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Today, 4:38 AM
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The U.S. Army has begun testing upgraded fire control software for its M1 Abrams tanks, a cornerstone of the country's ground combat capabilities since the late 1970s. These tests, conducted at the Yuma Proving Ground (YPG) in Arizona, are aimed at improving the speed and accuracy of the tank's 120 mm main gun, .50 caliber
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Today, 3:56 AM
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L’augmentation du nombre d’alertes au sabotage et de cyberattaques dans les pays de l’OTAN pousse les membres de l’alliance militaire à repenser leur stratégie en matière de guerre hybride, mais la tâche est loin d’être aisée.
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Today, 3:47 AM
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Mardi 3 décembre, Friedrich Merz, favori pour les élections allemandes anticipées, est revenu sur sa rhétorique ferme à l’égard de la Russie, niant les accusations selon lesquelles il aurait menacé Vladimir Poutine d’un ultimatum sur la livraison de missiles allemands de longue portée Taurus.
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Today, 3:34 AM
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Russia's MoD reported on exercises of ships and coastal defense missile systems and aircraft in the Mediterranean Sea. They fire
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Today, 3:14 AM
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Déployé dans le cadre de la mission Clemenceau 25, qui va durer cinq mois et le conduire jusque dans l’océan Pacifique, le groupe aéronaval (GAN) français se concentre pour le moment sur la Méditerranée. Une première phase de cette mission consacrée notamment à la participation au renforcement des capacités militaires de l’OTAN sur le flanc Est de l’Europe suite à l’invasion russe de l’Ukraine.
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Today, 2:59 AM
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Nous parlions le mois dernier de l’approvisionnement d’unités militaires par des pétroliers civils, à l’occasion d’un test réalisé à Toulon entre le bâtiment ravitailleur de forces (BRF) Jacques Chevallier et le Stena Polaris.
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Today, 2:54 AM
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OPINION - La chute du gouvernement Barnier prive les armées de 3,3 milliards d'euros de hausse prévue dans le projet de budget 2025. Ces crédits supplémentaires permettaient de renforcer la préparation opérationnelle des armées (+ 364 millions d'euros), de moderniser la dissuasion nucléaire (+ 508 millions) et d'engager des programmes structurants (+ 1,45 milliard). Par Jean-Michel Jacques, député du Morbihan, président de la Commission de la Défense nationale et des Forces armées, rapporteur de la Loi de programmation militaire 2024-2030.
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Today, 2:51 AM
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KNDS Deutschland a notifié à EuroTrophy , la joint-venture réunissant GDELS (General Dynamics European Land Systems), KMW (Krauss-Maffe
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Today, 2:50 AM
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En mai, il avait été rapporté que la force aérienne grecque allait retirer du service plusieurs modèles d’avions de combat parmi les plus anciens, comme le F-4 Phantom, le Mirage 2000-5, voire le F-16 Block 30. L’objectif était de rationaliser le maintien en condition opérationnelle [MCO] et la logistique en ne conservant que des Rafale et des F-16 Block 70 « Viper », en attendant l’arrivée d’au moins vingt chasseurs-bombardiers F-35A. Cependant, les Mirage 2000- 5 ayant encore du potentiel, l’état-major grec suggéra qu’il pourrait les revendre, à la condition d’acquérir entre six et douze Rafale de plus, portés au standard F4. Du moins, c’est ce qu’avait rapporté le site spécialisé grec Defence Review. Et ce dernier fit même état de « discussions avancées » avec Dassault Aviation. Depuis, les plans d’Athènes ont changé… En effet, la semaine passée, à l’occasion d’un entretien accordé à Alpha TV, le Premier ministre grec, Kyriakos Mitsosakis, a affirmé que les vingt-quatre Rafale F3R acquis auprès de la France [dont douze d’occasion] étaient suffisants. Du moins pour le moment. « Le Rafale est ce que la force aérienne hellénique possède de plus moderne aujourd’hui. C’est un avion doté d’énormes capacités. Je dois avouer que je suis très heureux que nous ayons réussi à réaliser cet achat grâce à un accord gouvernemental conclu très rapidement avec la France, à un moment où je considérais qu’il était absolument nécessaire de renforcer les forces armées après dix ans de crise », a d’abord affirmé M. Mitsosakis. Pour autant, a-t-il continué, « selon la planification des forces armées, nous n’avons actuellement aucune intention d’exercer notre droit d’acquérir six Rafale supplémentaires. Nous en avons vingt-quatre et nous pensons que c’est tout à fait suffisant, en combinaison, bien sûr, avec la décision que nous avons prise d’acquérir un premier lot de vingt avions F-35 ». Et d’ajouter, au sujet de ces derniers : « Il s’agit d’avions de 5e génération, entièrement furtifs, c’est-à-dire pratiquement invisibles pour n’importe quel radar [à condition qu’ils soient en configuration « lisse », ndlr]. Ce sont des avions qui fonctionnent et coopèrent très bien avec les F-16 que nous possédons déjà. […] Nous estimons que nous les aurons avant 2030″. Pour rappel, la Grèce a confirmé la commande de vingt F-35A, pour environ 3,5 milliards d’euros, en juillet dernier. Une option pour vingt exemplaires de plus a été posée, en vue d’équiper éventuellement un second escadron. L’achat des munitions devait alors faire l’objet d’accords séparés avec les autorités américaines. Les livraisons devraient débuter en 2028 et être achevées en 2033.
