"Le Bureau de liaison du Parlement européen en Belgique et Europe Direct Province du Hainaut ont rassemblé à Charleroi près de 200 participants lors d'une table ronde consacrée à la réindustrialisation européenne et à son ancrage local. Parmi les intervenants figuraient Yvan Verougstraete, président des Engagés, Thomas Dermine, le bourgmestre de Charleroi ou Aurore Goossens, députée provinciale. Les échanges intervenus ont notamment mis en lumière les défis et opportunités auxquels Charleroi et le Hainaut sont confrontés dans un contexte de transition industrielle et avec le soutien de l'Europe. "Un écosystème industriel performant repose sur la valorisation des compétences, le développement de la formation technique et la collaboration entre entreprises, centres de formation et établissements. C'est pourquoi la formation doit être considérée comme un pilier de la politique industrielle, au même titre que l'énergie ou l'innovation", a indiqué Aurore Goossens". La suite à lire sur www.lavenir.net 

"La campagne « Action Radon 2025 » est lancée en Belgique ! Pilotée par l’Agence fédérale de Contrôle nucléaire (AFCN) et plusieurs services provinciaux d’analyse des milieux intérieurs (SAMI), cette initiative nationale vise à sensibiliser le public aux dangers du radon, un gaz radioactif naturel présent dans nos habitations. Chaque année, elle encourage les citoyens à tester leur logement grâce à un dépistage simple et abordable.  Le radon est un ennemi silencieux mais surtout un danger invisible. Incolore, inodore et insipide, ce gaz radioactif naturel provient du sous-sol. "Certaines roches peuvent l’émettre et, dans des maisons bien étanches, il peut s’accumuler et constituer un risque pour la santé ", explique Marc Roger, biologiste au Service d’Analyse Milieu Intérieur (SAMI) de la province de Hainaut. 
Présent partout en Belgique, ce gaz remonte à travers les fissures et interstices du sol pour s’infiltrer dans nos habitations. "La nature du sous-sol contient de l'uranium. L'uranium se dégrade en radium qui est aussi un autre métal radioactif. La dégradation de ce métal radium va se faire sous la forme d'un gaz qui est du radon. Ce gaz va sortir et utiliser la moindre fissure pour pouvoir s'infiltrer à l'extérieur. Si votre maison se trouve juste au-dessus d'une fissure, forcément, il va s'accumuler dans votre maison", précise Marc Roger. Certaines régions, comme les Ardennes, sont plus exposées, en raison de la composition géologique du sous-sol riche en uranium. "C’est la géologie qui détermine cela. Les Ardennes ont plus d’uranium et des roches fragmentées comme les schistes, ce qui facilite la remontée du radon". Un risque pour la santé. Le radon n’a rien d’anodin. Une exposition prolongée peut avoir des conséquences graves. "Le radon émet une particule radioactive, une particule alpha, qui provoque une dégradation de l’épithélium respiratoire et qui peut être à l'origine du cancer du poumon", explique le biologiste. Le radon est la première cause de cancer du poumon chez les non-fumeurs. L’inhalation sur de longues périodes est la principale source de danger. "Si vous avez du radon dans votre cave mais pas dans vos pièces de vie, cela ne pose pas de problème. Ce n’est pas en allant chercher des pommes de terre qu’on va être exposé", rassure-t-il. Une action concrète : mesurer pour se protéger. Face à ce risque, la province de Hainaut relance son action radon, en collaboration avec l’Agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN). Objectif : encourager les habitants à mesurer la présence de radon dans leur logement. On incite les habitants à procéder à une mesure de radon dans leur habitation. Cela coûte une quinzaine d’euros pour obtenir un détecteur. Le principe est simple : un petit boîtier, encore plus petit qu’un détecteur de CO, est placé dans une pièce de vie pendant trois mois. Après analyse en laboratoire, les occupants reçoivent le niveau de concentration de radon de leur maison.
Pour se procurer le détecteur, il suffit de se rendre sur le site officiel actionradon.be. Chacun peut commander un détecteur pour 15€ et trouver toutes les informations utiles sur la prévention et la santé.
Comment réduire la présence de radon chez soi ?
Si le taux de radon est trop élevé (au-delà de 300 becquerels par m³), des solutions simples existent :
Aérer quotidiennement son logement pendant au moins un quart d’heure.
Étanchéifier les fissures entre la cave et les pièces de vie.
Installer une VMC (ventilation mécanique contrôlée) pour renouveler l’air.
"Les maisons sont de plus en plus étanches, c’est une bonne chose pour l’isolation, mais cela favorise l’accumulation du radon. Aérer tous les jours est un geste essentiel", rappelle Marc Roger.
Dans les cas extrêmes (au-delà de 600 Bq/m³), des équipes spécialisées peuvent se déplacer pour réaliser une expertise gratuite afin de comprendre comment le radon rentre dans l'habitation et ensuite proposer des techniques de remédiation adaptées.
 Une campagne de santé publique essentielle
Le radon n’est pas un phénomène nouveau, mais sa prise de conscience s’intensifie. "Le phénomène a toujours été là, mais on s’en préoccupe davantage aujourd’hui. C’est une vraie question de santé publique", souligne Marc Roger.
La campagne "Action Radon" se déroule jusqu’en décembre. C’est le moment idéal pour commander son détecteur et vérifier si son habitation est concernée.
"Mieux vaut prévenir que guérir : mesurer, aérer, et agir ! "
L’interview de Marc Roger, biologiste au Service d’Analyse Milieu Intérieur (SAMI) de la province de Hainaut, est à réécouter ci-dessus aux micros de Nadège Wuestenberghs et d’Anthony Cujas, dans Charleroi Matin sur VivaCité. A voir sur : www.rtbf.be

