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Today, 4:38 AM
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C’est un beau lieu qui, sur deux étages et 300 m², permet de faire vivre l’histoire de l’aéronautique navale française à Hyères, où la Marine nationale fêtera en 2025 le centenaire de la création de cette base située près de Toulon. Officiellement inauguré le vendredi 6 décembre, l’ETAN a plusieurs missions, explique-t-on à Mer et Marine à la base d’aéronautique navale (BAN) varoise.
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Today, 2:33 AM
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Kongsberg Defence Australia has test-fired for the first time a Naval Strike Missile (NSM) blast test vehicle (BTV) from an Australian-built NSM launcher.
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Today, 2:32 AM
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Dans la nuit de mardi 10 à mercredi 11 décembre, l’Ukraine a frappé la ville de Taganrog, en Russie, sur la mer d’Azov. Une zone du port aurait été touchée.
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Today, 2:28 AM
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Avec 6 destroyers Type 45, la Royal Navy surclasse, aujourd'hui, toutes les marines européennes dans le domaine de la défense antiaérienne et antibalistique,
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Today, 2:22 AM
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Le ministère des Armées et des Anciens combattants a lancé en 2024 la première édition du prix de la création musicale. Ce dernier vise à récompenser l’écriture d’une partition de musique originale destinée à être interprétée en accompagnement d’un cérémonial militaire. La direction de la mémoire, de la culture et des archives (DMCA), chargée de l’organisation de ce prix, a réceptionné vingt dossiers à l’issue de la campagne de candidatures qui s’est déroulée de juillet à fin septembre. Le jury, composé de représentants des armées, de représentants de formations musicales militaires et d’experts musicaux extérieurs au ministère, s’est réuni le 13 novembre 2024 pour sélectionner les compositions lauréates et proposer l’attribution des trois mentions. Trois lauréats sont récompensés cette année pour la qualité et l’originalité de l’œuvre qu’ils ont présentée: – le grand prix (7000 euros) est décerné à Thierry DELERUYELLE pour sa composition « Héros de la liberté » , – le prix du jury (5000 euros) est décerné à Vincent PAGES pour sa composition « La marche des libérateurs » , – la mention spéciale du jury (2000 euros) est décernée à Alexandre KOSMICKI pour sa composition « Marche du bataillon de marins-pompiers de Marseille ». Une cérémonie de remise des prix sera organisée début 2025.
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Today, 2:22 AM
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The demand for missiles reflects current strategic interests, such as those in the Indo-Pacific region and conflict in Europe, along with an expectation of local involvement in manufacture which also supports a drive to build capacity.
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Today, 2:21 AM
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Branded Content: Advanced radar, electronic warfare, and passive targeting upgrades keep fourth-generation aircraft relevant for decades to come.
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Today, 2:19 AM
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The recent naval operations in the Red Sea highlighted the need for sensors capable to detect and engage challenging threats
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Today, 2:14 AM
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Depuis maintenant plus de trente ans, les motifs des treillis portés par les soldats de l’armée de Terre n’ont pas évolué. Si ce n’est leurs couleurs dominantes, celles-ci étant différentes selon l’environnement [centre-Europe et désert] des différents théâtres d’opérations. Mais cela va changer dans les années à venir. En effet, en mai 2022, à l’issue d’une réflexion qu’elle avait engagée six ans plus tôt en relation avec le Service du commissariat des armées [SCA] et la Direction générale de l’armement [DGA], la Section technique de l’armée de Terre [STAT] présenta le treillis F3 « multi-environnement », dont la particularité était de s’adapter à tous les milieux [forêt, désert, montage, urbain, etc.] grâce à un « bariolage passif » à même de « tromper l’œil » de l’adversaire. Les six couleurs retenues, toutes conformes à la norme « NORMDEF 00001 » et « issues de l’étude de diverses régions du monde » permettent de se « confondre dans tous les environnements. L’effet disruptif de certaines [d’entre elles] amplifie la dissimulation à moyenne distance en trompant l’œil de l’ennemi », avait expliqué la STAT. Et d’ajouter : « Pour maintenir sa performance en multi-distances, les taches sont constituées d’un enchevêtrement de formes brisées complexes de grande taille, atténuées par des effets de dégradé et d’autres petites taches franches ». D’après les essais réalisés à l’époque, ce treillis « bariolage multi-environnement » [BME] augmenterait de 25 % le temps nécessaire pour repérer un combattant qui en est vêtu. Ce qui, évidemment, constitue un avantage déterminant, si ce n’est décisif, au combat. Le coût pour équiper l’ensemble des militaires de l’armée de Terre avec ce nouveau treillis BME avait alors été estimé à 200 millions d’euros. Fin 2022, le SCA fit savoir qu’il allait signer un premier bon de commande pour se procurer suffisamment de tissus pour confectionner au moins 300 000 nouvelles tenues. Depuis, ce programme n’a plus fait parler de lui. Ce qui a d’ailleurs inquiété quelques députés, une question écrite ayant récemment été adressée au ministère des Armées pour lui demander où en était ce dossier. Cela étant, il n’y avait aucune inquiétude à avoir. En effet, ce 12 décembre, le ministère des Armées a fait savoir que le 5e Régiment de Dragons venait de percevoir les premiers treillis F3 BME. « Les nouvelles tenues de combat dotées d’un camouflage repensé ont commencé à être distribuées au sein de l’armée de Terre. […] Le 5e Régiment de Dragons, de Mailly-le-Camp, en est le premier bénéficiaire. Il a d’ores et déjà perçu ses dotations grâce à l’action du Service du commissariat des armées », a en effet annoncé Olivia Pénichou, la porte-parole du ministère, lors de son point presse hebdomadaire. Si ces nouveaux treillis ont pu se faire attendre, leur livraison sera très rapide étant donné que toutes les brigades de l’armée de Terre en seront dotées d’ici décembre 2025. La 7e Brigade blindée devrait avoir sa dotation complète au printemps prochain, en vue de son déploiement en Roumanie.
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Today, 2:13 AM
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Le Sukhoï Su-57, connu sous le nom de code OTAN “Felon”, est un avion de chasse de cinquième génération conçu par la Russie. Destiné à remplacer les Su-27 et à rivaliser avec des modèles occidentaux tels que le F-22 Raptor, le F-35 Lightning II ou encore le J-20 chinois, le Su-57 combine des caractéristiques d
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Today, 2:10 AM
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Dans le cadre des simplifications normatives souhaitées par le ministre des Armées Sébastien Lecornu, le drone Aarok de Turgis Gaillard se retrouve au cœur d'une étude basée sur le concept « de drone certifiable non certifié »
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Today, 2:05 AM
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L’OTAN a annoncé mercredi 11 décembre que son Accélérateur d’innovation, fonds d’investissement dans les hautes technologies de défense, avait sélectionné plus de 70 entreprises pour 2025.
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Today, 2:03 AM
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John Cockerill Defense has successfully tested its C3105 turret, which is fully adapted to the Leopard 1 tank chassis. The announcement came via the Managing Director of Midkiff Consultancy Services Bear Midkiff, who shared the results on his social media platform. “I am happy to report the successful completion of an outstanding live demonstration of
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Today, 2:33 AM
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A Former UK Defence Attaché to Moscow has said that Russia is gaining momentum in electronic warfare (EW) capabilities and the UK needs to “invest accordingly” i
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Today, 2:32 AM
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Japan's Ministry of Defense (MoD) has selected the Beechcraft T-6 Texan II turboprop aircraft as the Japan Air Self-Defense Force's (JASDF's) next-generatio
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Today, 2:28 AM
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Les négociations autour du nouvel accord d’entreprise chez Naval group patinent depuis près d’un an. La CGT a mobilisé deux cents salariés, jeudi 12 décembre, sur le site de Brest.