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Today, 2:47 AM
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Avec la fermeture de la Manufacture d’armes de Saint-Étienne, qui produisait le fusil d’assaut « FAMAS » et celle de l’établissement de Giat Industries qui produisait des munitions de petit calibre au Mans, la France perdit deux capacités industrielles alors considérées comme ayant perdu leur valeur « stratégique » au début des années 2000. En effet, il avait été expliqué que les armées et les forces de sécurité intérieure n’auraient aucune difficulté à s’approvisionner auprès de fournisseurs étrangers. Cependant, cette dépendance donna lieu à quelques problèmes. Ainsi, par exemple, la mauvaise qualité de certains lots de cartouche de 5,56 mm fut à l’origine d’incidents de tir… Et des marchés notifiés à certains fournisseurs ne donnèrent pas satisfaction. Aussi, la question de relocaliser une filière de munitions de petit calibre en France fut posée. Seulement, la réponse qui lui fut imperturbablement donnée était qu’un tel projet ne pouvait pas être viable économiquement. Cela étant, en 2015, un rapport publié par les députés Nicolas Bays et Nicolas Dhuicq écarta cet argument. « La France serait-elle visionnaire en la matière alors que ses voisins ont pour la plupart conservé une industrie nationale de munitions de petit calibre qui alimente nos armées ? Comment est-il possible de s’assurer qu’aucun de nos fournisseurs ne sera contraint de cesser ses livraisons en raison d’une législation nationale ? Comment est-on certain d’un approvisionnement en cas de conflit majeur et pourquoi serions-nous dans ce cas les premiers servis ? Pourquoi, si nos voisins parviennent à faire vivre une industrie de munitions de petit calibre, ne le pourrions-nous pas ? », avaient-ils demandé. Et d’estimer qu’il faudrait un investissement initial de 100 millions d’euros pour relancer une filière française de munitions de petit calibre, la rentabilité devant être assurée « à partir d’une production annuelle de 60 millions de cartouches sous réserve qu’un niveau de commandes constant soit assuré durant les cinq premières années ». Deux ans plus tard, Jean-Yves Le Drian, alors ministre de la Défense, reprit les conclusions de ce rapport à son compte, en dévoilant un projet qui, associant NobelSport [en pointe dans la production de cartouches pour le tir sportif et la chasse], TDA Armements [filiale de Thales] et Manurhin, visait à recréer une capacité française de production de munitions de petit calibre. Seulement, après les élections de 2017, il fut abandonné. Et la Revue stratégique de défense confirma cette décision, en se basant sur les réserves constamment avancées par la Direction générale de l’armement [DGA]. Avec la crise de la covid-19, en 2020, ce sujet fut de nouveau mis sur la table. S’agissant des munitions de petit calibre, « les produire chez nous est très confortable à la condition de maîtriser les coût. Les produire entre alliés est une solution médiane acceptable, moyennant une certaine vigilance. Mais s’il faut aller les acheter à l’autre bout du monde, ce n’est probablement pas raisonnable : nous offrons à nos adversaires des vulnérabilités, ce qui réduit notre capacité de dissuasion », avait en effet estimé le général Thierry Burkhard, alors à la tête de l’armée de Terre. Puis plusieurs rapports parlementaires plaidèrent en faveur d’une relocalisation d’une filière de munitions de petits calibres. En vain. Depuis, la guerre en Ukraine a fait bouger les lignes. En novembre 2022, fraîchement nommé Délégué général pour l’armement, Emmanuel Chiva, considéra qu’il