"Échevine en charge du Parc, Annelise Deville explique les tenants et aboutissants. "Nous aspirons tous à retrouver nos belles drèves qui longent l'étang du Miroir. Pour rappel, c'est déjà en novembre 2018 que le bureau HIT, Hainaut Ingénierie Technique, a été désigné en tant qu'auteur de projet. Des vérifications techniques ont d'abord dû être réalisées, notamment au niveau des ouvrages hydrauliques. Concrètement, le chantier prévoit la réfection complète des berges qui sont en train de s'effondrer. Un état sanitaire des plantes a été effectué et plus de 50 % des arbres sont en mauvaise santé. Nous allons donc devoir tout abattre et tout replanter. Une nouvelle connexion hydraulique sera réalisée entre l'étang du Miroir et celui des canards. Enfin, un ponton pour la pêche sera prévu au niveau de cette jonction." La suite à lire sur www.lavenir.net 

"Entre 2022 et 2024, l’Observatoire de la Santé du Hainaut (OSH) a mené une enquête sur la consommation de tabac, d’alcool et d’autres substances auprès des jeunes hainuyers de 10 à 17 ans. Si l’alcool et le tabac sont en perte de vitesse, la cigarette électronique prend de plus en plus de place. Une nouvelle tendance se dégage : la cigarette électronique. Bonne nouvelle d’abord : l’enquête révèle une baisse de la consommation du tabac et de l’alcool chez les jeunes et reste la substance la plus consommée. Ces derniers déclarent en boire principalement lors de « fêtes de famille ». En 2024, 11 % des jeunes du Hainaut affirmaient avoir déjà fumé ou essayé de fumer la chicha. En ce qui concerne le cannabis, la proportion de jeunes en ayant consommé au moins une fois dans leur vie a diminué entre 2020 et 2024 . Pour Aurore Goossens, députée provinciale en charge de la santé : « Les résultats que nous découvrons aujourd’hui sont précieux. Ils nous donnent un état des lieux objectif parfois rassurant, parfois préoccupant, mais toujours utile". La suite à lire sur www.dhnet.be 

"Invisible et inodore, le radon est un gaz radioactif naturellement présent dans les sols. Lorsqu’il s’infiltre dans les habitations par de petites fissures et s’accumule dans les espaces clos, il peut représenter un risque pour la santé. Une exposition prolongée augmente notamment le risque de cancer du poumon. La commune de Seneffe relaie cette année encore la campagne « Action Radon » menée par la Province de Hainaut, qui permet de détecter sa présence et ce, jusqu’au 31 décembre. Le Service d’Analyse des Milieux Intérieurs du Hainaut peut également installer un détecteur gratuitement lors de visites à domicile, sur demande médicale ou en cas de suspicion de risque. Pour participer, il suffit de commander un détecteur sur le site www.actionradon.be au prix de 15 euros, analyse comprise. Plus d’informations sont disponibles sur afcn.fgov.be/fr/radon La suite à lire sur www.sudinfo.be 

