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December 12, 2024 1:44 AM
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Vladimir Poutine et Viktor Orbán évoquent la guerre en Ukraine lors d’un appel téléphonique

Vladimir Poutine et Viktor Orbán évoquent la guerre en Ukraine lors d’un appel téléphonique | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le président russe Vladimir Poutine a évoqué la guerre en Ukraine lors d’un appel téléphonique avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán. Ce dernier assure vouloir mener « une mission de paix ».
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Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
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USA clears possible Bell 412 sale to Zambia

USA clears possible Bell 412 sale to Zambia | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The US government has cleared the possible sale of Bell 412 utility helicopters to Zambia.
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Nammo and JUNGHANS Defence announce strategic partnership for advanced 30mm ammunition

Nammo and JUNGHANS Defence announce strategic partnership for advanced 30mm ammunition | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Nammo, a leading global provider of specialised ammunition and rocket propulsion systems, has entered into a strategic partnership with JUNGHANS Defence, a renowned expert in fuze technology.
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Pour son Premier ministre, la Suède n'est pas en guerre... mais elle n'est pas non plus en paix

Pour son Premier ministre, la Suède n'est pas en guerre... mais elle n'est pas non plus en paix | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La formule lancée par Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, lors de la sortie de son livre [« Vers la guerre ? »], en octobre, fait florès. « Nous ne sommes pas en guerre mais nous ne sommes plus en paix », avait-il dit, en mettant en garde contre le risque d’être défait sans avoir été envahi, via des manœuvres relevant de ce que l’on appelle la « guerre hybride ».

Or, le Premier ministre suédois, Ulf Kristersson, a repris l’expression utilisée par M. Lecornu, lors d’un discours prononcé à l’occasion de l’ouverture du Forum annuel de défense « Folk och » de Sälen, le 12 janvier.

« La Suède n’est pas en guerre » mais « elle n’est pas en paix non plus » car « la vraie paix requiert la liberté et l’absence de conflits graves entre les pays », a en effet déclaré M. Kristersson. « Nous et nos voisins sommes exposés à des attaques hybrides, qui ne sont pas menées avec des missiles et des soldats, mais avec des ordinateurs, de l’argent, de la désinformation et des menaces de sabotage », a-t-il continué.

« Nous vivons également à l’ère des guerres par procuration », a encore souligné M. Kristersson, en réitérant les accusations portées par la Säpo [Säkerhetspolisen] à l’endroit de l’Iran. En mai dernier, le renseignement intérieur suédois avait en effet affirmé que Téhéran stipendiait des gangs criminels pour commettre des violences et des attaques contre les intérêts israéliens en Suède.

« La Russie et la Biélorusse instrumentalisent les migrants pour déstabiliser la Finlande et la Pologne », a enchaîné le chef du gouvernement suédois [qui aurait pu aussi citer la Lituanie], avant d’évoquer les ingérences, présumées russes, dans les processus électoraux en Moldavie, en Géorgie et, dernièrement en Roumanie. « Nous prenons cela au sérieux. La démocratie est supérieure à la dictature, mais la démocratie est également vulnérable », a-t-il souligné.

Quant aux récents incidents survenus en mer Baltique, comme les ruptures de câbles sous-marins de télécommunications et de l’interconnecteur Estlink 2, M. Kristersson a fait valoir que la Suède se gardait de toute « conclusion hâtive » et qu’elle n’accusait « personne de sabotage sans de très bonnes raisons ». Du moins tant que les enquêtes sont en cours.

« Mais nous ne sommes pas naïfs non plus. La situation sécuritaire et le fait que des phénomènes étranges se produisent régulièrement en mer Baltique nous portent également à croire que des intentions hostiles ne peuvent être exclues », a-t-il déclaré, sans porter d’accusation contre tel ou tel pays. Pour rappel, un cargo chinois [le Yi Peng 3] et un pétrolier appartenant à la « flotte fantôme » russe [le « Eagle S », battant pavillon des Îles Cook] sont impliqués dans ces ruptures de câbles.

Toutefois, a-t-il poursuivi, « de toute évidence, la menace russe s’inscrit dans le long terme ». Ce qui suppose de continuer à investir pour développer les capacités des forces suédoises.

« Nous sommes entrés dans l’Otan [en mars 2024, ndlr] avec un budget de la défense supérieur à 2 % du PIB. Cette année déjà, nous en sommes à 2,4 % et, dans trois ans, nous serons à 2,6 %. […] Nous avons également décidé un investissement historique de 3,2 milliards d’euros en faveur de la protection civile jusqu’en 2030 », a rappelé le Premier ministre suédois.