était « temps au moins de se poser la question ». Un an plus tard, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, fit savoir qu’il avait demandé à la Direction générale de l’armement [DGA] de réaliser une étude à ce sujet. Et, en mai dernier, la France et la Belgique ont signé une lettre d’intention en vue d’établir une coopération industrielle sur les munitions de petit calibre. Finalement, la DGA a dû faire, en quelque sorte, son aggiornamento [voire son mea culpa] sur cette question. Du moins, c’est ce qu’a suggéré M. Chiva, lors d’une audition sur l' »économie de guerre », à l’Assemblée nationale, le 4 décembre. « Sur les munitions de petit calibre [9 mm, 5,56 mm, 7,62 mm], nous avons aujourd’hui une position qui a été réactualisée. Il y a quelques années, on disait : ‘circulez, il n’y a rien à voir, on n’a pas besoin d’une filière nationale’ [de munitions de petit calibre]. Je dis ceci pour les armes et les munitions. On s’est réinterrogé puisque le monde bouge. […] Et donc on se rend compte que, effectivement, le besoin des armées, c’est d’être approvisionnées, en priorité, en munitions de 5,56 », a déclaré le DGA. « Donc, on a fait une étude qui a confirmé la possibilité que nous pouvons exiger la localisation d’une usine en France, au titre des intérêts essentiels de sécurité et nous avons des discussions en cours », a poursuivi M. Chiva, avant de confirmer la volonté de la Belgique de nouer une coopération avec la France « dans ce cadre-là ». Sans doute que la récente annonce faite par le groupe belge FN Browning au sujet des « négociations exclusives » qu’il venait d’entamer en vue du rachat de l’armurier français Sofisport, l’un des principaux fabricants de munitions de chasse et de tir sportif, permettra de faire avancer ce dossier, qui n’a visiblement que trop attendu.
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Today, 2:43 AM
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Depuis le 3 décembre, les avions d’attaque Su-25 Frogfoot ukrainiens sont capables d’emporter la bombe de conception française AASM, normalement larguée depuis les MiG-29 Fulcrum ukrainiens. Cette nouvelle capacité d'emport d’une munition OTAN sur un avion de conception soviétique s’explique notamment par le développement de pylônes spécifiques, et parfois même, pour les Su-24 Fencer ukrainiens, de pylônes pensés au départ pour les avions de combat Tornado de la Royal Air Force. Une première pour le Frogfoot Le 3 décembre, une image d'une bombe propulsée et de précision AASM/A2SM/Hammer était publiée sur une chaine Télégram ukrainienne. Cependant, cette bombe ne se trouve pas sous l'aile d'un avion de combat MiG-29 Fulcrum ukrainien mais bel et bien sous l'aile d'un avion d'attaque Su-25 Frogfoot. La légende de l'image fait d'ailleurs indirectement référence à la France à l'aide de trois émoticônes : un Su-25, une baguette et une flamme. Pour rappel, la baguette est souvent utilisée en Ukraine pour identifier des matériels militaires français. Cette image confirme donc pour la première fois que les Su-25 de la Force aérienne ukrainienne sont désormais capables d'emporter la bombe de confection française. Petit à petit, les différents avions et hélicoptères ukrainiens d'origine soviétique voient leur armement varier avec des capacités d'emport et de largage de missiles, bombes ou encore missiles de croisière répondant à des standards OTAN. Des pylônes atypiques Cette capacité d'emport de munitions OTAN sur des avions pas du tout développés et encore moins pensés dans cette optique s'explique au niveau d'une modification de certains systèmes internes mais aussi et surtout, sur