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Today, 1:56 AM
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Thales and Exail have been selected by the French defence procurement agency (DGA) to deliver eight, plus eight more in option, AUV.
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Today, 1:55 AM
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On le voit, si l'emploi du terme "Partage de la dissuasion", attribué à tort à Thierry Breton, est sûrement très maladroit, il n'en demeure pas moins vrai que
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Today, 1:54 AM
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Le programme Futur Missile Anti-Navire / Futur Missile de Croisière, FMAN/FMC pour l'acronyme français, et FC/ASW pour l'anglais, a été lancé par Paris et
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Today, 1:51 AM
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A decade after delivering its first Sylena decoy launching system (DLS) ship set, French countermeasures manufacturer Lacroix Defense has used Euronaval 2024 to announce the manufacture of the 100th Sylena launcher.
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Today, 1:51 AM
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Safran Defense and Space Inc. officially unveiled a new handheld laser illuminator at this year's Euronaval exhibition in Paris.
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Today, 1:43 AM
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L’Europe manque d’effectifs militaires et ses capacités de défense demeurent insuffisantes, même si ses dépenses ont augmenté depuis l’invasion russe de l’Ukraine, selon l’étude d’un groupe de réflexion britannique parue vendredi 8 novembre.
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Today, 1:42 AM
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Two German shipyards, Fassmer and Abeking & Rasmussen have inked a cooperation agreement during Euronaval 2024 with a view to collaborate for an upcoming German Navy project known as "MUsE".
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Today, 1:41 AM
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Le bâtiment avait appareillé le 24 septembre du chantier Soaceranam de Boulogne-sur-Mer pour réaliser ses premiers essais en mer, avant de rejoindre Calais afin d’y passer environ trois semaines en cale sèche afin d’effectuer un carénage complet de sa coque. A l’issue, l’Auguste Techer a repris la mer et a rallié la base navale de Brest le lundi 4 novembre. Il doit y rester jusqu’en début d’année prochaine afin de procéder à l’installation de certains matériels militaires tout en poursuivant ses essais. Il partira ensuite pour l’océan Indien et l’île de La Réunion, où il sera basé.
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Today, 1:41 AM
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Diehl Defence has teamed up with Skysec to develop a drone interceptor. Diehl works with Skysec’s subsidiary, Skysec Defence, to modify the original civilian-oriented net-arresting interceptor into a hard-kill system suitable for military missions. Armasuisse, the Swiss Federal Office of Armaments, backs the program. Sky Sphere has undergone initial test flights without a live warhead.
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Today, 1:40 AM
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Le premier hélicoptère Tigre français porté au standard 2 a été réceptionné par la Direction générale de l’armement (DGA) fin octobre sur le site de Marignane d’Airbus Helicopters. Piloté par l’OCCAr, ce programme prévoit notamment de moderniser près de la moitié du parc français dans les deux ans. Trois ans après l’expérimentation technico-opérationnelle, place à l’industrialisation pour ce nouveau standard du Tigre HAD (appui-destruction). Cette mise à niveau « apporte des améliorations opérationnelles significatives au Tigre HAD, lui permettant de conserver toute sa pertinence sur le terrain », commentait l’OCCAr en marge de cette livraison initiale. L’évolution porte sur six modules, dont des évolutions du système de communication SITALAT et de résolution des écrans. Le standard 2 intègre également un système de navigation GPS résistant au brouillage ainsi qu’une mise à niveau de l’interrogateur IFF mode 5 pour renforcer l’interopérabilité. Son armement se complète de nouvelles roquettes, dont une roquette guidée laser de 68 mm produite par Thales et également retenue pour le futur hélicoptère interarmées léger Guépard. La réception de cet appareil « marque le début de la modernisation de la flotte de l’aviation légère de l’armée de Terre [ALAT] », notait l’OCCAr. Les 67 Tigre de l’ALAT devraient être portés au standard 2 à l’horizon 2030, annonçait l’an dernier le chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Pierre Schill. Et 25 le seront pour fin 2026, indique un rapport parlementaire portant sur le projet de loi de finances pour 2025. Le rétrofit de la version HAP (appui-protection) vers la version HAD se poursuivra quant à lui jusqu’en 2026. Six Tigre HAD sont attendus en 2025, portant à 34 le nombre d’hélicoptères en service sur les 37 commandés. Quant à la rénovation à mi-vie du Tigre, « les discussions sont toujours en cours avec les partenaires espagnols, l’industriel et l’OCCAr pour définir une vision commune », observe le document parlementaire. Des interrogations subsistent sur les missiles emportés par le futur Tigre RMV, le PLF 2025 annonçant une réorientation du programme MAST-F vers l’hypothèse d’une acquisition de missiles sur étagère.
