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November 2, 8:38 AM
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FMS 2024: Netherlands plans to procure Mjölner 120 mm armoured mortar vehicles

The Netherlands plans to procure CV90 Granatkastarpansarbandvagn (Grkpbv) 90 Mjölner 120 mm armoured mortar vehicles (AMVs), Janes learnt at Defence iQ's Futur
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Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
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L’industrie de l’armement manque cruellement de bras : 10 000 postes à pourvoir en France

L’industrie de l’armement manque cruellement de bras : 10 000 postes à pourvoir en France | DEFENSE NEWS | Scoop.it

Selon une étude menée par la DGA auprès de 2500 entreprises, l’industrie de l’armement manque cruellement de bras et de cerveaux : 10000...-Aéro - Spatial
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La production du premier E-2D Advanced Hawkeye français est lancée

La production du premier E-2D Advanced Hawkeye français est lancée | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Northrop Grumman a annoncé que le tout premier avion radar embarqué E-2D Advanced Hawkeye de la Marine nationale était mis en production sur son site de St. Augustine (Floride). Au total, trois E-2D sont attendus pour remplacer les trois vénérables E-2C Hawkeye, en service depuis 1998. Ces nouveaux appareils offriront une solution AEW&C moderne au groupe aérien embarqué et à l’escadre du porte-avions Charles de Gaulle.
Lancement de production

Le 10 décembre, Northrop Grumman a annoncé dans un communiqué de presse la mise en production d'un nouvel avion de guet aérien avancé et de contrôle embarqué E-2D Advanced Hawkeye (AHE). Cependant, il ne s'agissait pas d'un AHE pour l'Aéronavale américaine mais bel et bien pour sa consœur française, l'Aéronautique navale. À l'occasion du lancement de la production du tout premier E-2D français, une cérémonie avait été organisée sur le site de St. Augustine (Floride, États-Unis), lieu de production des E-2D de Northrop Grumman, en présence de représentants de la Marine nationale, de Northrop Grumman, du commandement des systèmes de l'Aéronavale américaine (NAVAIR) et du bureau des programmes internationaux de l'US Navy (NIPO).

Pour rappel, le 6 juillet 2020, la Defense Security Cooperation Agency (DSCA) annonçait que le Département d’État (équivalent américain du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères en France) autorisait une possible vente de trois E-2D AHE auprès de la France. Le 6 janvier 2021, Northrop Grumman annonçait dans un communiqué de presse que la France avait signé une Lettre d'Offre et d'Acceptation (LOA), confirmant définitivement l'achat de ces 3 appareils. L'étape suivante fut le lancement de la production du premier appareil, organisée hier aux États-Unis. Les spotters qui souhaitent prendre en photo un E-2D avec la cocarde de l'Aéronautique navale devront encore être patients car ce premier appareil ne devrait être livré qu'en 2027.
Ligne d'assemblage des E-2D Advanced Hawkeye de Northrop Grumman à St. Augustine (Floride, États-Unis), avec un E-2D de l'US Navy au premier plan.
Ligne d'assemblage des E-2D Advanced Hawkeye de Northrop Grumman à St. Augustine (Floride, États-Unis), avec un E-2D de l'US Navy au premier plan. © Northrop Grumman
E-2D Advanced Hawkeye

Concrètement, ces trois futurs appareils permettront de moderniser les capacités de guet aérien avancé et de contrôle au profit du groupe aéronaval, centré autour du porte-avions Charles de Gaulle (R91, unique bâtiment de sa classe). Ils remplaceront les trois E-2C Hawkeye 2000, entrés en service à partir de 1998. Au niveau des différences techniques avec ces appareils, l'E-2D dispose d'une motorisation améliorée avec l'emport de deux turbopropulseurs Allison T56-A-427A d'une puissance unitaire de 5100 ch. Si la puissance ne change pas, ces moteurs sont bien moins gourmands en carburant et allongent donc l'endurance et l'autonomie de l'appareil.

Le radar AN/APS-145 est remplacé par l'AN/APY-9 de Lockheed Martin. Ce dernier est placé, comme pour l'E-2C, dans un radôme rotatif au-dessus du fuselage. Dans le cas de l'E-2D, ce radôme mesure 7,3 mètres de diamètre. Le nouveau radar dispose de deux modes de détection : détection mécanique ou électronique. Alors que le premier mode offre une détection à longue portée à 360°, le second permet d'affiner la détection, de réduire l'angle de recherche dans une direction spécifique ou encore dans des secteurs de 90°. La réduction de l'angle de détection permet d'offrir un suivi plus précis et surtout plus rapide des cibles détectées. À propos de cibles, l'AN/APY-9 peut détecter simultanément des cibles aériennes et en surface, le tout, dans un environnement électromagnétique brouillé.

