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Today, 5:50 AM
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Voici les nouveaux véhicules militaires que la division Daimler Trucks de Mercedes va présenter prochainement pour séduire les clients internationaux.
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Today, 5:35 AM
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Le 20 septembre 2023, le Comité du Patrimoine mondial de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a décidé d’inscrire sur sa liste du patrimoine mondial de l’humanité 139 sites funéraires et mémoriels français, allemands, belges, américains, italiens et du Commonwealth de la Première Guerre mondiale. Ces sites sont répartis en France (96 sites dans les Hauts-de-France, en Île-de-France et dans le Grand-Est) et en Belgique (43 sites en Flandre et en Wallonie). Comment favoriser la protection et la valorisation de ces lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale, 110 ans après le déclenchement de ce conflit? Le ministère des Armées, les conseils départementaux et régionaux du Nord et de l’Est de la France, ainsi que les principaux gestionnaires de sites concernés (l’Office national des combattants et victimes de guerre pour les nécropoles nationales françaises ; le Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge, l’American Battle Monuments Commission et le Commonwealth War Graves Commission) ont décidé d’unir leurs efforts et de créer une Mission de gestion et de suivi du bien. Cette Mission vise à mutualiser les moyens des collectivités territoriales et de l’État avec ceux des structures chargées de la gestion et de la valorisation des sites. Elle associera également les communes, musées et offices de tourisme. Il s’agit désormais d’assurer la gestion commune du bien, de le faire connaître du grand public, français comme étranger, de lancer des actions pédagogiques et de développer le tourisme de mémoire sur les territoires concernés.
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Today, 5:06 AM
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Dans un rapport publié le 11 février dernier, les renseignements danois estiment qu'en cas d'arrêt des combats en Ukraine, la Russie pourrait menacer militairement
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February 14, 1:05 AM
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Oshkosh Defense, an Oshkosh Corporation company, has been awarded multiple contracts totaling $214.8 million for additional Family of Medium Tactical Vehicle A2 (FMTV A2) trucks and trailers. The contracts are issued by the U.S. Army Contracting Command – Detroit Arsenal (ACC-DTA). The latest orders include the first procurement of Low Velocity Air Drop (LVAD) vehicles,
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February 14, 1:04 AM
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Navratna Defence PSU Bharat Electronics Limited (BEL) and French defense technology firm Safran Electronics & Defense announced a strategic partnership on February 11 to establish a joint venture for the production, customization, sales, and maintenance of HAMMER (Highly Agile Modular Munition Extended Range) Smart Precision Guided Air-to-Ground Weapons in India. The Memorandum of Understanding (MoU)
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February 14, 1:01 AM
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Depuis son premier vol en 2010, la Russie a produit d'immenses efforts pour tenter de vendre le chasseur de 5ᵉ génération Su-57, sur la scène internationale,
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February 14, 12:57 AM
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Key features of the General Motors (GM) Defense Next Generation Tactical Vehicle (Next Gen) is its silent drive mode of operation, its low acoustic signature and its capability to have exportable power.