Entre 2022 et 2024, l’Observatoire de la Santé du Hainaut (OSH) a mené une vaste enquête sur la consommation de tabac, d’alcool et d’autres substances chez les jeunes de 10 à 17 ans. Si la cigarette et l’alcool perdent du terrain, la cigarette électronique séduit de plus en plus les jeunes Hainuyers.  Depuis près de trente ans, l'OSH observe la santé des jeunes du Hainaut avec le réseau des Centres de Santé Scolaire Vigies (CSSV), qui réunit les services de Promotion de la Santé à l'École (PSE) et les centres PMS de la Fédération Wallonie-Bruxelles.  Cette nouvelle enquête, menée de 2022 à 2024, dresse un portrait contrasté : certaines tendances sont encourageantes, d'autres un peu plus préoccupantes.  Moins de tabac, moins d'alcool. Bonne nouvelle d'abord : les jeunes fument et boivent moins qu'avant. La part de ceux qui ont déjà fumé une cigarette classique passe de 17,6 % en 2020 à 16 % en 2024. Et seuls 2,7 % se déclarent fumeurs réguliers. Les jeunes qui fument le font avant tout pour " se détendre ", mais les chercheurs notent l'influence de la pression des pairs et du tabac dans le cercle familial. L'alcool reste, lui, la substance la plus consommée : 38 % des jeunes y ont déjà goûté. C'est beaucoup, mais la tendance est stable, voire en légère baisse. L'ivresse, elle, recule chez les plus âgés. L'alcool reste surtout associé à la fête et aux moments conviviaux, notamment en famille. Le vapotage explose. Le phénomène le plus marquant de cette édition, c'est la progression fulgurante de la cigarette électronique. En 2024, 27 % des jeunes disent avoir déjà vapoté, contre 16 % pour la cigarette traditionnelle. Et fait inquiétant : près des deux tiers n'avaient jamais touché au tabac avant leur première e-cigarette. Chez les 16-17 ans, un jeune sur cinq a déjà essayé la cigarette électronique. Chicha et cannabis en recul. Autre évolution positive : la chicha et le cannabis perdent du terrain. En 2024, 11 % des jeunes ont déjà testé la chicha, contre 20 % quatre ans plus tôt. Même constat pour le cannabis, passé de 10 % à 7 % entre 2020 et 2024, surtout chez les plus grands.
Des écarts selon le milieu social
L'étude met aussi en évidence des inégalités sociales : les jeunes issus de milieux plus fragiles fument et vapotent davantage.
L'écart est toutefois moins marqué pour l'alcool, dont la consommation est plus répandue dans toutes les couches sociales. Sensibiliser et accompagner. Pour l'Observatoire, ces résultats rappellent que la prévention reste essentielle. Tabac et alcool restent des facteurs majeurs de maladies chroniques et de décès prématurés. L'OSH appelle à agir sur le terrain, notamment dans les écoles : aider les jeunes à développer leur confiance en eux, leur capacité à faire des choix et leur offrir des alternatives saines aux produits nocifs. Car face à des industries du tabac et de l'alcool toujours actives pour séduire les plus jeunes, la meilleure arme reste l'information, la prévention et la mobilisation de toute la communauté autour des enfants et des adolescents.

"Ce mercredi, l’IPES d’Ath a accueilli le concours des meilleures bières de la province de Hainaut, réservé exclusivement aux producteurs brassant leurs bières sur le territoire provincial. Via ce concours, la Province de Hainaut a souhaité donner aux 15 brasseries participantes l’opportunité de renforcer leur notoriété, de tisser des liens avec d’autres acteurs du secteur, de faire reconnaître la qualité de leurs produits et d’explorer de nouveaux débouchés commerciaux. « Plus que jamais, il est essentiel de mettre en lumière le savoir-faire local, particulièrement prisé par le grand public aujourd’hui », indique la Province de Hainaut. Deux brasseries de la région ont été récompensées, la Brasserie Racines Carrées et la Brasserie du Borinage. La suite à lire sur www.sudinfo.be 

"Lors de la 5ᵉ édition du concours des meilleures bières du Hainaut, la brasserie Hoppy de Neufvilles a décroché la médaille d’argent et la brasserie Saint-Feuillien au Rœulx a remporté la médaille de bronze. C’est dans les locaux de l’Institut Provincial d’Enseignement Secondaire (IPES) à Ath, section Hôtellerie, que les 12 membres du jury du Concours des bières du Hainaut se sont réunis pour élire les meilleures bières 2025 parmi les 37 produits en lice. Organisé pour la cinquième année par la Province de Hainaut, ce concours met en lumière les bières produites sur le territoire hainuyer, le savoir-faire des maîtres-brasseurs de la région et valorise la qualité de leurs produits. Aujourd’hui, le Hainaut compte plus de 111 brasseries et producteurs de bières à façon sur son territoire. Les amateurs peuvent découvrir leurs créations sur le site Hainaut Terre De Goûts, dans la section « Brasseries et producteurs à façon », et profiter de la vente directe pour déguster ces bières de qualité". La suite à lire sur www.sudinfo.be 