En plus d'autres améliorations techniques, comme un full glass cockpit, un ajout spécifique permet de facilement différencier les E-2C Hawkeye des E-2D Advanced Hawkeye : une sonde de ravitaillement. Actuellement, les E-2C Hawkeye de la Marine nationale sont "limités" à un rayon d'action de 2852 kilomètres (endurance moyenne de 6h15 de vol). La capacité de pouvoir ravitailler les E-2D permettra d'augmenter ce rayon d'action et cette endurance, offrant une couverture radar aéroportée plus efficace pour les appareils du groupe aérien embarqué et l'escadre du porte-avions. Au niveau de l'Aéronautique navale, les futurs E-2D pourront être ravitaillés en vol par des Rafale Marine en configuration nounou : un Rafale M est équipé de réservoirs externes sous ses ailes et d'une Nacelle de RAvitaillement de Nouvelle Génération (NARANG) sous son ventre. Elle permet de dérouler un flexible souple avec à son bout, un panier. L'avion à ravitailler doit alors faire rentrer sa sonde dans le panier pour recevoir le précieux kérosène. La NARANG, développée et produite par Safran, permet de délivrer un débit de 750 à 1000 litres/minute.
E-2D Advanced Hawkeye de l'US Navy paré au catapultage sur le pont d'envol du USS Carl Vinson.
E-2D Advanced Hawkeye de l'US Navy paré au catapultage sur le pont d'envol du USS Carl Vinson. © Gaétan Powis
Rafale Marine en configuration nounou avec des réservoirs externes et la Nacelle de RAvitaillement de Nouvelle Génération (NARANG).
Rafale Marine en configuration nounou avec des réservoirs externes et la Nacelle de RAvitaillement de Nouvelle Génération (NARANG). © Marine nationale
Interopérabilité unique avec l'US Navy

À noter que les trois E-2C de la flottille 4F (base d'aéronautique navale de Lann-Bihoué, Morbihan) et les trois futurs E-2D français seront les seuls Hawkeye et Advanced Hawkeye a être utilisés depuis un porte-avions. Une coopération intense existe à ce propos entre l'US Navy et la Marine nationale : entrainements communs, ravitaillements communs, appontages de Rafale M français sur les porte-avions américains et de F-18E/F Super Hornet américains sur le porte-avions Charles de Gaulle,... D'ailleurs, dans le cadre de cette coopération, l'équipage du porte-avions Charles de Gaulle avait déjà eu l'occasion d'apercevoir de très près un E-2D. Le 11 mars 2022, des manœuvres communes entre les appareils du Charles de Gaulle et du USS Harry S. Truman (CVN-75, classe Nimitz) avaient été organisées. Pendant que les E-2C français appontaient sur l'USS Harry S. Truman, un E-2D de l'US Navy effectuait des présentations à l'appontage sur le Charles de Gaulle : train sorti, entrée dans le circuit d'appontage mais crosse rentrée et wave off en finale (pas de touch-and-go). Enfin, dans le cadre de cette interopérabilité, les futurs E-2D français seront très certainement qualifiés pour être ravitaillés en vol par des Super Hornet en configuration nounou mais aussi par des drones de ravitaillement MQ-25A Stingray de l'US Navy.
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U.S. Navy neutralises Houthi-launched drones and missiles in the Gulf of Aden

U.S. Navy neutralises Houthi-launched drones and missiles in the Gulf of Aden | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The U.S. Navy destroyers successfully intercepted and defeated multiple Houthi-launched weapons during a transit through the Gulf of Aden from 9 to 10 December.
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Les forces françaises entament leur retrait du Tchad avec le départ des Mirage 2000D

Les forces françaises entament leur retrait du Tchad avec le départ des Mirage 2000D | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le 28 novembre, alors que le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, venait de quitter N’Djamena, le gouvernement tchadien a fait connaître son intention de dénoncer les accords de coopération militaire avec la France. Et donc de demander le départ des troupes françaises de la base aérienne 172 « Sergent chef Adji Kosseï ».

Cette décision a pu sembler surprenante, étant donné que la France a toujours soutenu le président Idriss Déby Itno et qu’elle montré de la mansuétude quand, après sa mort, son fils, Mahamat Idriss Déby, a pris les rênes d’une Conseil militaire de transition formé pour préparer sa succession.

Mais, en réalité, elle n’a pas été un coup de tonnerre dans un coin de ciel bleu, les relations entre Paris et N’Djamena ayant été assombries par une enquête préliminaire du Parquet national financier [PNF] visant le président tchadien, celui-ci étant soupçonné de « détournement de fonds publics et recel » après avoir acheté pour plus de 900 000 euros de costumes en France. La facture aurait été réglée en deux fois, via la société MHK Full Business, établie à N’Djamena. Puis, les investigations ont été élargies au patrimoine immobilier de la famille Déby.

Cela étant, les enquêtes du PNF ne seraient pas à l’origine de la décision tchadienne. Celle-ci aurait été motivée par trois raisons. La première est que, selon RFI, le président Déby a déploré le manque de coopération des forces françaises lors d’une attaque d’envergure lancée par le groupe jihadiste Boko Haram contre un poste avancé de l’armée tchadienne dans la région du Lac Tchad, en octobre dernier.

« La France n’aurait pas alors fourni des informations à sa disposition […] sur les mouvements des jihadistes et aurait également refusé de fournir un appui militaire aérien à ce moment-là, malgré les demandes du Tchad », a avancé RFI, en se basant sur les confidences de sources locales. En outre, le président tchadien n’aurait pas apprécié que M. Barot ait demandé un report des prochaines élections législatives et locales, prévues le 29 décembre, pour qu’elles soient « plus inclusives ».

La troisième raison a été détaillée lors d’une réunion de la commission sénatoriale des Affaires étrangères et de la Défense, le 4 décembre. Ainsi, de retour d’un déplacement au Tchad et en Afrique du Sud, le sénateur Ronan Le Gleut a expliqué que la décision tchadienne était un « effet collatéral de la guerre civile au Soudan ».

« Le Tchad est en effet accusé de soutenir le général Hemetti [le chef des Forces de soutien rapide] contre le général Burhan [le Président du Conseil de souveraineté de transition de la république du Soudan], notamment par l’envoi d’armes fournies par les Émirats Arabes Unis, qui soutiennent eux-mêmes fortement Hemetti », a d’abord rappelé le sénateur.

