Sollicités par le club Ville et aménagement, le maire du Havre Edouard Philippe et le créateur du Voyage à Nantes Jean Blaise ont livré fin 2023 leur vision de l'art contemporain dans l'espac
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![]() Sollicités par le club Ville et aménagement, le maire du Havre Edouard Philippe et le créateur du Voyage à Nantes Jean Blaise ont livré fin 2023 leur vision de l'art contemporain dans l'espac No comment yet.
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La Région veut faire de la Normandie un territoire de création numérique et soutient la 1ère édition du festival des arts numériques, « Exhibit ». Rendez-vous au Tetris, au Havre.
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Autre article sur le sujet : https://www.lsa-conso.fr/ces-9-centres-villes-a-la-vitalite-commerciale-exemplaire-procos,279522
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Ce mercredi 31 janvier 2018, dans un communiqué de presse, la Fédération CGT Commerce et Services s’alarme sur...
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Le 12 décembre 2012 était inauguré le tramway du Havre. Cinq ans après, ce moyen de transport est bien ancré dans le paysage havrais, et sa fréquentation ne cesse de se développer.
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Même s’ils ne sont pas forcément visibles de l’extérieur, ce sont des travaux de grande ampleur qui sont menés depuis plusieurs mois à l’hôtel Mercure du Havre. Créé en 1980, l’établissement quatre étoiles avait été rénové en 1995. Il était donc temps d’opérer une métamorphose. Aujourd’hui, le Mercure appartient au groupe Grape Hospitality, une plate-forme hôtelière née en juin 2016 du rachat de quatre-vingt-cinq établissements Accor. Nouvelle identité visuelle Pour la directrice du Mercure, Valérie Roy et son équipe, qui vivent les travaux au quotidien, il a donc fallu s’organiser pour continuer à accueillir la clientèle dans les meilleures conditions, d’autant que le 500e anniversaire de la ville bat cet été son plein. « Nous avons heureusement pu pleinement profiter des retombées des festivités. Le mois de juillet notamment a très bien marché... » explique Valérie Roy. Première conséquence des travaux qui sont actuellement menés, la réception a dû être déplacée. « Les travaux ont démarré en janvier dernier. Ils ont commencé par le relooking de quatre-vingt-seize chambres, mais aussi par la mise aux normes concernant l’accès aux personnes à mobilité réduite. Trois nouvelles chambres ont été créées également. Une salle de fitness est aussi programmée », explique la responsable. Mais aujourd’hui, ce sont les parties communes du rez-de-chaussée qui vont progressivement se métamorphoser. « Les travaux vont se terminer fin octobre. Côté décoration et aménagements, un concept totalement unique a été choisi, qui rappelle l’identité portuaire du Havre... L’architecte belge Dominique Hottois a été retenu pour opérer ces changements. L’architecte a travaillé sur le thème du conteneur. C’est quelque chose de très moderne », confie Valérie Roy. Côté restauration, là encore, le concept va rompre avec la formule précédente. « Ce sera une entité propre qui se nommera Happy Dock, un espace avec terrasse. Les cartes seront redéfinies avec l’aide du chef Sophie Menut. » D’autres changements notoires vont voir le jour. Le « desk » de réception, par exemple, se trouvera au niveau du bar. L’entrée principale, elle, restera la même. « Il va falloir travailler différemment. Notre clientèle habituelle est composée à 70 % d’hommes d’affaires et à 30 % de touristes... Nous avons la chance d’être dans un groupe qui ne souhaite pas des choses conventionnelles et qui imagine constamment de nouveaux concepts », indique Valérie Roy. Dix mois de travaux L’hôtel Ibis Le Havre Centre, situé quant à lui rue du 129e-Régiment-d’Infanterie, a lui aussi connu de très importants travaux en 2015. L’établissement qui dispose de 116 chambres (dont 91 standards et 25 supérieurs familiales) a depuis son ouverture en 1990 vécu plusieurs vagues de rénovation et de modernisation, en 2004, puis en 2011 notamment. Mais c’est en 2015 que l’hôtel est rénové de fond en comble. « À tel point que certaines personnes pensent aujourd’hui que nous sommes un nouvel hôtel qui vient d’ouvrir... » note son directeur Vincent Radigois. Dans un premier temps et pendant deux mois, les chambres les plus grandes ont été entièrement repeintes et réaménagées avec un nouveau mobilier. Ensuite, pendant quatre mois, les chambres standards (dont quatre chambres avec accès pour personnes à mobilité réduite) ont subi le même traitement. « Puis le chantier s’est déplacé au rez-de-chaussée avec la création d’une salle de fitness de 25 m², d’un nouveau restaurant avec cuisine ouverte. Il a été mis en place aussi un ascenseur pour accéder au parking... » La façade extérieure n’a pas été oubliée, puisqu’entièrement relookée. Au total, c’est une enveloppe de 1,6 million qui a été injectée pour rendre l’hôtel Ibis encore plus attractif. Et la formule fonctionne. Vincent Radigois confie que la clientèle est au rendez-vous.