le développement rapide de pylônes d'emport de munitions. La première modification est apparue avec les tirs de missiles anti-radars AGM-88 HARM depuis des MiG-29 Fulcrum. Le missile est placé sur la fixation d'un pylône LAU-118, ce dernier étant lui-même fixé à un pylône adaptateur faisant la jonction entre l'aile et le LAU-118. Les modifications vont même plus loin au niveau des bombardiers tactiques Su-24 Fencer lorsqu'ils emportent, sous chaque aile, un missile de croisière SCALP-EG/Storm Shadow. Là aussi, un adaptateur est nécessaire sous l'aile... mais entre le missile et l'adaptateur, il est possible d'apercevoir ni plus ni moins que le système de fixation de ce missile développé spécifiquement pour les avions de combat Tornado de la Royal Air Force. Ces fixations ont été fournies par le Royaume-Uni à partir d'anciens Tornado de la RAF, retirés du service. En ce qui concerne la photo publiée le 3 décembre avec l'AASM, elle montre un pylône déjà aperçu à de nombreuses reprises en Ukraine. Il est utilisé sous les ailes des avions de combat MiG-29 et Su-27 ukrainiens pour emporter des bombes de précision, comme la bombe planante JDAM-ER et la bombe propulsée AASM. Concernant la première bombe, elle fixée à l'aide du système MAU-50 de l'entreprise américaine Marvin Engineering... et visible également sous les avions d'attaque A-10 Thunderbolt II de l'US Air Force. Les quelques rares images rapprochées d'AASM sous les ailes des avions ukrainiens laissent à penser (sans être totalement sûr) que le MAU-50 serait compatible avec la munition française. Seule différence clairement visible : le système d'éjection diffère entre la JDAM-ER et l'AASM. La publication ci-dessous permet d'apercevoir le pylône de profil, également équipé d'une bombe AASM mais fixée sous l'aile d'un Fulcrum ukrainien. L'AASM Enfin, pour revenir sur l'Armement Air-Sol Modulaire, plus connu sous les acronymes AASM, A2SM ou encore Hammer, il s'agit d'une bombe développée et produite par Safran. L'annonce de leurs livraisons en Ukraine avait été révélée par Emmanuel Macron, président de la République, et précisée juste après par Sébastien Lecornu, ministre des Armées : la France livrera chaque mois de l'année 2024 un total de 50 AASM. Concrètement, l'AASM est équipée sur sa partie avant d'un kit de guidage INS, GPS. Ce kit existe aussi avec une option de guidage supplémentaire, comme l'intégration d'une détection infrarouge de la cible ou d'un guidage laser. Au centre se trouve la charge militaire (bombe lisse de 250 kg ou d'une tonne) et enfin à l'arrière, le kit de propulsion. Une fois la bombe larguée et stabilisée, le système de propulsion est enclenché et permet d'augmenter pendant un certain temps la vélocité et la portée de la bombe en question. Au niveau opérationnel, cette bombe offre deux avantages en plus de sa précision : un tir en haute altitude, avec une portée supérieure à 60 kilomètres. Cette utilisation permet à l'avion d'obtenir une capacité de frappe en standoff, soit hors de portée des systèmes antiaériens ennemis (dans ce cas-ci, très courte, courte et moyenne portée). un tir en basse altitude, avec une portée supérieure à 15 kilomètres. Il s'agit d'offrir une capacité de frappe en stand-in, soit à portée des systèmes antiaériens ennemis, en volant en basse altitude et en utilisant les différents reliefs pour masquer l'avion largueur des radars ennemis. À noter que pour l'instant, les quelques rares images de bonne qualité des bombes AASM utilisées par la Force aérienne ukrainienne laissent à penser qu'un seul modèle a été livré : des AASM de 250 kg avec un système de guidage INS/GPS.