Pour autant, cet effort n’est sans doute pas encore suffisant. « Je n’exclus pas le fait que la situation puisse nous obliger à prendre des mesures supplémentaires pour renforcer la défense suédois. Les pays baltes investissent environ 3 % de leur PIB [dans leur défense, ndlr]. La Finlande compte deux fois plus de conscrits que la Suède alors que sa population est deux fois moins élevés. La Pologne dépense 4 % de son PIB. L’Otan européenne doit faire davantage », a-t-il en effet estimé.

Et de conclure : « Tout est une question de priorités. Nous pouvons nous permettre de défendre notre liberté, mais nous ne pouvons pas nous permettre de la perdre ».
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Guerre hybride : L'armée allemande va créer une quatrième division, dédiée à la "sécurité intérieure"

Guerre hybride : L'armée allemande va créer une quatrième division, dédiée à la "sécurité intérieure" | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Actuellement, avec la 1. Panzerdivision, la 10. Panzerdivision et la Division Schnelle Kräfte [DSK], l’armée allemande [Heer] compte trois divisions, comprenant chacune quatre brigades et plusieurs régiments et/ou bataillons spécialisés. Fortes de 60 000 militaires au total, ces grandes unités sont susceptibles d’être sollicitées au titre des plans de défense élaborés par l’Otan.

Cela étant, au regard de sa situation géographique, l’Allemagne pourrait devenir une « zone de transit et un centre logistique majeur » dans le cas où un conflit éclaterait sur le flanc oriental de l’Alliance. Et cela suppose pour la Bundeswehr [forces fédérales allemandes, ndlr] d’être en mesure de protéger les infrastructures critiques susceptibles d’être utilisées par les troupes alliées… Et cela d’autant plus que les tentatives de sabotages tendent à se multiplier depuis le début de la guerre en Ukraine.

Par ailleurs, le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, a régulièrement appelé à se préparer à une possible confrontation armée en Europe. « Nous sortons d’une période de 30 ans de paix, dont nous avons tous profité. Aujourd’hui, nous allons dans l’autre sens. Nous devons vraiment accélérer le rythme [de notre préparation, ndlr] afin d’être prêts [en cas de guerre, ndlr] », avait-il par exemple affirmé, en évoquant la Russie, en janvier 2024.

D’où l’annonce faite le 10 janvier par la Bundeswehr. Ainsi, celle-ci entend placer sous l’autorité de la Heer une quatrième division, la « Heimatschutzdivision » [HSchDiv – Division de la sécurité intérieure], laquelle sera officiellement créée le 1er avril prochain. Elle chapeautera six « régiments de sécurité intérieure », comptant chacun 1 000 militaires, qu’ils soient d’active ou de réserve. Du moins au début car, pout étoffer ses effectifs, le ministère allemand de la Défense compte sur le Service militaire volontaire, dont la mise en place est retardée en raison du contexte politique qui prévaut outre-Rhin pour le moment.

« En cas de tension, voire en cas de crise, les forces de sécurité intérieure doivent protéger les ports, les installations ferroviaires et les points de transbordement de marchandises, ainsi que les pipelines, les routes utilisées par les troupes, les ponts, les pôles de transport et les infrastructures numériques. Elles visent également à garantir le rôle de l’Allemagne en tant que base opérationnelle et plaque tournante de l’Otan », rapporte le quotidien Bild.

En temps de paix, cette quatrième division se concentrera sur des missions relevant de la sécurité civile [intervention lors de catastrophes, appui à la population, etc.].

La création de la « Heimatschutzdivision » fait suite à celle du Commandement territorial de la Bundeswehr [Territorialen Führungskommandos der Bundeswehr ou TerrFüKdoBw], en septembre 2022.

À l’époque, il avait été expliqué que ce TerrFüKdoBw serait chargé d’assurer la « gestion opérationnelle » des unités de la Bundeswehr dans leurs missions de sécurité intérieure, de coordonner le soutien logistique aux forces de l’Otan transitant par l’Allemagne et de « relever le défi des attaques hybrides ciblées contre l’architecture de sécurité allemande ».

