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Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
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September 3, 2013 9:59 AM
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La FREMM Provence à flot mi-septembre | Mer et Marine

La FREMM Provence à flot mi-septembre | Mer et Marine | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Alors que l’Aquitaine sera prochainement admise au service actif et que la Normandie prépare ses premiers essais en mer, la Provence, troisième frégate multi-missions de la Marine nationale, sera mise à flot mi-septembre...

 

Lire l'intégralité de l'article sur Mer et Marine :

http://www.meretmarine.com/fr/content/la-fremm-provence-flot-mi-septembre

 


Via Patrick H.
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September 3, 2013 9:58 AM
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Quelques photos révèlent que le 1er destroyer chinois du nouveau type 52D est aux essais à la mer

Quelques photos révèlent que le 1er destroyer chinois du nouveau type 52D est aux essais à la mer | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Via Patrick H.
Patrick H. 's curator insight, September 3, 2013 8:00 AM

Ce nouveau type de bâtiment est souvent présenté comme un "Aegis" chinois dans la mesure où il est équipé d'un nouveau radar à balayage électronique ressemblant sensiblement à un SPY-1 et d'un système vertical de lancement de missiles ressemblant au système américain Mk 41 VLS.

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September 3, 2013 5:36 AM
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Les Experts – Damas

La déclassification, le 2 septembre en soirée de la note de synthèse nationale de renseignement aura étonné à plusieurs égards. D’une part, ce type de note est rarement ouverte au domaine public et elle est en soi indicative d’une volonté d’ouverture, alors que les services ont traditionnellement une culture de secret particulièrement développée.

D’autre part, certains n’y verront aucune « preuve » en soi : commençant par un état de l’art qui n’apprendra rien à ceux qui s’intéressent un tant soi peu aux arsenaux syriens (tant les sources ouvertes sont relativement abondantes), elle est suivie d’une analyse militaire de la frappe chimique et sa contextualisation. La note se termine par ce qui semble l’hypothèse la plus probable.

Au final donc, pas de sorties de spectromètres de masse ; pas de compilation rapport d’analyse des sols, des cheveux ou des urines évoquées dans le document de synthèse ; pas de photos satellite ou autres ; pas de retranscription de témoignages. Ce qui, pour certain, serait indicatif que la France ne dispose, en fait, pas de preuves – le poisson serait ainsi noyé dans la note. En conséquence et à les suivre, toute possibilité de frappe en serait non seulement illégale mais aussi illégitime.

C’est toutefois un point de vue singeant le droit pénal mais qui ne semble d’aucun secours à l’international. Pourquoi ? Premièrement, parce que la déclassification d’une note de synthèse n’est pas celle des preuves qu’elle évoque, certaines de ses preuves relevant sans doute de moyens de collecte nationale qu’il serait imprudent de révéler.

Deuxièmement, parce que n’étant ni chimistes, ni biologistes ni analystes du renseignement, nombre des critiques de la valeur de ces preuves seraient bien en peine de les interpréter. Pour le dire autrement, l’affaire est tellement technique que même si les preuves étaient mises en place publique et commentées par des spécialistes, elle seraient de toute manière critiquées, voire considérées comme truquées (1). Il n’est de pire sourd que celui qui veut entendre.

Troisièmement, parce qu’en fait, il n’y a pas de doutes. Une journaliste me demandait hier soir si la valeur des preuves divulguées était supérieure à celle des preuves américaines présentées aux Nations unies avant l’intervention de 2003. La comparaison parait pertinente mais elle ne l’est pas – on ne cesse d’ailleurs, mal à propos, de comparer l’affaire irakienne et l’affaire syrienne, tant les enjeux comme les objectifs d’une attaque sont différents. Avant que Colin Powell n’entre dans la salle des NU, aucun massacre n’avait été commis. Or, ne serait-ce qu’à lire MSF, 3 600 patients hospitalisés en quelques heures dans plusieurs hôpitaux et 355 décès, ce n’est pas rien.

Quatrièmement, l’analyse militaire est comparable à l’analyse médicale préalable à l’établissement d’un diagnostic. Elle reste un « art fondé sur la science » en raison notamment du fait que la zone soit en guerre et que le cours des événements y est naturellement obscurci : la Syrie est la pire zone de guerre actuelle sur la planète, qu’elle ne soit pas touchée par le brouillard de la guerre aurait été étonnant. Mais il faut aussi raison garder : une attaque coordonnée en des points multiples ; avec une pareille amplitude ; dans des zones relativement cloisonnées ; et suivie d’opportuns bombardements et d’une manoeuvre de forces a tout d’une attaque de nature étatique. Si le doute est permis pour des attaques touchant quelques personnes, il ne l’est plus à cette échelle. Qu’Al Assad indique que certains de ses soldats ont été gazés et qu’il aurait été stupide dans de pareilles conditions de lancer l’assaut n’y change rien : l’armée syrienne n’est pas précisément connue pour protéger ses soldats en opération.

Il est légitime de s’interroger et il serait tout à fait légitime de refuser le principe même de frappes pour une série de raisons tactiques, politique voire même humanitaires, en raison des risques de dommages sur les populations civiles. Il est tout aussi légitime de s’interroger sur l’origine des frappes : sont-elles le fruit d’une décision directe de Bachar Al Assad ? Celle de quelqu’un de son entourage qui aurait voulu lui nuire ? Le résultat d’une directive mal interprétée ?

Il n’en demeure pas moins que, d’un point de vue juridique, l’affaire est claire : tant qu’Al Assad n’évoque pas un accident dans sa chaine de commandement, il est, en dernier ressort et en tant que chef d’Etat, responsable. D’un point de vue historique et décisionnel, c’est moins clair. La note de synthèse tranche en impliquant directement sa responsabilité : après tout, elle est là pour donner un état de l’art de la situation utilisable par l’exécutif, pas pour entrer dans un débat académique.

