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May 13, 2013 3:16 PM
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Moscou termine les livraisons du matériel de défense d’après les contrats en vigueur, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à l’issue de la rencontre avec les ministres des Affaires étrangères de la Pologne et d’Allemagne Radoslaw Sikorski et Guido Westerwelle. « Il s'agit de livrer des systèmes de défense antiaérienne en vertu des contrats signés », a déclaré Lavrov. « Cet équipement n’est pas interdit par les normes internationales, il s’agit des armes des défense pour que la Syrie puisse se protéger contre les attaques aériennes », a ajouté le ministre russe.
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May 13, 2013 3:09 PM
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Le gouvernement cherche à vendre la compagnie navale DCNS, leader mondial du naval de défense, au spécialiste de l’électronique de défense Thalès, déjà actionnaire à hauteur de 35%, selon une source informée. Si cet accord était conclu, il marquerait un important changement dans l’industrie de défense, qui lutte pour sa survie dans un climat économique hostile mais a résisté aux tentatives de réorganisation. Ce projet de fusion ou de rachat de DCNS par Thalès est l’une des conséquences du Livre Blanc sur la défense publié le 29 avril dernier. Il a confirmé un objectif de dépense de 31,4 milliards € sur la période 2014-2019. Mais ce chiffre suppose des recettes exceptionnelles provenant de la vente de participations pour boucher un manque de financement estimé à 1,8 milliard € en 2014, et un montant similaire en 2015, indique la source. « Nous avons besoin de recettes exceptionnelles, et DCNS pourrait faire partie des participations vendues, » a expliqué la source. Thalès détient déjà 35% de DCNS, après avoir levé en 2007 une option d’achat pour renforcer sa part initiale de 25%. Le gouvernement espère vendre sa part de 65% de DCNS à Thalès pour un montant d’environ 1,5 à 2 milliards €. Ce seul accord permettrait de combler le problème de financement pour 2014. Si la vente se concrétise, DCNS deviendrait une filiale de Thalès. Des responsables du gouvernement négocieraient avec la famille Dassault, qui contrôle Dassault Aviation, l’actionnaire industriel de référence de Thalès. « Si le plan d’affaires de DCNS semble solide, ils seront intéressés, » indique la source. Le gouvernement veut cependant conserver un siège au conseil d’administration de DCNS, et veut reporter son action spécifique — sa “golden share” — au niveau de la compagnie mère, Thalès, précise la source. Le précédent président de Dassault, Charles Edelstenne, avait déclaré que sa compagnie était prête à augmenter la participation de Thalès dans DNCS au-dessus de 50%, mais que le status spécifique des ouvriers d’état devrait être réformé. « L’idéal, le mieux » serait que Thalès achète beaucoup plus que 50%, proche des 100%, et devienne le propriétaire, soutient la source. Pour les ouvriers d’état, le gouvernement paierait les salaires, mettrait le personnel à la disposition de DCNS, et la rembourserait pour ramener les salaires au niveau d’un salaire compétitif. DCNS a des ventes annuelles d’environ 2,5 milliards € et dégage un cash d’environ 2 milliards €. Cela est considéré comme payant virtuellement pour l’acquisition. Les discutions pour la vente de DCNS n’ont pas encore commencé, mais devraient le faire prochainement. « Nous devons prendre des décisions rapidement pour passer 2014, » souligne la source. Une fusion entre DCNS et Thalès serait positive, mais dépend beaucoup de la façon dont elle sera mise en place, indique un spécialiste. Les 2 compagnies sont en compétition dans des domaines comme les systèmes de combat. Un accord permettrait d’« intégrer les capacités et rendrait la compagnie plus efficace, » indique Andrea Gilli, un associé de l’European Union Institute for Security Studies. « Une fois que cela sera fait, cela simplifierait considérablement le paysage, » convient la source française. Des porte-paroles de Dassault, DCNS et le ministère de la défense n’étaient pas disponibles pour faire des commentaires.
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Romain
May 13, 2013 3:05 PM
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Près de 60 à 70 aérodromes militaires seront construits ou reconstruits en Russie d'ici 2020, a annoncé mardi aux journalistes le commandant en chef de l'Armée de l'air russe, le général Viktor Bondarev. "Au total, nous sommes en train de construire ou de reconstruire actuellement 11 aérodromes et nous poursuivrons ces travaux. D'ici 2020, ce chiffre sera porté à 60-70", a indiqué le général. Selon lui, les essais d'avions de combats modernes qui comprennent des manœuvres très compliquées telles qu'un décollage répété ou interrompu, ne peuvent être effectués que sur les pistes de décollage longues de quatre kilomètres au moins.
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May 13, 2013 2:57 PM
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Les contrats signés entre la Russie et le Venezuela dans le domaine de coopération militaire atteignent onze milliards de dollars au total, a annoncé lundi le directeur de l'agence russe d'exportation d'armements Rosoboronexport, Anatoli Issaïkine. "Le volume des contrats signés est estimé à onze milliards de dollars", a indiqué le responsable, ajoutant que la coopération russo-vénézuélienne dans le domaine militaire et technique avait atteint le niveau de partenariat stratégique. L'armée du Venezuela est essentiellement équipée d'armes russes, a signalé le directeur de Rosoboronexport.
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May 13, 2013 2:52 PM
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Le premier sous-marin de la classe Varshavyanka entrera prochainement en service. Dans un contexte de tension entre la Chine et le Vietnam dans le sud de la mer de Chine, la marine vietnamienne s’équipe de six sous-marins de la classe Varshavyanka (projet 636M). Achetés à la Russie, les submersibles constituent une version améliorée des Kilos russes avec des systèmes de combat plus récents. Construit à Kaliningrad, le premier de la série quitte actuellement son port de construction vers le Vietnam. La base sous-marine vietnamienne sera vraisemblablement Kamran, au sud du pays, où un site d’entraînement a été construit pour les sous-mariniers. Une base qui sert déjà à la marine russe.