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Today, 2:31 AM
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Le 4 décembre, l'armée argentine a réceptionné aux États-Unis ses deux premiers hélicoptères Bell 407GXi. Les nouveaux aéronefs seront destinés aux opérations de haute montagne. Bell 407GX1 argentin @ Textron La commande Fin 2022, l'état-major interarmées des forces armées argentines a annoncé un accord avec la Canadian Commercial Corporation (CCC) pour l'acquisition de nouveaux hélicoptères Bell 407 GXi destinés aux opérations de haute montagne. L'opération, qui atteint une valeur de 32 416 188,00 USD, prévoit la fourniture d'un total de six aéronefs, dont trois seront destinés à l'armée de l'air et trois à l'armée argentine. L'objectif général de cet achat, dont la négociation a commencé en 2011, est de récupérer la capacité d'opérations avec des hélicoptères de montagne, permettant l'utilisation d'unités de recherche, de sauvetage et de sauvetage (SAR) dans la zone montagneuse et le soutien à la communauté par le biais d'hélicoptères aux normes MEDEVAC et SAR. L’acquisition est réalisée de manière conjointe entre l’Armée de terre et de l’air. Les deux forces utilisent ainsi le même matériel, ce qui présente l'avantage de réduire le temps et les coûts de formation du personnel (pilotes, techniciens et mécaniciens), en plus de maintenir le même soutien logistique et de faciliter l'interopérabilité entre elles. Première livraison Quant à l'acte de livraison des deux premiers hélicoptères, immatriculés AE-341 et AE-342, il a eu lieu dans les installations de Bell Textron dans la ville de Pines Flats, dans l'État du Tennessee, où le personnel de la Direction générale de la navigabilité militaire conjointe (DIGAMC) a signé la documentation pertinente pour commencer le processus de réception. En vue de leur arrivée à l'institution, en raison de problèmes contractuels, cela devrait se produire au cours du premier trimestre de l'année 2025, où les deux Bell 407 GXi compléteront un vol en ferry à destination de la province de Mendoza à partir de laquelle ils opéreront. Cockpit @Textron Le Bell 407GXi La maniabilité de l'hélicoptère Bell 407GXi est intégrée à une cabine configurable pour une grande variété de missions et de charges utiles. Il dispose d'un intérieur spacieux pouvant accueillir jusqu'à cinq passagers. Le confort des passagers est amélioré avec un silence cabine par pratiquement tous les temps. La motorisation est assurée par une turbine Rolls-Royce 250-C47E/4 Doté d’un FADEC qui offre de hautes performances avec une vitesse de croisière de 133 nœuds (246 km/h). Le poste de pilotage du Bell 407GXi est doté de la suite Garmin G1000H® NXi qui fournit des informations de vol essentielles aux équipages en un coup d'œil, permettant une meilleure situation et sensibilisation et sécurité. Le transpondeur GTX 335R ES fournit une capacité ADS-B "Out" qui dépasse les exigences NextGen de la FAA. L’appareil dispose également du GPS WAAS G1000H® NXi et les combine avec les données ADS-B "In" pour une image plus précise de ce qui se passe dans le ciel. Cela permet une meilleure situation au pilote de sensibilisation et conduit à des capacités de séparation du trafic aérien plus sûres.
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Today, 2:29 AM
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Depuis quelques années, Concarneau, dans le sud du Finistère, a des allures de base navale, tant les bateaux gris y ont pris une place importante. Si aucune unité de la Marine nationale n’est basée dans ce port breton, des bâtiments de la flotte française y viennent souvent en arrêt technique. Et, surtout, le chantier Piriou a résolument développé son activité sur le marché du naval de défense.
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Today, 4:38 AM
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Évolution majeure en vue pour la plateforme PAMELA*, cette version sur roues du système de défense sol-air très courte portée MISTRAL. Si le missile et son lanceur ne changent pas, les porteurs sur lesquels ils sont intégrés seront bientôt renouvelés, gains de mobilité et de protection à la clef. « Aujourd’hui, les sections de défense sol-air de l’armée de Terre ont un problème de mobilité parce que les porteurs de plateformes PAMELA sont des VLRA et des TRM 2000, des véhicules que nous avons de plus en plus de mal à maintenir », expliquait la Section technique de l’armée de Terre (STAT) à l’occasion de la restitution d’un exercice d’expérimentation organisée hier sur le plateau du Larzac. Face aux coûts de maintenance en hausse, à la raréfaction des pièces et aux obsolescences techniques, « il fallait trouver une solution intérimaire