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Today, 2:23 AM
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Ce week-end, lors d’une cérémonie aux Invalides, la croix de la Valeur militaire avec palme sera collectivement décernée au 1er régiment de hussards parachutistes (RHP) de Tarbes pour son action au Sahel en 2018 et 2020. C’est le général Langlade de Montgros, ancien chef de corps du 1er RHP de 2010 à 2012 et actuellement patron de la DRM, qui remettra cette décoration. A cette unité de la 11e BP a déjà été attribuée la Croix de la valeur militaire avec palme de bronze, le 21 mai 2012. Puis, en 2013, à l’occasion de la Saint-Michel, le 1er RHP a reçu la fourragère qui décore son étendard aux couleurs de la valeur militaire. Cinq and plus tard, le 22 décembre 2018, l’étendard du 1er RHP a été décoré d’une nouvelle croix de la Valeur Militaire avec étoile d’argent et citation à l’ordre de la division. Au total, la Croix de la Valeur militaire du régiment comportera trois palmes et deux étoiles. Cette remise de décoration s’inscrit dans un mouvement plus large qui a déjà vu plusieurs unités de l’armée de Terre recevoir cette VM dans le cadre de leurs engagements au Sahel. Récemment, en cette année 2024, ont ainsi été décoré les régiments suivants: le 18 octobre, le régiment médical pour son engagement au Sahel de 2013 à 2022 le 11 novembre, le 152e RI au titre des opérations du régiment au Sahel le 23 novembre, le 40e RA pour son courage et son excellence opérationnelle dans l’opération Barkhane le 25 novembre, le 1er RHC, pour les opérations Serval et Barkhane le 28 novembre, la croix de la valeur militaire avec palme à l’étendard du 1er régiment d’hélicoptères de combat le 30 novembre, le 1er Spahis pour l’engagement du régiment dans l’opération Barkhane le 6 décembre, le 93e RAM pour l’engagement du régiment au Sahel de 2014 à 2022 le 9 décembre, le 35e RAP pour son engagement de 2016 à 2022 dans le cadre de l’opération Barkhane au Sahel le 10 décembre, le 1er RA pour son engagement continu au Sahel de 2013 à 2022 A noter que la croix de la Valeur militaire (instituée en octobre 1956) est attribuée, depuis le 11 novembre 2011, aux unités et écoles militaires pour leurs actions en opérations extérieures.
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Today, 2:22 AM
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Sur l’ex- base aérienne de Dijon-Longvic, dans les locaux de l’ancien escadron de chasse ½ Cigognes, Babcock France va développer une académie pour la formation et l’entrainement des pilotes de chasse étrangers : formation de futurs pilotes de chasse, formation de pilotes de L-39 à la fonction d’instructeur, réentraînement de pilotes de chasse déjà brevetés et entraînement de pilotes et de contrôleurs avancés (JTAC) aux missions de CAS (Close Air Support) ou appui aérien. Les syllabus, conçus par d’anciens pilotes de chasse de l’Armée de l’Air et de l’Espace, combineront une série de formations spécifiquement adaptées aux besoins des forces aériennes étrangères et conformes aux procédures opérationnelles standards de l’OTAN. Babcock France fournira ainsi des formations avancées sur L-39, permettant des scénarios de combat réalistes. A cette fin, Babcock France a finalisé l’achat des 11 avions L-39 Albatros de la société Apache Aviation. Cette acquisition renforce ses capacités, pour soutenir la formation et l’entraînement des pilotes des forces aériennes. Les 11 avions L-39, nouvellement acquis par Babcock France, ont volé auparavant sous les couleurs de Breitling Jet Team, la seule patrouille acrobatique civile sur avion à réaction dans le monde. Appel d’offres français Parallèlement, précise la société, « avec cette nouvelle capacité opérationnelle, Babcock France ambitionne de soutenir les escadrons de chasse, les navires militaires ou les unités de l’armée de terre, français et européens par des missions aériennes aux profit de leurs pilotes de chasse, opérateurs radars ou commandos au sol dans le cadre de leur entraînement opérationnel ». Evidemment, Babcock France s’inscrit dans le projet d’externalisation de la fonction ADAIR par l’armée de l’Air et de l’Espace. Voir mes nombreux posts sur cet appel d’offre dont celui consacré au projet de Top Aces et au marché français. Je rappelle que l’AAE veut externaliser à un prestataire privé la simulation d’une force d’opposition aérienne dans le cadre d’un marché qui porterait annuellement sur 3 000 heures de vol, pour une durée d’au moins six ans. En octobre 2023 le général Mille, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace, avait mis en avant le parc restreint de Mirage et de Rafale et expliqué: « Nous préférons nous concentrer sur le coeur de la mission ». D’où ce recours aux moyens d’opérateurs privés.
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Today, 2:21 AM
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All Ukrainian units operating Soviet-era Osa air defense systems have reportedly received upgraded versions armed with R-73 air-to-air missiles. All Ukrainian units operating Soviet-era Osa air defense systems have reportedly received upgraded versions armed with R-73 air-to-air missiles.
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Today, 2:19 AM
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The LCS is notorious for lacking firepower and the modular launcher could help with correcting that, but there are tradeoffs in doing so.