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from Newsletter navale
May 13, 2013 2:41 PM
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03/05/2013 (Infodefensa.com) Medellin - Speaking to the Colombian press, Vice Admiral Hernando Wills , Chief of Naval Operations of the Colombian Navy, confirmed the future and prompt receipt of the first two Hoverwork Griffon 2000TD hovercraft of a total of eight acquired such and as at the time. Similarly, it is also expected delivery of the first two Augusta Westland Helicopters Bell 412 (four-bought), devices that will be deployed on the surface units of ARC, which will, among other equipment-with communications systems ROCKWELL-COLLIN AN/ARC-210-TALON-V and ROCKWELL-COLLIN HF HF-9000-D, with radar SYSTEM TELEPHONICS RDR-1700-B and the vision system WESCAM-MX-10EO/IR PAYLOAD INSTALLED . Wills Vice Admiral also said that this year, completed the modernization work on U209A Submarine 'Pijao' and 'Tayrona', and are being developed by the Colombian Naval Shipyard Cotecmar , in the city of Cartagena de Indias.
Via Patrick H.
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May 13, 2013 2:39 PM
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La Garde Républicaine se meurt... mais va-t-elle se rendre sans combattre face à la volonté du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, de la rationaliser. A voir. En tout cas, elle se trouve bel et bien dans le collimateur du ministère de l'Intérieur, surtout après la publication mardi d'un référé de la Cour des comptes sur le fonctionnement de cette institution bien française, qui coûte environ 280 millions d'euros par an au budget de l'Etat. La Cour recommande "que soit effectuée une revue générale des services d'honneur et de protection des palais nationaux visant à réduire les effectifs dédiés à ces missions pour les rapprocher de ceux strictement nécessaires aux besoins de sécurité". Et c'est la formation musicale de la Garde républicaine, qui va certainement trinquer en premier, comme le recommande la Cour des comptes. Les Sages de la rue Cambon préconisent la fusion des deux formations de la gendarmerie afin de "permettre de poursuivre les économies en personnel et de disposer d'une formation mieux proportionnée que les deux formations actuelles". Dans sa réponse à la Cour, le ministre de l'Intérieur va plus loin dans les réductions du format des formations musicales du ministère de l'Intérieur que les recommandations de la Cour. Ainsi, il "envisage de regrouper les formations musicales de la police nationale, les deux unités de la gendarmerie pourraient être fusionnées pour ne constituer qu'une seule formation". 12 % du temps consacrés au concert Les sages de la rue Cambon rappellent pour leur part qu'un audit avait préconisé en octobre 2007 "de supprimer une des deux musiques de la police nationale, celle des compagnes républicaines de sécurité ou celle de la préfecture de police d'une part, et la musique de la gendarmerie mobile, d'autre part, redondante avec la musique du premier régiment de la Garde puisqu'elle intervient en soutien pour des missions protocolaires du même type". Selon une étude menée par la direction générale de la gendarmerie en 2009, cette suppression devait permettre une économie d'une trentaine d'emplois. Ces formations musicales ont toutefois été déjà réduites : une première réduction des effectifs des deux formations a été annoncée, de quinze emplois en 2012 puis de dix en 2013. Mais la Cour des comptes s'étonne du maintien de la musique de la gendarmerie mobile "alors même que le temps qu'elle consacre aux concerts ne dépasse pas 12 % du total de ses activités". Rationalisation des moyens de protection des palais nationaux Si Manuel Valls veut clouer le bec aux musiciens trop nombreux à son goût, il souhaite aussi s'attaquer aux missions de sécurité, qui occupent 69 % des activités opérationnelles de la Garde républicaine. "Comme le préconise la Cour, je suis effectivement favorable à une étude relative à l'adaptation des moyens de protection des palais nationaux (Elysée, Matignon, le Palais Bourbon, le Palais du Luxembourg..., ndlr) sans dégradation de la prestation de sécurité", explique-t-il au premier président de la Cour des Comptes, Didier Migaud. Notamment à l'Assemblée nationale (Palais Bourbon) et au Sénat (palais du Luxembourg) dont la sécurité est gérée prioritairement par des fonctionnaires civils assistés d'environ 200 gardiens-surveillants par palais. La Garde républicaine est quant à elle chargée de la sûreté des palais, "selon un dispositif qui peut, comme le préconise la Cour, être utilement optimisé", estime Manuel Valls. Il propose que "la substitution au dispositif actuel des deux assemblées de la présence permanente d'un peloton en réserve d'intervention sur chacun des palais peut effectivement être envisagée". Et préconise en outre l'emploi pour compléter le dispositif d'un système de vidéo protection sous la responsabilité des gardes républicains. En revanche, pas question de toucher aux missions de protection de l'Elysée et de Matignon de la Garde républicaine. Enfin, le ministre envisage de réduire les services d'honneur (7,5 % de leur temps). "La définition de leur forme et de leur volume mérite sans nul doute d'être révisée et modernisée, ce qui pourrait permettre de dégager des effectifs au profit d'autres missions", estime le ministre de l'Intérieur. Pour faciliter cette adapatation, Manuel Valls souscrit à la recommandation de la Cour de nommer un rapporteur indépendant, "disposant de l'autorité suffisante pour mener des discussions avec les autorités d'emploi sur ce sujet". Des opérations de prestige mal rémunérées La Cour constate que les opérations de prestige réalisées pour le compte de tiers "à titre onéreux (...) ne sont facturées de manière adéquate". Et d'expliquer que "les tarifs applicables devraient être déterminées en fonction des coûts complets, puis fixés et régulièrement révisés par voie réglementaire". Ce que convient le ministre de l'Intérieur ":"cela vaut tant pour les remboursements de certaines dépenses supportées par les forces de police et de gendarmerie, définies par arrêté, que pour les tarifs des prestations des formations spécialisées de la Garde républicaine, définis par voie de contrat, avec le bénéficiaire". Selon manuel Valls, des travaux sont actuellement en cours afin d'adapter les tarifs de ces formations qui particiepent au rayonnement de la France. Enfin, la Cour des comptes s'inquiète des missions non spécifiques, notamment des missions de sécurité publique, qui ne sont "pas prioritaires" mais auxquelles sont astreints les gardes républicains. Soit 12 % de leur activité opérationnelle. "L'exercice de ces missions ne doit toutefois pas conduire à solliciter excessivement, pour des renforts ponctuels, l'unité d'élite qu'est la Garde républicaine. A défaut, il faudrait lui affecter des moyens excédants ceux strictement nécessaires à l'exercice de ses missions principales". Mais, pour le ministre, elles "ne détournent pas la Garde de sa mission principale". "Seuls les moyens disponibles qui n'ont pas été engagés sur ses missions prioritaires sont employés quotidiennement en mission de sécurité publique ou de maintien de l'ordre", explique le ministre. Et de rappeler que "l'emploi de ces moyens, qui constituent un reliquat disponible dont le volume est variable, fait ainsi l'objet d'une véritable politique d'optimisation au profit de la sécurité de nos concitoyens, tant en zone de responsabilité de la police que de la gendarmerie".