En quelque sorte, avec cette nouvelle division, l’Allemagne se dote d’une « Défense opérationnelle du territoire » [DOT] qui, en France, à la fin des années 1980, constituait l’un des trois piliers de l’armée de Terre, avec la 1ère Armée [et ses trois corps d’armée] et la Force d’Action Rapide [FAR].
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$20 Billion Price Tag To Complete Development Of USAF's Next Generation Fighter (Updated)

$20 Billion Price Tag To Complete Development Of USAF's Next Generation Fighter (Updated) | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Investing more in long-range strike, procuring a cheaper 'drone controller' aircraft, or a mix of F-35s and drones are alternatives.
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Laser portable et grenaille de tungstène, deux pistes pour muscler le bouclier anti-drones de l'infanterie

Laser portable et grenaille de tungstène, deux pistes pour muscler le bouclier anti-drones de l'infanterie | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La grenaille et le laser, voici deux des pistes explorées par l’armée de Terre pour renforcer l’arsenal de l’infanterie et de ses unités d’appui, notamment en matière de lutte anti-drones (LAD). Deux solutions portables aux applications multiples émergent aujourd’hui, l’une demandant un complément de développement et l’autre étant directement disponible.

Ils sont devenus « l’homme à abattre » pour l’infanterie. Les drones, munitions téléopérées et autres systèmes robotisés sont partout, voient tout ou presque et évoluent vite. Face à une telle menace, « il n’y a pas d’arme miracle, il n’y a que des effecteurs complémentaires », résumait un officier de l’armée de Terre lors des Journées nationales de l’infanterie (JNI) organisées par l’École de l’infanterie en novembre dernier à Draguignan.

Parmi les nombreux effecteurs présentés lors d’une démonstration exploratoire, au moins deux se sont démarqués par leur originalité. Aucun n’est en service dans l’armée de Terre ni dédié uniquement à la LAD, mais chacun est susceptible d’y contribuer en répondant au passage au critère central du « moindre coût financier ».
Du laser portable…

Le secret était bien gardé. Après huit ans de travaux et d’essais confidentiels, CILAS aura profité des JNI pour dévoiler un fusil laser portable, le HELMA-LP. Une sorte de petit frère du HELMA-P, ce système de catégorie supérieure éprouvé de longue date et dont trois premiers exemplaires de série ont été commandés à l’été dernier pour poursuivre l’expérimentation dans les forces. Sa sécurité d’emploi désormais maitrisée, le HELMA-P aura été l’objet d’une première mondiale à l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris : un tir d’entraînement réalisé contre un drone en amont de la grande messe sportive.

Conçu quant à lui autour d’un laser basse puissance, le HELMA-LP s’avère efficace jusqu’à 500 mètres. Inaudible et invisible à l’oeil nu, il n’émet aucune fumée et, contrairement aux munitions classiques, atteint instantanément le point visé. Des essais ont déjà été conduits avec certaines unités du Commandement des opérations spéciales sur des distances dépassant la portée théorique. En résulte une série de recommandations, notamment sur l’ergonomie. Parmi les pistes envisagées, la réduction de la masse et du volume afin pourquoi pas, de se rapprocher des dimensions d’un lance-roquette portable.
Le laser HELMA-LP en version prototype, un système également intégré sur trépied
Ce vers quoi pourrait tendre le HELMA-LP à l’avenir, une vision d’artiste conçue par l’agence PM Design

Avec un coût unitaire de quelques euros par tir, l’arme laser devient un candidat idéal pour la LAD. À l’argument financier s’ajoute celui de l’efficacité, l’une des forces de l’arme de CILAS reposant sur sa capacité à concentrer la puissance du laser en un point très précis. Face à une cible en mouvement, la manoeuvre demande néanmoins un maintien du faisceau que seul un pointage mécanique peut garantir. Pour le HELMA-LP, maintenir la visée pour générer l’effet dépendra de la distance et de la vitesse du drone tout autant que de la dextérité du porteur. Et si le système répond in fine aux attentes, cela confirmerait sa place parmi les options disponibles pour renforcer les moyens de LAD à courte portée de l’armée de Terre.

Derrière la fonction LAD, sa capacité à « appuyer avec discrétion » en ferait également « l’arme par excellence du sapeur » ainsi qu’un atout de choix pour les forces spéciales. « Son faisceau laser peut enflammer à distance du matériel, perforer des matériaux, briser des vitres blindées et même faire exploser des IED et des mines à distance, ce qui le rend particulièrement intéressant pour les groupes en appui », énumérait l’armée de Terre.

