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Today, 3:19 AM
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GDELS-BS has concluded a contract with the Swedish FMV for the supply of more Improved Ribbon Bridges, the company has announced.
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Today, 3:19 AM
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Embraer has sent “a high-level delegation” to Morocco to assess the country's aerospace supply chain ahead of future bilateral co-operation, the Brazilian compan
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Today, 3:18 AM
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Suite à la disparition d’un marin du groupe aéronaval (Gan), les opérations de recherche en mer de la Marine nationale ont commencé après minuit et se poursuivent ce jeudi 24 avril avec un avion de surveillance Falcon 50 et plusieurs hélicoptères embarqués à bord du Gan. Le marin faisait partie de l’équipage de la frégate de défense aérienne (DFA) « Forbin ». La date d’arrivée du porte-avions « Charles de Gaulle » à Toulon, prévue ce vendredi, pourrait être impactée par les recherches.
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Today, 3:17 AM
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Signé en marge du salon Euronaval en novembre 2024, le contrat entre Kership et le Monténégro portant sur deux patrouilleurs hauturiers OPV 60M a été officiellement lancé jeudi 24 avril à Lorient.
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Today, 3:07 AM
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Depuis le 22 et jusqu’au 30 avril 2025, l’armée de l’Air et de l’Espace (AAE) déploie une dizaine d’aéronefs depuis la France vers la Suède, la Pologne puis la Croatie, dans le cadre de la mission Pégase Grand Nord 25. Cette mission de projection stratégique a pour objectif de démontrer la capacité à déployer les moyens de l’AAE vite, loin et de façon autonome. Cette année, l’armée de l’Air et de l’Espace a pris la direction de l’Europe du Nord. Six Rafale, deux A400M, un A330 MRTT: ce triptyque de projection est en route pour affirmer la présence française, renforcer nos partenariats, contribuer à la sécurité collective. La mission Pégase Grand Nord 25 se décline en quatre phases : • Phase 1 (22 avril) : projection de puissance vers la Suède, avec interaction avec la Royal Air Force en route dans le cadre d’une opération CJEF, puis avec les forces suédoises à destination. L’escale aura lieu sur la base aérienne suédoise de Kallax (Luleå). • Phase 2 (22 au 25 avril) : renforcement de la capacité d’engagement bilatéral et multinational avec les pays scandinaves, poursuite du développement de la capacité de projection de puissance avec un soutien technico-logistique léger. • Phase 3 (25 au 29 avril) : escale en Pologne, poursuivant les objectifs de la phase 2 tout en explorant des opportunités spécifiques (MRTT, A400M). • Phase 4 : escale en Croatie, marquant l’engagement des armées françaises pour la stabilité dans les Balkans.
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Today, 3:07 AM
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Après la signature d’un contrat le 20 novembre dernier, KERSHIP a procédé, le 24 avril, sur son chantier de Lorient, au lancement de la construction du premier des deux patrouilleurs hauturiers OPV 60M destinés à la Marine monténégrine. La cérémonie s’est déroulé en présence de Dragan Krapovic, ministre de la Défense du Monténégro qui a procédé à la soudure symbolique des deux premiers blocs. Il a également dévoilé les noms des navires : PETAR I et PETAR II, en hommage au souverain du Monténégro. La construction de ces navires, dont le premier sera livré au premier semestre 2027, s’inscrit dans la continuité du développement des activités de PIRIOU et de KERSHIP à l’export et renforce son expertise dans la construction navale de défense. Tout au long du projet, une équipe de la Marine monténégrine, appuyée par la DGA, assurera le suivi de la construction, garantissant ainsi la parfaite adéquation des navires aux besoins opérationnels. L’OPV 60M, issu d’un design optimisé, permettra à la Marine monténégrine d’assurer un large éventail de missions : protection des infrastructures stratégiques, contrôle des frontières, lutte antipiraterie, opérations de sauvetage en mer, lutte antipollution et aide humanitaire. Sa propulsion diesel-électrique lui confère une grande autonomie et une capacité de projection sur l’ensemble du territoire maritime monténégrin et au-delà.
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Today, 3:05 AM
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Le programme européen d'investissement dans la défense (EDIP) a franchi une étape cruciale au Parlement européen lors d'un vote jeudi 24 avril.