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Today, 1:37 AM
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Les forces armées et les conflits armés ont tout juste réussi à se faire une petite place à Bakou où vient de débuter la Cop 29. En effet, la Cop29 n'e
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Today, 1:37 AM
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La présence de prestataires de services aux côtés des forces américaines du CENTCOM (le commandement Centre) s’est stabilisée au cours des récentes années. Elle a toutefois tendance à repartir à la hausse comme en témoigne le recensement des contractors effectué par le DoD. Pendant le quatrième trimestre de l’année fiscale 2024 (FY 2024), l’US CENTCOM a recensé 21 341 contractors dans son AOR, soit une hausse de 957 par rapport au trimestre précédent (voir mon post). Je rappelle que ces contractors sont déployés en soutien des forces US dans des domaines variés: sécurité, logistique, interprétariat, transport etc. La hausse constatée précédemment en Irak et en Syrie se confirme, même si elle a ralenti de façon considérable. Le nombre de contractors y a augmenté, passant de 6387 à 6450 (+1%). Dans les autres secteurs du CENTCOM, la hausse est cette fois très nette avec un gain de 894 contractors. Dont +394 citoyens US, +496 TCN et +4 employés locaux. Soit une hausse totale de 957 personnes pour l’AoR du CENTCOM. Le CENTCOM n’a donné aucune précision sur cette hausse ou sur les types de service concernés.
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Today, 1:35 AM
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Les Etats-Unis vont envoyer « un petit nombre » d’employés de sociétés militaires privées en Ukraine pour s’occuper de la maintenance technique de l’armement américain. C’est un sujet dont j’ai déjà parlé à plusieurs reprises puisque la décision était en attente (lire ici) et que des entreprises de service de sécurité et de défense (ESSD) américaines ne cachaient pas leur présence en Ukraine (lire ici). Certaines de ces ESSD sont déjà à l’oeuvre en Pologne (voir ci-dessous une offre d’emploi de la société US Amentum) et en Roumanie (pour les F-16); elles n’auront donc aucun mal à projeter du personnel en territoire ukrainien: Pourquoi une telle décision? L’élection de Donald Trump chamboule tout, surtout s’il met à exécution ses menaces de cesser l’envoi d’aides matérielles et financières à Kiev. Kiev dont les armées sont en mauvaise posture dans le Donbass et qui est à court d’effectifs pour remplir toutes les missions nécessaires à la poursuite de l’effort de guerre (maintien en condition opérationnelle ou MCO, maintenance, logistique, formation etc.) L’envoi par Washington de prestataires de services en Ukraine a été annoncé vendredi par un responsable de la Défense américaine. Les ESSD américaines qui travailleront en Ukraine « seront loin des lignes de front et ne participeront pas au combat face à l’armée russe. Ils aideront l’armée ukrainienne à réparer et entretenir rapidement les équipements fournis par les Etats-Unis, selon les besoins, afin qu’ils puissent vite retourner sur le front », a-t-il été précisé. « Nous prenons cette mesure car certains des équipements américains fournis à l’Ukraine — ou qui seront fournis à l’Ukraine dans les prochains mois — comme des F-16 ou les systèmes de défense aérienne Patriot demandent une expertise technique spécifique pour être entretenus », a précisé le responsable, ajoutant que cette décision a été prise « après une évaluation prudente des risques ». Et peut-être sur fond d’immixtion nord-coréenne dans le conflit. La présence de « contractors » (je pense à ceux de la grande société américaine Amentum qui entretient les hélicoptères Black Hawk des services spéciaux de Kiev et qui a signé, en juin dernier, des accords avec des sociétés ukrainiennes pour se déployer sur le terrain) est déjà effective mais reste officieuse. La signature d’un accord en juin entre Amentum et le ministre ukrainien des approvisionnements stratégiques (photo Amentum) Actuellement, c’est dans le domaine du MCO et de la maintenance que travaillent ces contractors; d’autres sont (ou seront vite) déployés pour intervenir dans le soutien logistique, le renseignement, voire de la formation… Claquer l’enveloppe A cette décision de l’administration Biden (décision qui n’est pas encore officielle en ce 9 novembre) pourrait s’ajouter de nouvelles cessions d’armes et de munitions, comme l’a laissé entendre une porte-parole du Pentagone. Avant l’investiture du républicain en janvier, le gouvernement du président sortant va certainement chercher à dépenser jusqu’au dernier cent l’enveloppe budgétaire votée en faveur de l’Ukraine. Une enveloppe qui totaliserait au moins 7 milliards de dollars dont 4 seraient utilisés pour les cessions d’armes à Kiev.