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February 14, 12:55 AM
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Le mercredi 12 février 2025 trouvera indiscutablement sa place dans la liste des jours noirs de l’Ukraine. Donald Trump, déjà en marche pour clouer Kiev au pilori, a confirmé qu’il donnerait lui-même le coup de grâce à un pays que l’on conduit sans remords vers le poteau d’exécution. Trois ans d’agression russe, trois ans de combats meurtriers pour les deux camps, trois ans de soutien américain et européen à Kiev…, ne semblent aucunement compter aux yeux de l’administration Trump. Les zélés mignons du président, dont son secrétaire à la Défense Pete Hegseth, répètent à l’envi ses saillies à l’emporte-pièce. On ne reprochera pas à Donald Trump d’avoir convaincu Vladimir Poutine de le rencontrer en Arabie saoudite pour engager « immédiatement » des négociations pour mettre fin à la guerre en Ukraine. « On finira par avoir un cessez-le-feu dans un futur pas si lointain », a assuré le président américain. Mais les renoncements stratégiques de Trump ont de quoi inquiéter. D’abord, un arrêt des combats gèlera le front sur les positions actuelles ; les éventuels échanges de territoires (113 000 km2 d’Ukraine aux mains des Russes contre 500 km2 de Russie aux mains des Ukrainiens), ne feront évoluer que très marginalement le tracé de la ligne de cessez-le-feu qui pourrait bien devenir celle de la future frontière entre la Russie et une Ukraine amputée de 18 % de son territoire. Un mortier de la 24te brigade mécanisée en action près de Chasiv Yar. (Photo 24th Mechanized Brigade of Ukrainian Armed Forces / AFP) Ensuite, Trump a aussi écarté tout projet d’intégrer l’Ukraine dans l’Otan. Une position confirmée par Hegseth. Mercredi, à Bruxelles, l’ancien chroniqueur de Fox News a redit qu’une adhésion de l’Ukraine à l’Alliance atlantique ne serait « pas réaliste ». Et de poursuivre : « Si des troupes de maintien de la paix sont déployées à un certain moment, elles devront l’être dans le cadre d’une mission qui ne soit pas de l’Otan et non couverte par l’article 5 » de l’Alliance, qui prévoit l’assistance mutuelle des membres de l’Otan, en cas d’attaque contre l’un d’entre eux. Certes les États-Unis restent engagés dans l’Alliance et en faveur du partenariat de défense avec l’Europe. Mais ils ne toléreront plus « une relation déséquilibrée » au sein de l’Otan. En outre il appartiendra aux Européens et à d’autres pays de trouver les garanties de sécurité « robustes », qui seront nécessaires au maintien d’une paix « durable » en Ukraine, a averti Pete Hegseth. Les pays européens devront à l’avenir assurer l’« écrasante » part de l’aide civile et militaire à l’Ukraine, a-t-il encore lancé. Enfin, il n’est pas question de dommages de guerre. Kiev devra faire son deuil de l’indemnisation et de la réparation intégrale sur les dommages matériels. Moscou ne sera pas mis à contribution pour reconstruire une Ukraine bombardée quotidiennement, dont les richesses sont pillées et les infrastructures matraquées par les drones et les missiles russes. Vladimir Poutine est donc déjà exonéré de toute responsabilité dans l’éclatement du conflit. Il ne manquerait plus que les sanctions contre la Russie soient levées et les avoirs saisis rendus. Éjecter Zelensky Pas d’engagement militaire US au sein d’une force d’interposition donc. En revanche, l’administration Trump entend bien peser de tout son poids sur la politique intérieure ukrainienne. Comme l’a rappelé Trump mercredi soir, « il faudra des élections à un moment ou un autre » en Ukraine. Et Trump d’ajouter perfidement que « la cote de popularité de Zelensky n’est pas particulièrement bonne ». La menace d’un lâchage américain de l’actuel régime ukrainien n’est donc pas à écarter. Trump, qui a de la suite dans les idées, concédons-le, a aussi rappelé que les États-Unis « ont donné 350 milliards » à l’Ukraine et « l’Europe n’a fourni que 100 milliards, et encore sous forme de prêts ». D’où la volonté de Trump de revoir son argent : « Il va falloir que les Ukrainiens nous donnent des garanties, avec ce qu’ils ont : des terres rares, du pétrole, du gaz et des tas d’autres choses. On veut en avoir pour notre argent ! » L’Europe écartée Et l’Europe dans tout ça ? Mercredi soir, les chefs des diplomaties française, allemande, polonaise, italienne, espagnole, britannique et ukrainienne ont affirmé que l’Europe et Kiev devaient « participer à toute négociation » sur une résolution du conflit. « Nous souhaitons échanger sur la voie à suivre avec nos alliés américains », indique leur communiqué publié à l’issue de leur réunion à Paris. Autour de Jean-Noel Barrot, six ministres des Affaires étrangères se sont rassemblés au Quai d’Orsay à Paris, le 12 février 2025. (Photo Christophe PETIT TESSON / POOL / AFP) « Abandonner l’Ukraine, forcer l’Ukraine à la capitulation, ce serait consacrer définitivement la loi du plus fort et adresser une invitation à tous les despotes et tous les tyrans de la planète à envahir leur voisin en toute impunité », a prévenu le ministre français Jean-Noël Barrot. L’avertissement du ministre français n’a guère ému Donald Trump qui fait peu de cas d’une Europe « bien plus en danger que nous. Il y a un océan entre nous. L’Europe n’a rien. Vous avez ce qu’ils ont ? Ils ont l’Ukraine au milieu ». Au milieu de quoi ? De la Russie impérialiste et de l’Europe, l’Ukraine n’étant, aux yeux du régime Trump, qu’un glacis tout juste bon à redevenir un champ de bataille et à être sacrifié.