Selon lui, des rebelles tchadiens combattraient dans les rangs du général Burhan. D’où le soutien du Tchad au rival de ce dernier. Soutien par ailleurs encouragé par les Émirats arabes unis, via un prêt de 500 millions de dollars octroyé à N’Djamena.

« Or la France a récemment demandé plusieurs fois au président tchadien de rester neutre dans la crise soudanaise, ce qui aurait été mal reçu. On comprend aisément pourquoi, le Tchad étant un État fragile constamment menacé par des rébellions contre lesquelles la France a toujours été son meilleur allié, qu’elles viennent de Libye au Nord ou du Soudan au Sud. Mais justement, les annonces successives de retrait français ont peut-être fini par jeter le doute sur la volonté de la France de rester un partenaire fort du Tchad », a résumé M. Le Gleut.

Quoi qu’il en soit, Paris ayant pris acte de la décision tchadienne, il ne restait plus à l’État-major des armées [EMA] qu’à préparer le retrait des forces françaises du Tchad. Ce qui était déjà plus ou moins prévu étant donné qu’il était déjà question de réduire significativement la présence militaire dans ce pays, en n’y maintenant que 300 militaires.

Ce retrait a d’ailleurs commencé ce 10 décembre, avec le départ du détachement « chasse » de l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE] de la BA 172 « Sergent chef Adji Kosseï ».

« Le 28 novembre 2024, le ministère des affaires étrangères de la République du Tchad a annoncé mettre fin à l’accord de coopération militaire unissant le Tchad et la France. Prenant acte de cette décision et dans la continuité de l’évolution de leur présence militaire en Afrique, les armées françaises retirent ce jour la capacité chasse présente à N’Djamena. La présence de ces avions répondait à un besoin d’appui exprimé par le partenaire », a en effet annoncé l’EMA.

Selon une source « proche du dossier » citée par l’AFP. « deux Mirage 2000D [de la 3e Escadre de chasse] accompagnés d’un avion ravitailleur ont décollé peu avant 12H30 GMT. Un troisième chasseur-bombardier devait suivre.

Jusqu’à présent, les « Forces françaises au Sahel », uniquement présentes au Tchad après les retraits du Mali, du Burkina Faso et du Niger, comptaient environ un millier de militaires. Les modalités de leur « désengagement » font « l’objet de coordination avec les autorités tchadiennes », a expliqué l’EMA.
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Le Pentagone immobilise encore ses V-22 Osprey, après une défaillance technique "jamais vue" auparavant

Le Pentagone immobilise encore ses V-22 Osprey, après une défaillance technique "jamais vue" auparavant | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Doté de rotors basculants, ce qui permet de décoller comme un hélicoptère et de voler à la vitesse de croisière d’un avion, le V-22 Osprey, développé par Bell et Boeing, a été impliqué dans une vingtaine d’accidents et d’incidents grave depuis son premier vol, en mars 1989. D’où les restrictions d’emploi dont il fait régulièrement l’objet.

Le dernier en date s’est produit le 28 novembre 2023. Ce jour-là, un V-22 Osprey de l’US Air Force s’abîma en mer, au large de l’île de Yakushima [Japon], avec huit membres d’équipage à bord. Aucun ne survécut. Quelques jours plus tard, le Pentagone décida à nouveau de clouer au sol l’ensemble des appareils exploités par les forces américaines.

Il s’agit de « limiter les risques tandis que l’enquête se poursuit. Si les premiers éléments indiquent qu’un défaut matériel a provoqué l’accident, la cause sous-jacente à ce défaut n’est pas connue à ce jour », avait alors expliqué un responsable de l’US Air Force. « Nous mettons en œuvre des contrôles supplémentaires pour atténuer les risques et garantir la sécurité de nos militaires », avait ajouté le Naval Air Systems Command [NAVAIR], dont relèvent les V-22 Osprey exploités par l’US Navy et l’US Marine Corps.

L’interdiction de vol de ces aéronefs fut finalement levée en mars dernier. Cependant, des restrictions d’emploi furent maintenues. Quant à l’accident survenu au Japon, il fut avancé – sans plus de détails – qu’il avait été causé par la défaillance d’une pièce mécanique.

Cela étant, les forces américaines, et en particulière l’AFSOC [Air Force Special Operations Command] mirent à jour leurs procédures afin de mieux préparer les équipages de V-22 Osprey à une éventuelle défaillance technique. C’est probablement grâce à cela qu’un nouvel accident a pu être évité.

En effet, le 20 novembre dernier, lors d’une mission d’entraînement au Nouveau-Mexique, un CV-22 Osprey de l’AFSOC a de nouveau été victime d’une avarie, laquelle a contraint son équipage à faire un atterrissage d’urgence.

Mais ce dernier incident a conduit l’US Air Force, l’US Navy et l’US Marine Corps à décréter une « pause opérationnelle » pour l’ensemble de leurs CV-22. Cela va « nous permettre de déterminer si des mesures de sécurité supplémentaires sont nécessaires », a expliqué un porte-parole de la marine américaine à CNN.

Cette décision a été prise parce que le dernier atterrissage d’urgence d’un CV-22 Osprey aurait été causé par une « défaillance matérielle jamais vue auparavant ».

Pour rappel, plus de 400 V-22 ont été livrés à l’US Marine Corps [qui en est le principal utilisateur], à l’US Air Force, à l’US Navy [au sein de laquelle il remplace le C-2 Greyhound pour les missions de transport effectués au profit de ses groupes aéronavals] et aux forces d’autodéfense japonaises.