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Today, 1:56 AM
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C'est enfin fait. Les forces aériennes israéliennes, le fameux Kheil HaAvir (corps aérien en hébreu), viennent d'officialiser la commande pour 25 F-15IA,
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Today, 1:55 AM
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L'italien Fincantieri a signifié son intérêt pour un rapprochement avec tKMS, pour faire émerger un leader européen de la construction navale miliaire.
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Today, 1:51 AM
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Taiwanese shipbuilder Jong Shyn Shipbuilding Group (中信造船) hosted a keel-laying ceremony for Taiwan’s new anti-air warfare (AAW) frigate at its shipyard in Kaohsiung on November 4, 2024.
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Today, 1:51 AM
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NATO is establishing 'Merlin', a new anti-submarine warfare (ASW) exercise dedicated to training and testing ASW capability in the Baltic Sea.
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Today, 1:50 AM
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Exavision, a subsidiary of Ineo Defense, part of Equans in France, has chosen EURONAVAL 2024 to present a new member of the SEAMOS family.
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Today, 1:43 AM
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Pari gagné pour Fly-R. Remarquée lors du dernier salon SOFINS, sa munition téléopérée (MTO) au look unique se concrétise aujourd’hui au travers d’un partenariat avec MBDA officialisé la semaine dernière au salon Euronaval. C’est l’histoire du rapprochement réussi entre un géant aux 4,5 Md€ de chiffre d’affaires annuel et d’une PME réunionnaise innovante dont la technologie d’aile rhomboïde a été primée au salon SOFINS. Candidat malheureux aux appels à projet LARINAE et COLIBRI de l’Agence de l’innovation de défense, Fly-R se sera suffisamment fait remarquer que pour taper dans l’oeil de MBDA, désireux de se positionner sur un segment des MTO en forte croissance. De cette alliance est née la MTO R2-120 RAIJIN. Ce qui a attiré le groupe européen, c’est cette aile « fermée » qu’il maîtrise au travers de sa solution Diamond Back et dont il connait dès lors les principales propriétés : une faible trainée, un gain de stabilité, de manoeuvrabilité, de vitesse et de précision. De quoi permettre à la cellule conçue par Fly-R d’atteindre 110 km/h en vitesse de croisière et jusqu’à 270 km/h en attaque plongeante avec « une précision vraiment millimétrée », la rendant difficile à neutraliser pour la défense sol-air adverse. Sa motorisation électrique garantit une autonomie de 45 minutes pour une portée de 50 km tout en augmentant la furtivité, des capacités à mi-chemin des prérequis établis pour COLIBRI et LARINAE. La R2-120 RAIJIN se veut donc complémentaire, par exemple, des démonstrateurs MUTANT XL et Sphynx développés au travers de ces deux projets. Surtout, ses performances supérieures la font jouer dans une autre division que la grande concurrente américaine, la MTO Switchblade d’Aerovironment. Si Fly-R apporte son expertise de droniste, MBDA fournit ses technologies de guidage, d’intelligence artificielle, de suivi de terrain, d’aide à la décision et d’évolution en environnement GPS contesté. Autant de briques montées en maturité via l’expérimentation COLIBRI et auxquelles se combine une tête militaire de 1,5 kg à effets multiples