pour redonner de la mobilité à ces sections », pointe la STAT. La réponse ? L’adaptation du véhicule de ravitaillement dans la profondeur (VRP) conçu par Scania, plateforme référencée par la centrale d’achat UGAP donc immédiatement disponible. Baptisé « Vampire » par Scania et « véhicule porteur polyvalent PAMELA » (V3P) par l’armée de Terre, le résultat est d’ores et déjà dans les mains de la STAT. « Malgré son gabarit, le V3P manoeuvre très bien », observe un officier de la STAT. Sa boîte robotisée à 14 vitesses, son moteur de 310 ch, sa direction assistée et sa capacité à démultiplier le couple amènent ce surplus de « punch » devenu primordial pour quitter rapidement la position et diminuer la probabilité de succès d’une frappe ennemie. Fini, pour le pointeur et le tireur, de voyager à l’extérieur, dos à la marche et harnachés aux deux strapontins escamotables intégrés au plateau. Tout le monde profite désormais du confort et de la protection apportés par la double cabine et ses quatre sièges suspendus. La fatigue diminue mais la survivabilité augmente tout autant que la connectivité. L’espace disponible en cabine permet en effet d’intégrer un poste ER 315 (PR4G) complémentaire de celui intégré au lanceur, un poste ER 314 dont la portée limitée se révèle handicapante en cas d’élongation entre le poste de commandement et les pièces. Avec ses 30 km de portée, ce second poste générera un gain important « en matière de fluidité de la manoeuvre et de communication au sein de la section », en attendant l’arrivée de la radio logicielle CONTACT. Derrière l’amélioration des liaisons, la cabine autorise également l’emport de quatre fusils d’assaut HK 416F et d’un armement collectif de type MINIMI ou MAG 58. Rien ne change en revanche pour un système PAMELA fiable, éprouvé et « répondant parfaitement au besoin ». Il conserve donc sa capacité d’emport de six missiles en soute et d’un septième « chaud » à disposition sur le plateau. Trois semaines auront suffi à Scania pour transformer un châssis en V3P. Un prototype perçu juste à temps pour profiter du créneau offert le mois dernier par l’exercice annuel Artémis pour réaliser trois tirs de validation depuis l’île du Levant. Restera à affiner certains détails notamment ergonomiques pour parvenir à un modèle de série en mars 2025. Des 50 V3P acquis grâce au budget 2023, 44 sont destinés à équiper une section par régiment d’artillerie « canon » et deux sections au sein du 54e régiment d’artillerie. Scania pourra en sortir environ six par mois, de quoi envisager une dotation complète à l’horizon 2026. Les six autres exemplaires accueilleront autant de systèmes PROTEUS, cette amélioration du canon de 20 mm réalisée en quatre mois par la STAT à partir de briques existantes. Six PROTEUS au standard 1 sont attendus pour l’an prochain. Un premier pas en attendant un standard 2 doté d’une solution de tir futur grâce à l’apport de l’intelligence artificielle et dont le démonstrateur doit émerger à la mi-2025. Ce parc initial, l’armée de Terre prévoit de le porter à 50 exemplaires au standard 2 à compter de 2026. *Plateforme d’Adaptation MISTRAL Équipée, Légère et Aérotransportable
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Today, 3:56 AM
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Le commissaire européen à la Défense, Andrius Kubilius, souhaite présenter des plans concrets pour la préparation militaire du continent, a-t-il déclaré à la sous-commission Sécurité et Défense du Parlement européen ce jeudi 5 décembre, alors qu’il doit prochainement présenter un Livre blanc sur la défense.
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Today, 3:37 AM
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Japan has selected the MQ-9B SeaGuardian remotely piloted aircraft system to equip the Japan Maritime Self-Defense Force (JMSDF).
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Today, 3:30 AM
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The Australian Army will choose between Kongsberg's NSM and Lockheed Martin's PrSM Inc 2 to provide an anti-ship capability.
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Today, 3:03 AM
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L’évènement est prévu le samedi 7 décembre dans le port de Livourne, lors d’une grande cérémonie à laquelle doit notamment assister le président italien, Sergio Mattarella. Le Trieste succède au porte-aéronefs Garibaldi, entré en flotte en 1985 et retiré du service le 1er octobre.
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Today, 2:58 AM
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The internal 25mm cannon on the F-35A has been beset by serious problems over the years that left it unable to shoot straight.