Nous ne sommes pas dans un film policier : tomber sur un flagrant délit ou voir Al Assad s’effondrer en larmes en avouant est peu probable dans les conditions du conflit. Si tous les questionnements entendus, donc, sont légitimes, le débat qui nous occupe a de toute manière quitté les sphères du questionnement scientifique depuis longtemps : une bonne partie de ceux qui réclament des preuves seront sans doute aussi les premiers à les remettre en question, non pour de saines raisons de recherche d’objectivité mais parce que leur agenda est autre.

Sans doute existe-t-il de meilleures manières de défendre un refus d’intervention que de remettre en cause les bases même de la logique et de l’analyse, y compris militaire.

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September 3, 2013 4:48 AM
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Syrie : une opération peu coûteuse a priori

Syrie : une opération peu coûteuse a priori | DEFENSE NEWS | Scoop.it

A ce stade, la Défense n’a pas estimé ce que pourrait lui coûter une intervention en Syrie. «Trop tôt», assure-t-on au sein du ministère. Si intervention il y a, la facture finale dépendra évidemment de sa durée et de son périmètre. Quoiqu’il en soit, le sentiment dominant est qu’une opération punitive contre le régime de Damas ne devrait pas mettre les finances des militaires en danger, loin de là.

Juste après l’indemnité spéciale versée aux militaires engagés sur un théâtre d’opération, premier poste de ce que l’on appelle les «surcoûts Opex», c’est le transport qui pèse le plus, surtout quand il faut affréter des gros porteurs. Dans le cas de la Syrie, ce poste de dépense devrait rester limité : une intervention au sol étant exclue, les frappes se feraient depuis le porte-avions Charles de Gaulle et ou depuis une base à terre (Abou Dhabi, par exemple).

Vient ensuite l’entretien du matériel, qui fatigue plus vite quand il est utilisé en conditions réelles. Quant aux munitions, leur consommation en opération est en partie provisionnée chaque année. Les missiles ayant une durée de vie limitée, il faut de toutes façons les tirer, Opex ou non Opex. Tout est affaire de reconstitution des stocks.

Levée de la réserve de précaution

A défaut de se pencher sur l’affaire syrienne, les grands argentiers de la Défense sont en train de boucler les comptes de l’opération malienne. Le budget 2013 a prévu 630 millions d’euros pour couvrir l’ensemble des engagements extérieurs. Mais à cause de l’opération Serval, on sait que cela ne suffira pas. Les calculs ne sont pas finis, mais il manquera à l’appel sensiblement plus de 100 millions.

Habituellement, la grande muette fait l’avance de ce qui manque à l’automne (un décret d’avance permet de ponctionner le budget du programme équipements en faveur de celui de fonctionnement), et se fait rembourser lors du collectif de fin d’année grâce à un abondement interministériel. Tout le risque, bien sûr, c’est que le compte n’y soit pas. Autrement dit, que Bercy rechigne finalement à compenser à 100% les surcoûts Opex non budgétés.

Cela n’a pas été le cas en 2012, où il a pourtant manqué 240 millions. On peut faire confiance à Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, pour qu’il en soit de même cette année, quitte à monter au créneau à Matignon. Mais comme on est jamais assez prudent, la Défense a demandé la levée de sa réserve de précaution.

Cette mesure impose chaque début d’année à tous les ministères de mettre 5% de leur budget de côté. Dans le cas des militaires, il y en a pour plus d’un milliard. En revanche, pour ce qui est du «surgel» de 300 millions qui leur a été imposé en plus de la réserve de précaution, les intéressés se sont fait une raison visiblement...

 

 

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September 2, 2013 10:02 AM
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Newport News Shipyard livre le porte-avions Theodore Roosevelt à l'US Navy après une refonte de 4 ans

Newport News Shipyard livre le porte-avions Theodore Roosevelt à l'US Navy après une refonte de 4 ans | DEFENSE NEWS | Scoop.it

The Nimitz-class carrier USS Theodore Roosevelt (CVN-71) has completed a complex upgrade and refueling that will extend the life of the ship another 23 years, the Navy announced on Thursday.

After four years of work at Huntington Ingalls Industries’ Newport News Shipyard, the ship returned to its homeport at Naval Station Norfolk, Va.
The $2.6 billion refueling and complex overhaul (RCOH) of Roosevelt both added fuel to the ship’s two nuclear reactors as well as refurbish almost all aspects of the 100,000 ton carrier.

“Each RCOH is a milestone in the history of the ship and the Navy,” said Capt. John Markowicz, program manager for In-Service Aircraft Carriers in a Thursday statement from Naval Sea Systems Command.

The milestone comes after four days of sea trails for the ship in which tested a wide range of ship systems, NAVSEA said in its statement.

The Navy,  “will now conduct local operations and begin its flight deck certification,” according to NAVSEA.

Roosevelt is the fourth Nimitz to undergo the overhaul.

“The improved capabilities of the ship were shown to be operating properly,” Chris Miner, Newport News’ vice president of in-service aircraft carrier programs told Defense News on Thursday.
“At the end of the day, TR is [now] as capable as any carrier in the fleet.”

RCOH’s and new carrier construction traditionally make up about two-thirds of the Virginia shipyards business, with the rest devoted to construction of the Virginia-class attack submarine.

Newport News is currently in the early stages of removing the fuel and scrapping the former USS Enterprise and has started early work on the RCOH for USS Abraham Lincoln (CVN-72).


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September 2, 2013 10:02 AM
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Taïwan voudrait acquérir 2 frégates OH Perry américaines en 2014 et 2015

Taïwan voudrait acquérir 2 frégates OH Perry américaines en 2014 et 2015 | DEFENSE NEWS | Scoop.it

TAIPEI— Taiwan plans to purchase two warships from the United States as part of its efforts to modernize its forces against a perceived military threat from China, a lawmaker said Friday.

The defense ministry has listed Tw $5.6 billion (US $187 million) in its 2014 and 2015 budgets to buy two Perry-class frigates from the US Navy, said lawmaker Lin Yu-fang, citing defense budgets submitted to the parliament.

The ministry aimed to buy two rather than four Perry-class frigates, as previously reported by the media, to replace some of its Knox-class frigates that were retired, Lin said.

Ties between Taiwan and former rival China have improved markedly since Ma Ying-jeou became the island’s president in 2008 on a China-friendly platform. He was elected for a second term last year.