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Les peintres s’activent dans la salle d’exposition du musée d’art moderne André-Malraux pour remettre en peinture les cimaises. Les œuvres de Pierre et Gilles, exposées depuis le 27 mai dernier, ont été démontées hier. Elles partiront demain, mettant un point final à Clair-Obscur, cette rétrospective exceptionnelle consacrée au couple d’artistes, à la fois mondialement connus et implantés au Havre puisque Gilles est Havrais. Et les visiteurs ne s’y sont pas trompés. En un peu moins de trois mois, le MuMa a enregistré un peu moins de 57 000 entrées. « Mais ce n’est pas ce chiffre qui importe vraiment car il dépend de la durée d’exposition. Il faut regarder le nombre de visiteurs par jour. Avec 776 personnes chaque jour, c’est un excellent score », se félicite Annette Haudiquet, conservatrice du musée. Seules l’exposition de la donation Senn-Fould en 2005 (849 visiteurs/jour) et Nicolas de Staël en 2014 (806/jour) ont fait mieux. Changements d’horaires Pour la conservatrice du MuMa, cet engouement s’explique par la notoriété de Pierre et Gilles. Le fait, aussi, qu’il ne s’agisse pas seulement d’une rétrospective mais une véritable plongée dans l’univers et l’imaginaire des artistes grâce à l’implication de ces derniers et la mise en place d’un « cabinet des souvenirs ». Mais l’attractivité du Havre lors de ses festivités des 500 ans a joué une grande part dans ce succès en drainant touristes et curieux. « Cependant, la composition du public varie peu. Avec 45 % de Normands, le musée Malraux s’inscrit dans son territoire mais nous enregistrons toujours 20 % de touristes parisiens, 15 % d’étrangers et 20 % venus d’autres départements », précise Annette Haudiquet. Autant de visiteurs qui reviendront sans doute très vite pour le deuxième grand moment de l’année en matière d’exposition. En effet, le chef-d’œuvre de Monet, Impression Soleil Levant, peint au Havre à quelques centaines de mètres du MuMa, revient pour la première fois dans sa ville. La scénographe de l’exposition sera au musée cet après-midi pour vérifier les derniers détails de cet événement exceptionnel. « On est prêts. Nous avons tellement anticipé ce moment, ce passage d’une exposition à l’autre », avoue la conservatrice, impatiente. Des œuvres issues de collections privées d’Allemagne, d’Angleterre ou de Suisse arriveront la semaine prochaine. Le catalogue est en cours d’impression. Si l’inauguration officielle est prévue le samedi 9 septembre, elle est réservée aux partenaires et collaborateurs. Pas question de renouveler l’expérience de la foule débordante le premier jour de l’expo de Pierre et Gilles. Le grand public, lui, pourra découvrir l’œuvre unique dès le dimanche 10 septembre. Pour quatre petites semaines uniquement, la durée du prêt accordé par le musée Marmottan qui détient Impression Soleil Levant. À exposition exceptionnelle, horaires exceptionnels. Le MuMa sera ouvert dès 7 h 30 let jusqu’à 20 h 30. Un choix revendiqué par Annette Haudiquet. « Au musée Marmottan, le tableau est exposé à l’abri de la lumière, dans une salle en sous-sol. Au Havre, ce sera une redécouverte dans l’ambiance et la lumière que Monet a inlassablement cherché à capturer. Après avoir vu le Soleil Levant de Monet, ou les Soleils Couchants de Vallotton exposés tout à côté, les visiteurs n’auront plus jamais le même regard sur le ciel havrais et sa lumière. C’est subtil mais on touche à quelque chose de bien plus fondamental que simplement fréquenter une expo. Ça parle au cœur, à l’instinct. C’est du domaine de la grâce ».