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Today, 3:00 AM
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Chad has reportedly taken delivery of two Chinese-made FK-2000 air defense systems, supplied by the United Arab Emirates (UAE) as part of ongoing military support initiatives. According to local sources, the systems were purchased by the UAE from China and transferred to Chad to enhance the country’s air defense capabilities. The FK-2000, manufactured by China
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Today, 2:59 AM
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Today, 2:57 AM
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How many F-47s the Air Force thinks it needs is an open question amid a changing vision of what achieving air superiority will entail.
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Today, 2:57 AM
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Pour sortir de sa dépendance aux technologies satellitaires américaines et d'un Starlink omniprésent, l’Ukraine enchaîne les partenariats stratégiques avec le Japon, la Suède et la France afin de tisser, pas à pas, une infrastructure spatiale plus autonome.
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Today, 2:51 AM
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Total spending on the planned projects will be at least €1.45 billion (US$1.65 billion), based on the lower end of the budget range for each project.
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Today, 2:51 AM
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The U.S. Department of State approved a Foreign Military Sale request from the Republic of Ireland for FGM-148 Javelin anti-tank guided missiles and associated sight-launch modules.
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Today, 3:19 AM
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Copenhagen (AFP) April 23, 2025 - Denmark on Wednesday announced it would add 5,000 positions to its military in the next eight years, including setting up a new infantry battalion, as the defence minister highlighted the deteriorating security the country faces.
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Today, 3:18 AM
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The first domestically built AW149 armed battlefield utility helicopter made its maiden flight at the PZL-Świdnik subsidiary facility, the Leonardo subsidiar
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Today, 3:17 AM
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L’arrivée de l’appareil a été décalée de cinq mois par rapport aux prévisions. Il amène plus d’endurance (+ 26 %), de capacité d’emport de chaînes pour le sauvetage, et une boule optronique précieuse pour les missions, notamment dans la lutte contre les trafics.
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Today, 3:17 AM
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FCAS, CIFS, MAWS... La coopération européenne est friande d'acronymes, pour désigner ses nombreux programmes. Mais la caractéristique la plus remarquable, la
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Today, 3:07 AM
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C’est ce que dans le jargon otanien on appelle l’ACE, pour « Agile Combat Employment » (ou mission de déploiement agile et rapide). C’était dans ce cadre que, du 24 au 28 février 2025, deux Rafale et une quinzaine de militaires français s’étaient déployés depuis la base aérienne de Šiauliai en Lituanie pour rejoindre la base aérienne de Lulea, en Suède. Cette semaine, l’armée de l’Air et de l’Espace a lancé Pégase 25 et Jade, deux missions majeures de type ACE, visant à améliorer la préparation de ses équipages aux conflits de très haute intensité. Objectif Nord Dans le cadre de la première mission baptisée Pégase 25, l’AAE a projeté dans le nord de l’Europe un module composé de six Rafale, un avion ravitailleur MRTT et deux avions de transport A400M. L’objectif est double: entraîner les équipages et personnels au sol à se projeter loin du territoire national, tout démontrant à nos alliés la volonté française et les capacités à les soutenir en cas d’attaque venant de l’Est et du Nord. Comme le note le chercheur de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) Etienne Marcuz, « parmi les six Rafale déployés, une partie provient de la 4e escadre, c’est à dire des Forces aériennes stratégiques qui mettent en œuvre la fameuse composante aéroportée de la dissuasion nucléaire française. D’ailleurs, la communication de l’armée de l’Air et celle de l’Etat-Major des Armées utilisent d’ailleurs bien le mot dissuader ». Il faudra toutefois attendre d’autres communications pour savoir si cette mission a revêtu un caractère « nucléaire » officiel ou si cela reste sous-entendu (avec un message par conséquent moins fort). Le choix des pays visités