"La brasserie Dubuisson de Pipaix s’est, quant à elle, distinguée dans la catégorie "Triple" en décrochant la 3ème place avec sa Bush Triple. L'IPES d'Ath (Institut provincial d'Enseignement secondaire) a accueilli, ce mercredi 8 octobre, la 5 édition du concours de bières de la Province de Hainaut. Organisé par Hainaut Développement, l'événement vise à mettre en valeur le savoir-faire brassicole hennuyer. Cette année, la Brasserie des Légendes d'Irchonwelz s'est distinguée dans la catégorie Triple avec sa Goliath Triple.
Au total, 37 bières issues de 15 brasseries et microbrasseries hennuyères ont été évaluées par un jury professionnel. Trois catégories étaient en compétition : Pale & Amber Ale, Triple et Bière de Noël.
"On tenait à mettre en valeur un produit phare de notre province, et la bière en est le fleuron ", explique Romano Cavaliere, chargé de mission pour Hainaut Développement. "Ce concours permet aux brasseries de se faire connaître, d'obtenir un peu de visibilité et de valoriser leur savoir-faire".
On a un savoir-faire en Belgique et dans le Hainaut pour faire des bières de très grande qualité
Le jury, composé de grossistes en bière, de cafetiers, de responsables de cuisines collectives et de gestionnaires de grandes surfaces, a noté chaque produit selon cinq critères : apparence générale (mousse, couleur), arôme, goût, qualités techniques et impression globale.
"Ici, on a eu la chance de déguster les triples, ce sont des bières avec un vrai style belge", relate Thomas Costenoble, membre du jury et directeur du Brussels Beer Challenge, avant d'ajouter : "Je crois qu'ici, on a un savoir-faire en Belgique et dans le Hainaut pour faire des bières de très grande qualité".
Si l'exercice de la dégustation reste particulièrement compliqué, les bières en compétition cette année ont ravi les papilles des membres du jury. "Il n'y avait aucun défaut dans aucune des bières, ce qui est positif. On voit que les brasseurs maîtrisent leur produit, leur process, et on avait de fait quelques bières qui ont fait l'unanimité du jury et qui se sont particulièrement distinguées", précise encore Thomas Costenoble". 

"La ville multiplie les initiatives pour limiter les risques d’inondations. Des études sont réalisées par des bureaux spécialisés afin d’identifier les zones à risques, complétées par des analyses à plus grande échelle menées par le SPW et la Province, qui permettent de mieux visualiser les zones problématiques. La ville sollicite l’avis d’autres acteurs : le référentiel du SPW « Constructions et aménagements en zone inondable » qui offre une aide à la conception ainsi que des critères d’évaluation pour les projets d’aménagement et de construction, tandis que la cellule GISER (Gestion Intégrée Sol-Erosion-Ruissellement) conseille sur les mesures à prendre pour éviter la saturation des égouts par les eaux pluviales. La ville se réfère au code de l’eau, qui prévoit que les eaux ne soient évacuées vers l’égout qu’en dernier recours. Ces trois actions sont des aides fournies par la région..."  La suite à lire sur www.sudinfo.be 

"La Province met en garde contre les risques que présente l'abandon de ces déchets au bord des cours d'eau. Un petit tas de tontes de pelouse au bord du ruisseau, quelques branches laissées au pied d'une haie : en apparence, rien de bien grave. La Province est claire : déposer des déchets verts à moins de six mètres de la berge constitue une infraction de 3e catégorie, prévue par le Code de l'environnement. En cas d'inondation, la responsabilité du riverain peut même être engagée. Hainaut Ingénierie Technique multiplie ainsi les actions de sensibilisation dans le cadre de son programme de lutte contre les inondations NAQIA". La suite à lire sur www.dhnet.be 

"À Wasmes, un gros projet va sortir de terre à partir du 11 août prochain, afin de contrer les inondations récurrentes causées par les débordements de l’Elwasmes. Dans le cadre du programme NAQIA (caractérisation des bassins hydrographiques et lutte contre les inondations en Hainaut), porté par la Province de Hainaut, une zone d’immersion temporaire (ZIT) va voir le jour à la rue du Rossignol, en bordure du bois de Colfontaine. Pour lutter contre les inondations, la Province de Hainaut va donc construire plusieurs ouvrages de retenue des eaux en amont des zones à risque". La suite à lire sur www.sudinfo.be 