disponible sur étagère. La charge est calibrée pour traiter des cibles molles et faiblement blindées mais l’objectif reste bien d’étendre le concept à des plateformes d’envergure supérieure en misant sur cette chaîne létale « maison ». Le modèle R2-150, par exemple, est déjà qualifié par la DGAC et validé par l’ONERA. MBDA et Fly-R visent le segment du « low cost », donc le volume. Pour y parvenir, le duo travaille entre autres à étendre au maximum le champ des applications. Celles-ci ne manquent pas. Dans sa version initiale, la R2-120 RAIJIN sera destinée au fantassin et tirée depuis un tube portable à lancement pneumatique. Demain, elle pourrait être lancée depuis un véhicule grâce à la tourelle présentée en juin dernier au salon Eurosatory. Et, pourquoi pas, en faire un vecteur de défense anti-aérienne, un scénario matérialisé durant Euronaval par l’intégration dans le système naval de lutte anti-drones Sea Warden de MBDA ? Qu’importe l’usage, le domaine maritime est en tout cas sérieusement ciblé. « Nous commençons à promouvoir la solution également sur plateforme navale pour faire de l’anti-FIAC [Fast Inshore Attack Craft], de la surveillance et de l’anti-USV [Unmanned Surface Vehicle] », indique MBDA. Plusieurs principes de lancement sont à l’étude, dont le lanceur modulaire polyvalent de Naval Group. Derrière la terre et la mer, le duo étudie aussi un lancement depuis un hélicoptère en s’appuyant sur les avancées en terme de collaboration entre plateformes habitées et non habitées (MUM-T). Des études et des essais sont à ce titre en cours avec la Marine nationale. Si elle a retenu l’attention des opérationnels français, cette munition décroche d’ores et déjà quelques touches à l’export. Aux Émirats arabes unis notamment, mais aussi auprès de plusieurs forces terrestres et navales. L’un de ces prospects assistera à un vol d’essai programmé pour le mois prochain. Fly-R conservera la mainmise sur une cellule que MBDA modifiera en dehors de La Réunion. Le processus d’industrialisation doit encore être affiné pour un lancement envisagé au plus tard pour 2027. Il faut néanmoins s’attendre à du neuf dans les trois à quatre prochains mois, alors que se tiendra un salon de défense majeur dans la capitale émiratie.
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Today, 1:41 AM
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On November 7, the Republic of Korea Navy (ROKN) Joint Training Task Group made a port call at Yokosuka Base of the JMSDF.
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Today, 1:41 AM
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Après plusieurs années de préparation, le déploiement du groupe aéronaval (GAN) français jusque dans l’océan Pacifique, qui restait soumis à d’éventuelles urgences opérationnelles qui auraient pu modifier sa destination, a été confirmé. Articulé autour du porte-avions Charles de Gaulle, le GAN va rapidement quitter Toulon pour la mission Clemenceau 2025. Ce déploiement le verra évoluer durant cinq mois environ en mer Rouge, en océan Indien et jusque dans l’ouest de l’océan Pacifique.
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Today, 1:40 AM
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Le groupe aéronaval (Gan) partira dans moins d’un mois vers l’Indopacifique, pour quatre à cinq mois de déploiement. La marine souligne l’ambition de cette mission Clemenceau 25 sans lever toutes les inconnues. Notamment du fait de la traversée de la mer Rouge, qui pourrait exposer le « Charles de Gaulle » au feu direct pour la première fois.