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February 14, 12:51 AM
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India's state-run Defence Research and Development Organisation (DRDO) has developed an unmanned aerial vehicle (UAV) Launched Missile – Extended Range (ULM-ER
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February 14, 12:50 AM
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Russia's United Aircraft Corporation (UAC) and Rosoboronexport – the country's defence export agency – have proposed to offer to India the Sukhoi Su-57 multirol
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February 14, 12:46 AM
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Australian C-UAV specialist DroneShield has been registered under the AUKUS trilateral export deal, the company announced on 13 February 2025.
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February 14, 12:37 AM
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Following the type’s first UK flight in November 2023, unmanned Protector RG1s, the UK designation for MQ-9B, are now conducting regular flights from their Lincolnshire base.
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February 14, 12:36 AM
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Elistair, a designer and manufacturer of tethered drone systems, has secured a €3 million contract to provide tethered smal
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Today, 5:40 AM
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Les candidatures des plages du Débarquement, en Normandie, à l’inscription sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) ont été « déposées », a indiqué lundi le ministère de la Culture, précisant que l’institution les examinera « en juillet 2026 ». Précisément, le jeudi 16 janvier, la Région Normandie a déposé de nouveaux documents au ministère de la Culture concernant l’inscription des plages du Débarquement sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. C’est la sénatrice et conseillère régionale Catherine Morin-Desailly qui s’en est chargée. Une candidature qui remonte… Il y a près de 11 ans, en avril 2014, l’Unesco intégrait les plages du Débarquement de Normandie dans une liste indicative. Puis une candidature officielle était déposée en 2018 mais son examen par le comité du patrimoine mondial de l’Unesco prévu en 2019 avait été reporté, l’institution indiquant mener une réflexion sur « l’évaluation de sites associés à des conflits récents ». Le traitement du dossier par l’ICOMOS (Conseil international des monuments et des sites), organisation consultative auprès de l’UNESCO, se déroulera entre avril 2025 et avril 2026. La décision concernant l’inscription des Plages de Normandie reviendra au final au Comité, composé de 21 Etats-parties signataires de la Convention du patrimoine mondial. Les plages du Débarquement furent « le théâtre de l’opération Neptune déclenchée le 6 juin 1944 sur les côtes normandes (qui) conduira à la libération de l’Europe occidentale et à la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe », rappelle le ministère. Le bien proposé à l’inscription est composé d’un « vaste espace terrestre et maritime qui couvre les cinq secteurs du Débarquement définis par les Alliés en 1944 : Utah Beach, Omaha Beach, Juno Beach, Gold Beach et Sword Beach, soit plus de 80 kilomètres de côtes », indique la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) Normandie sur son site. Ce littoral est jonché de nombreux vestiges: bunkers du mur de l’Atlantique, épaves de bateaux de guerre français, anglais et allemands, pièces de collection. Devenues « lieu de rassemblement autour d’un message universel », ces plages portent « la mémoire d’un combat pour la liberté et la paix », selon le ministère.