"Les habitants du Hainaut et plus particulièrement de Charleroi Métropole n'en prennent pas toujours la mesure : l'Europe est très présente dans leur quotidien, que ce soit à travers les réglementations, les normes ou même les politiques de la commission. À l'initiative de Hainaut Développement et du bureau de liaison du parlement européen, une soirée a été consacrée aux enjeux de la réindustrialisation sur le campus de Charleroi. Si tout le monde s'est accordé à constater l'impuissance, ou en tout cas les grandes difficultés à agir de l'Europe face à une mondialisation souvent sans foi ni loi, les pouvoirs locaux conservent des leviers. À commencer par la formation a souligné Aurore Goossens : la création de l'UCampus et le développement de l'offre académique à Charleroi visent à rencontrer les besoins d'un tissu économique en reconversion. Plus que la formation, c'est aussi l'orientation qui peut aider la transition". La suite à lire sur www.dhnet.be 

Le 20 novembre, Hainaut Développement organise une séance d’information sur les nouvelles réglementations applicables en 2026, que ce soit le registre phyto électronique ou les buses anti-dérive 75%, avec Loïs Laridant (Corder) et David Dos Santos (Protect’eau). Rendez-vous à 13h30 à la Maison de village de Neufvilles, route de Montignies 2 à 7063 Soignies. Info : www.hainaut-developpement.be. Inscription obligatoire: hd.agriculture@hainaut.be ou 065/34.26.23.

"Racines carrées, c'est le nom d'une brasserie située à Erbisoeul. C'est aussi une belle histoire familiale récompensée par la Province de Hainaut. La Ronde Saison, l'une des bières des frères Fourneau, vient d'obtenir la médaille d'or d'un concours. C’est dans une aile de cette ferme en carré que se développe depuis 4 ans maintenant la brasserie Racines carrées. Et de carré il en est encore question quand on sait que ce sont deux frères qui ont lancé l’entreprise. Charles est chimiste, Lionel ingénieur. Ensemble, ils font tout de A à Z. Des recettes au montage et à l’entretien du matériel. « J’ai commencé seul à brasser dans la cuisine de mes parents et assez vite mon frère m’a rejoint avec l’idée d’en faire une activité de plus grande ampleur. Certaines recettes datent de l’époque où je brassais en amateur. J’ai trouvé des assemblages qui fonctionnaient bien et on les a fait évoluer. D’autres sont des créations du moment avec des tests et puis on valide » explique Charles Fourneau, brasseur.  Parmi les 7 créations actuelles, l’une se démarque. La Ronde saison est la première bière créée par le duo et c’est elle qui vient d’être primée par la Province de Hainaut. 
« C’est un compromis entre le style traditionnel des saisons, qui a son origine en Hainaut, avec la nouveauté, c’est le côté ambré qu’on rencontre moins et le seigle qui apporte une rondeur » détaille Charles Fourneau. « C’est la quatrième année qu’on participe au concours. La ronde saison rentrait bien dans la catégorie pale ale et amber ale. Le fait d’avoir une médaille d’or c’est vraiment une reconnaissance de notre travail » souligne Lionel Fourneau. Un travail qu’il faut sans cesse faire évoluer pour trouver des marchés. Le secteur des micro-brasseries s’est fortement développé. Il faut jouer des coudes pour s’y faire une place. « Il y a eu beaucoup de micro-brasseries qui ont vu le jour. On essaie de sortir du lot en faisant des produits de qualité, en essayant de maitriser notre process de A à Z et en ayant une constance dans notre qualité et aussi dans notre marketing et notre image de marque » indique Lionel Fourneau. 
Une image fabriquée elle aussi en famille. Epouse, cousin, tout le monde met la main à la pâte pour façonner l’identité de la brasserie, une brasserie qui n’a pas fini de se développer. Une salle d’embouteillage a  été récemment créée et d’autres nouveautés se préparent. « On est en train de rénover une salle à l’étage qui nous permettra de faire des événements toute l’année car pour l’instant on est limité à notre terrasse en été. On organise aussi un trail qui aura lieu les 8 et 9 novembre prochain » poursuit Lionel.
Pour le printemps, une huitième bière viendra aussi élargir la gamme. « On reste sur des bières assez légères et on va probablement travailler un peu plus l’amertume. On aura une bière plus forte en amertume et colorée » sourit Charles Fourneau.
Cette surprise sera là pour célébrer les 4 ans de la micro-brasserie.