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Today, 2:54 AM
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5 December 2024 – This new initiative from Italy complements the laser weapons capabilities being developed by MBDA. Several tests
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Today, 2:51 AM
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En juin, Hassan Nasrallah, alors chef du Hezbollah, la milice chiite libanaise, avait ouvertement menacé de s’en prendre à la République de Chypre après l’avoir accusée d’ouvrir ses infrastructures aéroportuaires à la force aérienne israélienne pour « cibler » le Liban. Or, si elle entretient effectivement de très bonnes relations avec Israël, Chypre n’avait alors jamais ouvert ses sites militaires à Tsahal. En revanche, elle avait permis à cette dernière d’utiliser son espace aérien pour des exercices. Quoi qu’il en soit, la menace du Hezbollah ne suscita pas de vives réactions au sein de l’Union européenne [UE], dont Nicosie est membre. Ainsi, à l’époque, encore haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell avait seulement déclaré que le « Liban pouvait compter sur notre soutien, tout comme Chypre ». Le seul commentaire ferme vint de la Grèce. « Il est absolument inacceptable de proférer des menaces à l’encontre d’un État souverain de l’UE. Nous sommes aux côtés de Chypre et nous serons tous ensemble pour faire face à toutes sortes de menaces mondiales émanant d’organisations terroristes », avait en effet déclaré le ministère grec des Affaires étrangères. Reste que cette menace n’a pu qu’affermir la volonté des autorités chypriotes de renforcer les capacités de défense aérienne de leur Garde nationale, celles-ci reposant alors presque exclusivement sur des systèmes Buk M1 et Tor M1 de facture russe. En outre, par le passé, Chypre avait commandé des batteries S-300 auprès de Moscou… ce qui engendra une crise avec la Turquie. Finalement, les objets du litige furent repris par la Grèce, laquelle envisagerait désormais de les céder à l’Arménie. Quelles seront les réactions de la Turquie et de la République turque de Chypre Nord [RTCN] après l’annonce de la livraison à Chypre de systèmes de défense aérienne Barak MX par Israel Aerospace Industries ? En effet, selon la chaîne de télévision Sigma TV, les livraisons des premiers composants de ce système à la Garde nationale chypriote auraient commencé le 3 décembre… alors qu’aucune annonce officielle concernant la commande du Barak MX n’avait été faite auparavant. En outre, les autorités chypriotes n’ont voulu faire aucune commentaire sur cette information. « La seule chose que je peux dire, c’est que nous ferons et que nous faisons tout ce qui est nécessaire pour renforcer la force de dissuasion de Chypre [en référence à RTCN, ndlr], non seulement parce que nous sommes un pays sous occupation, mais aussi parce que nous sommes un État membre de l’UE dans une région d’une importance géostratégique particulière », a seulement déclaré Nikos Christodoulides, le président chypriote, à la presse, ce 5 décembre. Cependant, une source chypriote de « haut rang » a confié à l’agence Reuters que les systèmes d’origine russe devaient être remplacés, faute de pouvoir les entretenir et de les moderniser. « C’est pourquoi nous nous tournons vers d’autres pays de l’UE ainsi que vers Israël. Dans ce cadre, des efforts sont en cours pour moderniser notre bouclier antiaérien », a-t-elle dit, confirmant à demi-mots la livraison du système Barak MX, capable d’intercepter des cibles aériennes à des distances allant de 35 à 150 km. À noter que la Grèce envisage d’acquérir un système identique, dans le cadre du développement d’une capacité de défense aérienne multicouche. Celle-ci devrait également repose sur les systèmes « Fronde de David » et SPYDER MR, également proposés par Israël.
