des rĂ©seaux dâinteractions chimiques entre plantes et insectes. Des scientifiques neuchĂątelois appliquent maintenant cette approche aux prairies des Alpes suisses. Keystone - ATS 19 avr. 2025, 05:00  AccĂšs limitĂ©  "Que ce soit pour se nourrir, se reproduire ou se dĂ©fendre, les plantes interagissent avec des organismes de leur voisinage en Ă©mettant diffĂ©rentes substances chimiques. Ces interactions tissent une toile que lâon peut modĂ©liser Ă lâaide de la thĂ©orie de lâinformation utilisĂ©e, par exemple, dans des rĂ©seaux de tĂ©lĂ©communications.  Câest ce que fait la professeure Pengjuan Zu, en poste depuis fĂ©vrier Ă lâUniversitĂ© de NeuchĂątel (UniNE), en cherchant à «dĂ©chiffrer le langage chimique entre les plantes et les insectes dans les communautĂ©s Ă©cologiques», selon lâintitulĂ© de son projet soutenu par le Fonds national suisse (FNS).  Pengjuan Zu applique Ă lâĂ©cologie la thĂ©orie de lâinformation, fondĂ©e Ă la fin des annĂ©es 1940 par le mathĂ©maticien amĂ©ricain Claude Shannon. Elle travaille Ă lâĂ©chelle des communautĂ©s dâespĂšces composĂ©es de plantes et dâinsectes, piĂšces maĂźtresses de la biodiversitĂ© et acteurs clĂ©s des Ă©cosystĂšmes aussi bien naturels quâagricoles. MolĂ©cules odorantes «Nous avons dĂ©veloppĂ© un cadre conceptuel sur la maniĂšre..." (...)  Image : Comprendre les relations entre plantes et pollinisateurs, c'est ce Ă quoi s'emploie l'Ă©quipe de chercheur·euses neuchĂątelois·es. Photo: archives Lucas Vuitel
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April 17, 11:56 AM
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Les PhlĂ©botomes sont des hĂ©matophages pouvant transmettre des maladies, Lison Laroche nous explique ses recherches pour mieux comprendre ces insectes  Par Lison Laroche janvier 27, 2025  "En raison de leur comportement hĂ©matophage, les phlĂ©botomes sont impliquĂ©s dans la transmission de diffĂ©rents agents pathogĂšnes tels que les parasites leishmanies et les phlĂ©bovirus (Famille : Phenuiviridae ; Ordre : Bunyavirales). Certains phlĂ©bovirus sont associĂ©s Ă des pathologies humaines, comme le virus Toscana (TOSV). Ce virus a Ă©tĂ© isolĂ© pour la premiĂšre fois en 1971 chez les espĂšces Phlebotomus perniciosus et Phlebotomus perfiliewi en Italie centrale (Toscane)." (...)   Â
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April 15, 12:07 PM
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La transmission orale du parasite protozoaire Trypanosoma cruzi, par le biais de boissons et d'aliments contaminĂ©s, est en augmentation dans plusieurs pays.  ------ via Medscape Ă©dition française â Bluesky, 14.04.2025  "[JournĂ©e mondiale de la maladie de #Chagas] Dans lâActu : transmission orale de la maladie de Chagas http://ms.spr.ly/63324qAPPe " https://bsky.app/profile/medscapefrancais.bsky.social/post/3lmrp6ovccn2w Â
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April 12, 1:40 PM
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Pour régénérer les prairies semi-naturelles méditerranéennes dégradées, les fourmis moissonneuses sont des alliées de choix.  Loïc Mangin 12 avril 2025  Image : Une fourmi Messor barbarus dépose une graine de luzerne Medicago rigidula dans un dépotoir. Crédit : T. de Almeida, IMBE  ------ NDà Les études (Léa Saby et al.)    - Restoring a Mediterranean grassland by replacing the natural stone cover and sowing the dominant grass - CNRS - Centre national de la recherche scientifique, 22.04.2024 https://cnrs.hal.science/hal-04554862/
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Bernadette Cassel
April 9, 7:14 AM
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Combien faut-il dâarbres dans la ville idĂ©ale ? Ă quels endroits les planter ? Quelles espĂšces choisir ? Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les arbres en ville sans oser le demander.  Bastien Castagneyrol, Inrae; Alain Paquette, UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă MontrĂ©al (UQAM) et Serge Muller, MusĂ©um national dâhistoire naturelle (MNHN)  "... Ces dernieÌres anneÌes ont bien montreÌ lâimpact que peut avoir une surabondance de certaines espeÌces ou groupes, comme les freÌnes en AmeÌrique du Nord, victimes dâun insecte, lâagrile du freÌne, qui en absence de traitement tue pratiquement tous les arbres en quelques anneÌes. Or les freÌnes sont parmi les espeÌces les plus freÌquentes dans la canopeÌe des villes dâAmeÌrique du Nord (plus de 20 % aÌ MontreÌal, par exemple). Quâun insecte ravageur sâinstalle durablement, et câest la majoriteÌ de la foreÌt urbaine qui est menaceÌe, avec des conseÌquences rapidement mesurables sur la santeÌ humaine.  Ainsi, la diversification des plantations est le meilleur outil que nous ayons pour reÌduire le risque lieÌ aux changements climatiques, aux insectes et aux maladies exotiques. De la meÌme manieÌre que lâagricultrice aviseÌe ne placera pas tous ses Ćufs dans un seul panier, ou que la banquieÌre performante diversifiera son portefeuille dâactions, la diversification de la foreÌt urbaine diminue son exposition au risque par « effet de portefeuille », cette ideÌe portant en effet le meÌme nom en eÌconomie et en eÌcologie."  ------ NDĂ En relation :  Â
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April 7, 1:06 PM