"L’Observatoire de la Santé du Hainaut a livré les résultats d'une étude sur la consommation de cigarettes et d’alcool chez les jeunes Hainuyers entre 2022 et 2024. Si la plupart de ces substances sont de moins en moins consommées, l’étude pointe la montée de la cigarette électronique.  L’Observatoire de la Santé sort les résultats de son étude sur la consommation de tabac, d’alcool et autres substances auprès des jeunes Hennuyers de 10 à 17 ans. L’étude a été menée auprès de 1 600 jeunes, tirés au hasard parmi les écoles de toute la province. Le premier constat est une consommation en baisse pour le tabac et l’alcool dans cette tranche d'âge. La proportion de jeunes ayant déjà fumé du tabac, au moins une fois dans leur vie, est passée de 17,6 % en 2020 à 16 % en 2024. Lors de cette enquête, 2,7 % des jeunes Hainuyers déclarent être des fumeurs actuels. 27 % des jeunes déclarent avoir déjà fumé une cigarette électronique contre 16 % pour la cigarette traditionnelle. “La majorité de ceux qui expérimentent ces cigarettes électroniques n’ont pas encore consommé de cigarette traditionnelle au préalable”, précise Wilfried Sobze, chargé de projet à l’Observatoire de la Santé du Hainaut. “C’est le point d’attention principal de cette enquête. Nous devons voir si la cigarette électronique n’est pas devenue un point d’entrée vers le tabagisme.” Un succès que Wilfried Sobze explique par le marketing industriel. “Déjà les industries du tabac l’ont vendue comme moins nocive, voire pas du tout dangereuse. En plus, il y a les différents goûts, les lumières pour justement attirer la jeunesse. L’alcool reste la substance psychoactive la plus consommée par les jeunes, déjà expérimentée par 38 % des jeunes interrogés. Dans la majorité des cas, l’expérimentation de l’alcool se fait lors des fêtes de famille. “En Belgique, l’alcool fait partie de la vie sociale”, précise Helen Barthe-Batsalle, inspectrice générale à l’Observatoire de la Santé du Hainaut. “Il faut aussi pouvoir questionner cela et voir comment on peut proposer des alternatives pour avoir une consommation raisonnable.” 
Le cercle familial joue aussi sur l’expérimentation des jeunes. Elle se fait le plus souvent au sein des familles recomposées, puis monoparentales. Les familles avec deux parents ont le taux le plus faible d’expérimentation de l’alcool. Dernier facteur à encourager la consommation d’alcool chez les jeunes hennuyers : la poly -consommation. “Ce qu’on voit, c’est que ceux qui fument sont plus à risque de boire. (…) Les chiffres ont montré que les jeunes qui vapotent ou qui fument sont plus nombreux aussi à boire de manière excessive.” L’environnement joue aussi un rôle. Le rapport précise que les consommateurs de tabac et de cigarette électronique sont plus nombreux parmi les jeunes ayant un niveau socio-économique faible. Ces inégalités sont moins visibles en ce qui concerne la consommation d’alcool. Par ailleurs, 18 % des jeunes sont exposés au tabagisme passif, ce qui représente aussi un danger pour eux. Pour lutter contre cette consommation, il faut agir sur plusieurs points. “Quand on travaille avec les jeunes (…), on va travailler sur les compétences psychosociales”, explique Helen Barthe-Batsalle. “Pour qu’ils puissent prendre des décisions en tout état de cause et dire non. C’est valable pour le tabac et l’alcool. On va travailler aussi sur les environnements, ce qu’on appelle des environnements favorables à la santé. Par exemple, on développe tout ce qui est espaces sans tabac. Le but n’est pas de stigmatiser le fumeur, mais de dénormaliser la vue du tabac et d’encourager des comportements favorables à la santé. (…) On va travailler aussi dans tout ce qui tourne autour du cadre légal.”
Un autre point pour combattre cette consommation réside dans l’éducation. Le rapport pointe un manque de connaissances des jeunes sur la législation ou les dangers de certaines substances. Par exemple, 31 % des jeunes interrogés pensent que le cannabis est légal dans certains cas de figure. “Les jeunes qui consomment le cannabis se disent sans doute que c’est toléré. Mais la législation est claire là-dessus par rapport aux mineurs : c’est complètement interdit,” affirme Wilfried Sobze, chargé de projet.
Une santé en déclin
Cette enquête prend aussi en compte l’état de santé des différents jeunes participants. 62 % sont répertoriés comme étant en bonne santé. “On a une augmentation du pourcentage de jeunes en surpoids ou en situation d’obésité”, explique Helen Barthe-Batsalle, inspectrice générale à l’Observatoire de la Santé du Hainaut. “C’est un phénomène qui est observé à l’échelle mondiale, surtout dans les pays riches où on a une augmentation de ces problématiques au niveau du poids. Il faut pouvoir prendre des actions, que ce soit au niveau de la promotion de l’activité physique régulière, de la lutte contre la sédentarité, mais aussi offrir une alimentation de qualité. Il faut travailler à différents niveaux.”