Depuis 2022, cet appareil a été impliqué dans quatre accidents mortels. Les familles de quatre militaires de l’USMC ayant perdu la vie dans l’un d’entre eux ont intenté une action en justice contre Boeing, Bell Textron et Rolls Royce, estimant que ces entreprises n’avaient pas tout fait pour régler des problèmes mécaniques pourtant connus sur ce type d’aéronefs.
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Today, 1:31 AM
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PREMIERES IMAGES DES K808 PERUVIENS

PREMIERES IMAGES DES K808 PERUVIENS | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les images de la célébration du bicentenaire de la Bataille d'Ayacucho (9 décembre 1824) qui est également le jour de l'armée péruvienn
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Today, 1:29 AM
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Safran veut doubler le chiffre d'affaires de ses activités d'électronique de défense

Safran veut doubler le chiffre d'affaires de ses activités d'électronique de défense | DEFENSE NEWS | Scoop.it
A l'horizon 2028/2030, l'équipementier veut « significativement augmenter les activités électronique de défense », regroupées dans la filiale Safran Electronics & Defense (soit environ 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires), selon le directeur général de Safran Oivier Andriès. Il veut doubler son chiffre d'affaires.
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Today, 1:25 AM
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New Syrian Prime Minister Assumes Power Amid Airstrikes, Continued Fighting

New Syrian Prime Minister Assumes Power Amid Airstrikes, Continued Fighting | DEFENSE NEWS | Scoop.it
In the wake of Assad's demise, the first steps of forming a new government are being taken, but the violence throughout the country appears far from over.
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Today, 1:24 AM
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Russia Giving North Korea MiG-29s And Su-27s Isn’t That Straightforward

Russia Giving North Korea MiG-29s And Su-27s Isn’t That Straightforward | DEFENSE NEWS | Scoop.it
A U.S. admiral says that the fighters will be given to North Korea in exchange for sending troops and ammo to help Russia in Ukraine. A U.S. admiral says that the fighters are headed to North Korea as thanks for Pyongyang sending troops to help Russia in Ukraine.
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Today, 1:23 AM
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Syrian MiG-29 fleet destroyed in Israeli air raids

Syrian MiG-29 fleet destroyed in Israeli air raids | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The Israeli Air Force (IAF) has reportedly destroyed the entire fleet of operational MiG-29 fighter jets belonging to the Syrian Arab Air Force during recent airstrikes on Syrian air bases. The strikes targeted the Khalkhalah Air Base in the Suwayda Governorate, as well as other critical installations. According to reports, all airworthy MiG-29 interceptors stationed
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La Défense belge à nouveau en recherche d'un bouclier anti-drones

La Défense belge à nouveau en recherche d'un bouclier anti-drones | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La Défense belge est repartie à la recherche d’un bouclier anti-drones, trois ans ans après une première demande d’information (RFI) avortée en raison de la guerre en Ukraine et de la nécessité de revoir le besoin. Un préambule au lancement potentiel d’une compétition pour des systèmes dont les militaires belges sont aujourd’hui dépourvus.

Jamais deux sans trois. Pour la troisième fois en trois ans, la Défense belge part sonder le marché de la lutte anti-drones (LAD). Lancée en mai 2021, la RFI initiale était annulée un an plus tard puis remplacée par une seconde pour mieux prendre en compte l’évolution rapide du marché et les premiers retours d’expérience du conflit russo-ukrainien. Rebelote vendredi dernier, avec une nouvelle RFI visant à « identifier d’éventuels intégrateurs qui peuvent aider l’état-major de la Défense belge dans le développement de la capacité anti-UAV belge ». Le besoin, tout en restant concentré sur la menace des petits drones, est néanmoins étendu.

Les RFI précédentes se concentraient sur des systèmes fixes et semi-mobiles axés sur la protection des principales bases opérationnelles de la Composante Air, d’infrastructures critiques et d’événements majeurs. Cette troisième tentative étend le champ à l’acquisition d’une solution mobile intégrée sur plateformes terrestres ou navales ainsi que sur des systèmes portables pour doter les « unités mobiles » de capacités de détection et de neutralisation.

Le tout est envisagé comme un système de systèmes composé d’effecteurs et de capteurs manoeuvrés à partir d’un outil de commandement et de contrôle unique (C2). Une démarche qui n’est pas sans rappeler celle adoptée pour le système PARADE des armées françaises, un outil modulaire et évolutif livré jusqu’à présent à six exemplaires et mobilisé cet été durant les Jeux olympiques et paralympiques.

Les militaires belges insistent par ailleurs sur la nature incrémentale de la démarche. L’éventuelle acquisition s’inscrirait dans un « partenariat innovant de long-terme » établi pour une quinzaine d’années mais potentiellement extensible pour répondre aux besoins et/ou menaces futurs. Un partenariat qui devra trouver un « ancrage belge solide » – l’heure étant au renforcement de la filière défense locale – afin de garantir les performances, la disponibilité et l’évolution du système.

« En adoptant un processus de développement agile, le consortium garantira flexibilité et réactivité face à l’évolution des besoins opérationnels. Cette approche permettra des améliorations itératives et des mises à jour ponctuelles des systèmes C-UAS, permettant à la Défense belge de répondre efficacement aux menaces émergentes et de maintenir une posture de défense globale contre les véhicules aériens sans pilote », commente la Direction générale des ressources matérielles (DGMR). Réponses souhaitées pour la mi-février 2025.