However, China still claims sovereignty over self-ruled Taiwan and has repeatedly threatened to invade should the island declare formal independence, prompting Taipei to seek more advanced weapons, largely from the US.

In 2001, then-President George W. Bush approved the sale of eight conventional submarines as part of Washington’s most comprehensive arms package for the island since 1992.

President Barack Obama’s administration has approved more than $12 billion in sales and equipment upgrades but has held off on Taiwan’s requests to buy new F-16 fighter jets, a step against which China has repeatedly warned.

Taiwanese defense officials were not immediately available to comment on the planned purchase.


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September 2, 2013 10:01 AM
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Le chantier naval d'état péruvien SIMA crée une joint-venture avec le sud-coréen Daewoo pour des bâtiments multifonctions amphibies

Le chantier naval d'état péruvien SIMA crée une joint-venture avec le sud-coréen Daewoo pour des bâtiments multifonctions amphibies | DEFENSE NEWS | Scoop.it

The contracting parties, KOTRA (Korean Agency for the Promotion of Trade and Investment, Daewoo International (a major international trading platforms China) and SIMA Peru (Peruvian state shipyard) have officially launched the project to build two multipurpose vessels for Peru Navy and valued at approximately $115 million and that the practice began with the laying of the keel of the first multipurpose vessel last July in the spring of SIMA shipyard shipbuilding. Multipurpose vessels and amphibious assault ships or landing platform dock , commissioned by the MGP have the primary objective of providing support to local and regional civilian population in case of natural disasters, such as in the earthquake in Pisco city in the August 2007. At that time, the media were transported more help just type the antiquated ships LST (Landing Ship Tank) Peruvian Navy. A second mission is to support peacekeeping missions of the United Nations, not forgetting its purpose as amphibious assault platform, for which it has by design with the ability to transport aboard armored vehicles, amphibians, marine completely equipped, landing craft and will have its own defense weaponry, among them Oto Melara cannon and two 76 mm anti-aircraft guns Oto Melara 40/70 mm.

The Korean shipyard design Dae Sun Shipbuilding is a class derived from Makassar , adapted to the requirements of the MGP. The construction project includes the construction of two units, which are expected to be sufficient to replace the four units LST Peruvian naval institution, as part of the larger project of modernization of the South American country's military cap


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September 2, 2013 10:00 AM
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L'US Navy et ses partenaires OTAN vont développer un système Sea Sparrow Block 2 de nouvelle génération

L'US Navy et ses partenaires OTAN vont développer un système Sea Sparrow Block 2 de nouvelle génération | DEFENSE NEWS | Scoop.it

The U.S. Navy is working with NATO allies and other countries to develop a next-generation ship-based Sea Sparrow missile engineered with an improved, high-tech guidance system, service and industry officials explained.

The Evolved Sea Sparrow Missile Block 2, or ESSM, is a new version of an existing Sea Sparrow currently protecting aircraft carriers, destroyers, cruisers, and other vessels against anti-ship missiles and other short-range threats to ships, Navy officials said.

Navy officials have upgraded the missile to counter threats expected in the 2020s, said Lt. Kurt Larson, a Navy spokesman. These threats include short to medium range missiles, small fast-boat attack, enemy unmanned aerial vehicles as well as air-launched munitions.

The ESSM Block 2 will be designed to be compatible with existing systems and replace the baseline ESSM weapon on many platforms, Larson added.

The Block 2 is engineered with what’s called a semi-active, active guidance system, meaning the missile itself can achieve improved flight or guidance to its target by both receiving and actively sending electromagnetic signals, said Daniel M. Lambert, an official with Raytheon missile systems.

The ESSM baseline missile uses radar technology to locate and then intercept a fast-approaching target while in flight using what’s called a “shipboard illuminator,” Lambert explained.

“The illuminator is an RF signal that bounces off the target. The antenna in the nose in the guidance section [of the missile] sees the reflected energy and then corrects to intercept that reflective energy,” said Lambert.

The current ESSM missiles use what’s called a semi-active guidance system, meaning the missile itself can receive electromagnetic signals bounced off the target by the shipboard illuminator. The ESSM Block 2’s active, semi-active guidance includes illuminator technology built onto the round itself such that it can both receive and send important electromagnetic signals, Lambert explained.
ESSM Block 2 can use shipboard illumination or its own active seeker, he added.

The missile will be designed to intercept threats fired in bad weather as well as what’s called the “high-diver” threat from an enemy aircraft and “sea-skimmer” threat wherein an incoming projectile flies close to the water, said Lambert.

The ESSM Block 2 program is a NATO cooperative development effort for which the U.S. share is 40% of the total development cost, Larson explained.

The most recent ESSM Block 2 development contract was issued by the Navy to Raytheon Missile Systems on Dec. 27, 2012.
“The contract has a period of performance from the award date through the Milestone B decision leading to Engineering and Manufacturing Development,” Larson added.

Australia, Canada, Denmark, The Netherlands, Norway, Turkey and the United States are all currently reviewing an ESSM Block 2 Memorandum of Understanding, or MOU, designed to solidify the developmental path for the missile system through it next phase, Larson said.


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September 2, 2013 8:09 AM
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Canada: le NCSM Algonquin et le NCSM Protecteur entrent en collision

Canada: le NCSM Algonquin et le NCSM Protecteur entrent en collision | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Le destroyer NCSM Algonquin et le navire ravitailleur NCSM Protecteur sont entrés en collision vendredi matin pendant des exercices de manœuvres en route vers Hawaï.

Ils sont attendus dans le port d’Esquimalt à 16h00 ce samedi. Aucune blessé n’est heureusement a signalé.

«La Marine royale canadienne procédera à une enquête afin de déterminer ce qui a mené à ce malheureux incident», a déclaré le commodore Bob Auchterlonie, commandant de la Flotte canadienne du Pacifique.

Les deux navires de guerre se livraient à des exercices de remorquage, qui exigent des manœuvres de très près, lorsque l’incident s’est produit. Lors d’un ravitaillement en mer par exemple, les deux navires naviguent à pleine vitesse et à moins de 50 mètres de distance. «Les navires sont comme des voitures sur une autoroute, à pleine vitesse et côte à côte», nous avait indiqué un des marins à bord de l’Algonquin en 2012.