Pour la cinquième année consécutive, la Province de Hainaut a organisé son concours de bières. L'événement s'inscrit dans une volonté de promouvoir le savoir-faire brassicole de notre province. Trente-sept bières, issues de quinze brasseries hennuyères, étaient soumises à la dégustation du jury, et ce, dans trois catégories distinctes. La Wallonie picarde s'est particulièrement illustrée lors de ce concours décrochant deux médailles d'or et une de bronze.

"Les Agences de Développement Local de Thuin et de Beaumont-Sivry-Rance rapprochent les producteurs locaux et le secteur Horeca. "Pour cette première expérience, nous avons choisi la Distillerie de Biercée, vingt-six producteurs s'y sont retrouvés. Ils ont garni leur stand de produits variés parmi lesquels des légumes, du miel, du vin, des épices et bien d'autres délices. Face à eux, début d'après-midi, des restaurateurs, traiteurs et responsables de cuisines de collectivité, qui ont pris le temps de déguster et surtout de discuter. Un rendez-vous annuel
Cette mise en connexion, c'était précisément la volonté des ADL. "Nous avions pour objectif de développer un volet agriculture et ressources locales et c'est ainsi que nous avons lancé ce projet, avec Hainaut Développement et la Ceinture alimentaire de Charleroi. L' idée, est d'organiser ces Rendez-vous gourmands une fois vers Beaumont-Sivry et l'année suivante sur Thuin, de manière à toucher des gens et des producteurs différents." La suite à lire sur www.lavenir.net 

"La Province de Hainaut organisait la cinquième édition de son concours de bières. L'IPES d'Ath accueillait un rendez-vous devenu incontournable pour les artisans qui brassent sur le territoire.15 brasseries, 37 bières, un jury de connaisseurs : la cuvée 2025 avait de quoi faire mousser la fierté locale. À l'heure où le "made in Hainaut" séduit un public toujours plus friand de produits authentiques, la Province – via Hainaut Développement – veut rappeler que le savoir-faire brassicole n'est pas qu'une tradition, mais un patrimoine vivant.  Dans la catégorie Pale & Amber Ale, la Brasserie Racines Carrées (Erbisoeul) s'offre la médaille d'or avec sa Ronde Saison. L'argent revient à la Brasserie Hoppy (Neufvilles) pour sa Hoppy Gageole, tandis que le bronze couronne La Rogère (Thuillies) et sa V-Ronde, au caractère bien trempé. Les médaillés d'or sont repartis avec un trophée façonné par l'Institut Provincial des Métiers d'Art de Jemappes, les autres lauréats n'ont pas été oubliés : diplômes et félicitations ont salué la qualité de leurs créations". La suite à lire sur www.dhnet.be 

"Les résultats de l'édition 2025 du concours des meilleures bières du Hainaut viennent d'être dévoilés. La brasserie Hoppy (Neufvilles) a décroché une médaille d'argent et la brasserie Saint-Feuillien (Le Roeulx) a été récompensée d'une médaille de bronze.
Pour la cinquième fois, la Province de Hainaut organisait cette année son concours des meilleures bières du Hainaut. L’occasion idéale pour les brasseries locales de mettre en avant leur savoir-faire. Trois catégories étaient au programme :
"Pale & Amber Ale" / "Bière de Noël" / "Triple"
Un même brasseur pouvait s’inscrire dans les trois catégories, mais avec une seule bière dans chacune d’elles. Deux brasseries du Centre primées. Ce mercredi 8 octobre, le jury, composé de professionnels de la restauration, d’entrepreneurs, mais aussi de simples amateurs de produits locaux, a goûté et évalué les bières à l’Institut Provincial d’Enseignement Secondaire d’Ath (section hôtellerie). Les résultats viennent d’être communiqués. Trois brasseries de la région du Centre participaient au concours : la brasserie Saint-Feuillien (Le Roeulx), la brasserie Hoppy (Neufvilles) et la brasserie d’Écaussinnes. Deux d'entre elles ont été primées.
La brasserie Hoppy a décroché l'argent dans la catégorie "Pale & Amber Ale"' et la brasserie Saint-Feuillien est repartie avec une médaille de bronze dans la catégorie "Bières de Noël'.