« L’arme laser est une technologie prometteuse, nul doute que les développement futurs permettront d’augmenter leur puissance et leur portée tout en réduisant leur poids et leur volume », poursuivait l’armée de Terre. L’intérêt des militaires est palpable. Pour l’industriel, ne manquent finalement que les financements nécessaires pour déboucher sur un système opérationnel. Il s’agira pour cela d’achever de convaincre des opérationnels pour qui l’usage et l’avantage tactiques de ce type d’arme restent à préciser.
…à la grenaille de tungstène

S’il faudra attendre pour apercevoir un HELMA LP dans les forces, l’autre piste est quant à elle disponible de suite. Son look rappelle quelque peu le fusil FAMAS entré en service il y a plus d’un demi-siècle, mais l’Escort BTS 12 n’a en commun que sa configuration bullpup. Conçu par l’entreprise turque Hatsan, ce fusil à pompe est commercialisé en France par le groupe Rivolier.

Son canon de 45 cm plus court que celui d’un fusil à pompe, son mode semi-automatique et son chargeur de 10 coups « permettent de réaliser des tirs de saturation contre un drone à courte portée ou de donner une puissance de feu très appréciable en fonction de la munition utilisée, notamment en combat en localité », notait l’armée de Terre lors des JNI. Des arguments qui ont su convaincre l’armée ukrainienne d’en acquérir plus de 10 000, des exemplaires « qui lui ont donné entière satisfaction ».
Le BTS-12, l’une des solutions auquel l’armée de Terre pourrait avoir recours pour renforcer la LAD courte portée de l’infanterie

Le fusil BTS 12 a néanmoins une limite : le plomb utilisé dans sa cartouche, trop « faible » face aux drones. L’équipementier spécialisé a donc mobilisé les savoir-faire de son partenaire, Jocker, pour proposer une solution plus « musclée ». Le résultat ? Une cartouche contenant 160 billes de tungstène, matière dont la densité est 50% plus élevée que celle du plomb. Prête à l’emploi, elle a notamment été testée en collaboration avec le 8e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (8e RPIMa), nous explique un représentant de Rivolier. Elle a également fait ses preuves sur le fusil à pompe Benelli Supernova en service dans les armées françaises.

Avec une telle munition, le BTS 12 devient redoutable jusqu’à une cinquantaine de mètres en LAD. Voire, davantage avec le canon de 61 cm du Benelli Supernova. Selon le magazine Fantassins, l’achat d’un fusil tel que celui proposé par Rivolier est l’un des efforts poursuivis à court terme. De quoi non seulement pour muscler la LAD du fantassin mais aussi explorer d’autres applications revenues à l’avant-plan en raison du contexte, à l’image de la reconquête de tranchée.
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Today, 12:50 AM
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Embarquez à bord du bâtiment-base de plongeurs démineurs Vulcain en escale à Caen (14)

Embarquez à bord du bâtiment-base de plongeurs démineurs Vulcain en escale à Caen (14) | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le Vulcain est le bâtiment-base des plongeurs-démineurs (BBPD) de la Manche entré en service le 11 octobre 1986. Basé à Cherbourg, son commandant est également le commandant du groupe de plongeurs-démineurs (GPD) de la Manche.

C’est une plate-forme à partir de laquelle le GPD Manche opère en pleine mer. Uniques au sein des marines de guerre, les BBPD ont été conçus dans le but de mettre en œuvre et d’assurer le soutien technique, médical et opérationnel d’un groupe de plongeurs-démineurs opérant en plongée autonome jusqu’à 80 mètres. Ce type de bâtiment permet de projeter un détachement de plongeurs démineurs n’importe où dans le monde.

Modalités pratiques :
– Visite gratuite et ouverte au grand public ;
– Présentation d’une carte d’identité obligatoire ;
– Il sera amarré au quai du nouveau bassin ;

– Horaires d’ouverture :
– Vendredi 17 janvier : 9h00-12h / 14h-17h,
– Samedi 18 janvier : 9h-12h / 14h-17h ;
– Dimanche 19 janvier : 9h-12h / 14h-17h.
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Today, 12:48 AM
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Les MSS, les futurs Naval Wingmen des frégates antiaériennes néerlandaises, arriveront dès 2026

Les MSS, les futurs Naval Wingmen des frégates antiaériennes néerlandaises, arriveront dès 2026 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les futurs navires de soutien multifonction, ou MSS, de la Marine néerlandaise, pourront embarquer jusqu'à 24 missiles surface-air Barak ER à longue portée
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Today, 12:47 AM
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La Russie lance son second brise-glace de combat