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Today, 2:15 AM
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Encore récemment, il y avait au moins deux filières possibles pour devenir officier de la réserve opérationnelle de l’armée de Terre par recrutement direct. Ainsi, celle dite « commandement » concernait les volontaires ayant un niveau scolaire équivalent à Bac + 2. Ces derniers devaient effectuer une Préparation militaire supérieure [PMS], avant de rejoindre le 4e Bataillon de l’École spéciale militaire [ESM] de Saint-Cyr Coëtquidan pour suivre une formation militaire initiale [FIOR D1] pendant 19 jours. Puis, ils terminaient leur cursus par un stage « chef de section PROTERRE, d’une durée de deux semaines. La filière « état-major » s’adressait aux volontaires justifiant un niveau Bac + 5. Après avoir été sélectionnés, ils devaient passer 14 jours au sein du 4e Bataillon pour leur formation militaire initiale d’officier de réserve [FIOR D2], sanctionnée par un stage initial de technique d’état-major [SITEM] à l’École supérieure des officiers de réserve spécialistes d’état-major [ESORSEM] En 2021, le 4e Bataillon s’est fondu au sein de l’École militaire des aspirants de Coëtquidan [EMAC] qui, actuellement, forme environ 200 élèves-officiers de réserve [EOR] chaque année. Seulement, la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 ayant fixé l’objectif d’arriver à un ration d’un réserviste pour deux militaires d’active, l’armée de Terre doit revoir le cursus de ses EOR. D’où la refonte de leur formation afin de la rendre plus « flexible » et plus « exigeante ». L’objectif est de « répondre aux besoins opérationnels tout en s’adaptant à la disponibilité des réservistes », explique ainsi la Direction des ressources humaines de l’armée de Terre [DRHAT]. Ainsi, précise-t-elle, la « formation des officiers [de réserve] repose désormais davantage sur une logique d’adéquation entre les parcours, la fonction et le grade avec un système garantissant une meilleure reconnaissance mutuelle pour renforcer la fidélisation des réservistes ». Ce qui passera par une « réduction de la durée de formation », une « augmentation de l’enseignement à distance pour les modules théoriques » et des « mises en situation pratiques systématiques ». « Ces ajustements visent à offrir des formations exigeantes mais adaptées à la réalité opérationnelle et aux disponibilités des réservistes », soutient la DRHAT. Pour devenir chef de section, les EOR de la filière « commandement » [encore appelée « corps des officiers des armes », ou COA] suivront un module d’enseignement à distance pendant une semaine. Puis ils enchaîneront avec deux modules pratiques [12 et 7 jours] à l’EMAC. Enfin, ils termineront leur cursus par une « période de 7 jours en binôme avec un chef de section d’active ». Une formation de moniteur en instruction sur le tir de combat [ISTC] sera aussi à leur programme. Quant aux futurs officiers réservistes du corps technique et administratif [CTA, filière « état-major »], leur formation comprendra deux modules de 12 jours chacun, l’un à EMAC, pour les fondamentaux militaires, l’autre à l’ESORSEM. Enfin, une troisième filière, dite « spécialiste », est une voie pour devenir officier de réserve de l’armée de Terre. À la différence des deux autres, elle n’exige pas de formation initiale spécifique. Elle est « ouverte à toutes les personnes disposant d’une qualification issue du milieu civil dans les spécialités dont l’emploi trouve une utilité au sein des unités » et « le grade d’un réserviste spécialiste est lié à son niveau d’expertise et de responsabilité », explique la DRHAT.
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Today, 2:13 AM
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Quand elle abritait les escadrons 1/2 Cigognes, 2/2 Côte d’Or et 3/2 Alsace, la base aérienne [BA] 102 de Dijon-Longvic était sans doute la plus connue de l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE], notamment après avoir été popularisée par les aventures de Tanguy et Laverdure. Seulement, lors de la restructuration du ministère des Armées, décidée au tournant des années 2010, elle perdit sa vocation aéronautique… Et, logiquement, elle dut fermer ses portes en 2016. Depuis, elle accueille une école de la Gendarmerie nationale. Pour autant, l’ex-BA 102 va renouer avec l’aviation de combat. En effet, ce 12 décembre, l’Entreprises de Services de Sécurité et de Défense [ESSD] Babcock France a annoncé qu’elle s’installerait dans les locaux autrefois occupés par le Groupe de chasse 1/2 Cigognes dans le cadre de la création d’une « académie pour la formation et l’entraînement des pilotes de chasse étrangers ». Pour cela, elle a fait l’acquisition de onze avions L-39 « Albatros » auprès de la société Apache. En outre, Babcock France entend également former des pilotes de L-39 à la « fonction d’instructeur » et réentraîner des pilotes de chasse déjà brevetés. Elle souhaite fournir des prestations pour l’entraînement des contrôleurs aériens avancés [JTAC] aux missions