Le NCSM Algonquin a subi des dommages importants au hangar du côté bâbord tandis que le NCSM Protecteur a subi pour sa part des dommages de moins grande importance à la proue. Bien qu’il reste encore à déterminer l’effet de cet incident sur les programmes de navigation des navires, on sait cependant que le NCSM Algonquin ne sera pas déployé en Asie-Pacifique comme prévu.

Une commission d’enquête sera convoquée afin de mener une enquête approfondie de l’incident et des circonstances. La commission formulera des recommandations afin d’empêcher qu’un autre incident de ce genre ne se reproduise. Des renseignements supplémentaires sur l’incident seront publiés dès qu’ils seront disponibles.

NCSM Winnipeg

Vue rapprochée des dommages subis par le NCSM Winnipeg (Photo: Archives/BST Canada)

Quelques mois plus tôt, c’est le NCSM Winnipeg qui subissait d’important dommages lors d’une collision avec un navire de pêche.

Le 23 avril dernier, un navire-usine de la American Seafoods Company de Seattle est en effet entré en collision avec le navire de guerre canadien alors qu’il était amarré au quai C de la base d’Esquimalt. Le Winnipeg venait tout juste de sortir de travaux…

 

 

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August 30, 2013 8:52 AM
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Une brigade très spéciale

Une brigade très spéciale | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Le général Pierre Liot de Nortbecourt, 50 ans, a pris les rênes de la brigade des forces spéciales Terre (BFST) de Pau le 1er août. « Une fierté », dit cet homme qui a exercé à la direction du renseignement militaire, au 13e régiment de dragons parachutistes et au cabinet du ministre de la Défense, sous Alain Richard et Michèle Alliot-Marie.

« Sud Ouest ». Le secret qui entoure les actions de la BFST rend cette unité assez mystérieuse. Qui la compose et de qui dépend-elle ?

 

Pierre Liot de Nortbecourt. Nos employeurs sont le Commandement des opérations spéciales et la Direction du renseignement militaire : ils décident et nous leur fournissons les moyens d’intervention. Pour cela, nous avons un état-major situé à Pau, qui fédère et organise l’ensemble ; une compagnie de commandement et de transmissions, également à Pau ; et une force de frappe composée de trois régiments : le 4e Régiment d’hélicoptères des forces spéciales à Pau, le 1er Régiment de parachutistes d’infanterie de marine à Bayonne et le 13e Régiment de dragons parachutistes à Souge (33). Le premier est adossé au 5e RHC, avec qui nous mutualisons la maintenance des appareils. Nos procédures sont en revanche spécifiques, comme la formation de nos pilotes qui ne s’entraînent qu’avec des commandos des forces spéciales. Au total, le 4e RHFS, ce sont environ 400 hommes. Le 1er RPIMa, lui, est composé de 800 personnes et intervient sur des actions choc, comme la libération d’otages. Enfin, le 13e RDP (800 personnes), a pour vocation le renseignement. Par exemple, il peut envoyer une équipe de trois personnes dans une grande capitale où la situation est incertaine.

Vous faites donc de l’espionnage ?

Oui, mais c’est un espionnage à fin d’action. C’est pourquoi, même si elles sont soumises au secret défense, certaines de nos interventions sont révélées, et même revendiquées, par le politique.

Il arrive aussi que l’on apprenne votre présence par la mort de soldat, comme au Mali où deux hommes de la BFST ont été tués (1). Comment gérez-vous ces drames ?

On agit comme une famille, en soutenant les proches moralement et financièrement. Il existe des cellules d’aide aux familles et d’importantes amicales qui les suivent et interviennent en cas de difficulté. Quant à nous, nous sommes préparés à ce risque.

Où sont vos unités en ce moment ?

Pour des raisons de sécurité, je peux simplement dire que nous sommes présents dans une dizaine de pays. Environ 500 personnes sont sur le terrain. Nous sommes partout où il y a une opération un peu pointue, partout où il y a des otages et partout où il y a un ennemi non conventionnel. Nous avons également des détachements prépositionnés en Afrique.

Vous préparez-vous à une intervention en Syrie, à moins que vous n’y soyez déjà ?

Vous avez entendu comme moi la radio ce matin (2) : il n’y a pas de forces spéciales françaises en Syrie. Bien entendu, nous suivons avec attention l’évolution de la situation et sommes en contact constant avec notre commandement.

23 500 postes seront supprimés dans l’armée selon le projet de loi de programmation militaire 2014-2019. Les forces spéciales, elles, ont des chances d’être bien loties avec 1 000 personnels supplémentaires. Vous savez déjà combien arriveront à la BFST ?

Non, car la loi est encore en préparation. Quoi qu’il en soit, on ne va pas crier « Cocorico ! », car l’ensemble des armées est soumis à une cure d’amaigrissement liée au contexte budgétaire difficile. D’ailleurs, si les forces spéciales sont finalement dotées de 1 000 personnels supplémentaires, je ne suis pas certain qu’ils viendront de créations de postes.

Il est question de regrouper tous les Caracal sur un seul site : Pau et Cazaux sont en concurrence. Si la base aérienne girondine l’emporte, cela signifierait la perte de huit appareils et d’hommes pour le 4e RHFS. Où en est-on ?

La question n’est pas tranchée. Pau a de solides arguments. C’est la plus grosse plateforme d’hélicoptères d’Europe. L’université d’été de la Défense, organisée ici début septembre, en présence du ministre, sera l’occasion de les rappeler. Je me suis d’ailleurs entretenu de ce sujet avec la députée-maire de Pau, qui suit de près ce dossier.