La Russie lance son second brise-glace de combat | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le Nikolay Zubov est désormais en achèvement à flot aux Chantiers de l’Amirauté, à Saint-Pétersbourg, où il avait été mis sur cale en novembre 2019. Son lancement est intervenu le 25 décembre. C’est le premier jumeau de l’Ivan Papanin, dont l’assemblage avait débuté en avril 2017 et qui a été mis à l’eau en octobre 2019. Ce bâtiment, qui a débuté ses essais au printemps 2024, devrait être mis en service cet été.  
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Today, 12:45 AM
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Refonte de l’USS Zumwalt : le super-destroyer furtif américain remis à l’eau

Refonte de l’USS Zumwalt : le super-destroyer furtif américain remis à l’eau | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Remis en octobre 2016 à la marine américaine par le chantier Bath Iron Works (BIW), dans le Maine, l’USS Zumwalt, qui n’a été officiellement livré qu’en avril 2020, n’a jamais été jusqu’ici pleinement opérationnel. Fruit d’un programme extrêmement complexe et coûteux, qui devait voir la réalisation de 32 unités de ce type (afin de remplacer les anciens destroyers de la classe Spruance) et s’est finalement arrêté au troisième exemplaire, le bâtiment fait l’objet d’une importante refonte.
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Today, 12:44 AM
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Industrie navale : que pèsent les régions françaises ?

Industrie navale : que pèsent les régions françaises ? | DEFENSE NEWS | Scoop.it
L’industrie navale française se porte bien. En 2023, la filière composée de plus de 760 entreprises a généré 15.1 milliards d’euros de chiffre d’affaires (CA), d’après les données publiées par le GICAN à l’occasion d’une rencontre à Paris, le 8 janvier. Un chiffre en progression de 12%, indique le syndicat professionnel.
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Today, 12:43 AM
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Les deux PPA de la marine italienne achetés par l’Indonésie changent de noms

Les deux PPA de la marine italienne achetés par l’Indonésie changent de noms | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les deux unités cédées sont les cinquième et sixième des sept PPA commandés en 2015 à Fincantieri pour la marine italienne, qui a mis en service entre 2022 et 2024 les quatre premiers bâtiments de la série (Paolo Thaon di Revel, Francesco Morosini, Raimondo Montecuccoli et Giovanni delle Bande Nere). Ceux allant être transférés à l’Indonésie sont les ex-Marcantonio Colonna et Ruggiero di Lauria, qui ont été respectivement renommés KRI Brawijaya et KRI Prabu Siliwangi.
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Today, 12:42 AM
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Le Japon fournira à l’Indonésie des patrouilleurs à grande vitesse

Le Japon fournira à l’Indonésie des patrouilleurs à grande vitesse | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le Premier ministre Shigeru Ishiba a annoncé lors de son déplacement en Indonésie, samedi 11 janvier, que le Japon allait fournir à Jakarta deux patrouilleurs à grande vitesse. Tokyo continue son rapprochement avec les pays d’Asie du sud-est face aux velléités chinoises dans la région.
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Today, 1:00 AM
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Thales successfully demonstrates consecutive firing of Lightweight Multi-role Missile [VIDEO]

Thales successfully demonstrates consecutive firing of Lightweight Multi-role Missile [VIDEO] | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Thales UK, in partnership with the UK Ministry of Defence (MoD), has demonstrated the advanced capabilities of its Lightweight Multi-role Missile (LMM) to an audience of international defence partners.
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Today, 12:58 AM
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Schiebel joins European SEACURE project to enhance anti-submarine and seabed warfare capabilities

Schiebel joins European SEACURE project to enhance anti-submarine and seabed warfare capabilities | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Schiebel, a leading Austrian drone manufacturer, has been awarded a significant role in the European Defence Fund’s SEACURE project.
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Today, 12:57 AM
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L'armée polonaise a égaré des mines antichars... dans un entrepôt de l'enseigne Ikea

L'armée polonaise a égaré des mines antichars... dans un entrepôt de l'enseigne Ikea | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le 7 juillet dernier, un dépôt de munitions de l’armée polonaise, situé à Mosty [ouest de la Pologne], devait prendre en compte environ 1 000 tonnes de mines antichars, transportées par chemin de fer depuis la localité de Hajnowka [est]. Seulement, tout ne s’est pas passé exactement comme prévu… car l’un des wagons n’aurait pas été entièrement déchargé une fois arrivé à destination.

Le train, exploité par l’opérateur PKP Cargo, est donc reparti de Mosty avec cinq palettes de munitions contenant 240 mines TM-62M [d’une masse d’environ 10 kg, dont 7,5 kg d’explosifs].

Seulement, redoutant, sans doute, d’être sévèrement sanctionnés, les responsables de cet impair ont tenté de mettre la poussière sous le tapis… Et, ce faisant, ils n’ont fait que repousser l’échéance.