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May 13, 2013 2:34 PM
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France cuts Rafale purchase, no export customer yet for the Rs. 1390cr aircraft.Dassault Aviation, the French maker of Rafale fighter jet which is in exclusive negotiations with the Indian ministry of defence for the $12 billion Medium Multi-Role Combat Aircraft (MMRCA) tender is facing rough weather at home. In the latest strategic defence review carried out under the insistence of the French government, last month, France has capped the purchase of Rafale fighter jets to 225. Originally, the Rafale programme envisaged production of 320 aircraft for the French government but this was cut to 286 later and now to 225. Till date, only 180 of them have been ordered; all of them by France. The company is yet to find an export customer for its front-line fighter jet. As a result, the cost of Rafale to France has climbed steadily. The French Senate assessment of the 2013 national defence budget pegs the total cost of the Rafale programme, including development expenses, to the French exchequer at €44.2 billion. Dividing the total programme cost with number of aircraft to be built i.e. 225 gives a per aircraft cost of €196.4 million or approx. Rs. 1,390 crore at today’s exchange rate. A cut to Rafale numbers for France poses a challenge to Dassault’s military business which is mainly dependent on Rafale sales. Given the situation, bagging MMRCA, which envisages purchase of 126 aircraft with an option for buying 63 more, is critical for Dassault. However, contrary to initial expectations of a quick contract signature, Dassault-MoD negotiations have dragged on for over a year. As reported by FE earlier, cost has been an issue since the start besides the company’s reluctance to transfer sophisticated technology to India and meet offsets requirements. In the last few months, questions have been raised by Dassault regarding the role of Hindustan Aeronautics Limited (HAL) in the MMRCA. Moreover, the French company is unwilling to be held liable for the quality, timely and on-cost delivery of the 108 aircraft to be license produced at HAL. This is in breach of tender conditions and has emerged as a major threat to speedy contract conclusion. Sources FE spoke to said: “Given the slow pace of negotiations it looks increasingly likely that MMRCA will spill over to the next government.” But, Dassault CEO Eric Trappier is optimistic. Reportedly, Trappier said: “I hope 2013 should be the year.” As things stand, for Trappier’s wish to come true, either Dassault will have to give in to India’s demands which it has resisted until now or the Indian side will have to relax its tender criteria. Currently, both look unlikely. Given Dassault’s financial situation the company cannot afford any business risk. Whereas, enhanced scrutiny of defence deals in a season ridden with corruption scandals precludes Indian negotiators from extending any concessions. In this case, the French company will have to do something special. Eyes are on the Paris Air Show which opens 17th of June at Le Bourget in France. Dassault is expected to lay out a red carpet for the Indian delegation. However, in what could come as a dampener to the French company, rumours in the defence ministry corridors suggest that given the sensitive phase of negotiations, the ministry is expected to tone down this year’s participation at the show.
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May 13, 2013 2:28 PM
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Korea Aerospace has won a second Korean air force production order worth about $1 billion for an unspecified number of FA-50 lightweight fighters. (KAI photo) May 7, 2013 defense-aerospace.com (Source: Korea Aerospace Industries; issued May 7, 2013) KAI Contract for Mass Producing the FA-50 KAI announced on May 6th that the company concluded the contract for mass producing the FA-50, amounting to approximately 1.1 trillion won with The Defense Acquisition Program Administration ("DAPA"). In accordance with the contract, subsequent to the first mass production contract which was signed on 2011, KAI plans to deploy the aircraft (first production portion) for preparing for the actual battle beginning in August and seek its entire force integration until 2016. The FA-50 is a light combat aircraft which was developed based on the T-50, a supersonic advanced trainer in order to replace the military's superannuated fighters, like the F-5E/Fs and A-37s. The FA-50 combat aircraft is able to load up to 4.5 tons of weapons including the basic weapons like air-to-air/air-to-surface missiles and machine guns as well as precision guidance bombers such as JDAMs, or joint direct attack munitions and multi-purpose precision guidance CBUs (or cluster bomb units). Also, the FA-50 fighter, complete with a night vision apparatus, has a mission capability both in the daytime and in the night time and boasts its improved self-protection ability for the aircraft itself. “The FA-50 aircraft is excellent in performance compared with the price. Through the operation of the home-grown airplane which is high in terms of operation ratio and is low in terms of maintenance cost, the Korean military's self-reliance defense potential will be doubled," an official at the military said. KAI won the order for the FA-50 PBL, or Performance Based Logistics project in November last year and is in charge of the development and production, stepping forward the subsequent support of the airplane. KAI told, "Through the Korean military's operation ability for the actual battle and KAI's thorough logistics support, the confidence in the performance, safety and follow-up ability of the aircraft are further enhanced, which will accelerate the exports of the home-grown airplanes including the FA-50." In October last year, the FA-50 airplane was verified in terms of a flight safety test of about 1,300 items and acquired the Korea's Type Certification for the first time in the Korea's fighter-class aircraft, securing a bridgehead for exports. KAI, which set a goal for exporting more than 1,000 T-50 series airplanes forecasts positively the exports of the FA-50 and makes effort to export the T-50 series airplanes to other nations, like the Philippines, Iraq and Chile. Thanks to the fact which the worldwide replacement demand for the old and superannuated F-5 and A-37 airplanes is on the increase more and more but the light attack aircraft which is able to substitute those planes is only the FA-50 model or something like it, KAI makes a positive evaluation on exporting the FA-50. The air forces of the nations in the world operate both the high-intensity mission fighters and low-intensity mission fighters at the same time, depending on their operation purpose. In the meanwhile, KAI has won the orders for the FA-50, amounting to approximately 3 trillion won, including the contract thus far and is sailing smoothly to achieve the goal of 6.2 trillion won which the company set this year. "Thanks to the successful large-scale export contracts in the first half of this year, including the order amounting to 1.2 trillion won with Boeing in April in succession to the deal for fuselage parts worthy of approximately 460 billion won with Airbus in March, KAI predicts that its goal set for 2013 will be achieved without difficulty," told KAI.