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Abstract. The evolutionary origins of mimicry in the Easter egg weevil, Pachyrhynchus, have fascinated researchers since first noted more than a century ag  How the Easter Egg Weevils Got Their Spots: Phylogenomics Reveals MĂŒllerian Mimicry in Pachyrhynchus (Coleoptera, Curculionidae). | Systematic Biology | Oxford Academic  MH Van Dam, A Anzano Cabras, AW Lam - Systematic Biology, 2023  ------ NDĂ Traduction  Le mimĂ©tisme mĂŒllĂ©rien, ou mimĂ©tisme dans lequel deux ou plusieurs espĂšces toxiques se ressemblent, est rĂ©pandu dans tout le rĂšgne animal. Ătant donnĂ© les motifs de couleur variĂ©s mais discrets chez Pachyrhynchus, ce genre prĂ©sente l'une des meilleures opportunitĂ©s d'Ă©tudier l'Ă©volution du mimĂ©tisme parfait et imparfait.  [...]  Nos rĂ©sultats indiquent que de nombreux motifs colorĂ©s mimĂ©tiques observĂ©s chez des espĂšces sympatriques sont dus Ă une Ă©volution convergente.  Nous suggĂ©rons que cette convergence est guidĂ©e par une sĂ©lection positive dĂ©pendante de la frĂ©quence. Â
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April 5, 7:33 AM
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Ce rapport du service des donnĂ©es et Ă©tudes statistiques (SDES) aborde, tout au long de ses 140 pages, quatre thĂ©matiques prĂ©cises : lâĂ©puisement des ressources naturelles, la pollution des milieux naturels, le changement climatique et le dĂ©clin de la biodiversitĂ©.  Quel est lâĂ©tat de lâenvironnement en France ? Comprendre en trois minutes  Par ChloĂ© Denis et Olivier Escher (motion design) PubliĂ© aujourdâhui Ă 06h00, modifiĂ© Ă 13h43  "Le dernier rapport sur lâĂ©tat de lâenvironnement en France rĂ©vĂšle une situation critique des Ă©cosystĂšmes malgrĂ© quelques amĂ©liorations, notamment sur la qualitĂ© de lâair."  ------ NDĂ Le rapport   Ătat de lâenvironnement en France RAPPORT 2024  PubliĂ© le 31 mars 2025 | MinistĂšre de la Transition Ă©cologique et de la CohĂ©sion de territoires  Le Rapport sur lâĂ©tat de lâenvironnement en France, REE 2024, rĂ©pond Ă un objectif : apporter des clĂ©s de lecture sur les grands enjeux de la transition Ă©cologique. PubliĂ© tous les 4 ans par le Commissariat gĂ©nĂ©ral au dĂ©veloppement durable, ce rapport fournit des informations objectives, fiables et scientifiquement fondĂ©es. Il rĂ©pond Ă lâengagement quâa pris la France en ratifiant la convention dâAarhus en 2002, de rendre lâinformation environnementale accessible et comprĂ©hensible Ă tous les citoyens. Cette Ă©dition 2024 sâarticule autour de quatre dĂ©fis environnementaux, Ă©troitement liĂ©s : lâĂ©puisement des ressources naturelles, la pollution des milieux naturels, le changement climatique, et le dĂ©clin de la biodiversitĂ©.
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Bernadette Cassel
April 3, 1:23 PM
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Pour retrouver leur chemin, les abeilles et les fourmis sâappuient sur une perception de lâenvironnement bien diffĂ©rente de la nĂŽtre⊠et dont sâinspirent certains roboticiens.  Julien Serres PubliĂ©: 2 avril 2025, 12:23 CEST  "... Pour imiter lâĆil des insectes, nous avons dĂ©veloppĂ© en 2013 le premier capteur visuel miniature (1,75 gramme) de type Ćil composĂ© de 630 petits yeux Ă©lĂ©mentaires, appelĂ© CurvACE.  Ce capteur, aux performances toujours inĂ©galĂ©es Ă ce jour, est capable de mesurer des vitesses de dĂ©filement de contrastes visuels, que ce soit par un clair de lune ou une journĂ©e trĂšs ensoleillĂ©e. Lâavantage majeur de cet Ćil composĂ© est son large champ visuel panoramique horizontal de 180° et vertical de 60° pour une taille de seulement 15 millimĂštres de diamĂštre et une consommation de quelques milliwatts. MĂȘme si les rĂ©cepteurs GPS consomment autant que le capteur CurvACE, les calculs effectuĂ©s pour dĂ©terminer votre position Ă partir des signaux satellitaires sont extrĂȘmement coĂ»teux. Câest pour cela que la navigation sur smartphone est trĂšs consommatrice dâĂ©nergie. Ă cela, il faut ajouter le coĂ»t Ă©nergĂ©tique et Ă©cologique de lâentretien des constellations de satellites.  Puis, nous avons Ă©quipĂ© un drone miniature de 80 grammes dâune paire de capteurs CurvACE, grĂące auxquels il peut suivre un relief accidentĂ©. Ce type de capteur pesant seulement quelques milligrammes pourrait Ă©quiper les drones de demain." (...)  Image : Premier Ćil composĂ© et courbe, rĂ©alisĂ© dans le cadre du projet europĂ©en CurvACE. Ce capteur intĂšgre une matrice de pixels autoadaptatifs (630 pixels) et leurs microoptiques de maniĂšre Ă former une juxtaposition de petits yeux Ă©lĂ©mentaires selon une courbe cylindrique. Dario Floreano, Ăcole Polytechnique FĂ©dĂ©rale de Lausanne (EPFL), Laboratory of Intelligent Systems (LIS), Fourni par l'auteur  ------ NDĂ Ătude rĂ©cente avec participation de l'auteur   Gabriel Gattaux, Antoine Wystrach, Julien R Serres, Franck Ruffier. Â
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Bernadette Cassel
April 1, 7:14 AM
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De nombreux papillons, abeilles et mites sont en voie de disparition, selon un nouveau rapport, coécrit par un chercheur canadien.  ------ NDà L'étude   Image : Threats to pollinators.  (A) Threats affecting at-risk pollinators as identified by experts (species can be affected by >1 threat).  (B) Top three threats to bees.  (C) Top three threats to butterflies and moths.  (D) Threat affecting the greatest number of species in each state, province, or territory. Multiple colors in a state, province, or territory indicate ties.  Map created in ArcGIS.