(1) Le lieutenant Damien Boiteux, du 4e RHFS, et le sergent Stéphane Duval, du 1er RPIMa. (2) Cette interview a été réalisée lundi 26 août

 

 

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August 30, 2013 4:28 AM
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Les Philippines achètent finalement en France un patrouilleur d'occasion ...et des neufs

Les Philippines achètent finalement en France un patrouilleur d'occasion ...et des neufs | DEFENSE NEWS | Scoop.it

August 29, 2013: The Philippines has turned to France to obtain more offshore patrol ships for its coast guard. The first to arrive (in 2014) is a recently retired P400 class patrol boat. The 373 ton, 54.8 meter (180 foot) long vessel has a crew of up to 29 and two ten-seat small power boats on board.  Top speed is 44 kilometers an hour and can stay out up to 20 days at a time. Armament consists of a 40mm and 20mm autocannon plus two heavy machine-guns plus small arms. The 26 year old P400 will be refurbished before delivery to the Philippines. Total cost to the Philippines will be about $8 million.

Separately the Philippines is buying a newly built 82 meter (271-foot) patrol ship and four 24 meter (79-foot) patrol boats from France for $120 million. The larger ship is similar to the P400 and meant to patrol hundreds of kilometers off the coast while the smaller boats are for coastal patrols. The larger vessels will be dealing with even larger ships China is building for patrols off the coast of neighboring countries. China claims all of the South China Sea, including areas very close to the Filipino coast.

 


Via Patrick H.
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August 29, 2013 12:06 PM
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La Corée du sud choisit le F-15SE

La Corée du sud choisit le F-15SE | DEFENSE NEWS | Scoop.it

La DAPA annoncera officiellement à la mi-Septembre que le F-15SE est le gagnant de la compétition tant attendue pour fournir 60 avions de combat à la Republic of Korea Air Force (ROKAF), selon des sources de la défense en Corée du Sud.

Un Apache AH-64.

Ce résultat n’a toutefois rien de surprenant. La Coré du sud est déjà cliente de Boeing et la pression militaire est très forte sur ce pays, qui tout comme le Japon, dépend de la protection américaine. L’achat d’un chasseur européen aurait sans doute eu des conséquences fâcheuses pour Séoul. Dassault Aviation n’a même pas proposé le Rafale dans cet appel d’offres, sans doute refroidi par l’échec de la vente des F-15K à la Corée en 2002.

 

 

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August 29, 2013 12:01 PM
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Le retour du Baykal

Le retour du Baykal | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Est-ce la volonté de lancer un nouveau programme de développement alors que celui d'Angara touche à sa fin ou s'agit-il d'une réponse aux vols spectaculaires du démonstrateur « Grasshopper » de SpaceX préfigurant un premier étage récupérable ?

 

A moins que ce ne soit plus prosaïquement qu'un moyen de parler d'un autre sujet que le retour en vol du Proton et le limogeage de trois hauts responsables, toujours est-il que sur son stand au Salon Maks 2013, sur l'aérodrome Joukovsky près de Moscou, Khrounitchev a décidé de mettre en vedette le concept Baykal d'étage ailé récupérable qui avait déjà fait les beaux jours du Salon du Bourget en 2001.

 

Initialement conçu comme une version ailée du bloc de base URM des lanceurs Angara, propulsé par un unique moteur RD-191 et doté d'un réacteur aérobie RD-35 implanté dans son nez, le Baykal avait été conçu pour remplacer la plupart des URM sur les versions d'Angara, y compris l'étage central sur les versions monocorps.

 

Le concept présenté aujourd'hui a été largement remanié en vue de la création d'un système de lancement « non-consommable » MRKS et le Baykal, alias VRB, n'y figure plus que comme accélérateur d'appoint. Sa motorisation a été revue aussi puisqu'il est maintenant doté d'un moteur quadrichambre fonctionnant au méthane et à l'oxygène liquides et associé à un étage cryotechnique consommable à l'hydrogène et à l'oxygène liquides.

 

Quatre versions du lanceur sont proposées avec des capacités de lancement de 24, 35, 45 et 60 t sur orbite basse.

 

Deux démonstrateurs à échelle réduite de l'étage Baykal sont à l'étude au LII Gromov, un à aile droite déployable, le MLD-PK et l'autre à aile delta fixe, le MLD-TK. Ils pourraient être propulsés sur des trajectoires suborbitale représentatives par des lanceurs Angara 1.2.

 

Ce projet a été présenté à Roskosmos qui doit désormais décider de la poursuite ou non des travaux d'études, mais aucune décision n'est attendue avant l'entrée en service d'Angara, désormais prévue pour 2015, après les premiers vols en 2014.

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September 3, 2013 9:58 AM
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Le gouvernement britannique cherche à renégocier le contrat des porte-avions

Le gouvernement britannique cherche à renégocier le contrat des porte-avions | DEFENSE NEWS | Scoop.it

The British government is trying to renegotiate a contract with the BAE-led alliance that is building two 65,000-tonne aircraft carriers for the Royal Navy in order to control rising costs, but it says the terms of the deal leave it with little room to maneuver, according to Defence Secretary Philip Hammond.

Responding to a critical Parliamentary Public Accounts Committee (PAC) report into the aircraft carrier program due to be published here Tuesday,, Hammond said in a statement, “We are currently negotiating with industry to seek to secure proper alignment between industry and the MoD over the balance of the project and so bring the costs under control, but we are doing so within the context of a contract that gives us very little negotiating leverage.”

The PAC criticized the contract signed by the MoD and the alliance, saying it was “not fit for purpose as it fails to provide industry with any real incentive to control costs.”

The British lawmakers said that as things stood, the “contractors will continue to make a profit until the 5.24 billion pound target cost has been exceeded by 2.5 billion pounds.”

At one point, the original contract negotiations — which led to the signing of the construction deal for the Royal Navy’s largest-ever warships in 2008 — were targeting a cost of 3.65 billion pounds.

A spokesman for the Aircraft Carrier Alliance declined to comment beyond confirming negotiations with the MoD were ongoing. The alliance includes BAE, Babcock and Thales.

Margaret Hodge, the PAC chairwoman, said in a statement the committee was still “not convinced that the MoD has this program under control. It remains subject to huge technical and commercials risks, with the potential for further uncontrolled growth in costs.”

Senior alliance officials reported to the MoD this summer that the program faced time and cost overruns, said one industry source. He said he did not believe they were significant problems at this point.

Labour were responsible for signing the construction deal, but it is the Conservative-led coalition government that came in for much of the report’s criticism.