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May 13, 2013 2:27 PM
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La Serbie envisage d’acheter plusieurs MiG-29M/M2 Fulcrum à la Russie. Les pilotes serbes sont déjà en formation au pilotage de l’avion, a déclaré le vice-premier ministre et ministre de la Défense Aleksandar Vučić, le 6 mai. La Serbie aimerait acheter lesMiG-29 à crédit, ajoutant que le coût final de l’opération dépendra des systèmes d’armes installés ainsi que le volume des pièces de rechange devant être achetées. Les parties discuteront des détails de l’accord lors de la visite du président serbe Tomislav Nikolic en Russie le 21 mai, suivie de la visite du ministre de la défense Aleksandar Vučić le 23-24 mai. Le nouvel accord pourrait aussi prévoir la modernisation de l’usine aéronautique Moma Stanojlovic en Serbie, qui est amenée à devenir un centre régional de maintenance pour les avions MiG, dont beaucoup sont en service dans les pays voisins, a commenté le ministre serbe. Le pays espère acheter un total de six MiG-29M/M2 et deux stations radar à la Russie. L’affaire pourrait être conclue avant la fin de 2013. La Serbie étudie la possibilité d’acheter des MiG-29 depuis 2010. À l’époque, le général Ranko Živak avait déclaré que la Serbie avait besoin d’au moins 12 ou 14 chasseurs polyvalents pour remplacer les quatre MiG-29 soviétiques qui, comme plusieurs dizaines de MiG-21 sont obsolètes, et équipent jusqu’à présent l’armée de l’Air serbe.
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May 13, 2013 2:14 PM
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May 13, 2013 2:12 PM
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Cette opération devrait permettre de regrouper, au sein d’une même entité et dans le respect de leurs stratégies, de leurs clients et de leurs marchés respectifs, les activités complémentaires des deux groupes dans le domaine munitionnaire et de rationaliser la gestion des affaires domaniales et environnementales issues de l’historique des deux groupes. Elle devrait intervenir en 2013 sous la forme d’un rapprochement des deux groupes autour de GIAT Industries. GIAT Industries est la holding à 100% de Nexter Systems, systémier-intégrateur de référence mondiale pour l’armement terrestre maîtrisant les systèmes de combat aéroterrestres dans toutes leurs composantes : la protection, le commandement, la mobilité, le feu et le soutien. Le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 736 millions d’euros en 2012. Au travers de ses matériels et services aux clients (chars, véhicules blindés, systèmes d’artillerie, munitions, systèmes d’information terminaux), il est présent dans plus de 100 pays. SNPE, au travers de sa filiale Eurenco, est un leader européen des poudres et explosifs à usage civil et militaire et le premier producteur mondial de nitrate d’éthylhexyl (NEH), additif améliorant la qualité du carburant diesel (réduction de la consommation et la pollution).
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May 13, 2013 2:04 PM
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Quand l’on apprend que l’Iran vient de mettre au point un nouveau drone capable d’échapper aux radars adverses, appelé “Hemaseh” (Epopée), l’on s’attend à voir enfin la copie annoncé du RQ-170 Sentinel américain, qui s’était écrasé en territoire iranien en décembre 2011. L’appareil, dévoilé à l’occasion du “Forum des martyrs”, le 9 mai, est, selon le général Ahmad Vahidi, le ministère iranien de la Défense, capable de mener simultanément trois missions, à savoir la surveillance, la reconnaissance et l’attaque par missile. Faisant partie de la “dernière génération de drones de fabrication iranienne”, le Hemaseh serait en mesure de voler plus longtemps et plus haut que ses prédécesseurs. “C’est un avion furtif qui ne peut être repéré par les ennemis”, a insisté le général Vahidi, sans pour autant donner d’autres détails. Seulement, l’aspect de ce nouveau drone, apparemment de taille modeste, n’a absolument rien à voir avec le RQ-170 Sentinel. Et l’on voit mal en quoi il pourrait être “furtif”, avec l’impression qu’il donne d’avoir été “bricolé” (voir notamment au niveau du train d’atterrissage…). Et les dernier engins dévoilés par Téhéran, le Sarir H110 et le Shaheed-129, présentaient une bien meilleure finition…
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May 13, 2013 3:10 PM
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Kaman Corp. (NYSE:KAMN) today announced that its subsidiary, Kaman Aerospace Corporation (Kaman), has entered into a $120 million contract with the New Zealand Ministry of Defence for the purchase of ten SH-2G(I) Super Seasprite aircraft, spare parts, a full mission flight simulator, and related logistics support. The contract is consistent with the previously announced government authorization and calls for the aircraft to be delivered over an approximately three year period with revenue recognition beginning in 2013. The SH-2G(I) Super Seasprite is an advanced integrated maritime weapon system and a proven day/night/all-weather multi-mission helicopter. Originally designed to meet the exacting requirements of the U.S. Navy, the SH-2G Super Seasprite has the highest power-to-weight ratio of any maritime helicopter, assuring a safe return-to-ship capability even in single-engine flight conditions. Its robust design, outstanding stability, and excellent reliability have been proven through more than 1.5 million flight hours. The SH-2G is a fully integrated, multi-mission maritime weapon system designed to fulfill anti-submarine warfare (ASW), anti-surface warfare (ASuW), over the horizon targeting, surveillance, troop transport, vertical replenishment, search and rescue, and utility missions. It is the largest, most powerful small ship helicopter in use today and is recognized for its mission effectiveness, support, and unmatched performance. In addition to the Royal New Zealand Navy, the SH-2G Super Seasprite is operated by the Egyptian Air Force and the Polish Navy.