durant cette tournée, ainsi que le choix des terrains d’aviation utilisés sont également très intéressants, puisque ce sont autant de messages adressés à nos adversaires. « Plus les terrains utilisés seront sommaires et aux confins de l’Europe, plus le caractère opérationnel sera important », note Etienne Marcuz. Cette mission Pégase 25 se décline en quatre phases, comme le précise l’AAE. La phase 1 (22 avril) a vu une projection de puissance vers la Suède, avec des interactions avec la Royal Air Force puis avec les forces suédoises qui accueillent les Français sur leur base aérienne de Kallax (Luleå). La phase 2 (du 22 au 25 avril) s’organise autour du renforcement de la capacité d’engagement multinational avec les pays scandinaves et de la poursuite du développement de la capacité de projection de puissance avec un soutien technico-logistique léger. La phase 3 (du 25 au 29 avril) prévoit une escale en Pologne; quant à la phase 4, elle verra une escale en Croatie, marquant l’engagement des armées françaises pour la stabilité dans les Balkans. Jade pour « Jaillissement d’Escadre » Le second exercice a été baptisé Jade pour « Jaillissement d’Escadre ». Il s’agit d’un type d’exercice qui était en vogue durant la Guerre Froide. Il vise à s’exercer à la dispersion des appareils d’une ou plusieurs bases aériennes vers d’autres terrains d’aviation moins exposés pour éviter les frappes de missiles et les bombardements ennemis. Pour Jade (qui a débuté le mardi 22), ce sont 27 Mirage 2000D et B opérationnels de la 3e escadre de la base aérienne de Nancy qui ont reçu l’ordre, sans préavis, de se disperser sur cinq bases aériennes différentes: Luxeuil, Avord, Orléans et les deux bases écoles de Salon de Provence et Rochefort qui n’hébergent habituellement pas de chasseurs. 200 personnels de l’AAE ont été engagés dans cette manoeuvre. Cette mission ACE démontre que l’armée de l’Air et de l’Espace s’entraîne de nouveau à des opérations militaires hostiles sur son propre territoire. « Ce type de procédure de dispersion est vital pour la crédibilité de la dissuasion française, car elle réduit la vulnérabilité de nos forces aériennes stratégiques à une frappe désarmante qui viserait à neutraliser la dissuasion au sol avant qu’elle ne puisse entrer en action », précise le chercheur de la FRS. Il faut aussi noter que ce type d’opération de « desserrement » peut être effectuée sur des aéroports civils, ce qui complique le renseignement ennemi et multiplie le nombre des cibles que l’ennemi devrait frapper pour neutraliser la flotte de combat de l’AAE. Des Mirage 2000 de la 3e escadre lors de leur envol mardi (photo AAE). La concomitance de Jade et de Pégase 25 témoigne du souci des forces aériennes françaises de prendre en compte tous les types de menaces. Même celles qui viseraient des capacités sur le territoire métropolitain. Elle confirme aussi la volonté française de disposer de forces projetables à très court préavis dans le cadre des missions de réassurance, voire dans le cadre de missions d’interdiction d’espaces aériens disputés.
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Today, 3:06 AM
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The new US facility for 155mm artillery projectiles is a reflection of a worldwide trend which has also seen Rheinmetall and BAE Systems working to improve capability in the same area.
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Today, 3:03 AM
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Entre les drones et les troupes de montagne, c’est encore une histoire à écrire. Derrière les questions de masse et d’évolutivité, les systèmes en service ne répondent que partiellement aux contraintes propres aux milieux montagne et grand froid (MGF), relevaient plusieurs militaires à l’occasion d’un sommet organisé en février dernier à Grenoble. Des problématiques communes Changeant, dangereux, incertain, rugueux… les qualificatifs ne manquent pas pour décrire l’environnement de travail de la 27e brigade d’infanterie de montagne (27e BIM). Zone frontière, d’échanges ou sanctuaire, la montagne n’en reste pas moins un lieu dans lequel le drone aura vocation à évoluer. Les Alpins y voient autant d’intérêts que leurs « camarades des plaines ». Pour aller voir « au-delà de la colline » bien sûr, mais aussi pour aller y affaiblir un adversaire par des moyens cinétiques ou non, pour relayer, ravitailler ou encore évacuer. « Aujourd’hui, nous sommes déjà capables de travailler en MGF avec les drones dont on dispose », observait un officier supérieur du 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA) au cours d’une conférence donnée en février dernier au Sommet international des troupes de montagne (SITM). La dronisation de la 27e BIM se heurte néanmoins à plusieurs problématiques, dont certaines sont partagées avec le reste de la force opérationnelle terrestre (FOT). C’est le cas, premièrement, d’une massification nécessaire pour dépasser la dizaine de systèmes actuellement confiés à chaque régiment, chaque bataillon. Bien trop peu que pour doter chaque section, voire chaque groupe d’un vecteur permettant au moins de faire de la reconnaissance et du renseignement à son niveau. « Il va falloir multiplier par 10 la flotte », estimait ce lieutenant-colonel du 7e BCA. Se pose en parallèle la question du ratio entre densité et technicité, celle-ci ne faisant qu’accroître le coût à l’unité. Autre besoin commun, la résistance au brouillage GPS ou radio adverse devra a minima être garanti sur une partie du parc. L’armée de Terre s’empare progressivement de drones FPV élémentaires et dépourvus de puce GPS mais dont le passage à l’échelle est encore à acter. Un segment relativement nouveau pris en main par le groupement commando montagne (GCM), qui planche sur des drones facilement réparables sur le terrain. Derrière l’intégration de l’intelligence artificielle, certains industriels progressent dorénavant sur le guidage par fibre optique, une solution qui se heurtera néanmoins aux obstacles propres à l’environnement montagneux, à commencer par sa verticalité. La vision thermique, enfin, est un atout précieux pour déceler la présence d’adversaires par les traces qu’ils laissent dans la neige ou par un moteur ou des freins encore chauds. Elle doit cependant se généraliser et s’aiguiser, en misant ici aussi sur l’apport de l’IA. « L’interprétation image de ce que l’on voit à travers le drone est aujourd’hui un facteur limitant, parce qu’on voit beaucoup de choses mais encore faut-il tout voir pour pouvoir tout interpréter, tout transmettre et tout exploiter ». Et d’autres spécifiques au milieu MGF Télépiloter en montagne n’a rien du sport de masse. Les facteurs limitants y sont légion. L’altitude n’en fait heureusement pas partie, comme l’a notamment montré le survol du Lhotse puis de l’Everest par un drone chinois DJI Mavic 3 Pro de quelques milliers d’euros. Les obstacles à franchir relèveront plutôt du vent, du froid et des nombreux masques naturels. Ainsi, le vent devient un défi à proximité de certains reliefs. L’effet Venturi fréquemment rencontré en zone montagneuse ne fait qu’accentuer l’exigence de drones robustes et d’une maîtrise accrue de la part télépilote. Qui dit températures extrêmes dit engourdissement des mains du téléopilote, ralentissement de l’écran à cristaux liquides de la télécommande, apparition de givre sur les pales, etc. Dans le dernier cas, « c’est retour au sol assuré si ce n’est pas pris à temps ». Le froid réduira par ailleurs les performances des batteries et diminuera donc l’autonomie en vol. Les liaisons, enfin, sont contraintes par une multitude d’obstacles qui n’est pas sans rappeler celle du combat urbain. « Dès que le drone passe derrière un masque, la liaison radio est perdue », notait l’officier du 7e BCA. Et, en cas de coupure, le retour automatique vers la télécommande s’effectue au risque de percuter une paroi si l’altitude n’est pas prise en compte par le système. Bref, « je ne m’amuse pas à faire voler des micro-drones au sommet de cols en plein hiver. Ils ne voleront pas », insistait un autre intervenant lors d’une autre conférence du SITM. Crédits image : 13e bataillon de chasseurs alpins Tout cela, la 27e BIM en a fait le constat lors de son dernier exercice annuel Cerces, organisé fin 2024. L’occasion choisie pour un challenge DRONEX qui aura vu les télépilotes de la brigade s’affronter et les micro et nano-drones en service atteindre leurs limites. Ici, pas de « naming and shaming » mais des retours d’expérience objectifs et précieux pour orienter les industriels du secteur dans la bonne direction. Des données affinées par la suite à l’occasion de l’exercice Quartz conduit en janvier dernier dans le Briançonnais par la 1ère compagnie de combat du 7e BCA. Plutôt destiné au chef de groupe, le nano-drone Black Hornet 3 est en réalité peu employable en milieu MGF. Sa petite taille renforce la discrétion, mais au prix d’une stabilité en vol et d’une autonomie bien trop faibles, le rendant au final « assez peu utile ». Le Parrot Anafi USA remplit quant à lui 70-80% du besoin « parce qu’il vole plutôt bien en conditions MGF, est assez peu sensible à l’aérologie et sa caméra thermique permet de faire du renseignement ». Ses batteries s’avèrent en revanche « très sensibles au froid ». L’exercice Quartz aura permis de refiabiliser certaines données en matière d’autonomie. D’une trentaine de minutes en plaine, celle-ci chute à 18 minutes par grand froid malgré des batteries conservées au chaud. Et elle descend à 8 à 10 minutes de vol si celles-ci sortent du sac, quand elle ne se mettent tout simplement en défaut. Bien que confié à l’artillerie et au génie, le NX70 de Novadem se révèle « le plus adapté aujourd’hui