d’appui aérien rapproché [CAS, Close Air Support]. « Les syllabus [programme], conçus par d’anciens pilotes de chasse de l’armée de l’Air et de l’Espace, combineront une série de formations spécifiquement adaptées aux besoins des forces aériennes étrangères et conformes aux procédures opérationnelles standards de l’Otan », précise Babcock France. Par ailleurs, l’ESSD envisage de « soutenir les escadrons de chasse, les navires militaires ou les unités de l’armée de Terre […] par des missions aériennes aux profit de leurs pilotes de chasse, opérateurs radars ou commandos au sol dans le cadre de leur entraînement opérationnel ». Quant aux onze L-39 « Albatros », ils ont autrefois évolué sous les couleurs de la patrouille acrobatique civile « Breitling Jet Team ». « L’entraînement des pilotes militaires est l’un des éléments les plus exigeants et cruciaux de la préparation défensive de chaque pays. L’expansion de notre activité de formation militaire s’aligne avec notre ambition de répondre de manière exhaustive aux besoins de nos clients, tant à court terme qu’à long terme », a souligné Pierre Basquin, le PDG de Babcock France. « Grâce à notre expertise et à nos infrastructures, nous fournissons un système de formation complet qui prépare les pilotes militaires à des conditions de vol réelles et exigeantes. Nos programmes ne se contentent pas de développer les compétences techniques, mais visent également à inculquer un savoir-être essentiel pour affronter les défis du terrain », a-t-il fait valoir.
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Today, 2:12 AM
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L'avion de transport militaire A400M entre dans le « money time ». Sans nouvelle commande, Airbus pourrait arrêter sa chaine de production à l'horizon 2030.
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Today, 2:06 AM
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Lors d’une conférence de presse avec Emmanuel Macron, le Premier ministre polonais Donald Tusk a estimé jeudi 12 décembre que les « spéculations » sur le déploiement d’une mission européenne de paix en Ukraine devaient cesser, mais a reconnu avoir abordé le sujet avec le président français.
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Today, 2:04 AM
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Une seconde cohorte d’entreprises rejoindra d’ici peu l’accélérateur d’innovation DIANA de l’OTAN. Parmi celles-ci, plusieurs lauréats d’une filière française jusqu’alors très peu représentée. Plus de 70 sociétés basées dans 20 pays de l’OTAN rejoindront le dispositif DIANA le 1er janvier 2025. Choisies parmi plus de 2600 candidats, toutes bénéficieront d’une enveloppe de 100 000€, d’actions de formation et d’un accès au vaste réseau de mentors, de centres d’essais et d’utilisateurs finaux des 32 nations alliées. Chacun sera également associé à l’un des 13 accélérateurs mis en place au sein de l’’Alliance pour une première phase de formation d’une durée de six mois. Et tous auront pour objectif de faire monter en maturité une innovation répondant à l’un des cinq « défis urgents » identifiés : les énergies, la détection et la surveillance, la sécurisation des données et de l’information, la santé et les performances humaines, les infrastructures critiques et la logistique. « Au cours des prochains mois, ces entreprises novatrices et hautement qualifiées accéléreront le développement de leurs technologies à double usage, tout en s’efforçant de résoudre une série de défis complexes et interconnectés en matière de défense, de sécurité et de résilience », déclarait hier le directeur du DIANA, le professeur Deeph Chana. Seule une entreprise française avait été retenue dans la cohorte initiale annoncée en novembre 2023, six mois après le lancement de l’accélérateur. Elles seront six de plus à compter de l’an prochain, la France rejoignant cette fois un peloton de tête dominé par les pays anglo-saxons. L’une d’entre elles, Starnav, s’est entre autres faite un nom dans le domaine de la navigation par visée astrale, une alternative au GPS résistante au brouillage et au leurrage. Une autre, Akheros, propose un logiciel de cybersécurité détectant les comportements incongrus au sein d’une machine et de toutes les machines avec lesquelles elle interagit. Son algorithme distribué répond notamment à la problématique des attaques dites « avancées et persistantes ». Trois autres sont actives dans le domaine de la santé. Belmont Diagnostics propose un procédé de détection précoce de certaines pathologies à très bas coût, Gamma Pulse une technologie de décontamination de l’air baptisée KillViD et la start-up Manitty des solutions de collecte et d’analyse des données physiologiques. AI Verse, enfin, est l’un des lauréats du segment détection et surveillance. Basé dans les Alpes-Maritimes, cet acteur de la deeptech s’est spécialisé dans la construction de banque de d’images synthétiques pour accélérer l’entraînement d’une intelligence artificielle.
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