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Bernadette Cassel
March 29, 7:27 AM
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Le plĂ©coptĂšre Dictyogenus nadigi, une mouche de pierres alpine, est Ă©lu nouvelle espĂšce de l'annĂ©e 2025 par la Swiss Systematics Society. Dans une Ă©tude rĂ©cemment publiĂ©e, un chercheur suisse a dĂ©crit six nouvelles espĂšces de ce groupe d'insectes aquatiques.  CQFD StĂ©phanie Jaquet et l'ats PubliĂ© mercredi Ă 11:47 ModifiĂ© Ă 13:06  " Plecoptera, c'est le nom d'un des groupes des mouches alpines: ces insectes portent ce nom, car ils se posent de prĂ©fĂ©rence sur les pierres des rives. Jean-Paul Reding, chercheur indĂ©pendant, a baptisĂ© l'une de ces espĂšces Dictyogenus nadigi, en hommage Ă l'entomologiste Adolf Nadig, dĂ©cĂ©dĂ© en 2003. Ce dernier a fait Ćuvre de pionnier dans l'Ă©tude de la faune des sources du Parc national suisse.  La Suisse abrite une grande diversitĂ© de plĂ©coptĂšres: 127 des 516 espĂšces connues en Europe vivent dans notre pays, a indiquĂ© mercredi la Swiss Systematics Society (SSS), membre de l'AcadĂ©mie suisse des sciences naturelles (SCNAT). Les espĂšces du genre Dictyogenus se trouvent surtout le long des torrents et riviĂšres des Alpes, jusqu'Ă une altitude de 2700 mĂštres.  MalgrĂ© leur large rĂ©partition, on constate un recul alarmant des plĂ©coptĂšres dans de nombreuses rĂ©gions, selon la SSS. C'est Ă©galement le cas en Suisse, oĂč prĂšs de 40% des espĂšces figurent sur la liste rouge. Indicateurs de la qualitĂ© de l'eau Les plĂ©coptĂšres font partie du groupe des insectes aquatiques: ils ne sont prĂ©sents que dans les cours d'eau intacts. Par consĂ©quent, ils sont utilisĂ©s comme indicateurs de la qualitĂ© de l'eau: leur prĂ©sence indique qu'une riviĂšre ou un ruisseau n'est pas polluĂ© ou qu'il est bien oxygĂ©nĂ©.  Les insectes aquatiques sont des ĂȘtres fascinants, poursuit la SSS: chez de nombreuses espĂšces, les adultes n'ont qu'une vie trĂšs courte dans les airs et meurent aprĂšs avoir pondu leurs Ćufs dans l'eau. C'est lĂ que se dĂ©veloppent leurs larves â ce qui marque le dĂ©but d'un nouveau cycle."  Image : La mouche de pierre, Ă©lue nouvelle espĂšce de l'annĂ©e 2025
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Today, 2:00 PM
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La technique de lâinsecte stĂ©rile, qui permet de limiter la reproduction des insectes ravageurs, est envisagĂ©e en France. Peut-elle se substituer aux pesticides ?  Simon Fellous et Tasnime Adamjy PubliĂ©: 22 avril 2025, 17:25 CEST  [...] Les risques de la TIS pour lâenvironnement "La France est, peu ou prou, le premier pays Ă interroger formellement les possibles effets nĂ©fastes de la TIS sur lâenvironnement. Lâabsence actuelle de donnĂ©es, malgrĂ© lâanciennetĂ© de la technique, peut sâexpliquer par des a priori positifs sur son innocuitĂ© en raison de sa grande spĂ©cificitĂ©. Comme les mĂąles stĂ©riles ne sâaccouplent gĂ©nĂ©ralement quâavec les femelles de leur espĂšce, on attend peu dâeffets sur les Ă©cosystĂšmes, contrairement aux insecticides qui sont toxiques pour de nombreuses espĂšces diffĂ©rentes.  Reste un paradoxe : les insectes relĂąchĂ©s ne sont jamais tous stĂ©riles Ă 100 %. Il arrive quâune reproduction rĂ©siduelle soit possible avec des insectes sauvages. Il est donc prĂ©fĂ©rable dâĂ©lever, de stĂ©riliser et de relĂącher une population locale dâinsectes, afin dâĂ©viter dâintroduire dans la population dâinsectes Ă contrĂŽler des gĂšnes provenant dâune autre localitĂ©.  Enfin, les insectes stĂ©riles, relĂąchĂ©s en masse, peuvent transmettre leur microbiote aux insectes sauvages, notamment lors des accouplements. Cette possibilitĂ© est peu inquiĂ©tante, car les microbiotes des insectes dâĂ©levage nâont pas de raison dâĂȘtre dangereux pour les humains ou pour lâenvironnement. Aucun effet nĂ©faste notable sur lâenvironnement nâa Ă©tĂ© rapportĂ© parmi les dizaines de programmes de TIS dĂ©ployĂ©s dans monde.  Toutefois, le suivi postintroduction est important. Cela permet dâassurer la transparence vis-Ă -vis des diffĂ©rents acteurs et de pouvoir interrompre les lĂąchers en cas de doute." (...)   Robin Guilhot, Anne XuĂ©reb and Simon Fellous  Image : Des moustiques prĂȘts Ă ĂȘtre relĂąchĂ©s au BrĂ©sil pour lutter contre la dengue. Dean Calma/IAEA, CC BY-SA