La construction d’une capacité LAD avait clairement été identifiée dans le plan STAR de 2022, avec près de 23 M€ fléchés vers la Composante Air et plus de 358 M€ pour la Composante Terre dans un effort combiné avec la défense sol-air très courte portée (VSHORAD). Reste que cette RFI n’est que la phase amont d’un processus qui, malgré l’urgence, se révèle long à concrétiser. La notification d’un contrat paraît encore lointaine à l’heure où la plupart des pays européens s’attachent à muscler leur défense anti-aérienne, un segment dans lequel la Belgique accuse un temps de retard, qu’importe l’envergure de la menace.
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Today, 1:20 AM
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Emmanuel Macron attendu à Varsovie pour parler Ukraine et États-Unis

Emmanuel Macron attendu à Varsovie pour parler Ukraine et États-Unis | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a fait savoir qu'il accueillerait le président Emmanuel Macron à Varsovie jeudi 12 décembre. Au menu des discussions : un point sur l'échange entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky le week-end dernier à Paris.
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Today, 1:18 AM
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Reconfiguration du dispositif militaire français: N'Djamena et Paris ne perdent pas de temps

Reconfiguration du dispositif militaire français: N'Djamena et Paris ne perdent pas de temps | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La France a décidé de ne pas perdre de temps, prenant acte de la décision de N’Djamena du 28 novembre et lançant actuellement la manoeuvre de départ de ses troupes du Tchad (1 000 militaires présents sur trois bases). Un retrait que l’EMA a confirmé ce mardi midi, précisant que « les armées françaises retirent ce jour la capacité chasse présente à N’Djamena. La présence de ces avions répondait à un besoin d’appui exprimé par le partenaire ». Quatre Mirage 2000-D étaient encore présents sur place. Ils vont regagner Nancy. On se souviendra que des avions de combat français ont été stationnés au Tchad, quasiment sans discontinuer depuis l’indépendance en 1960, servant à la formation et l’entraînement des militaires tchadiens mais aussi à l’appui aérien, permettant à plusieurs reprises de stopper des avancées de rebelles cherchant à s’emparer du pouvoir.

Le Tchad non plus ne tergiverse pas puisqu’une commission locale planche déjà sur le « retrait ordonné des engagements bilatéraux ». Un retrait exigé par quelques centaines de manifestants, vendredi dernier, lors d’un défilé aux cris de « France Barra » (France dehors) dans la capitale.

N’Djamena, qui a annoncé fin novembre qu’il mettait fin aux accords de coopération de sécurité et de défense avec la France, a bien créé mercredi dernier une commission spéciale de 21 membres chargée de piloter la dénonciation de l’accord militaire entre la France et le Tchad. Pas d’échéance mais le délai de résiliation est de six mois à compter de la notification, selon l’accord de 1976 entre les deux Etats..

Cette commission, présidée par le ministre des Affaires étrangères, a pour mission « de notifier officiellement la dénonciation de l’accord de coopération militaire (….) auprès des autorités françaises par voie diplomatique », selon un arrêté signé par le Premier ministre.

Elle devra « élaborer un plan de travail pour la cessation des obligations prévues par la convention, identifier et gérer (ses) aspects juridiques, sécuritaires et logistiques » mais aussi se « coordonner avec le partenaire français pour garantir un retrait ordonné des engagements bilatéraux ». La commission, qui s’est réuni le 5 décembre, définira prochainement son calendrier de travail, selon les informations obtenues par l’AFP.
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Iran : le Su-35 commence à remplacer les F-14

Iran : le Su-35 commence à remplacer les F-14 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
L’arrivée d’avions de combat Sukhoi Su-35SE en Iran a été semée de confusions. Les doutes ne sont maintenant plus permis. Le remplacement des Grumman F-14 « Tomcat » a débuté.

Sukhoi Su-35SE @ UAC



L’acquisition

L’acquisition des avions Su-35 est intervenue après une longue période de négociation, au cours de laquelle l'Iran a soutenu l'effort de guerre de la Russie en Ukraine en fournissant des drones Shahed 131 et 136, ainsi que des missiles Fateh-110 fabriqués localement. Ces échanges ont été retardés jusqu'à ce que les Nations Unies assouplissent les sanctions contre l'Iran. En octobre 2022, le ministre russe de la Défense, Sergey Shoigu, s'est rendu à Téhéran pour finaliser les accords de missiles et l'accord concernant les Su-35.

En janvier 2023, pour la première fois, un membre de la Commission de sécurité nationale du Parlement iranien a déclaré que le pays avait bien passé commande d’avions de combat Sukhoi Su-35 auprès de la Russie. De son côté, l’agence de presse iranienne Tasni News annonçait une première livraison en mars de la même année. Or, cette dernière a créé la confusion. En effet, un Su-35 ou ce qui pouvait être une maquette grandeur nature a été photographié par un satellite d’observation, laissant supposer le début des livraisons à cette époque. Le pays aurait besoin d’une flotte estimée à 64 appareils.



Aménagement des installations

L’avion ou la maquette ont servi à la préparation de l’aménagement des futures installations de la base aérienne de Hamadan. De récentes images satellites de septembre 2024, rendues publiques via l’OSINT, ont dévoilé une activité de construction importante sur cette base aérienne. Les images révèlent de grands abris arqués, chacun mesurant environ 25 par 30 mètres. La taille des nouveaux abris coïncide avec la surface du Su-35.



La livraison

Le début des livraisons devrait coïncider avec le Nouvel An iranien. Le 4 septembre dernier, le commandant de l'armée de l'air de la République islamique d'Iran (IRIAF), le général Hamid Vahedi, avait annoncé que le pays travaillait à l’arrivée d’avions de combat modernes de type Su-35SE, afin de remplacer les vieux aéronefs en service. Le transfert des appareils étant prévu sous peu, cela confirme l’information selon laquelle des pilotes et mécaniciens s’entrainent depuis plusieurs mois en Russie sur le Su-35.