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Today, 5:09 AM
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Le Royaume-Uni vient de dévoiler un tout nouveau système antiaérien courte portée. Dénommé Gravehawk, il a été co-financé avec le Danemark au profit de l’Ukraine. Il présente deux avantages, l’utilisation de missiles R-73, disponibles en nombre et se présente sous la forme d’un conteneur aux standards ISO, assurant une grande flexibilité pour son transport. Un R-73 tiré depuis un conteneur Le 12 février, Forces News publiait un article sur un tout nouveau système antiaérien : le Gravehawk. Celui-ci est assez spécifique car il n'est pas destiné aux Forces armées britanniques mais bel et bien ukrainiennes. Développé et produit au Royaume-Uni et co-financé avec le Danemark, ce système semi-mobile prend la forme d'un conteneur ISO standard. Le conteneur dispose d'une ouverture et, à l'intérieur, d'un double lance-missiles R-73 (AA-11 Archer). Ce missile, pensé et produit sur la fin de la guerre froide par l'Union soviétique, était au départ un missile air-air courte portée (32 kilomètres de portée, Mach 2.5). Toutefois, ce dernier est disponible en grand nombre en Ukraine et a donc vu une nouvelle optique d'emploi : une utilisation en sol-air. Le système est également équipé d'une caméra électro-optique avec une vue infrarouge, située au-dessus du conteneur. Elle permet d'envoyer les informations nécessaires pour que le capteur infrarouge du missile puisse chercher avec précision la cible dans une zone spécifique. À voir si une liaison de donnée permet de lier le système à un poste de commandement des défenses aériennes de la région ou encore à un radar, afin d'offrir une capacité de détection au-delà de la portée de la caméra du conteneur. Intérieur du système antiaérien courte portée Gravehawk, avec ses deux missiles R-73 placés sur le lanceur. Intérieur du système antiaérien courte portée Gravehawk, avec ses deux missiles R-73 placés sur le lanceur. © UK MoD D'ailleurs, cette caméra ressemble à la caméra d'un système similaire et d'origine anglaise : le "HMT ASRAAM". Ce système 100 % britannique combine le véhicule tout terrain Supact High Mobility Transporter (HMT) 6x6 avec un lanceur double de missiles air-air courte portée AIM-132 ASRAAM. Le HMT ASRAAM était soudainement apparu en Ukraine le 4 août 2023 et des vidéos ont permis de confirmer que le système était opérationnel au sein des Forces armées ukrainiennes. Enfin, le contrôle n'est pas assuré par un autre véhicule mais tout simplement une petite mallette équipée d'un écran (flux vidéo de la caméra) et d'une manette. Au total, 7,19 millions d'euros ont été nécessaires à la Taskforce Kindred pour développer le système et ce, en moins de 18 mois. Pour rappel, cette task force a pour objectif la gestion et l'envoi en Ukraine des systèmes d'armes et équipements militaires britanniques. Toutefois, il n'est pas possible de nommer les industriels engagés dans le Gravehawk, cette donnée étant classifiée. D'après le gouvernement britannique, deux prototypes du Gravehawk ont été testés en Ukraine en septembre 2024 et 15 systèmes seront livrés dans le courant de cette année fiscale. Il permettra d'intercepter des missiles de croisière, des avions, des hélicoptères ou encore des drones suicides de grande taille (type Shahed). Le conteneur sera livré avec un camion Leyland DAF porte-conteneur tout-terrain (8x8) mais pourra bien évidemment être déplacé en Ukraine par d'autres camions pouvant transporter des conteneurs aux standards ISO mais aussi être placé sur un navire ou encore un train. La gestion du système antiaérien Gravehawk est assurée depuis une petite malette comprenant le retour de la caméra et une manette de contrôle. La gestion du système antiaérien Gravehawk est assurée depuis une petite malette comprenant le retour de la caméra et une manette de contrôle. © UK MoD Système antiaérien courte portée Gravehawk (conteneur en arrière-plan) et camion Leyland DAF tout-terrain (8x8) devant le transporter. Système antiaérien courte portée Gravehawk (conteneur en arrière-plan) et camion Leyland DAF tout-terrain (8x8) devant le transporter. © UK MoD Un missile air-air en air-sol Ce n'est pas la première utilisation détournée du R-73 par l'Ukraine. Le 18 mai 2024, un système antiaérien mobile courte portée OSA (SA-8 Gecko) ukrainien était photographié avec deux missiles R-73, remplaçant ainsi les missiles conteneurisés 9M33, normalement utilisés pour ce système. Mais l'OSA n'est pas le seul système concerné car le drone de surface (USV) Magura V5 comprend aussi, depuis le 6 mai 2024, une variante équipée de deux missiles