En effet, les cinq palettes en question ont finalement été retrouvées, fortuitement, par un employé de PKP Cargo dans un entrepôt de l’enseigne Ikea, dix jours après… Ce qui a ensuite donné lieu à une enquête, laquelle a été confiée à la police militaire.

Le 9 janvier, le procureur adjoint du district pour les affaires militaires du parquet du district de Poznań, le colonel Bartosz Okoniewski, a confirmé que quatre militaires – trois du dépôt de Mosty et un de celui de Hajnówka – étaient impliqués dans cette affaire et qu’ils allaient devoir répondre de leur négligence devant un tribunal. Si, pour le moment, ils n’ont pas reconnu leur culpabilité, ils risquent une peine pouvant aller jusqu’à cinq ans d’emprisonnement.

Mais ils ne seront pas les seuls à payer les pots cassés dans cette affaire car, le même jour, le général Artur Kępczyński a été démis de ses fonctions de chef de l’Inspection du soutien des forces armées. Son limogeage a été confirmé par Władysław Kosiniak-Kamysz, le ministre polonais de la Défense, le 12 janvier. Et d’assurer que « toutes les conséquences [de cet épisode] seront « tirées ».

D’après le site d’informations Onet, prévenu de la disparition de ces 240 mines antichars, le général Kępczyński aurait cherché à étouffer l’affaire. « Les responsables de l’équipement auraient produit de faux documents. Tout était correct sur les papiers mais pas dans les faits », résume-t-il.
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Grâce à Strava, il serait possible d'anticiper les départs des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins de l'Île-Longue

Grâce à Strava, il serait possible d'anticiper les départs des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins de l'Île-Longue | DEFENSE NEWS | Scoop.it


En 2018, alors que la Délégation à l’information et la communication de la Défense [DICoD] avait publié un guide sur l’utilisation des réseaux sociaux à l’intention des militaires, auxquels il était d’ailleurs demandé de désactiver la fonction « géolocalisation » de leurs téléphones portables au titre de la sécurité opérationnelle [SECOPS], le ministère des Armées dut faire une piqûre de rappel après que des informations potentiellement sensibles furent révélées par l’intermédiaire de l’application Strava.

Développée par l’entreprise californienne Strava Labs et utilisant la fonctionnalité GPS des téléphones mobiles et des montres connectées, cette dernière permet de suivre à la trace les activités sportives de ses abonnés. Se présentant comme étant le « réseau social des sportifs », ce service permet aux utilisateurs de se suivre mutuellement, d’évaluer leurs performances respectives et de se lancer des défis.

Or, il y a maintenant sept ans, il fut constaté que l’on pouvait assez facilement localiser et suivre les militaires français abonnés à cette application, via la carte « Global Heat Map », publiée par Strava Labs. Évidemment, cela ne pouvait que soulever des problèmes en termes de sécurité, voire de confidentialité, certains endroits [ou zones de déploiement] n’ayant pas vocation à être connus du public.

« Les données que Strava collecte sont un cauchemar sécuritaire pour les gouvernements du monde entier. Les données collectées pourraient permettre à toute personne ayant accès à cette carte de créer un modèle de carte de vie pour les utilisateurs individuels, dont certains peuvent être très intéressants », avait résumé The Daily Beast, à l’époque.

Pour autant, malgré les mises en garde et les rappels à l’ordre, l’utilisation de Strava par les militaires demeure problématique.

Ainsi, selon une enquête publiée par le quotidien Le Monde, ce 13 décembre, il serait possible d’anticiper les départs des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins [SNLE] de la base de l’Île-Longue où, pourtant, toutes les précautions sont prises pour éviter toute fuite préjudiciable. Ainsi, dans la plupart des endroits de ce haut-lieu dela dissuasion nucléaire, les téléphones portables sont proscrits… Mais pas, apparemment, les montres connectées, qui stockent les données avant de les transmettre en bloc à un smartphone dès que cela est possible.

En outre, certains marins abonnés à Strava n’utilisent pas de pseudonymes et disposent d’un profil public.

Résultat : quand plusieurs sous-mariniers – identifiés comme tels – effectuent quotidiennement une séance de sport le long des quais où sont amarrés les SNLE et qu’ils arrêtent brusquement ce type d’activité, on peut éventuellement en déduire qu’ils sont partis en mission. Et qu’ils en sont revenus dès qu’ils communiquent leurs données à Strava.