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May 13, 2013 3:08 PM
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Un article publié dans le Sunday Times de Johannesburg (3 millions de lecteurs en Afrique du Sud) éclaire sur l’état d’esprit des troupes sud-africaines à l’aube de l’offensive contre le M23 au Nord Kivu. Sous un titre martial "We’re going to War", on part en guerre, l’analyste du Times révèle en fait les failles relatives à l’opération. L’article démarre d’ailleurs assez mal avec une estimation des munitions du M23 à 40 tonnes quand il faudrait sans doute ajouter deux zéros de plus. Il est d’ailleurs rappelé en préambule que les casques bleus sud-africain du 121e bataillon ont déjà été pris de court par le M23 en novembre dernier lors de la (non) bataille de Goma. Le Times ne peut s’empêcher de relever avec une pointe d’admiration que le M23 dispose en sa faveur de 20 ans d’expérience des combats dans la jungle… Puis viennent les exagérations. Quitte à se saper davantage encore le moral, les sud-africains prêtent aux M23 des capacités surnaturelles. Ils auraient le contrôle de chars soviétiques T55 et T72, de missiles anti-tanks, de missiles sol-air (SAM), de véhicules blindés, de lance-grenades et lance-roquettes multiples etc…Bref les 5500 hommes du groupe d’autodéfense disposeraient en fait d’une supériorité stratégique et tactique écrasante sur la brigade d’intervention de l’ONU formée de 3000 hommes seulement. Le Times rappelle la mésaventure centrafricaine au cours delaquelle les SANDF ont perdu 14 des leurs à Bangui faute de soutien aérien approprié et de capacités de renseignement sur le terrain. Au Kivu ce sera pire anticipe le journal de Johannesburg. Et comme un malheur n’arrive jamais seul on apprend que les hélicoptères d’attaque Rooivalk et les missiles antitanks Makopa d’une portée de 10 km ne sont pas encore certifiés, ce qui obligera les aéronefs à s’approcher dangereusement des cibles pour augmenter les chances de faire mouche. Il se dit aussi que les fameux avions multiroles Gripen (absent des dernières manœuvres à Roodewal pour cause de coupes budgétaires) ne seront peut-être pas de la partie au Kivu. Bref les SANDF ont le moral en berne à l’aube de la bataille. Selon un officier sud africain, le bon niveau d’entraînement actuel n’évitera pas les erreurs faute d’un soutien aérien correct pour le transport du matériel notamment. Les choses s’annoncent donc plus compliquées que prévu. Les analystes sud-africains supposent que le M23 adoptera une stratégie non conventionnelle et misera sur le manque de cohésion et d’entraînement conjoint de la FIB constituée de plusieurs nationalités et d’unités disparates. Certes les SANDF auront l’usage du fameux canon G5 longue portée (voir vidéo) et du renfort de divers véhicules blindés mais cela risque d’être juste face à la puissance de feu des M23 équipés de LRM ukrainiens. Et puis leurs canons 37 mm ont la réputation de tenir en respect tout ce qui vole et roule dans un rayon de plusieurs dizaines de km. Les sud-africains craignent également de faire de nombreuses victimes civiles lors des offensives en zones habitées. Leur seule consolation pour l’instant est de penser que le M23 choisira de ne pas les attaquer eux, mais visera le maillon faible c’est à dire les tanzaniens et les troupes du Malawi qui ont très peu d’expérience des combats. Et quand bien même conclut l’article un peu démoralisé, le M23 n’est pas seul, il paraît qu’il y a encore 30 autres groupes armés dispersés sur le Nord et le Sud Kivu, un territoire grand comme 3 fois la Suisse.
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May 13, 2013 3:05 PM
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Cap à l'international. Lors d'un comité exécutif mardi dernier, Tom Enders, le patron d' EADS, a demandé à quasiment tous ses lieutenants de piloter les activités du groupe aéronautique dans un ou plusieurs pays donnés, en plus de leurs responsabilités de patron de filiale, a-t-on appris de source interne. En nombre limité, les pays concernés sont ceux qui présentent les plus forts potentiels. « La croissance proviendra principalement des pays en dehors d'Europe, les pays émergents apportant leur contribution. Augmenter nos ventes à l'international tout en maintenant nos sites de développement et de production uniquement en Europe ne constitue plus un modèle viable pour EADS », aurait dit Tom Enders lors de ce comité. Représentants officiels du groupe Le patron du groupe aéronautique marche dans les pas de Jean-Bernard Lévy, qui a pris la même orientation peu de temps après sa nomination à la tête de Thales. A charge pour chaque « sponsor » d'un pays d'y piloter les développements spécifiques, de coordonner l'ensemble des implantations, ou encore d'agir en tant que représentant officiel du groupe. En pratique, l'affectation par baron est assez logique. Le PDG d' Airbus, Fabrice Brégier, va piloter la Chine, un pays dans lequel l'avionneur a ouvert une chaîne d'assemblage d'A320 et où il assure l'essentiel des ventes d'EADS. Domingo Ureña, son alter ego d'Airbus Military, va chapeauter l'Indonésie, avec l'espoir de placer l'A400M. De son côté, Marwan Lahoud, le patron de la stratégie et du marketing, récupère la zone Amérique. Bernhard Gerwert (Cassidian, la branche défense), se voit assigner l'Inde. Guillaume Faury, le tout nouveau patron d' Eurocopter, va faire des allers-retours fréquents au Brésil, là encore de façon logique puisque le constructeur d'hélicoptères y dispose de sa seule chaîne d'assemblage en dehors du Vieux Continent. Même le directeur financier, Harald Wilhelm, est mobilisé pour couvrir Singapour et la Malaisie, tandis que François Auque (Astrium) gagne la Russie, un pays avec lequel la filiale espace d'EADS coopère beaucoup. Contacté, EADS n'a pas souhaité faire de commentaire.
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May 13, 2013 2:56 PM
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Le porte-hélicoptères doit être livré cette année à la Royal Australian Navy. Dérivé du Juan Carlos I de la marine espagnole, le HMAS Canberra doit être livré prochainement à la Royal Australian Navy pour une mise en service au cours du premier trimestre 2014. C’est l’équivalent chez nous de nos BPC Mistral. Long de 230 mètres pour une masse totale de 27 800 tonnes, il sera capable de transporter 100 véhicues blindés et 12 chars. 16 hélicoptères dont des Chinook et des Tigre pourront également prendre place à bord. Niveau médical, les données techniques indiquent que 40 lits et 2 blocs opératoires seront disponibles.