The PAC was prompted to investigate the carrier program after the government’s 2012 decision to do a U-turn and revert to the F-35B short takeoff and landing version of the Joint Strike Fighter to equip the carriers.

The British originally selected the F-35B, but the coalition government opted to change to the F-35C conventional carrier variant in a botched decision made as part of the 2010 strategic defence and security review (SDSR).

Two years later, when the spiraling cost of fitting catapults and traps to the two STOVL-designed warships became clear, the government changed its mind again and reverted to the F-35B.

The PAC said the decision to switch to the F-35C was “deeply flawed” on cost grounds and wasted at least 74 million pounds of taxpayers’ money.

Hodge said that “at the time of the SDSR, the MoD believed the cost of converting the carriers for the new aircraft would have been between 500 million pounds and 800 million pounds. By May 2012, it had realized that the true cost would be as high as 2 billion pounds.”

The renegotiations come as the carrier construction program is approaching the halfway mark. The alliance is preparing to fit the last major structural element of the first of the warships around mid-November, ahead of it being floated out of the yard at Rosyth, Scotland, next summer.

The government has committed only to operating one of the carriers and will decide in the 2015 SDSR whether it can afford to operate the second vessel as well or whether it will mothball or sell it.

Negotiations to buy a first production batch of F-35Bs to equip the aircraft carriers are currently underway, and the British hope to start flying from HMS Queen Elizabeth in 2018.

The PAC report said that aside from trying to change the terms of the carrier contract, the MoD was also attempting to renegotiate a wider maritime agreement with UK industry “with a view to incentivise contractors more by transferring cost risk.”


Via Patrick H.
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September 3, 2013 5:39 AM
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Synthèse nationale de renseignement déclassifié sur l'emploi d'armes chimiques en Syrie.

Synthèse nationale de renseignement déclassifié sur l'emploi d'armes chimiques en Syrie. | DEFENSE NEWS | Scoop.it

http://www.gouvernement.fr/sites/default/files/fichiers_joints/syrie_synthese_nationale_de_renseignement_declassifie_02_09_2013.pdf

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September 3, 2013 5:12 AM
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Le TAI HÜRKUŞ a volé !

Le TAI HÜRKUŞ a volé ! | DEFENSE NEWS | Scoop.it


 

 

ANKARA, l’avion école HÜRKUŞ développé par le constructeur turc Turkish Aerospace Industries (TAI) vient d’effectuer son premier vol avec succès. L’essais en vol a reçu  l'autorisation de la Direction générale de l'aviation civile turque.

 

Après le démarrage de la turbine à 07h30, le prototype du HÜRKUŞ a décollé à 07h35 pour effectuer son premier vol durant 33 minutes. L’avion a grimpé à 9500m piloté, par le chef pilote de TAI Murat Özpala. Durant ce vol d’une courte durée, la maniabilité et le bon fonctionnement des systèmes de base ont pu être vérifiés.

 

Le TAI HÜRKUŞ (Hurkus) : 


 


 

Le TAI Hurkus est un avion d'entraînement primaire et de base conçu et fabriqué par Turkish Aerospace Industries (TAI). L’avion est un dérivé du KAI KT-1 coréen, mais construit principalement pour répondre aux exigences de la Force aérienne turque (TAF). L'avion sera utilisé pour permettre la formation des pilotes de base, le vol aux instruments, formation à la navigation ainsi que des armes de bord.

 

La Turquie prévoit également de le proposer à l’exportation comme un avion civil et militaire de formation. Mais, le programme comprend le développement de deux variantes de l’avion, à savoir l’Hurkus en tant qu’entraîneur de base et l’Advanced Trainer Hurkus B qui pourra servir comme avion école avancé.

 

L’Hurkus dispose d'un cockpit en verre avec une configuration de siège tandem pour deux membres d'équipage, un élève-pilote et un instructeur. L'avion a une vitesse de croisière maximale de 574 kilomètres par heure, sa vitesse de décrochage est 143 km/h. Le cockpit est équipé de sièges éjectables zéro-zéro. Il est également équipé d'une avionique entièrement numérique, avec système de pressurisation du cockpit, un système de génération d'oxygène de bord (OBOG).

Le cockpit est équipé d'un auvent en verre renforcé pour une bonne visibilité et une bonne résistance aux impacts d'oiseaux. Il intègre un écran principal de vol (PFD) qui fournit des données de vol du pilote. Un petit écran multifonction est également installé sur le côté gauche du PFD. 

La suite avionique installée dans le Hurkus inclut un affichage tête haute (HUD). L’Hurkus est propulsé par un turbopropulseur Pratt & Whitney Canada PT6A- 68T et d’une hélice à cinq pales Hartzell HC- B5MA -3, le moteur développe une puissance de 1.600 shp. Le Hurkus devrait atteindre un plafond maximum de 34.700 pieds et peut monter à la vitesse de 4.370 pieds minute. Le rayon d’action maximal de l’ordre de 1’478 km.

 

 

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September 3, 2013 3:58 AM
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EADS : le projet de surveillance de la frontière saoudienne pataugerait

EADS : le projet de surveillance de la frontière saoudienne pataugerait | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Cassidian, la filiale sécurité d'EADS, aurait pris un gros retard sur le contrat de sécurisation des frontières de l'Arabie Saoudite, le plus gros de ce type jamais signé. Le quotidien allemand 'Handelsblatt' dispose d'une source qui lui a fait savoir que le lancement, initialement prévu en 2014, pourrait être décalé de deux ans. Le projet, signé en 2009, devait initialement durer 5 ans. Le journal allemand évoque des problèmes de réalisation aussi bien que des changements décidés par le donneur d'ordres pour expliquer le décalage d'un programme destiné à doter 9.000 kilomètres de frontières d'un système de surveillance électronique, dont la valeur était estimée à quelque 2 milliards de dollars.