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April 23, 12:12 PM
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Dans une dĂ©couverte aussi Ă©tonnante quâinquiĂ©tante, des biologistes ont retrouvĂ© des microplastiques dans des insectes aquatiques dâeau douce collectĂ©s dĂšs 1971. Une rĂ©vĂ©lation rendue possible grĂące aux prĂ©cieuses collections dâhistoire naturelle, qui réécrit lâhistoire de l  Il y a 1 heure Par Julie De Coucy   Image : Graphical Abstract
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April 21, 11:04 AM
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Des Ă©tudes Ă long terme aprĂšs les tempĂȘtes Vivian et Lothar montrent que la plupart des insectes et autres arthropodes profitent des chablis.  Institut fĂ©dĂ©ral de recherches WSL 21.04.2025  "Des arbres dĂ©racinĂ©s et brisĂ©s (ce que l'on appelle des chablis), des troncs en croix, des routes et des chemins obstruĂ©s: lpour nous, le passage dâune tempĂȘte est un triste spectacle. La nature voit les choses diffĂ©remment. Des dĂ©cennies d'Ă©tudes sur les invertĂ©brĂ©s dans diffĂ©rents chablis en Suisse ont montrĂ© que la nature s'adapte bien Ă de tels Ă©vĂ©nements et que le nombre d'espĂšces d'insectes et d'araignĂ©es y est nettement plus Ă©levĂ© que dans une forĂȘt intacte. En principe, le bois Ă terre est rĂ©coltĂ© le plus rapidement possible aprĂšs une tempĂȘte. Cela entraĂźne une modification des communautĂ©s d'espĂšces d'arthropodes par rapport aux surfaces de chablis non dĂ©blayĂ©es. Une mosaĂŻque de parcelles nettoyĂ©es et non nettoyĂ©es est donc la plus favorable Ă la biodiversitĂ©." (...)  Surface de chablis prĂšs de Zurich deux mois aprĂšs la tempĂȘte Lothar. Photo : Beat Wermelinger (WSL)
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April 18, 1:53 PM
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Des fleurs urbaines absorbent des mĂ©taux toxiques du sol, exposant les abeilles Ă des risques neurotoxiques qui compromettent leur survie.  PubliĂ© le 18 Avr 2025 Ă 07H00 "Alors que les villes cherchent Ă reverdir leurs espaces pour contrer lâĂ©rosion de la biodiversitĂ©, les prairies fleuries urbaines sâimposent comme une solution simple et visible en faveur des pollinisateurs. Abeilles et papillons y trouvent de quoi se nourrir, dans un contexte de dĂ©clin alarmant des populations sauvages.  Pourtant, une rĂ©cente Ă©tude soulĂšve un problĂšme souvent ignorĂ© : la contamination des sols urbains par des mĂ©taux toxiques issus de lâhĂ©ritage industriel.  PubliĂ©e dans la revue Ecology and Evolution, cette recherche conjointe de lâUniversitĂ© de Cambridge et de lâUniversitĂ© dâĂtat de lâOhio montre que certaines fleurs absorbent ces polluants et les transmettent directement aux insectes via leur nectar. Ă Cleveland, oĂč lâĂ©tude a Ă©tĂ© menĂ©e, les fleurs poussant sur dâanciens terrains industriels contiennent du plomb, du chrome ou du cadmium, substances nĂ©fastes pour la mĂ©moire, le comportement et la survie des abeilles.  Â
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April 16, 12:48 PM
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Des milliers de fourmis reines saisies, des suspects internationaux arrĂȘtĂ©s : le Kenya fait face Ă un trafic inĂ©dit dâinsectes exotiques.  Maceo Ouitona PubliĂ© le 16 avril 2025 Ă 07h00  "Un trafic aussi insolite que lucratif vient de secouer le Kenya : des milliers de fourmis reines, extraites illĂ©galement de leur habitat naturel, ont Ă©tĂ© saisies alors quâelles sâapprĂȘtaient Ă quitter le pays. Une affaire inĂ©dite qui expose un marchĂ© noir mĂ©connu, mais en plein essor, et relance le dĂ©bat sur la biopiraterie des espĂšces africaines." (...)  ------ NDĂ ComplĂ©ment  "... Le KWS (Kenya Wildlife Service) a dĂ©clarĂ© que les autoritĂ©s avaient interceptĂ© des fourmis reines vivantes, y compris de l'espĂšce Messor cephalotes, Ă©galement connue sous le nom de fourmi gĂ©ante africaine, dissimulĂ©es dans des Ă©prouvettes et des seringues modifiĂ©es.  « Les enquĂȘtes ont rĂ©vĂ©lĂ© que les tubes Ă essai avaient Ă©tĂ© conçus pour permettre aux fourmis de survivre jusqu'Ă deux mois et d'Ă©chapper Ă la dĂ©tection de la sĂ©curitĂ© aĂ©roportuaire », a dĂ©clarĂ© le KWS dans un communiquĂ©, qualifiant cette opĂ©ration de « prĂ©mĂ©ditĂ©e et bien exĂ©cutĂ©e ».  Si certaines personnes considĂšrent les fourmis comme une nuisance qui gĂąche les pique-niques, les aficionados aiment les garder dans des formicariums, des boĂźtes transparentes oĂč ils peuvent les observer construire des colonies complexes. Un document judiciaire consultĂ© par Reuters indique que les autoritĂ©s ont interceptĂ© environ 5 000 reines emballĂ©es dans 2 244 conteneurs, d'une valeur marchande d'environ 1 million de shillings kenyans (7 800 dollars)."  via Zonebourse Suisse "Des agents kenyans dĂ©mantĂšlent un complot visant Ă faire passer en contrebande des fourmis gĂ©antes pour les vendre Ă des amateurs d'insectes Ă©trangers", 15.04.2025 https://ch.zonebourse.com/actualite-bourse/Des-agents-kenyans-demantelent-un-complot-visant-a-faire-passer-en-contrebande-des-fourmis-geant-49622890/ Â
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April 14, 12:28 PM
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La tĂ©nacitĂ© du nĂ©crophore dâAmĂ©rique face Ă la mort pourrait participer Ă la recherche pour la santĂ© humaine, notamment au dĂ©veloppement d'une nouvelle gĂ©nĂ©ration dâantibiotiques.  Publication 14 avr. 2025, 15:32 CEST  Â
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April 11, 12:06 PM
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"La baisse de la natalitĂ© en France est « essentiellement liĂ©e » Ă des facteurs « socio-Ă©conomiques et culturels », tel quâun contexte Ă©conomique dĂ©favorable ou un dĂ©clin du dĂ©sir dâenfant, explique le ComitĂ© consultatif national dâĂ©thique (CCNE) dans un avis [PDF] rendu le 3 avril. Cette baisse est aussi causĂ©e, dans une moindre mesure, par une augmentation de lâinfertilitĂ© due Ă divers facteurs, tels que lâobĂ©sitĂ© et la pollution, selon le CCNE.  Une baisse de la natalitĂ© en France : Pollution, perturbateurs, mode de vie, lâenvironnement pĂšse sur la fertilitĂ©  Brief.science - Ădition du 11 avril 2025 (abonnĂ©s)  "Cette autoritĂ© indĂ©pendante avait Ă©tĂ© saisie en juin par le ministre de la SantĂ© pour engager une rĂ©flexion sur la lutte contre lâinfertilitĂ©. La natalitĂ© diminue en France depuis 2011, selon lâinstitut national de statistiques Insee. Cette diminution touche lâensemble de lâEurope et sâinscrit aussi dans une tendance internationale, prĂ©cise le CCNE. PrĂšs de deux tiers de la population mondiale connaĂźt des niveaux de fĂ©conditĂ© infĂ©rieurs au seuil de renouvellement des gĂ©nĂ©rations, soit 2,05 enfants par femme. En France, le niveau Ă©tait de 1,62 enfant par femme en 2024. LâinfertilitĂ© concerne environ une personne sur six dans le monde, selon lâOrganisation mondiale de la SantĂ© (OMS), une agence de lâONU." (...)  ------ NDĂ Avis 149 ComitĂ© consultatif national dâĂ©thique pour les sciences de la vie et de la santĂ© (CCNE)   Extrait  ⊠Les perturbateurs endocriniens agissent en interfĂ©rant avec le fonctionnement hormonal normal. Chez la femme, lâexposition aux perturbateurs endocriniens est associĂ©e Ă une diminution de la rĂ©serve ovarienne, Ă une altĂ©ration de la qualitĂ© des ovocytes, Ă une augmentation du risque dâinsuffisance ovarienne prĂ©maturĂ©e, de fausses couches Ă rĂ©pĂ©tition, dâaccouchements prĂ©maturĂ©s et de cancers gynĂ©cologiques. Chez lâhomme, des Ă©tudes montrent que lâexposition aux perturbateurs endocriniens est associĂ©e Ă une altĂ©ration de la spermatogĂ©nĂšse, dâanomalies pubertaires et de cancers du testicule.  Par ailleurs, un certain nombre de situations Ă risques sont frĂ©quentes dans la population : exposition Ă la pollution, stress, manque de sommeil, mauvaise alimentation, tabac, cannabis, sĂ©dentaritĂ©âŠ, des facteurs qui sont tous impliquĂ©s dans la genĂšse de lâinfertilitĂ©. Le Professeur Rachel Levy distingue Ă ce sujet les causes maternelles des Ă©tats de santĂ© et de maladie (originales dĂ©veloppementales) dites DOHaD (1), et les causes paternelles dites POHaD (2). Ces deux champs de recherche investissent le champ de lâĂ©pigĂ©nĂ©tique et sâintĂ©ressent particuliĂšrement Ă la nutrition et aux expositions environnementales dont les consĂ©quences pour lâenfant Ă naĂźtre peuvent ĂȘtre prĂ©sentes dĂšs la naissance (retard de croissance intra-utĂ©rin, par exemple) ou se rĂ©vĂ©ler plus tard notamment par des pathologies Ă lâĂąge adulte.   