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May 13, 2013 2:43 PM
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C’est un pas supplémentaire vers la commande d’une première tranche de F-35 qu’a fait vendredi le gouvernement norvégien en demandant le feu vert du Parlement pour cette commande. Malgré les dérapages du programme et l’envolée de sa facture, le ministère de la Défense a sollicité les élus pour qu'ils lui accordent 12,9 milliards de couronnes (1,69 milliard d'euros) pour acheter non seulement l'achat des six premiers avions de combat du constructeur américain Lockheed Martin (4,5 milliards), mais aussi celui de simulateurs et des dépenses d'équipement, d'intégration d'un système d'armes et d'entraînement (8,4 milliards). La Norvège, qui fait partie des neuf pays partenaires impliqués dans le développement du F-35, veut pouvoir compter sur ces chasseurs en 2017 pour remplacer sa flotte vieillissante des F-16. En 2008, le pays scandinave avait annoncé son intention d'acheter jusqu'à 52 appareils de ce type pour une enveloppe totale tournant autour de 60 milliards de couronnes, son plus important achat hors industrie pétrolière. La Norvège, qui a étalé ses commandes dans le temps, entend prendre livraison de six appareils chaque année entre 2017 et 2024. Face au risque d’envolée de la facture, le gouvernement a prévu une enveloppe de 11 milliards de couronnes. Singapour évalue le F-35 Alors qu’il est critiqué pour ses surcoûts et ses retards, le programme F-35 risque de faire les frais des réductions budgétaires dans plusieurs pays, voire aux Etats-Unis, son premier client qui envisage l'achat de plus de 2.400 exemplaires. Pour autant, malgré ses déboires Singapour avait indiqué, mi-mars, être en phase finale de l'évaluation du projet de remplacement de ses avions de combat F-15 et F-16 par des F-35, également appelé Joint Strike Fighter (JSF). « Bien que le F-35 soit toujours en développement, nous sommes intéressés par ce programme, au regard de nos besoins futurs », avait déclaré le ministre de la Défense Ng Eng Hen lors d'un débat sur le budget national. Il « devra être certain que cet avion de combat multi-rôles réponde à nos objectifs sur le long terme, soit sur la bonne voie pour être efficace opérationnellement et, le plus important, soit un programme efficace au niveau des coûts », a-til ajouté le ministre. Vols d'essais suspendus en février Le F35, dont les Etats-Unis sont le maître d'oeuvre, est conçu en coopération avec huit autres pays: le Royaume-Uni, les Pays-Bas, le Canada, le Danemark, la Norvège, l'Australie, la Turquie et l'Italie. Le programme est destiné à remplacer la flotte vieillissante de F-16 et de F-18 dans la deuxième moitié de la décennie. En février, l'armée américaine avait dû suspendre les vols d'essai de ses nouveaux chasseurs en raison de potentiels problèmes de moteur.
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from Newsletter navale
May 13, 2013 2:40 PM
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05/06/2013 Indian Navy in the next ten years will increase the fleet of aircraft and helicopters from 217 to more than 400 units. On this, as reported by The New Indian Express, said Assistant Chief of Staff of the Indian Navy, Rear Admiral D.M.Sudan (DM Sudan). According to the admiral of the Sudan, the Indian Navy plans to equip at least three squadrons of Russian decked MiG-29K/KUB (a total of 46 units were ordered.) These aircraft, in particular, will be used on an aircraft carrier "Vikramaditya" (formerly "Admiral Gorshkov") that India will in November 2013. India also expects delivery of 17 British trainer aircraft Hawk AJT (Advanced Jet Trainer), two of which form the training squadrons, and lots of American patrol aircraft P8I Poseidon. The first of the eight P8I, commissioned in 2009, India was granted in December 2012. Indian Navy's helicopter fleet will expand at the expense of 16 multi-machine (they will replace the outdated helicopter Sea King) and another 56 - to replace the obsolete helicopters Chetak. In January 2013 announced plans to purchase more than 120 Navy multi-role helicopter deck, worth about $ 6.5 billion. In February, a consortium of U.S. companies Lockheed Martin and Sikorsky offered to settle in India in the forthcoming production of tender family of helicopters MH-60 Black Hawk.
Via Patrick H.
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May 13, 2013 2:37 PM
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Pour le PDG de Dassault Aviation, la possible organisation d’élections générales anticipées en Inde ne constitue pas une menace pour l’avancement des négociations exclusives entre l’avionneur français et le gouvernement de New Delhi. Dans sa course de fond pour convaincre l’Inde d’acheter 126 exemplaires de son avion de combat omnirôle Rafale, Dassault Aviation entre dans une phase cruciale. Celle de l’endurance longue, comme l’appellent les marathoniens. Les négociations, même exclusives entre New Delhi et l’avionneur de Saint-Cloud, prennent depuis quelques semaines un goût plus âpre. De l’aveu d’Eric Trappier, le PDG de Dassault Aviation, les discussions sont récemment devenues plus lourdes entre Paris et New Delhi. Le nœud du problème ? L’implementation en Inde de l’assemblage du chasseur. Une vingtaine de salariés de Dassault mobilisés en Inde On le sait, le groupe aéronautique public Hindustan Aeronautics Ltd (HAL) exige l’assemblage sur le sol indien de 108 appareils sur les 126 prévus par le deal. Les indispensables transferts de technologie entre Dassault et l’industriel local sont encore en cours de négociation. Et, avec eux, la question du partage des responsabilités concernant les Rafale assemblés par HAL. Dassault Aviation n’entend pas assumer la responsabilité de ces appareils, alors que l’indien exige pour sa part des garanties. Après une entente sur le transfert de technologies, ce point constitue aujourd’hui le tropisme des discussions franco-indiennes. Pour parvenir à signer ce contrat historique, Dassault Aviation est en ordre de bataille. Vingt à trente salariés opérationnels de l’avionneur sont mobilisés en Inde, multipliant les allers et retours entre Paris et New Delhi, jouant les émissaires auprès des commissions concernées, négociant chaque détail avec HAL. En marge des festivités organisées par Dassault pour le cinquantenaire de sa famille de jets d'affaires Falcon, Eric Trappier l’a assuré, des élections générales anticipées ne changeraient pas la donne à ce stade des négociations. Côté indien, les médias et commentateurs ne cessent pourtant de rappeler que si elles sont avancées à novembre prochain au lieu du printemps 2014, les négociations avec Dassault pourraient être encore prolongées. Sans parler d'une remise en cause pure et simple de l'appel d'offres remporté par l'industriel français en cas de victoire d'une nouvelle majorité politique. Arrivé deuxième lors de la compétition MRCA pour l'équipement de l'armée de l'air indienne, le chasseur multirôle Eurofighter Typhoon du consortium BAE-EADS-Alenia reste en embuscade en cas de faux-pas de son concurrent français. La signature du contrat avec l'Inde est devenue capitale pour Dassault Aviation, qui peine à écouler son chasseur à l'export. Et même en France, les réductions successives des budgets militaires imposent une stagnation des commandes de Rafale. Dans son Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale dévoilé le 29 avril, l'exécutif évoque "225 avions de combat (air et marine)" dans son modèle d'armée, suggérant que le ministère de la Défense ne débloquera pas de crédits pour aller au-delà des 180 Rafale déjà commandés à Dassault.