Or, c’est là que le bât blesse : théoriquement, en suivant leur activité sportive, notamment le long des quais, il est possible d’anticiper le départ en mission d’un SNLE… alors que, justement, tout est fait pour le maintenir confidentiel, le goulet de Brest [lieu de passage obligé des « bateaux noirs », ndlr] étant même sous une surveillance étroite afin d’empêcher les curieux d’en savoir plus qu’ils n’ont à en connaître. Reste qu’une telle information est susceptible d’intéresser une puissance étrangère, laquelle pourrait chercher à « pister » le sous-marin après sa dilution ou à obtenir des renseignements à son sujet.

Quand un SNLE part en patrouille, « il faut s’assurer que l’espace sous-marin et en particulier les fonds marins sont exempts de tout capteur acoustique étranger. En effet, la présence d’un dispositif d’écoute, disposé sur le fond et exploité par un compétiteur, pourrait mettre en péril la discrétion de nos SNLE, par la captation de leur empreinte acoustique, élément essentiel pour une identification ultérieure, et affecter in fine la posture de dissuasion », avait en effet expliqué le capitaine de vaisseau Jean-Christophe Turret dans la Revue Défense nationale, rappelle Le Monde.

Quoi qu’il en soit, s’il reconnaît des « négligences » parmi ses marins [les sous-mariniers ne sont pas les seuls en cause, ndlr], la Marine nationale estime que la sécurité des activités opérationnelles de la base de l’Île-Longue n’est pas fondamentalement remise en cause. L’une des sources du journal parle d’une « situation problématique » mais pas d’un « risque majeur ».
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IAF Seeks Kamikaze Drone System to Counter Swarm Drone Threats

IAF Seeks Kamikaze Drone System to Counter Swarm Drone Threats | DEFENSE NEWS | Scoop.it
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Le Pentagone veut compenser au Bénin la perte de ses capacités au Niger et au Tchad

Le Pentagone veut compenser au Bénin la perte de ses capacités au Niger et au Tchad | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Trois développements récents illustrent la place croissante du Bénin dans le dispositif militaire US en Afrique. Un dispositif pénalisé par le départ forcé du Niger et, dans une moindre mesure, du Tchad (qu’ont quitté les forces spéciales US).

Premier développement, la pression djihadistes qui s’amplifie. Le 8 janvier, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, JNIM en arabe), affilié à al-Qaïda, a lancé une attaque qui a tué au moins 28 soldats béninois dans le nord du pays, à la frontière avec le Niger et le Burkina Faso. Les premières attaques terroristes datent de 2019 avec le rapt de deux touristes français et leur libération en compagnie de deux autres otages étrangers (au prix de la vie de deux commandos marine français). En 2003, 150 incidents violents ont été recensés, comme le précise une étude du CRS américains de mars 2024.

Ensuite, preuve que la situation sécuritaire dégradée du Bénin inquiète Washington, une délégation politico-militaire américaine s’est rendue à Cotonou au tout début de janvier 2025. Cette délégation rassemblait Amanda Dory, Acting Under Secretary of Defense for Policy, Maureen Farrell, Deputy Assistant Secretary of Defense for African Affairs, et le major-général Kenneth Ekman, de l’US Air Force, qui est détaché à l’Elément de coordination de l’Africa Command (AFRICOM). Objectif de cette visite: renforcer la coopération en matière de sécurité, de lutte anti-piraterie et de lutte anti-terroriste. Sur cette visite, qui s’est prolongée en Côte d’Ivoire, lire le communiqué de l’AFRICOM.

Enfin, l’accident d’hélicoptère US de la semaine dernière (voir mon post) confirme une présence sécuritaire américaine avec des contractors chargés de missions aériennes. Cet accident a impliqué un S-62N de CHI Aviation, l’un des prestataires de services du Pentagone en Afrique.

Le déploiement militaire US au Bénin reste discret et limité, Washington tablant aussi sur des pays comme le Nigeria, le Ghana, la Côte d’Ivoire.

Au Bénin, la partie la plus visibles concerne les programmes de formation et d’échange avec la Garde nationale du Dakota du Nord qui a, par exemple, animé des stages de formation à la lutte contre les IED en juillet 2024. Outre la formation, les Etats-Unis renforcent aussi les moyens matériels des Forces armées béninoises (FAB); en novembre dernier, 12 MRAP de type Puma M36 ont été livrés aux FAB. On notera aussi la modernisation d’infrastructures aéroportuaires (révélée par l’AFRICOM) pour qu’elles puissent accueillir des aéronefs américains dont des drones, ainsi que les avions et hélicoptères civils mis en oeuvre par des contractors.
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De nouveau des drones inconnus en maraude au-dessus de l'Allemagne

L’Office bavarois de la police criminelle, sous la direction de l’Office de lutte contre l’extrémisme et le terrorisme (ZET) du parquet général de Munich, enquête sur le survol, dimanche 12 janvier, par une dizaine de drones du site de fabrication des avions Eurofighter.