À la mi-novembre, l'Armée de l'air iranienne aurait reçu ses deux premiers avions de chasse Su-35 acquis de la Russie lors d'une cérémonie privée tenue à l'usine d'avions de Komsomolsk-sur-l'Amour. Ces jets ont ensuite été démontés et transportés à bord d'un Antonov An-124-100 des forces aérospatiales russes à l'aéroport de Mehrabad à Téhéran.

Une fois opérationnels, ces avions seront le premier des 50 avions Su-35 finalement commandés par l'Armée de l'air iranienne, une augmentation par rapport au lot initial de 25. Les analystes suggèrent que l'Iran cherche également à remplacer ses anciens chasseurs F-4 Phantom II, qui fonctionnent aux côtés de MiG-29 depuis la même base à Hamadan.



Sukhoi Su-35 « Flanker-E »

Su-35 @ UAC

Le Su-35 est un appareil de la génération 4++ construit au sein de l'usine KnAAZ. Les caractéristiques de l'avion comprennent une nouvelle avionique numérique avec fusion des données, un nouveau réseau d'antennes radars progressives avec une longue portée de détection et de cibles aériennes. Son noyau est le système de gestion de l'information (SGI), qui intègre les sous-systèmes fonctionnels, logiques, d'information et de logiciels en un complexe unique qui assure l'interaction entre l'équipage et l'équipement. L'IMS comprend deux ordinateurs centraux numériques, des dispositifs de commutation et de l'information. Le pilote dispose de quatre écrans MFI avec affichage multifonctions de 9 x 12 pouces et une résolution de 1400 x 1050 pixels, soit deux LCD MFI-35, un LCD latéral MFPI-35M, un LCD de secours. Le pilote dispose d’un viseur de casque Sura-M.



Le noyau du Su-35 dispose de deux doubles radars en bande X en réseau, à antennes progressives Irbis-E N035 PESA développé par Tikhomirov avec système IRST OLS-35 à l’avant et un N-011 dans la queue arrière. À l’avant, l’antenne est montée sur une unité de commande hydraulique à deux étapes (en azimut et en rouleau). Le dispositif d'antenne scanne par un faisceau électronique dans l'azimut et l'angle d'élévation dans les secteurs non inférieurs à 60°. L'unité d'entraînement en deux étapes électrohydrauliques tourne en outre l'antenne par des moyens mécaniques à 60 ° en azimut et 120 ° en roulis. Ainsi, en utilisant la commande électronique et mécanique du tour supplémentaire de l'antenne, l'angle de braquage maximal du faisceau peut atteindre 120 °. Le radar Irbis-E détecte les cibles aériennes jusqu’à une portée maximale estimée à 400 km. Pour sa protection, l’avion est doté du détecteur d’alerte radar de type L150-35 de TsKBA. doté de six antennes couplées au système d’alerte d’approche missile (MAWS), soit des capteurs SOAR couvrant les 360° de l’avion, complètent le système de détection. De plus, l’avion est doté de deux capteurs « SOLO » qui détectent les télémètres lasers. L’autoprotection reprend l’architecture du système L-265M10-01 « Khibiny-M » avec leurres thermiques UV-50M.



La durée de vie de la cellule est de 6’000 heures de vol, soit un cycle de vie de 30 années d'exploitation. La durée de vie assignée des moteurs AL-117S dérivés de l’AL-41F1S (Izd.117).
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MBDA and Leonardo collaborate on Laser Directed Energy Weapon for naval applications

MBDA and Leonardo collaborate on Laser Directed Energy Weapon for naval applications | DEFENSE NEWS | Scoop.it
European defence companies MBDA and Leonardo have signed a Memorandum of Understanding (MoU) to jointly develop a Fire Unit Laser Directed Energy Weapon (LDEW).
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La force aérienne israélienne a effectué plus de 300 frappes contre les infrastructures militaires syriennes

La force aérienne israélienne a effectué plus de 300 frappes contre les infrastructures militaires syriennes | DEFENSE NEWS | Scoop.it
En 2021, lors de l’évacuation de Kaboul, et en partie parce qu’ils avaient un agenda local, certains responsables politiques, diplomates et analystes occidentaux avaient dit espérer que les taliban avaient changé depuis l’intervention militaire américaine lancée vingt ans plus tôt pour les chasser de la capitale afghane et traquer les membres d’al-Qaïda. Voire qu’ils se montrassent « inclusifs ». Mais « chassez le naturel, il revient au galop ». Trois ans plus tard, ils ont adopté une loi comptant 35 articles pour « promouvoir la vertu et prévenir le vice », en adéquation avec la charia [loi islamique]. Quant aux droits et à la liberté des femmes, ils ont été réduits à néant.

Qu’en sera-t-il en Syrie, où le régime de Bachar el-Assad vient de s’effondrer en moins de dix jours, face à l’avancée de l’organisation Hayat Tahrir al-Cham ? Autrefois lié à Abou Moussab al-Zarkaoui, le dirigeant d’al-Qaïda en Irak tué en 2006, ainsi qu’à Abou Bakr al-Baghdadi, « l’émir » de l’État islamique [EI ou Daesh] éliminé en 2019, son chef, Abou Mohammed al-Joulani, joue désormais la carte de la « modération » à l’égard des minorités. Suit-il en cela la même stratégie que les taliban ? Le naturel reviendra-t-il au galop ? Il est évidemment encore trop tôt pour le dire.