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May 13, 2013 2:31 PM
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Combien coûte un missile balistique mer-sol M51, tel que celui qui s'est auto-détruit dimanche au large du Finistère après son décollage dans une zone interdite pour la circonstance à la navigation maritime et à la circulation aérienne dans le cadre d'un tir d'essai lancé ? Un essai nécessaire pour la qualification du missile sur "Le Vigilant", le sous-marin nucléaire lanceur d'engins (SNLE) qui l'a mis à feu dans la baie d'Audierne (Finistère). Plusieurs médias avancent un montant de 120 millions d'euros mais, selon une source proche du dossier, ce chiffre, qui fait couler beaucoup d'encre depuis l'annonce par la Marine nationale de l'explosion du missile dépourvu de sa charge nucléaire, n'est pas le bon. Difficile à chiffrer Il est vraisemblable que le coût unitaire d'un M51 soit plus élevé que celui annoncé par la presse. Le coût du M51 dans sa version opérationnelle pourrait se situer autour du coût d'un lanceur Ariane 5 (environ 150 millions d'euros), assure-t-on à La Tribune. En réalité, le coût d'un essai d'un missile M51, qui peut surprendre au moment où la France est contrainte à faire des économies, est difficile à établir en raison des trop nombreuses incertitudes qui pèsent sur ce programme top secret touchant intimement à la souveraineté nationale de la France. Un programme qui s'élève dans sa globalité à plus de 11 milliards d'euros, développement compris, selon le ministère de la Défense. Soit trois lots de 16 missiles M51, qui équipent les quatre SNLE tricolores auxquels il faut rajouter quelques missiles supplémentaires. Impossible d'en connaître avec certitude le nombre d'exemplaires qui seront produits au total. En outre, il faut ajouter le développement de la composante embarquée du système d'armes de dissuasion M51 (CESAD M51) avec notamment le moyen d'essai Cétacé (caisson d'essai de tir), la construction puis l'exploitation des moyens d'essais, l'approvisionnement et la mise en place de cette CESAD M51 à bord des trois premiers SNLE NG (Le Triomphant, Le Téméraire, Le Vigilant), la fourniture de la logistique initiale à terre et, enfin, l'adaptation au M51 du centre d'entraînement des forces sous-marines. Le SNLE "Le Vigilant", qui a lancé le M51 dimanche, a ainsi été immobilisé plusieurs mois pour pouvoir accueillir ce nouveau missile. Les sous-marins, à l'exception du SNLE « Le Terrible », qui a été construit directement en version M51, doivent être adaptés à ce missile, qui est d'une plus grande taille et plus lourd que le missile M45. Un programme stratégique L'enjeu stratégique du M51, lancé en 1992 et piloté par la filiale spatiale d'EADS, Astrium, a été confirmé par le nouveau Livre blanc de la Défense et de la sécurité nationale, un document publié lundi dernier qui renouvelle la doctrine de la France en matière de défense. Le président François Hollande avait demandé aux auteurs du Livre blanc de sanctuariser la dissuasion nucléaire (aéroportée et maritime). D'où la nécessité pour la France de disposer d'équipements modernes. Résultat de cette ambition, le M51, dont le permier vol est intervenu en nobembre 2006, est un bijou de technologies militaires et présente des "différences significatives par rapport à son prédécesseur", écrit Astrium sur son site internet. Il mesure 12 mètres de haut et pèse 50 tonnes sur la balance, soit 15 tonnes de plus que son prédécesseur, le M45. Il est également capable de se projeter sur un rayon de 8.000 km contre 6.000 km auparavant, et ce, à la vitesse de Mach 15, soit plus de 18.000 km/h. Enfin, le M51 peut transporter jusqu'à 10 têtes nucléaires contre 6 pour la génération précédente. Le M51 dispose d'une capacité d'emport supérieure et adaptable, d'une meilleure portée, et bénéficiera d'une plus grande aptitude à pénétrer les défenses adverses grâce à la furtivité des têtes et aux nouvelles aides à la pénétration associées. Le M51.2, une version modernisée du M51 opérationnelle à partir de 2015, emportera la tête nucléaire TNO (tête nucléaire océanique au lieu des têtes nucléaires TN75 actuelles). Son niveau de sûreté nucléaire est accru. Une enquête top secrète Pour toutes ces raisons, la Marine nationale a engagé des prospections dans la baie d'Audierne afin de récupérer les débris du missile, qui gisent par une centaine de mètres de fond. Des robots sous-marins ont même été envoyés pour sonder le fond de la baie et récupérer la moindre trace de ce missile. Le capitaine de Corvette, Lionel Delort, a admis que l'essai balistique était un "échec" et qu'une enquête allait être conduite afin d'en déterminer les raisons. La Marine nationale ou l'industriel ne communiqueront pas les conclusions de cette enquête qui sera classée secret défense. L'enquête va suivre un processus bien huilé. La direction générale de l'armement (DGA), les industriels, notamment Astrium, et la Marine vont dans un premier temps récupérer toutes les données de l'essai raté, puis les analyser. "Cela peut prendre quelques jours, voire quelques mois, on part sans a priori mais c'est sans doute un phénomène complexe à analyser", explique-t-on à La Tribune. Et cette équipe d'ingénieurs va soit éliminer, soit confirmer une à une les causes de cet échec.