au combat MGF », relève ce lieutenant-colonel du 7e BCA. Il Autour de 30 minutes d’autonomie en vol, ce qui « est satisfaisant pour les missions que l’on cherche à faire aujourd’hui ». S’y ajoutent « de très bonnes capacités vidéo jour et nuit ». Plus costaud, il aussi moins sensible au givre, ajoutait l’intervenant. Quelles solutions pour la 27e BIM ? Les troupes de montagne ne manquent ni d’imagination, ni du dynamisme nécessaire pour pousser les expérimentations et poursuivre l’analyse fonctionnelle réalisée à l’issue de l’exercice Cerces. La bonne idée vient d’ailleurs parfois du rang. Pour gagner en autonomie, certains Géo Trouvetou en treillis proposent ainsi de détourner des boitiers d’emport de lunettes d’armement en y ajoutant un peu de mousse pour permettre l’emport du drone et de ses batteries. D’autres planchent sur un système comprenant une batterie annexe chargée de maintenir celles du drone en charge. D’autres encore parient sur la réutilisation d’une semelle chauffante de chaussure de ski pour maintenir les batteries à température. L’industrie aura un rôle central à jouer pour poursuivre la dynamique. En amenant, entre autres, des batteries plus efficaces ou des pales résistantes au givre. Deux perspectives attrayantes, mais acquises à quel prix ? L’analyse de la valeur demeurera en effet centrale pour ne pas perdre de vue l’objectif principal de la massification, un équilibre d’autant plus complexe à atteindre dans un contexte budgétaire contraint. Derrière l’amélioration de l’existant, il s’agira également d’étendre un spectre d’emploi pour l’instant centré sur les « jumelles déportées » en allant chercher d’autres charges utiles différenciantes. Demain, il faudra effectivement aller faire du renseignement électromagnétique déporté et produire des effets cinétiques ou non. De là à détourner l’usage initial des drones FPV de reconnaissance exploités par le GCM et le 27e bataillon de chasseurs alpins (27e BCA), il n’y a qu’un pas en train d’être franchi. Et les Alpins d’imaginer des « drones-relais essentiels pour envoyer le drone en combat montagne là où on en a besoin ». Ou encore de pousser ce besoin clairement identifié pour un drone mule ou de portage prometteur en matière de logistique. Nullement limité à la 27e BIM, un tel système serait bienvenu pour « porter au moins une dizaine, voire plusieurs dizaine de kg pour aller ravitailler en munitions, en vivres, etc. » un détachement en mission d’observation sur un point haut isolé, par exemple. Et, par là, éviter de s’exposer tout en préservant le potentiel humain. Certaines réflexions sont déjà engagées. Safran, entre autres, annonçait lors du SITM travailler en interne sur un projet de levage vertical à partir de deux drones de 10 kg capables de soulever jusqu’à 150 kg de matériel. « Nous avons plein d’idées qui peuvent foisonner », annonce-t-on du côté de la 27e BIM. Tout le défi consistera à en tirer partie pour concevoir ce qui serait le drone idéal tant pour les troupes de montagne que pour le reste de la FOT : un modèle à la fois robuste et flexible, car capable d’évoluer tout en pouvant être produit en masse. « Le point à atteindre, c’est que chaque chef tactique, du niveau groupe jusqu’au niveau du bataillon, ait le drone qui corresponde à son niveau d’emploi. Plus on va monter, plus on sera sur des systèmes volumineux et complexes moins enclins à évoluer facilement et rapidement. Au plus on sera sur des petits objets, ceux du chef de groupe par exemple, au plus il va falloir accepter d’acheter, d’utiliser rapidement », résumait l’officier du 7e BCA.
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Today, 2:59 AM
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Today, 2:58 AM
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We are seeing increasingly detailed imagery of Beijing's two new stealth fighter designs as other potential curious fighter-like objects have emerged out of China.
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Today, 2:57 AM
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The Air Force also confirms it is looking at teaming CCAs with platforms other than fighters, including the B-21 stealth bomber and E-7 radar plane. The Air Force also confirms it is looking at teaming CCAs with platforms other than fighters, including the B-21 stealth bomber and E-7 radar plane.
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L'exercice militaire américain African lion a débuté hier en Tunisie dans le polygone de Ben Ghilouf dans le désert tunisien
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Today, 2:51 AM
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OCCAR has announced a successful live trial of sea mine neutralisation, conducted using Saab’s remotely operated vehicle (ROV) equipped with an explosive charge.
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