 

 

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September 2, 2013 10:02 AM
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Lockheed Martin va moderniser tout le parc de torpilles Mk 48 de la flotte sous-marine US (et d'autres pays) en Mod7 CBASS

Lockheed Martin va moderniser tout le parc de torpilles Mk 48 de la flotte sous-marine US (et d'autres pays) en Mod7 CBASS | DEFENSE NEWS | Scoop.it

MARION, Mass. - Lockheed Martin will provide the U.S. Navy and allied navy customers from Canada and The Netherlands with upgrade kits and services for the MK 48 heavyweight torpedo under a new, $37 million contract award, part of a five-year effort to upgrade the entire submarine fleet, the company reported in an Aug. 30 release.

The Mod 7 Common Broadband Advanced Sonar System (CBASS) upgrade kit equips the heavyweight MK 48 with increased bandwidth and streamlined targeting and tracking capabilities. The kit includes a broadband analog sonar receiver, a guidance and control box, and a pre-amplifier. Since the CBASS program was first awarded to Lockheed Martin in 2011, the U.S. Navy has awarded more than $70 million for functional item replacement kits, engineering services, spares and production support material.

“The CBASS upgrades dramatically enhance the performance and capabilities of the MK 48,” said Tom Jarbeau, Lockheed Martin program director. “The refinements we’ve made to the torpedo’s guidance and control systems provide the U.S. Navy with a highly capable weapon in both littoral and deep sea environments.”

The replacement kits will upgrade the heavyweight torpedoes used by the entire United States submarine fleet for anti-submarine or anti-surface warfare. The MK 48 heavyweight torpedo is also employed by the allied navies of Australia, Canada, and The Netherlands.

Lockheed Martin’s Marion, Mass., facility will perform the CBASS work, with additional support from other company locations, including Manassas, Va.; Syracuse, N.Y.; and Newport, R.I. Lockheed Martin subsidiary Polaris Contract Manufacturing will build the circuit card and module assembly.


Via Patrick H.
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September 2, 2013 10:02 AM
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Premier bilan positif pour l’Advanced Super Hornet de Boeing

Premier bilan positif pour l’Advanced Super Hornet de Boeing | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Boeing a annoncé le 28 août que le démonstrateur Advanced Super Hornet avait effectué son premier vol le 5 août dernier, marquant ainsi le début d’une campagne d’essais en vol pour cette version améliorée du F/A-18 Super Hornet.
Entre le 5 et le 27 août, l’avion a effectué 15 vols, soit 25 heures au total, autour de l’usine de Boeing de St Louis mais également autour de la BAN de Patuxent River. Il s’agissait surtout de tester et de valider les performances aérodynamiques de l’avion, destiné à opérer à partir de 2030 dans un environnement « A2/AD » (anti-access/area denied).
Le premier bilan après trois semaines est plutôt positif, selon Boeing, qui communique sur deux aspects principaux : une furtivité accrue et un rayon d’action plus étendu, soit une plus grande survivabilité et une puissance accrue des moteurs. En effet, l’avionneur américain dévoile que la signature radar (nacelle d’emport d’armement comprise) a été réduite de 50% comparée aux caractéristiques du Super Hornet actuellement en service dans l’US Navy. De plus, les réservoirs conformes (Conformal Fuel Tanks - CFT) ont permis un accroissement de 130 nautiques du rayon d’action de combat, sur un rayon d’action de plus de 700 nautiques.

L’Advanced Super Hornet devrait également bénéficier par la suite d’un cockpit de nouvelle génération, ainsi que d’un radar AESA amélioré et d’un système IRST (Infra-Red Search and Track).
Au niveau de l’emport d’armement, le « futur Super Hornet » sera capable d’emporter un peu plus d’une tonne d’armement. Plusieurs combinaisons sont possibles, selon Boeing, qui les présente dans le graphique ci-dessous :
Il s’agit avant tout pour Boeing de proposer un « kit », qui peut tout aussi bien être intégré à des F/A-18 Super Hornet Block II rétrofités ou à un nouvel avion, afin de pouvoir exploiter la flotte au-delà de 2030. Ces modifications pourraient également être incorporées aux EA-18G Growler, ce qui leur permettrait - avec l’ajout des CFT - de conserver les mêmes performances en utilisant moins de carburant. Les prospects à l’étranger ne sont pas oubliés, et notamment au Canada, qui exploite une flotte de CF-18 Hornet (64 selon les données Flightglobal) et qui étudie actuellement des alternatives au F-35 de Lockheed Martin.

 

Helen Chachaty


Via Patrick H.
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September 2, 2013 10:00 AM
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La Marine finlandaise réceptionne le 2ème bâtiment de guerre des mines type Katanpää construit à La Spezia

La Marine finlandaise réceptionne le 2ème bâtiment de guerre des mines type Katanpää construit à La Spezia | DEFENSE NEWS | Scoop.it

First-of-class undergoes extensive tests, while ship three heads for sea trials in 2013The Finnish Navy accepted its second Katanpää-class mine countermeasures (MCM) vessel from shipbuilding company Intermarine, in a ceremony on 20 August in La Spezia, Italy.

With support from the Italian Navy, the 680 ton (full load) Purunpää has conducted more than 60 days of sea trials to date. Under current plans, the vessel will be transported to Finland by ship in early September, arriving later in the month or early in October.

Purunpää faced many unexpected issues in build, including heavy floods at Intermarine's shipyard and the challenge of integrating a complex mine-hunting system, said the Finnish Navy's commander-in-chief Rear Admiral Veli-Jukka Pennala at the ceremony.

In the year since its arrival in Finland, first-of-class Katanpää has been undertaking further platform trials, including shock-testing and operational evaluation in extreme environmental conditions such as heavy ice. In terms of ice capability, "this is the only ice-going mine-hunter in the world," but one which has "fulfilled the Finnish Navy's expectations", said Adm Pennala. The vessel was able to navigate through ice up to 10 cm thick, using both its own propulsion system and following a tug through broken ice, he added.

Commander Kristian Isberg, chief of the project section in the MCMV 2010 programme, said that Katanpää had also undertaken vessel signature trials and live explosive charge tests, to verify hull and onboard system responses to mine explosions. According to Intermarine, this was the first time its MCM vessels had been subjected to such tests at sea.

With Katanpää 's trials programme moving on to MCM equipment testing, Cdr Isberg noted: "We expect to test and operate the MCM equipment and command-and-control system in ice conditions next winter [2013-14]."