Une dimension transgĂ©nĂ©rationnelle  Il a Ă©tĂ© mis en Ă©vidence, par plusieurs Ă©tudes, lâexistence dâun lien entre lâexposition aux perturbateurs endocriniens durant la grossesse et des troubles de la reproduction chez les descendants. Cette transmission de marqueurs Ă©pigĂ©nĂ©tiques favorisant lâapparition de troubles Ă lâĂąge adulte ne concerne pas seulement la fertilitĂ© mais Ă©galement les cancers, la santĂ© du cĆur, pancrĂ©as, cerveauâŠ. Des modifications Ă©pigĂ©nĂ©tiques consĂ©cutives Ă des expositions Ă des perturbateurs endocriniens semblent bien dĂ©montrĂ©es comme Ă©tant les mĂ©diateurs de ces effets. Cette exposition a aussi Ă©tĂ© rapportĂ©e comme pouvant induire une infertilitĂ©, des affections testiculaires et un syndrome des ovaires polykystiques.  Tous les facteurs mentionnĂ©s ci-dessus influencent non seulement la fertilitĂ© des personnes exposĂ©es mais Ă©galement celle de leurs descendants ; il est donc essentiel de lutter contre ces expositions.  (1) DOHaD pour Developmental Origins of Health and Disease ou concept des origines dĂ©veloppementales de la santĂ©  (2) POHAD pour The Paternal Origins of Health and Disease ou concept des paternitĂ©s biomĂ©dicales et causalitĂ©s sociales Â
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Bernadette Cassel
April 8, 11:52 AM
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(ETX Daily Up) - Dans une indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale, les Ă©tudes s'enchaĂźnent et dressent un constat alarmant sur l'effondrement vertigineux des populations dâinsectes, en Europe comme ailleurs dans le monde.  PubliĂ© le 07/04/2025 Ă 12:31 La DĂ©pĂȘche du Midi  "Pourtant, ces minuscules crĂ©atures jouent un rĂŽle fondamental dans le maintien des grands Ă©quilibres Ă©cologiques. Une Ă©tude britannique, rĂ©cemment publiĂ©e dans la revue Science, lance un appel pressant : mieux surveiller ces espĂšces devient crucial pour espĂ©rer les prĂ©server efficacement." (...)   Image : Harnessing the breadth of evidence on insect biodiversity change. By combining data from a range of sourcesâincluding from time series, spatial comparisons, expert elicitation, and experimentsâwe can gain a more complete picture of how insects respond to drivers of change while allowing transparency in uncertainty and data gaps.  ------ NDĂ Traduction  Les insectes sont la forme dominante de la vie animale sur notre planĂšte en termes de diversitĂ© des espĂšces, d'abondance et de biomasse. Ils remplissent une multitude de fonctions essentielles Ă la santĂ© et au bien-ĂȘtre de l'homme et occupent des positions centrales dans les rĂ©seaux trophiques.  Les insectes sont en dĂ©clin dans de nombreuses rĂ©gions du monde sous l'effet de facteurs interdĂ©pendants. Il est essentiel de comprendre les mĂ©canismes Ă l'origine de ces changements si nous voulons Ă©viter d'autres dĂ©clins et prĂ©server les populations d'insectes Ă l'avenir.  Les insectes sont un groupe difficile Ă Ă©tudier car ils sont extrĂȘmement divers, ont des cycles de vie complexes, sont fonctionnellement sophistiquĂ©s et subissent des fluctuations de populations importantes. En outre, la base de donnĂ©es fragmentĂ©e et non reprĂ©sentative disponible signifie que l'Ă©tat global de la biodiversitĂ© des insectes reste incertain.  Face Ă ces dĂ©fis, de nouvelles approches sont nĂ©cessaires pour dĂ©terminer le statut global des insectes et leurs rĂ©ponses aux facteurs de changement. Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Â
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Bernadette Cassel
April 6, 5:47 AM
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Dans un communiquĂ©, le CHU de lâĂźle a fait part dâune « augmentation trĂšs importante de lâactivitĂ© des services dâaccueil des urgences ».