R-73. D'ailleurs, une vidéo publiée le 31 décembre 2024 a permis de confirmer cette combinaison USV-Missile, l'un de ces USV modifiés ayant réussi à abattre un hélicoptère de transport moyen Mi-8 (Hip) russe au-dessus de la mer Noire via le tir d'un R-73. L'utilisation de missiles air-air dans une optique air-sol n'est pas récente. Ce fut par exemple le cas aux États-Unis dans les années 60 où un blindé de transport de troupe M113 fut modifié avec un lanceur quadruple de missiles air-air courte portée AIM-9 Sidewinder. Dénommé MIM-72 Chaparral, le système a été produit en série, utilisé par l'US Army mais aussi vendu à l'étranger dans de nombreux pays. Plus récent, le National Advanced Surface-to-Air Missile System ou NASAMS, développé et produit par Kongsberg et Raytheon offre une capacité de tir de 6 missiles par lanceurs ainsi que trois missiles différents : le Sidewinder, l'AIM-120 AMRAAM et l'AIM-120 AMRAAM-ER. Les deux premiers sont des missiles air-air alors que le troisième a été spécialement développé au profit des NASAMS. Au final, l'avantage de ces systèmes antiaériens se retrouve dans la logistique. Alors qu'un missile a été développé pour une utilisation air-air, celui-ci, sans la moindre modification, peut aussi être utilisé dans une optique sol-air. C'est aussi une réduction des coûts de développement des systèmes antiaériens car les industriels ne doivent pas développer un intercepteur, un missile combat proven étant déjà disponible.
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February 14, 1:05 AM
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The U.S. Army’s M10 Booker is undergoing extensive testing at Yuma Proving Ground (YPG) as the service prepares for full-rate production. The highly anticipated armored infantry support vehicle is being evaluated across a range of conditions to ensure its performance, durability, and effectiveness in future combat scenarios. The U.S. Army has revealed that the M10
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February 14, 1:05 AM
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Hanwha Aerospace, a leading South Korean defense manufacturer, announced on Monday that its 2024 sales had reached a historic high of 11.24 trillion won ($7.7 billion). This achievement marks the company as the first local defense firm to surpass the 10 trillion won sales milestone, highlighting its rapid growth in both domestic and international markets.
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February 14, 1:04 AM
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Depuis plusieurs semaines, circulait à bas bruits une rumeur concernant la possible acquisition, de LRM Pinaka indiens, par l'Armée de terre française, un
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February 14, 12:58 AM
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Alors que Donald Trump et Vladimir Poutine ont convenu, mercredi en fin de journée, d’entamer « immédiatement » des pourparlers de paix, les ministres européens des Affaires étrangères ont averti que l’avenir de l’Ukraine ne pouvait être décidé sans l’Europe ou Kiev.
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February 14, 12:55 AM
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Le 6 mars 2025, à l’occasion d’un forum des métiers, la base d’aéronautique navale de Landivisiau (Finistère) va présenter les missions des professionnels qui travaillent sur le site. Marc Bourdilleau, le commandant de la Ban, fait le point sur cet événement dont la dernière édition remonte à 2022. Qu’est-ce qui change, en 2025 ? Cette année, on a décidé d’élargir les propositions. Avant, c’était vraiment le forum des métiers de l’aéronaval, et là on élargit à tous les métiers de la Marine, avec les bâtiments de surfaces, les sous-marins, tous les organismes qui participent par leur expertise aux missions de la Marine. Par exemple, les services de l’énergie opérationnelle, les services de santé, les fusiliers marins commando pour la protection. À qui ça s’adresse ? Aux jeunes de 13 à 30 ans. On commence à 13 ans, car c’est le moment où on se pose des questions sur ce qu’on veut faire. On va jusqu’à 30 ans, car c’est la borne haute de ce qu’on peut faire pour un recrutement particulier, appelé recrutement local. Pour les plus âgés, il y a un certain nombre de métiers possibles, au niveau des pompiers aéronavals, de la maintenance aéronavale et du secrétariat et soutien de direction par exemple. Quelle formation faut-il ? L’armée forme en interne, selon le type de poste. On recrute à partir de l’école des mousses, à 16 ans, jusqu’à bac +5. Il y a tous les profils, chacun peut y trouver son compte. À