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Today, 2:49 AM
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En avril, la France et l’Allemagne ont signé un protocole d’accord visant à relancer leur projet commun de Système principal de combat terrestre [MGCS – Main Ground Combat System], alors bloqué par des désaccords entre les principaux industriels concernés depuis près de sept ans. Ainsi, pour garantir un partage équitable des tâches, il a été décidé de réorganiser ce projet selon huit piliers capacitaires distincts et de créer une société de projet réunissant KNDS France, Thales, KNDS Deutschland et Rheinmetall. Quant aux choix technologiques à l’origine des querelles entre les industriels, ils devront n’être faits qu’après une évaluation des solutions proposées. Et cela vaut notamment pour le canon du futur char de combat sur lequel reposera le MGCS. Pour rappel, KNDS France a soumis le système ASCALON [Autoloaded and SCALable Outperforming guN], capable de tirer des obus de 120 et de 140 mm ainsi que des « munitions intelligentes pour des tirs au-delà de la vue directe » tandis que Rheinmetall défend son canon de 130 mm, lequel doit équiper la tourelle de son char KF-51 « Panther » qui, dévoilé en 2022, est en passe d’être retenu par l’armée italienne. Seulement, cette « compétition » inquiète les parlementaires français, quel que soit leur bord politique. C’est ainsi le cas du député François Cormier-Bouligeon, qui s’en est ouvert dans son avis budgétaire sur le programme 146 « Équipement des forces – Dissuasion ». Même chose pour les sénateurs Hugues Saury et Hélène Conway-Mouret. Dans un récent rapport, ils ont avancé que l’ASCALON risquait d’être « écarté de toute perspective de commercialisation afin de préserver le ‘leadership’ de Rheinmetall et KNDS Deutschland « . Cela « interroge sur l’intérêt même de la création de KNDS et, a fortiori, sur celui de poursuivre le programme MGCS », ont-ils même insisté. Cela étant, le MGCS ne doit pas être considéré comme étant seulement le successeur des chars Leclerc et Leopard 2 dans la mesure où il s’agit de développer une « famille de systèmes » [chars, drones, robots, etc.] devant reposer sur un « cloud de combat ». Par ailleurs, ce Système principal de combat terrestre ne devant pas être opérationnel avant 2040 au plus tôt, la question du maintien en service du Leclerc jusqu’à cette échéance se pose. De même que celle d’une éventuelle « solution intermédiaire », censée faire le « pont » entre le Leclerc et le MGCS. Ce qui a été proposé par Nicolas Chamussy, le PDG de KNDS France, en mai 2023. Lors d’une audition sur l’économie de guerre, à l’Assemblée nationale, le 4 décembre, le Délégué général pour l’armement [DGA], Emmanuel Chiva, n’a pas coupé à une question sur l’avenir du MGCS. « Sur le char lourd c’est une préoccupation. D’abord, je l’ai dit et je continue à la dire : on ne fait pas n’importe quoi et on a étudié évidemment le fait de pouvoir prolonger, jusqu’en 2040, le Leclerc. On se donne les moyens de se donner du temps », a répondu M. Chiva. « Le MGCS n’est pas le successeur du Leclerc et il ne préfigure en rien la nature du char lourd. Le MGCS, c’est des moyens de combat terrestre, avec des ailiers scorpionisés, dronisés, dans un cloud de combat », a-t-il ensuite rappelé. Ce qui ouvre éventuellement la voie à la coexistence de deux chars différents au sein de ce « système de systèmes ». « On peut se dire que les Allemands pourraient avoir un char lourd différent du char lourd français au sein du même projet. Ça ne me choquerait pas. Ça serait financé sur fonds propres », a en effet affirmé M. Chiva, laissant ainsi entendre que l’initiative reviendrait à KNDS France, qui fait justement la promotion du Leclerc Evolution, doté du système ASCALON. « Dans le cadre du projet [MGCS], ce que l’on essaie d’avoir, c’est cette architecture de système qui nous permet[tra] de préparer le système de combat futur », a enchaîné le DGA, qui a ensuite évoqué un « plan B », sans plus de précision. « On soutient nos champions français, qui innovent sans arrêt. Je pense notamment au canon ASCALON, qui est une innovation majeure. […] On a un nombre de possibilités aujourd’hui qui nous permettent de palier le fait que l’on a arrêté des chaînes de production. […] Ce n’est pas en deux ans qu’on résout tous les problèmes mais la Loi de programmation militaire, dans sa déclinaison du combat blindé, est faite justement pour nous éviter toute rupture capacitaire », a conclu M. Chiva.
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Today, 2:43 AM
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Northrop Grumman has been selected by the U.S. Marine Corps to integrate Advanced Tactical Data Links (ATDL) into its LITENING electro-optical/infrared (EO/IR) targeting pods
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Today, 2:40 AM
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Bell Textron a terminé les essais en soufflerie au National Institute for Aviation Research (NIAR) de l'Université d'État de Wichita, du programme de la DARPA "Speed and Runway Independent Technology" (SPRINT). Cette phase d'essai fait suite à l'évaluation réussie du système de rotor Stop/Fold sur la piste d'essai à grande vitesse Holloman (HHSTT) au Nouveau-Mexique en 2023.
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Today, 2:30 AM
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C’est une pépite de la connaissance maritime française, plus discrète et moins connue que l’Ifremer. Pourtant, le service national d’hydrographie et d’océanographie existe à Brest, sur son site du Bergot (derrière le quartier de Bellevue), depuis 1971.
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