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Bernadette Cassel
April 4, 5:52 AM
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La dĂ©couverte dâune guĂȘpe prĂ©historique du CrĂ©tacĂ©, dont le fossile, pris dans de lâambre, rĂ©vĂšle une adaptation Ă©tonnante et complexe.  par Brice Louvet 2 avril 2025, 11 h 45 min  "Lâhistoire de la Terre regorge de mystĂšres qui ne cessent de fasciner les scientifiques. Parfois, une simple dĂ©couverte peut bouleverser notre comprĂ©hension des comportements et des stratĂ©gies Ă©volutives des espĂšces disparues. Câest exactement ce qui vient de se produire avec la dĂ©couverte dâune guĂȘpe prĂ©historique du CrĂ©tacĂ©, dont le fossile, pris dans de lâambre, rĂ©vĂšle une adaptation Ă©tonnante et complexe. Cet insecte parasite, maintenant appelĂ© Sirenobethylus charybdis, porte autour de sa taille un dispositif surprenant qui ressemble Ă une DionĂ©e attrape-mouche miniature, une innovation biologique surprenante pour cette Ă©poque." (...)  ------ NDĂ L'Ă©tude   Image : â Sirenobethylus charybdis sp. nov., holotype (specimen CNU-HYM-MA2015124) female. A Dorsal view as preserved. B The tip of abdomen and ovipositor in ventral view, showing trigger hairs (black arrows). C The tip of abdomen and ovipositor in lateral view, showing trigger hairs (black arrows), ovipositor (orange arrow) and groove on the sternum 7 (blue arrow). D Habitus reconstruction. Scale bars: A 0.5 mm; B 0.3 mm; C 0.2 mm. Abbreviations: S6 sternum 6; T7 tergum 7; S7 sternum 7 Â
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Bernadette Cassel
April 2, 5:47 AM
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Les chercheurs explorent de nouvelles voies pour lutter contre le paludisme, une maladie qui continue de faire des ravages, causant plus de 500 000 dĂ©cĂšs annuels. Parmi ces pistes, une Ă©tude menĂ©e par l'Ăcole de mĂ©decine tropicale de Liverpool propose une utilisation innovante du mĂ©dicament nitisinone.  30/03/2025 Ă 9h49 Jessica ROUX  [...] Comparaison avec dâautres traitements antiparasitaires "La nitisinone a Ă©tĂ© comparĂ©e Ă lâivermectine, un autre mĂ©dicament antiparasitaire utilisĂ© pour tuer les moustiques. Bien que lâivermectine tue les moustiques Ă des concentrations plus faibles, la nitisinone agit plus rapidement et reste plus longtemps dans le sang, augmentant les chances de contact avec les moustiques. De plus, contrairement Ă lâivermectine qui cible le systĂšme nerveux, la nitisinone est moins neurotoxique. Cette caractĂ©ristique le rend potentiellement plus sĂ»r pour une utilisation Ă grande Ă©chelle. Les chercheurs soulignent que la demi-vie plus longue du nitisinone dans le sang humain est un avantage considĂ©rable pour sa viabilitĂ© sur le terrain.  Un espoir pour la lutte contre le paludisme Alors que les efforts pour Ă©radiquer le paludisme stagnent face Ă des populations croissantes et Ă une rĂ©sistance accrue aux traitements, la nitisinone apporte un nouvel espoir. Il pourrait complĂ©ter dâautres mesures de lutte contre la propagation du paludisme, tout en minimisant les risques pour les humains et la faune. Cette approche novatrice pourrait jouer un rĂŽle crucial dans les stratĂ©gies futures de lutte contre le paludisme. La recherche, publiĂ©e dans Science Translational Medicine, souligne le potentiel du nitisinone en tant quâoutil complĂ©mentaire pour contrĂŽler les maladies transmises par les insectes." (...)  ------ NDĂ L'Ă©tude  Â
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Bernadette Cassel
March 31, 8:43 AM
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Les vĂ©gĂ©taux regorgent de ressources pour repousser les attaques de ravageurs et de maladies. En faire des alliĂ©s permet de rĂ©duire le recours aux produits phytosanitaires.  30 mars 2025Comment lâingĂ©niositĂ© des « plantes de service » peut aider Ă rĂ©duire les pesticides  Paula Fernandes, Cirad; Alain Ratnadass, Cirad; François-RĂ©gis Goebel, Cirad et GaĂ«lle Damour, Cirad  "Chaque jardinier connaĂźt lâĆillet dâInde, alliĂ© qui Ă©loigne insectes et maladies du potager. Mais saviez-vous quâil existe de nombreuses autres plantes, dites « plantes de service », prĂ©cieuses pour une agriculture plus respectueuse de la santĂ© et de lâenvironnement ?  Des rĂ©sultats de recherche rĂ©vĂšlent quâune large gamme de plantes, lorsquâon les intĂšgre aux systĂšmes de culture, sont capables de rĂ©guler les bioagresseurs des champs (insectes et arthropodes, nĂ©matodes, champignons, bactĂ©ries, virus, adventices), et donc de rĂ©duire les besoins en pesticides." (...) CrĂ©er les conditions propices Penchons-nous dans un premier temps sur les mĂ©canismes mis en Ćuvre par certains vĂ©gĂ©taux pour contrer les bioagresseurs aĂ©riens.  Les plantes refuges, frĂ©quemment implantĂ©es en bordure de parcelle, assurent un habitat favorable aux auxiliaires, en leur fournissant le gĂźte et le couvert. Ainsi, ces derniers sont dĂ©jĂ prĂ©sents lorsque les ravageurs arrivent pour attaquer les cultures, ils interviennent plus rapidement (prĂ©dation, parasitisme). Câest le cas notamment du tournesol mexicain (Tithonia diversifolia) utilisĂ© aux abords des champs de canne Ă sucre en Tanzanie pour attirer et prĂ©server les coccinelles prĂ©datrices du puceron jaune Sipha flava, ravageur majeur dans ce pays.  