noter : dans les armées, on ne cherche pas des gens statiques, on a toujours besoin d’amener chacun, individuellement, à grandir. Il faut vouloir s’engager dans un métier exigeant. Et avoir conscience qu’on s’inscrit dans un système, au milieu d’autres personnes. Chaque personne sur la base, dans son métier, est importante pour que les autres puissent réaliser leur mission. La mission ici c’est assez simple : ce sont des avions qui décollent. À la Ban, il y a environ 1 700 personnes qui travaillent, dont 50 pilotes. Tous types de métier pour qu’à la fin concrètement les pilotes décollent. Pratique: L’entrée sera gratuite et réservée aux jeunes âgés de 13 à 30 ans (un seul accompagnant adulte autorisé pour un mineur ou une fratrie de mineurs venant seuls). Rendez-vous de 9 h 30 à 15 h 30. Au programme: Expositions d’avions et d’hélicoptères de la Marine nationale (avion de patrouille maritime Atlantique 2, avion de chasse embarquée Rafale Marine, avion de surveillance maritime Falcon 50, hélicoptère Caïman Marine…) Découverte des filières et des métiers Rencontres avec des pilotes, des techniciens, des contrôleurs aériens, des opérateurs aéronautiques, surfaciers, sous-mariniers, fusiliers marins… Le forum s’adresse aux jeunes de 13 à 30 ans, et aura lieu de 9 h 30 à 15 h 30. L’inscription est obligatoire via cette adresse : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/forum-des-metiers-sur-la-ban-de-landivisiau
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February 14, 12:52 AM
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Manila aims to procure submarines for the defense of the country’s archipelago in the final phase of its military modernization program.
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February 14, 12:51 AM
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India's state-owned Defence Research and Development Organisation (DRDO) and Adani Defence and Aerospace unveiled a jointly developed mobile counter-unmanne
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February 14, 12:50 AM
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Indra launched the European SMAUG RDI on 13 February 2025 to improve the detection of threats around the EU’s maritime infrastructure.
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February 14, 12:45 AM
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Deux systèmes DT46 Tactical sont arrivés cette semaine au 93e régiment d’artillerie de montagne (93e RAM), première unité de l’armée de Terre dotée de ce drone acquis l’an dernier auprès du droniste toulousain Delair. Destiné aux batteries d’acquisition et de surveillance des régiments d’artillerie, le DT46 « illustre le développement de la composante drones de l’armée de Terre », expliquait ce matin le ministère des Armées lors de son point presse hebdomadaire. Drone spécialisé de renseignement et d’observation, le DT46 viendra renforcer les capacités d’acquisition d’objectifs des BAS oeuvrant au profit d’une brigade interarmes ou d’une brigade d’artillerie. Après les premières perceptions, place aux formations pour les artilleurs de montagne de Varces. Quatre télépilotes et autant d’aides-télépilotes seront formés de fin février à début mars à l’École des drones de Chaumont (Haute-Marne), adossée au 61e régiment d’artillerie. Répartie sur trois semaines, cette formation combine une semaine de théorie suivie de deux semaines de pratique. Elle s’achèvera juste à temps pour permettre au 93e RAM de déployer son nouvel équipement lors d’un exercice conduit fin mars sur le camp de Canjuers, dans le Var. L’armée de Terre a fixé sa cible à 50 systèmes DT46. Après le 93e RAM, leur déploiement dans les forces se poursuivra avec le 11e régiment d’artillerie de marine, attendu à Chaumont à la mi-avril. Il sera suivi un mois plus tard du 3e régiment d’artillerie de marine. Un premier déploiement opérationnel interviendra en 2025, assurait la STAT le mois dernier. Symbolique d’une accélération de la captation de l’innovation au sein de l’armée de Terre, le DT46 se démarque notamment par un mode de décollage vertical (VTOL) renforçant la flexibilité opérationnelle, son rayon d’action d’une centaine de kilomètres et son intégration à la bulle aéroterrestre SCORPION via la liaison ATLAS. Crédits image : Section technique de l’armée de Terre
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February 14, 12:36 AM
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The Nimitz-class aircraft carrier USS Harry S. Truman collided with the merchant vessel Besiktas-M near Port Said, Egypt, in the Mediterranean Sea. USS
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