"La ville de Mons s’apprête à instaurer une nouvelle réglementation visant à encadrer strictement l’abattage des arbres, y compris sur les terrains privés. L’échevine Charlotte De Jaer en explique la raison : "On veut augmenter le nombre d’arbres et de haies sur le territoire de la ville de Mons." L’objectif est ambitieux : faire passer la canopée, c’est-à-dire la surface couverte par les cimes des arbres, de 20 % à 30 %. Pour y parvenir, la commune veut éviter que les plantations ne soient aussitôt annulées par des coupes non encadrées. Cette décision fait suite à "toute une série d’abattages sauvages qu’on a vus ces derniers mois, notamment sur des terrains privés", précise l’échevine. Dès janvier 2026, il faudra donc obtenir une autorisation de la ville avant tout abattage, justifier la raison de l’intervention et prévoir une replantation. "Avant de compenser, notre objectif, c’est de protéger", souligne Charlotte De Jaer, tout en précisant que la compensation pourra se faire "ailleurs que chez soi" ou sous forme de haies lorsque la hauteur pose problème. 
Vincent Zegers, agronome au Service patrimoine arboré de la Province du Hainaut, se réjouit de cette nouvelle orientation. "Je trouve que c’est une très bonne chose, parce que ça manquait effectivement", réagit-il. Son service, unique en Wallonie, réalise des diagnostics phytosanitaires afin d’évaluer l’état de santé des arbres remarquables et de conseiller les communes, la Région ou les particuliers. "On établit un diagnostic pour voir si l’arbre présente des risques ou pas, et nous remettons des recommandations", explique-t-il. Selon lui, la mesure montoise permettra aussi de mieux encadrer les abattages abusifs qu’il constate régulièrement : "Des demandes d’abattage sont faites pour des raisons qui ne sont pas valables. On invoque des maladies ou des risques, mais pour diagnostiquer cela, il faut des compétences." Vincent Zegers insiste également sur l’importance de préserver à la fois les vieux arbres, "dont la fonction écosystémique est essentielle", et les jeunes arbres, "qui seront les grands arbres de demain". Pour assurer l’efficacité du dispositif, la ville prévoit des sanctions en cas de non-respect. "Des amendes de 500 à 1 500 euros sont prévues pour les contrevenants", confirme Charlotte De Jaer, qui appelle néanmoins à la responsabilité collective. Elle dit compter sur "la majorité des Montois, qui sont de bonne intention et feront la démarche". L’échevine conclut : "Cette mesure est simple, accessible, et nous permettra d’atteindre un objectif que nous partageons tous : préserver nos arbres et créer des îlots de fraîcheur en ville."

"L’observation d’une variété sur plusieurs années permet de déterminer la stabilité de celle-ci et son adaptation au contexte pédoclimatique de la région. Le choix d’une variété doit donc se faire sur l’observation de ses caractéristiques au cours de l’année écoulée mais aussi sur sa stabilité au cours de plusieurs années. L’expérience de l’agriculteur et l’adaptation de la variété au contexte de la ferme sont également des critères importants pour effectuer ce choix. Les résultats en termes de rendements présentés ci-après proviennent de l’expérimentation menée par différentes institutions wallonnes partenaires, à savoir : le Centre wallon de recherches agronomiques (Cra-w), le Centre provincial liégeois des productions végétales et maraîchères (Cpl-Végémar), le Centre pour l’agronomie et l’agro-industrie de la province du Hainaut (Carah), le Centre pilote en céréales, oléagineux et protéagineux (Cepicop) et l’ULiège Gembloux Agro-BioTech". La suite à lire sur www.sillonbelge.be 

"Des "Bobcat" sont intervenus à l'intérieur de la canalisation pour enlever les boues et les autres déchets afin de faciliter l'écoulement des eaux.
Un imposant nettoyage du pertuis vient d'être réalisé le long de la Rhosnes, dans le centre de Frasnes-Lez-Buissenal. À la demande Commune de Frasnes-lez-Anvaing, la Province (Hainaut Ingénierie Technique) et la wateringue d'Anvaing ont mené à bien cette mission essentielle dont le but est d'éviter de futurs risques d'inondations.
"Après l'élimination des eaux par séchage afin de limiter le poids, les résidus seront traités dans une entreprise spécialisée dans le cadre du programme Walterre" ajoute celui qui exerce actuellement cette fonction scabinale au sein du collège frasnois. On travaille en parfaite collaboration. Ils ont fait un super-boulot, n'en enlevant pas moins de 350 mètres cubes de boues."
D'autres interventions en vue de lutter contre les inondations seront planifiées là où c'est nécessaire."

Suite de l'article sur : www.lavenir.net

"Et puis, à Colfontaine, la Province de Hainaut va construire des ouvrages de retenue des eaux en amont des zones à risque. Objectif ? Lutter contre les inondations dans la commune."

Reportage à voir sur TéléMB