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En servant le premier café-croissant ce matin-là, Margaret Godefroie a du vague à l’âme. Gérante du « Tramway », son estaminet du cours de la République, au Rond-Point, doit baisser le rideau à la fin du mois. Définitivement. Dressé au milieu d’un décor digne d’une célèbre marque américaine de soda, le juke-box ne sifflera plus ses tubes favoris. Sur le zinc, c’est aussi un peu de lien social qui disparaît. « Maggie » n’est pas une inconnue. Née Thézard, ses parents ont tenu pendant des années le restaurant « Au Bec Fin » route d’Oudalle. Bercée dès l’enfance dans la profession, elle fut ensuite serveuse en restauration à Atochem mais aussi à la cafétéria de l’hôpital Jacques-Monod. Femme au caractère bien trempé, les affaires ont fini par lui tendre les bras : « La Favorite » à Saint-François, le « Grand Thiers » près du funiculaire, le « Normandie »... « À 64 ans, j’ai rempli mon contrat », s’amuse-t-elle. Après sept ans passés à la barre du « Tramway », « je cherchais à vendre en ayant à cœur que mon affaire soit reprise, évoque-t-elle. Deux acheteurs s’étaient même manifestés mais ils ont eu un refus de banque. C’est ce qui m’a mis la puce à l’oreille ». En effet, Margaret sait que le quartier est voué à une mutation en profondeur. « J’entendais parler de rénovations, d’immeubles insalubres... » Vente préemptée Plusieurs jours plus tard, ses doutes se précisent. La Ville a préempté la vente de l’immeuble et va racheter son fonds de commerce « au prix qu’elle a fixé », nuance-t-elle. La Ville du Havre confirme « qu’[elle] a engagé des discussions en vue d’acquérir un ensemble immobilier dans lequel est intégré le bar Le Tramway. Ces négociations devraient aboutir au vote d’une délibération lors d’un prochain conseil municipal ». Un projet d’acquisition qui s’inscrit « dans la politique de résorption de l’habitat dégradé menée par la Ville du Havre et plus largement dans le Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés (PNRQAD) dont bénéficie le centre ancien du Havre ». Une fois ces acquisitions effectuées, « la Ville réfléchira au devenir de cet îlot comme elle l’a fait en divers endroits du centre ancien ». En attendant, « Maggie » jette un œil derrière son épaule, partagée à présent entre un repos bien mérité... et sa soif tenace d’entreprendre.
![]() Avec plus de 6 000 escales annuelles et une moyenne de 16 bateaux passant chaque jour dans ses bassins, le port du Havre est le témoin de la dynamique portuaire et économique de la cité océane. En bateau ou en autocar, partez à la découverte.
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actu
Pour visiter Le Havre (Seine-Maritime) et ses animations pour les 500 ans, prenez un bateau au départ de Trouville-sur-Mer (Calvados). C'est sympa, pratique et pas si cher !
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Le géant vu d'en haut !
Plus d'images à suivre ... #RoyalDeLuxe #UnEteAuHavre #LeHavre500Ans
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LE HAVRE (Normandie) - 150 000 personnes ont été dénombrées hier. Ce samedi, les organisateurs annoncent plus du double. Pas moins de 350 000 visiteurs sur le parcours du Géant scaphandrier et du petit Géant depuis ce matin dans les rues du Havre. Au départ des premiers parcours ce samedi matin quai Southampton, à côté de l’arche de conteneurs, la densité était déjà impressionnante mais la foule a encore considérablement grossi en début d’après-midi pour le nouveau départ du petit Géant après sa sieste dans un hamac, sur la place du Vieux-Marché. Aux alentours de 17 h, sur le boulevard Clemenceau, la chaussée Kennedy et les rues adjjacentes, il était très difficile de se frayer un chemin. Le Scaphandrier s’est relevé après avoir remis son casque et a repris sa marche vers la Porte Océane encadrée de deux haies impressionnantes formées par le public. Du jamais vu de mémoire de Havrais. En cette fin d’après-midi, la fête continue entre la plage et l’hôtel de ville. Les autorités de la Ville du Havre annoncent qu’il va falloir faire preuve de patience pour emprunter les navettes entre la gare SNCF et les parking du stade Océane ce samedi, entre 20 h et 22 h. Ce rendez-vous avec les Géants du Royal de Luxe est énorme et il va falloir preuve d’un peu de patience.
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