Upon arriving in Finland, Purunpää will undertake further trials until the end of 2013, when the crew will commence full training.

Third-in-class Vahterpää is currently conducting harbour acceptance activities, with sea trials - including MCM testing - expected to begin before the end of 2013. Delivery is expected in the early summer of 2014, said Cdr Isberg.

Adm Pennala confirmed his "full confidence that all the requirements will be met in the coming months, delivering to the Finnish Navy a modern and fully operational squadron of MCM [vessels] by 2017".


Via Patrick H.
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September 2, 2013 9:49 AM
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EADS : le système MilOWS certifié sur NH90

Le système de détection d'obstacles "MilOWS", qui équipe certaines versions de l'hélicoptère militaire NH90, a reçu la certification nécessaire à son déploiement. Ce sésame pour le système développé par EADS Cassidian permet à Eurocopter de commencer la livraison de 150 systèmes aux armées allemande et finlandaise.

L'armée allemande sera la première à équiper ses hélicoptères d'un système de détection d'obstacles en temps réel à technologie laser, ce qui lui permettra d'effectuer en toute sécurité des missions difficiles dans des conditions de visibilité réduite, selon les promoteurs du MilOWS.

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September 2, 2013 4:25 AM
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Video - U.S. Soldier Survives Taliban Machine Gun Fire During Firefight

No rounds penetrated his body armor, and he made it home with no permanent injuries. This happened in Kunar Province, Afghanistan. *READ* From the cameraman:...
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August 30, 2013 4:28 AM
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Le Surinam crée sa flotte de Coast Guard avec des patrouilleurs Ocea

Le Surinam crée sa flotte de Coast Guard avec des patrouilleurs Ocea | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Suriname is planning to establish a new Coast Guard service in November. The new service will add to the existing 380-man navy, but will be primarily tasked with fighting piracy and patrolling Suriname's exclusive economic zone.

Servic'e initial  vessel will be FPB 98-type fast patrol craft delivered from Ocea in June. Additional  two FPB 72 patrol craft are on order and should be delivered by May 2014. The patrol craft will operate out of three coast guard stations, the first of which will be at the new Coast Guard Headquarters Paramaribo followed by one each near the Guyana and French Guyana borders.


Via Patrick H.
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August 30, 2013 3:45 AM
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Syrie : six Typhoon britanniques déployés à Chypre

Syrie : six Typhoon britanniques déployés à Chypre | DEFENSE NEWS | Scoop.it

C'est le MoD britannique qui confirmait l'information ce midi : six Eurofighter Typhoon de la Royal Air Force ont quitté la Grande-Bretagne ce matin pour rejoindre la base chypriote de RAF Akrotiri, située à 270 km seulement des côtes syriennes.

 

"Il s'agit d'une mesure de précaution visant à protéger les intérêts britanniques alors que les tensions augmentent dans la région", indique le communiqué publié aujourd'hui par le MoD. Londres précise par ailleurs que ces moyens aériens ne sont destinés à être utilisés que "dans un rôle air-air". Certains Typhoon de la RAF disposent toutefois de capacités de frappes air-sol (bombes à guidage laser) dont ils ont fait montre lors de l'opération "Harmattan", en Libye, mais il est impossible de savoir à l'heure actuelle si les appareils (et les équipages) déployés à Chypre sont qualifiés pour cette mission.

 

D'autres images diffusées par les chaînes d'information internationales indiquent que la Royal Air Force a également déployé au moins deux de ses six avions-radar E-3D Sentry sur la base d'Akrotiri. Ceux-ci sont non seulement capables de surveiller l'activité aérienne des forces syriennes mais disposent aussi de capteurs ESM (écoute électronique) leur permettant de localiser et de caractériser les radars de défense sol-air.

 

Côté français, le ministre de la Défense se refuse pour l'heure à commenter tout mouvement de ses moyens militaires. Plusieurs informations convergentes semblent toutefois indiquer que la frégate de défense aérienne "Chevalier Paul" et le BPC Dixmude ont été mis en alerte pour rejoindre la Méditerranée et la force d'action navale américaine déjà déployée dans la zone. Des sources proches du ministère de la Défense démentaient en revanche ce matin les informations selon lesquelles des Rafale auraient été pré-positionnés sur la base aérienne de Tabouk, en Arabie Saoudite.

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August 29, 2013 12:04 PM
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Le Portugal va revendre des F-16 à la Roumanie

Le Portugal va revendre des F-16 à la Roumanie | DEFENSE NEWS | Scoop.it

L’Agence d’approvisionnement militaire portugaise (DGAIED) va acheter trois chasseurs F-16 à Lockheed Martin dans le cadre du programme américaine EDA (Excess Defense Articles). Les avions seront modernisés au Portugal à la norme F-16 Mid-Life Update (MLU) par l’Armée de l’Air portugaise avec l’aide de l’OGMA-Industria Aeronautica de Portugal, une société locale détenue conjointement par Empresa Portuguesa de Defesa (EMPORDEF) et Embraer du Brésil.

Une fois modernisés, ces avions rejoindront neuf autres F-16MLU portugais qui seront revendus à la Force aérienne roumaine, soit 12 avions F-16 au total. Le contrat est estimé à 186.2 millions d’euros.

Il doit encore être finalisé avec les autorités roumaines mais il prévoit d’inclure la livraison de 12 avions, des moteurs supplémentaires (avec la révision), le soutien logistique, le soutien technique durant 2 ans, et la formation des pilotes roumains et des techniciens de maintenance.

La Roumanie devrait consacrer des fonds supplémentaires à l’acquisition d’armes pour les F-16, de capteurs aéroportés, et d’équipement de soutien au sol. Les F-16MLU devront progressivement remplacer une partie de la flotte de MiG-21 Lancer de l’armée roumaine. Depuis 2010, la Roumanie souhaite s’équiper de F-16, mais le pays a dû renoncer à plusieurs reprises faute d’un financement qui représente 1% de son PIB. L’achat des F-16 portugais d’occasions, mais modernisés, est sans doute une solution plus économique.

 

 

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