Les plantes dâombrage, intĂ©grĂ©es dans la parcelle, modifient son microclimat. En changeant la luminositĂ© et lâhumiditĂ©, elles rendent les conditions climatiques dĂ©favorables Ă certains bioagresseurs et plus favorables Ă dâautres.  Câest notamment le cas des eucalyptus ou Ă©rythrines dans les plantations de cafĂ©iers, vis-Ă -vis du champignon Colletotrichum kahawae provoquant lâanthracnose des baies au Cameroun. Ces plantes ont le mĂȘme effet sur la cochenille Placococcus citri et le champignon Cercospora coffeicola qui provoque au Costa Rica la cercosporiose.  CrĂ©er des barriĂšres naturelles Certaines plantes jouent un rĂŽle de barriĂšre contre les agresseurs. ImplantĂ©es en bordure, elles forment un rideau vĂ©gĂ©tal qui empĂȘche les ravageurs dâatteindre la culture. Câest le cas des barriĂšres de Crotalaria juncea qui obstruent le passage des aleurodes, qui volent Ă hauteur dâhomme vers les plants de piment." (...)  Ămettre des odeurs rĂ©pulsives ou attractives Les plantes Ă©mettrices dâodeurs peuvent ĂȘtre utilisĂ©es seules ou bien combinĂ©es pour accroĂźtre leur efficacitĂ© dans un systĂšme « push-pull » :  La plante « push », intĂ©grĂ©e au milieu de la culture, diffuse un « parfum rĂ©pulsif » pour les ravageurs. Les plantes aromatiques, telles que le basilic ou le gros thym antillais Plectranthus amboinicus, constituent un vivier intĂ©ressant de plantes « push ».  ParallĂšlement, une plante « pull » est introduite, soit dans la parcelle pour attirer les auxiliaires, soit en bordure pour attirer vers elle le ravageur, le dĂ©tournant ainsi de la culture. Ainsi, certaines variĂ©tĂ©s de maĂŻs doux attirent la femelle de la noctuelle de la tomate qui, au lieu de pondre sur les tomates, va le faire sur les soies des Ă©pis de maĂŻs â qui constituent des « voies sans issue » car les larves qui Ă©closent ne peuvent sây dĂ©velopper.   Image : Figure. InspirĂ©e de Ratnadass et coll., 2011
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Bernadette Cassel
March 28, 12:40 PM
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PDF | Discovery of Isturgia deerraria (Walker, 1861) in Corsica: first record from the Metropolitan France. The authors report on the circumstances... | Find, read and cite all the research you need on ResearchGate  Alexanor, 30 (5), 2022 (2024)  Antoine Leveque & Daniel Morel  "Les auteurs rapportent les circonstances de la dĂ©couverte en Corse de la GĂ©omĂštre Isturgia deerraria (Walker, 1861). A cette occasion, ils prĂ©sentent en dĂ©tail cette espĂšce mĂ©connue des lĂ©pidoptĂ©ristes français : taxinomie et usage du nom au cours du temps, caractĂšres diagnostiques de l'habitus (par rapport aux autres Isturgia corses, français et europĂ©ens), biologie, rĂ©partition, code-barres ADN. Ils figurent l'habitus ainsi que les genitalia du spĂ©cimen femelle collectĂ© en Corse et discutent son origine."  "Une nouvelle fois, la dĂ©couverte rĂ©cente dâune espĂšce inĂ©dite pour la France est le fruit dâune session de prospections lĂ©pidoptĂ©rologiques effectuĂ©e en Corse.  Ainsi, dans la nuit du 14 au 15 octobre 2023, prospectant au niveau de lâarriĂšre-plage de Portigliolo, sur la commune de Propriano (Corse-du-Sud), lâun dâentre nous (D. M.), pensant quâil puisse sâagir dâune nouveautĂ© pour la Corse, capture un exemplaire femelle dâun Isturgia Ă lâhabitus inhabituel, ne correspondant ni Ă celui dâIsturgia arenacearia ([Denis & SchiffermĂŒller], 1775), ni Ă celui de lâendĂ©mique corso-sarde I. assimilaria (Rambur, 1833), les deux seules espĂšces dâIsturgia classiquement rencontrĂ©es sur lâĂle de BeautĂ© (4).  Le lendemain matin, alors que nous nous retrouvons pour partager le petit dĂ©jeuner et faire le point sur nos prospections respectives de la nuit Ă©coulĂ©e, nous examinons ensemble ce spĂ©cimen intrigant qui nâest pas sans Ă©voquer lâIsturgia murinaria ([Denis & SchiffermĂŒller], 1775) que nous connaissons par ailleurs de France continentale, encore quâil sâagirait lĂ dâune observation plutĂŽt tardive en saison pour cette espĂšce.  Toutefois, lâhabitus de notre spĂ©cimen-mystĂšre ne semble pas parfaitement correspondre Ă cette derniĂšre, que nous Ă©cartons donc. Ă ce moment-lĂ , il ne sâagit plus dâune « simple » nouveautĂ© pour la Corse, mais de lâĂ©ventualitĂ© dâune espĂšce nouvelle pour la France que nous commençons Ă envisager sĂ©rieusement, scrutant de plus prĂšs les I. catalaunaria (GuenĂ©e, [1858]) et I. spodiaria (LefĂšbvre, 1832) ; mais lĂ encore, un examen attentif des habitus nous conduit Ă Ă©carter ces deux Isturgia.  Le spĂ©cimen est Ă©talĂ© quelques jours plus tard par le premier signataire, une fois de retour Ă Â son domicile (fig. 1-2). Un nouvel examen de lâhabitus, couplĂ© Ă des recherches complĂ©mentaires dans la littĂ©rature et sur Internet (notamment sur le site LepiWiki), nous inspire la forte prĂ©somption que nous sommes finalement en prĂ©sence dâune femelle dâIsturgia deerraria." (...)  Image : FIG. 1-2. â Femelle dâIsturgia deerraria recueillie en Corse-du-Sud, Ă Propriano, le 14-X-2023, D. MOREL leg. â 1, dessus. â 2, dessous. Ăchelle graphique : 0,5 cm. ClichĂ©s : © A. LĂVĂQUE. Â
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