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May 13, 2013 2:27 PM
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One of the oldest warhorses of the Indian Air Force, the Avro transport aircraft will soon get a fresh lease of life, enabling it to soldier on for at least another decade or so. IAF sources said the upgradation suite envisioned for the Avro includes incorporating a radar, installing an auto-pilot system and a new communication system, besides better avionics. Studies have shown that the aircraft still retains some residual technical life and their life extension is feasible. Though the initial batches of Avro aircraft, also known as HS-748, were initially procured from the United Kingdom and later these were licence-produced by Hindustan Aeronautics Limited, the upgrade will be undertaken by a private vendor, sources said. The MiG 21 is the only aircraft in IAF inventory that matches Avro in vintage. The move to upgrade these vintage aircraft comes in the backdrop of major acquisitions hanging fire. While the contract for VVIP helicopters from Italy has run into rough weather, the procurement of the 126 medium multi-role combat aircraft is still a long way from finalisation. The process to procure light utility helicopters remains grounded. The IAF also plans to replace the existing Avro fleet and is seeking 56 transport aircraft in this category at an estimated price of $ three billion. The proposed aircraft would have a payload capacity of 6-8 tonnes. The IAF began inducting Avro twin-engine turboprop aircraft in 1964. With 64 aircraft, this fleet formed the backbone of the IAF’s airlift capability till AN-12 and AN-32 were procured. At present about 30-odd aircraft still remain in service, mostly relegated to training and communication roles. Avros also formed part of the IAF’s Communication Squadron designated for VVIP transport till this role was taken over the Brazilian Embrarer-135 executive jets in 2005.
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May 13, 2013 2:23 PM
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Et si, plutôt que de les acheter, la France louait ses A400M ? Le ministère de la Défense étudierait la possibilité d’acquérir ses nouveaux avions de transport au travers d’un crédit-bail. Et si la France achetait ses A400M sous forme de leasing ? Ce serait l’une des hypothèses de travail à l’étude au ministère de la Défense, selon une information révélée par le site Intelligence online. C’est une piste qu’aurait évoqué Jean-Yves Le Drian en marge d’un déplacement au Qatar : il lui faut en effet trouver les partenaires adéquates pour soutenir un tel montage financier. Le leasing, crédit-bail en français, permet de payer un bien sur la durée. Un organisme financier (ici un groupe qatari spécialisé dans le transport aérien) achète le bien, en l’occurrence l’A400M, puis le met à disposition de l’institution en échange du paiement d’une redevance, un loyer. Au terme du contrat, une fois la totalité des mensualités payées, le ministère de la Défense peut devenir propriétaire de l’avion. Un tel montage financier a l’intérêt de régulariser la dépense. Plutôt que de consentir une grosse dépense à un moment T, le ministère de la Défense pourrait répartir sur la durée le coût des appareils. Au final, il lui en aura coûté un léger surcoût, sous forme d’intérêt. Sur la durée, ces opérations peuvent représenter une simplification comptable et fiscale qui séduit de plus en plus de sociétés. Reste l’aspect administratif, qui reste lui assez complexe : sur le papier, ce serait la société qatarie qui serait propriétaire des A400M concernés. Il faudrait donc mettre en oeuvre tous les contrats et documents nécessaires à cette exportation. A suivre …
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May 13, 2013 2:12 PM
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Sagem (Safran) vient de signer avec l’agence de défense et de technologie DSTA de Singapour un contrat portant sur le développement et la production du nouveau système de combat GFCS – Gun Fire Control System - destiné aux huit Littoral Mission Vessels commandés par la marine de la République de Singapour (1). Le système Gun Fire Control System de Sagem est un système central qui intégrera depuis le centre opérations des bâtiments plusieurs fonctions : artillerie principale et secondaire, radars, systèmes optroniques et système de navigation. Opéré depuis ses consoles multifonctions, le GFCS s’interfacera avec le système de combat principal. Son architecture ouverte permettra une intégration aisée, et sa flexibilité d’agréger ultérieurement d’autres capacités. Partenaire de longue date de la marine de Singapour, Sagem a produit les systèmes GFCS des six frégates de la classe Formidable et celui des quatre bâtiments amphibies LST de la classe Endurance. Le nouveau GFCS sera développé dans le centre R&D de Sagem à Massy. A travers ce programme, Sagem démontre sa capacité d’intégrateur de systèmes de combat, de capteurs et de systèmes d’information décentralisés pour plates-formes militaires. (1) La future classe de bâtiments de mission littorale de la marine Singapourienne comprendra huit bâtiments lance-missiles de 1200 t. Conduit sous la maitrise d’oeuvre de ST Marine, ce programme doit remplacer les actuels patrouilleurs de la classe Fearless.
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May 13, 2013 2:06 PM
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Un avion de combat des forces aériennes nigérianes, engagé dans les opérations de la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA), s’est écrasé près du village de Dargol, dans l’ouest du Niger, le 6 mai. Les deux membres de l’équipage y ont perdu la vie. Selon un communiqué de l’état-major nigérian, l’appareil, un Alphajet, n’était alors pas en mission de combat. Il faisait partie des 4 avions déployés à Niamey, au Niger, dans le cadre de la MISMA. A priori, ce serait un accident causé par une défaillance technique. “Il n’a pas été abattu”, a affirmé un responsable militaire nigérien. Mais l’Air Commodore Yusuf Anas, porte-parole des forces aériennes nigériane, se veut plus prudent. “Nous ne savons pas” si l’avion a été touché par une arme anti-aérienne, a-t-il dit. “Une enquête est en cours pour déterminer ce qu’il s’est passé. C’était un vol de routine quand quelque chose s’est passé à 60 km à l’ouest de Niamey”, a-t-il ajouté. Il s’agit de la première perte d’un avion de combat depuis le lancement des opérations militaires contre les groupes jihadistes établis au Nord-Mali, le 11 janvier dernier. Voisin du Mali, le Niger accueille sur son territoire des drones français (Harfang) et américains (Predator) et donc, des appareils engagés dans la MISMA. Les forces aériennes nigérianes sont les plus “étoffées” des pays de l’ouest africain. Elles disposent notamment d’une douzaine d’avions Chengdu F-7 Airguard de facture chinoise, de 17 Aero L-39 Albatros et, désormais, de 3 Alphajet modernisés (sur 24 livrés). Fruit d’une coopération franco-allemande, l’Alphajet, qui est à la base un avion d’entraînement, peut être armé par un canon DEFA de 30 mm et emporter 2.500 kg de munitions (roquettes, bombes, missiles) fixés sur 5 points d’ancrage.
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