En attendant, en Israël, il n’est pas question de prendre le moindre risque. Depuis le début de la guerre civile syrienne, en 2011, la force aérienne israélienne [IAF] a régulièrement effectué des frappes contre les positions occupées par le corps iranien des Gardiens de la révolution. Il s’agissait aussi d’empêcher l’Iran de fournir des armes au Hezbollah libanais.

Mais comme le dit l’adage, « on sait ce que l’on quitte, on ne sait pas ce que l’on prend ». Devant l’incertitude de la situation en Syrie et alors que les bases et les casernes des forces gouvernementales syriennes ont été abandonnées avec leurs équipements quasiment intacts, Israël a pris les devants, en lançant une opération aérienne d’une ampleur inégalée afin de les détruire, l’objectif étant qu’ils ne tombent pas entre de mauvaises mains.

Ainsi, depuis le 8 décembre, l’IAF a effectué 300 frappes aériennes contre les infrastructures militaires syriennes.

Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, elles ont visé des dépôts d’armes, une partie de la flotte syrienne basée à Lattaquié, des bases aériennes [la totalité des MiG-29 syriens auraient été détruits], des systèmes de défense aérienne et des centres de recherche, en particulier ceux liés au programme d’armes chimiques de l’ancien régime, lequel n’a jamais été démantelé malgré les assurances données par Damas.

En effet, le 26 novembre, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques [OIAC] a transmis au Conseil de sécurité des Nations unies un rapport dénonçant « l’absence de progrès véritable vers l’élimination du programme syrien d’armes chimiques ».

« L’Équipe d’évaluation des déclarations de l’OIAC a identifié 26 questions en suspens, dont 19 irrésolues, parmi lesquelles celles récemment ouvertes concernant le développement et la production à grande échelle d’armes chimiques dans deux installations qui avaient été déclarées précédemment comme n’ayant jamais été en activité », a résumé Izumi Nakamitsu, la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement aux Nations unies.

« Tsahal est en train d’anéantir de fond en comble l’armée syrienne », a affirmé la radio de l’armée israélienne, ce 10 décembre. De son côté, le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a expliqué que ces frappes massives « ont visé des sites présumés d’armes chimiques et des installations de roquettes à longue portée afin d’empêcher leur utilisation par des groupes hostiles ».

Frappes qui ont cependant été dénoncées par Geir Otto Pedersen, l’envoyé spécial des Nations unies pour la Syrie. « C’est inquiétant de constater des frappes et des mouvements israéliens sur le territoire syrien. Cela doit cesser », a-t-il dit, lors d’une conférence de presse donnée à Genève.

Les « mouvements israéliens » qu’il a évoqués concernent le plateau du Golan, en partie contrôlé depuis la guerre des Six-Jours [1967] et annexé en 1981 par Israël. Une zone tampon avait alors été instaurée, sous l’œil de la Force des Nations unies chargée d’observer le dégagement [FNUOD], chargée de contrôler l’application du cessez-le-feu entre Syriens et Israéliens.

En effet, le 8 décembre, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a ordonné à Tsahal de prendre le contrôle de cette zone tampon. « Aujourd’hui, tout le monde comprend l’importance capitale de notre présence sur le Golan, et non au pied du Golan. […] Notre contrôle sur le plateau du Golan garantit notre sécurité, il garantit notre souveraineté », a-t-il fait valoir.

La FNUOD peut « confirmer que les forces armées israéliennes sont entrées dans la zone de séparation, se sont déplacées dans la zone et restent présentes au moins dans trois lieux », a résumé Stéphane Dujarric, le porte-parole de l’ONU, avant de préciser que les Casques bleus avaient été prévenus par Israël de l’entrée de ses troupes de façon « temporaire ».

Par ailleurs, l’état-major israélien a démenti tout mouvement vers Damas.

« Les informations diffusées par certains médias selon lesquelles les forces armées israéliennes avancent vers Damas ou s’en approchent sont totalement fausses », a déclaré le colonel Avichay Adraee, le porte-parole de Tsahal. « Les forces armées israéliennes sont stationnées dans la zone tampon et aux points de défense près de la frontière, afin de protéger les frontières d’Israël », a-t-il insisté.
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La Belgique est sur le point de décider d'armer ses drones MALE MQ-9B SkyGuardian

La Belgique est sur le point de décider d'armer ses drones MALE MQ-9B SkyGuardian | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Faut-il armer les drones MALE [Moyenne Altitude Longue Endurance] ? Cette question peut paraître saugrenue, si ce n’est dépassée, à l’heure où l’usage de munitions téléopérées [MTO] se généralise et où l’avenir de l’aviation de combat passe par le développement d’appareils autonomes de type « ailier fidèle » [ou « loyal wingman »]. Pourtant, elle est encore d’actualité en Belgique.

Cela étant, la France a pris son temps pour trancher ce débat. Ce n’est qu’en 2017 que Florence Parly, alors ministre des Armées, décida que les drones MQ-9 Reaper de l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE] seraient armés. Interrogé, deux ans plus tôt, sur cette possibilité, son prédécesseur, Jean-Yves Le Drian, avait botté en touche. « La question reste posée. Je n’en dirai pas plus », avait-il dit. Des considérations éthiques et / ou politiques pouvaient expliquer une telle réserve.

Pourtant, qu’un missile soit tiré par un avion de combat sans que celui-ci puisse « voir » sa cible ou un par un drone MALE, l’effet final est le même. De même que le risque de « dommages collatéraux »… En réalité, tout dépend des règles d’engagement.