Ce site est situé à Manching, au nord de Munich, dans le sud de l’Allemagne. Un autre site de production situé à Neubourg-sur-le-Danube, à quelques kilomètres plus à l’ouest, a aussi été survolé par des drones non identifiés.

Voir le communiqué officiel ici. Il précise que, « étant donné que, dans le contexte de la guerre d’agression de la Russie contre l’Ukraine, il ne peut être exclu que des installations militaires et des partenaires ou entreprises en matière d’armement soient espionnées. Des recherches approfondies ont été menées pour identifier les pilotes des drones ». Mais « malgré des recherches intensives, notamment par un hélicoptère de la police, le ou les responsables n’ont pu être identifiés ».

Dimanche soir, la police locale « a été informée d’un vol de drones au-dessus de la zone de sécurité militaire de Manching », selon le communiqué conjoint de la police criminelle et du parquet. « Les policiers déployés ont pu détecter jusqu’à dix drones survolant la zone », précisent les autorités allemandes ».

Des survol en séries
Il s’agit là du dernier épisode en date d’une série de survols non élucidés dans le pays. Ainsi le 16 décembre, par deux fois, puis le 18 et le 25, des drones ont été repérés par les militaires ou des témoins au-dessus de la zone militaire de Manching « pour laquelle prévaut une zone d’exclusion aérienne ». Plusieurs drones ont également été observés à Neubourg le 19 décembre.

Depuis cet été, des survols de drones non identifiés ont été constatés dans une zone industrielle allemande proche de la mer du Nord et au-dessus d’équipements industriels sensibles en Allemagne ainsi que de la base aérienne américaine de Ramstein

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Oshkosh Next-Gen Autonomous Technology for ROGUE-Fires

Oshkosh Next-Gen Autonomous Technology for ROGUE-Fires | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Oshkosh Defense was awarded a $29.9 million contract modification to integrate next-gen autonomous technology into ROGUE-Fires.
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La marine américaine nomme ses futurs navires de surveillance sous-marine

La marine américaine nomme ses futurs navires de surveillance sous-marine | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les deux premiers de ces futurs bâtiments, qui formeront la classe Explorer, seront nommés USNS Don Walsh (T-AGOS 25) et USNS Victor Vescovo (T-AGOS 26), a annoncé le secrétaire américain à la Marine, Carlos Del Toro. Ces plateformes d’environ 110 mètres de long et 8500 tonnes de déplacement à pleine charge adopteront un design de coque catamaran de type SWATH (Small Waterplane Area Twin Hull) pour améliorer la stabilité et permettre le remorquage de sonars à vitesse élevée et forte houle.
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Le Japon va fournir des patrouilleurs à l’Indonésie

Le Japon va fournir des patrouilleurs à l’Indonésie | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Il s’agit a priori d’un don, qui s’inscrit dans le cadre d’un programme d’assistance en matière de défense entre les deux pays. Lors d’une conférence de presse à l’issue de leurs échanges, Shigeru Ishiba (qui a pris ses fonctions en octobre dernier) et le président indonésien, Prabowo Subianto, ont réaffirmé « l’importance de maintenir et renforcer un ordre international fondé sur des règles et l’ouverture ».
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L'OTAN déploie un groupe de 10 bâtiments pour protéger les câbles en Baltique

L'OTAN déploie un groupe de 10 bâtiments pour protéger les câbles en Baltique | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Pas moins de 10 câbles sous-marins, de communication et de puissance, ont été coupés en mer Baltique depuis 2023, le dernier en décembre dernier, avec la détention du pétrolier Eagle S soupçonné à la fois d'en être à l'origine et de faire partie de la flotte fantôme russe.
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La Suède va envoyer des navires de guerre pour surveiller les câbles sous-marins en mer Baltique

La Suède va envoyer des navires de guerre pour surveiller les câbles sous-marins en mer Baltique | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La Suède mettra à disposition jusqu’à trois navires de guerre et un avion pour surveiller les infrastructures essentielles en mer Baltique et la flotte fantôme de la Russie, à la suite des récentes ruptures de câbles sous-marins, a annoncé le Premier ministre dimanche 12 janvier.
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