Tuca Vieira lui-même note que si sa photo a attiré l'attention sur cette favela, elle ne représente qu'une partie des violents contrastes qui marquent la ville de São Paulo : « À la limite, cette photo du bidonville de Paraisópolis […] ne montre pas exactement les choses comme elles sont. Ce ne sont pas les plus riches qui vivent dans ce bâtiment avec piscines, ils ne vivent pas collés aux plus pauvres, qui d'ailleurs n'habitent pas Paraisópolis. La puissance symbolique et didactique de l'image l'emporte avec sa grammaire visuelle simple ».