En Allemagne, l’armement des drones a longtemps fait débat, sans doute à cause d’arrière-pensées politiciennes. Opposés à cette idée, les sociaux-démocrates [SPD] et les écologistes [Die Grünen] s’en sont finalement accommodés au moment de signer leur accord de coalition gouvernementale avec les libéraux-démocrates [FDP], en novembre 2021. Cependant, ils avaient insisté sur la nécessité de définir des conditions d’emploi très strictes.

Outre-Quiévrain, ce débat est toujours en cours, alors que la composante « Air » de la Défense belge s’apprête à mettre en œuvre les quatre drones MQ-9B SkyGuardian qu’elle a commandés à l’américain General Atomics en 2020.

La coalition gouvernementale sortante [la « Vivaldi »] n’a pas pu prendre une décision allant dans le sens souhaité par l’état-major belge, en raison de l’opposition des écologistes [Groen et Ecolo]. Et cela malgré des argument solides sur le plan juridique.

« L’utilisation d’un SkyGuardian armé relève du même cadre légal que celle d’autres systèmes d’armement aéroportés, les processus décisionnels et les règles d’engagement applicables étant identiques à ceux du F-16. Le SkyGuardian utilise les mêmes munitions de précision et dispose des mêmes protocoles de sécurité et de la même logique d’armement. Son utilisation s’inscrit dès lors parfaitement dans les cadres juridiques existants », avait fait valoir la Défense belge.

Cela étant, la prochaine coalition, dite « Arizona » [parce que les couleurs des partis qui la composent sont les mêmes que celles du drapeau de l’État américain], devrait autoriser l’armement des SkyGuardian. C’est en effet ce qu’a indiqué le quotidien « La Libre Belgique », la semaine passée.

« Un accord de principe a été trouvé entre les cinq partis de la probable future coalition Arizona », a en effet avancé le journal, en se fiant à plusieurs sources proches des discussions. Et cela même si l’une des formations politiques, en l’occurrence le parti social-démocrate flamant [Vooruit] est plus réservée.

Une résolution demandant au gouvernement d’autoriser l’armement des drones SkyGuardian a d’ores et déjà été déposée à la Chambre des représentants par la Nouvelle Alliance flamande [N-VA], dont le chef de file, Bart de Wever, devrait être le prochain Premier ministre.

« L’armement de nos SkyGuardian est devenu pour nous une évidence. Un signal politique clair est nécessaire pour que le nouveau gouvernement permette à la Défense de poursuivre le développement et l’intégration des UAS armés [des modèles nano aux MALE] pour renforcer la capacité d’action de ses différentes composantes », fait valoir ce texte.
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UN NOUVEAU SUCCES POUR LE CV 90

UN NOUVEAU SUCCES POUR LE CV 90 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
BAE Systems a annoncé la semaine dernière la signature d'un contrat avec le Danemark et la Suède pour la fourniture de 205 Véhicules d
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DES ARMES ANTICHARS ET DES BLINDES POUR LES REBELLES SYRIENS

DES ARMES ANTICHARS ET DES BLINDES POUR LES REBELLES SYRIENS | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Si la rapidité de l'offensive ayant conduit à chute du régime syrien a surpris les observateurs, cette action également permis au
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Missiles : comment MBDA se met à l'heure de l'économie de guerre en Sologne

Missiles : comment MBDA se met à l'heure de l'économie de guerre en Sologne | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le missilier européen investira 150 millions d’euros d’ici 2030 pour agrandir et moderniser les installations de son site en Loir-et-Cher. Outre la forte augmentation de sa capacité de production dans un contexte de réarmement du Vieux continent, MBDA cherche également à améliorer son attractivité pour recruter.
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Su-57 Felon’s Two-Dimensional Thrust-Vectoring Engine Nozzle Breaks Cover

Su-57 Felon’s Two-Dimensional Thrust-Vectoring Engine Nozzle Breaks Cover | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The flattened exhaust nozzle installed at an angle is planned to reduce the signature of advanced versions of the Su-57. The novel flattened exhaust nozzle is planned to reduce the radar signature of advanced versions of the Su-57 Felon fighter.
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Today, 1:23 AM
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Elbit to deliver EW self-protection suites for a European country’s C-390 and H225M aircraft

Elbit to deliver EW self-protection suites for a European country’s C-390 and H225M aircraft | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Elbit Systems to supply EW unnamed NATO country's C390 aircraft and H225M helicopters
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Vietnam : Drones, antennes, brouilleurs : Hanoï prêt à dépenser pour s'équiper en matériel de guerre électronique

Plusieurs appels d'offres ont récemment été émis par l'état-major vietnamien. Les grands groupes internationaux spécialistes de la guerre électronique sont dans les starting-blocks.
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Arabie saoudite : Au grand dam des industriels occidentaux et chinois, le programme de télécoms militaires saoudiens mis en pause sine die

Arabie saoudite : Au grand dam des industriels occidentaux et chinois, le programme de télécoms militaires saoudiens mis en pause sine die | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Inquiétude pour Airbus, Huawei, Ericsson et Nokia. Gardé secret depuis plusieurs années, le projet de réseau mobile de communications sécuritaires de la défense saoudienne pourrait ne jamais voir le
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La Commission veut attirer plus de personnel dans l’industrie de la défense

La Commission veut attirer plus de personnel dans l’industrie de la défense | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La Commission européenne effectue des enquêtes auprès du personnel des entreprises du secteur de la défense de l’UE, des jeunes professionnels et étudiants dans le cadre d’une initiative visant à attirer davantage de travailleurs dans le secteur.
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