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Today, 1:39 AM
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Globalement épargnées lors de la coupe budgétaire de début d’année, les armées françaises n’échapperont pas au tour de vis de la fin de gestion 2024. S’il permet de couvrir une partie des surcoûts opérationnels, le projet de loi (PLFG) présenté ce mercredi projette aussi d’ôter plus de 500 M€ aux programmes d’équipement. Après une première coupe de 10 Md€ actée en février, le gouvernement compte annuler 5,6 Md€ de crédits supplémentaires pour maintenir le déficit public à 6,1% du PIB. L’essentiel, environ 80%, correspond à des moyens gelés au cours de l’été par le précédent ministre en charge du budget. Entre les ouvertures et les annulations proposées dans ce PLFG, les armées se voient au final ponctionnées d’un peu plus de 250 M€ répartis à parts quasi égales en crédits de paiement et autorisations d’engagement. Le programme 144 et le programme 212 « perdent » respectivement 33 M€ et près de 240 M€ de crédits. Celui consacré aux équipements est ponctionné de 532 M€ portant sur des crédits mis en réserve. Autant de coupes contrebalancées par l’ouverture de 677 M€ en crédits et autant en autorisations d’engagement au profit du programme 178. De quoi couvrir « les surcoûts opérationnels au titre des OPEX, des Jeux olympiques et paralympiques, des déploiements sur le front oriental de l’OTAN, de la situation en Nouvelle-Calédonie, ainsi que la contribution nette de la France à la Facilité européenne pour la paix dans le cadre de l’effort de soutien national à l’Ukraine », pointe le PLFG 2024. S’y ajoutent 160 M€ en CP et autant en AE ouverts pour des raisons équivalentes au sein du programme 212. « D’importantes incertitudes persistent du point de vue de l’exécution budgétaire 2024 et pourraient compromettre la capacité des forces terrestres à atteindre les objectifs fixés par la loi de programmation [militaire] ». Cette inquiétude exprimée la députée socialiste Isabelle Santiago, plusieurs autres parlementaires l’ont partagée au cours de l’examen des dépenses militaires proposées pour 2025. Évalués à 1,3 Md€ par certains et à 2 Md€ par d’autres, les coûts des OPEX et MISSINT dépassent dans les deux scénarios la provision de 800 M€ prévue en LPM. Les gels et surgels de crédits plafonneraient quant à eux à 2,6 Md€, dont près de 1,2 Md€ pour le seul programme 146. Soit l’équivalent de plus d’un tiers de la marche financière votée pour 2024. « L’absence de dégel aurait un effet délétère sur l’entrée en 2025 », pointait à son tour le député Horizon Christophe Plassard, rapporteur spécial pour le volet « Préparation de l’avenir ». « Si le dégel n’est pas opéré, c’est la cohérence opérationnelle des armées qui en serait réduite. On enverrait donc un très mauvaise signal aux industriels qui ont besoin de visibilité pour la montée en puissance qu’exige l’économie de guerre », poursuivait-il. Au risque de transformer la marche promise par la LPM en faux plat budgétaire. Sans écarter l’inconnue budgétaire, le ministre des Armées Sébastien Lecornu voulait plutôt confiant. « À ce stade de la discussion budgétaire, il est normal de ne pas être fixé à ce sujet, mais j’ai obtenu un dégel complet chaque année depuis que je suis en poste, et même des ouvertures de crédits supplémentaires », expliquait-il le 15 octobre en audition de la commission défense. Un mois plus tard, le coup de rabot gouvernemental risque a contrario d’accentuer l’incertitude dans les rangs parlementaires.
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Today, 1:37 AM
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Après 37 ans de service actif, le sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Emeraude doit quitter Brest cette semaine pour un dernier voyage vers la base navale de Cherbourg-en-Cotentin (Manche), où il sera désarmé. C’est le quatrième SNA de classe Rubis à être désarmé, après le Saphir en 2019, le Rubis en 2022 et le Casabianca en 2023. Les SNA de type Rubis doivent tous être remplacés par des SNA de nouvelle génération, de classe Suffren, d’ici à 2030. Emmanuelle François, ma consoeur brestoise, a pu rencontrer son commandant lors de l’escale brestoise du SNA. Le sujet est à lire ici. Le commandant du sous-marin nucléaire d’attaque « Émeraude », Yohann José-Maria, dans la salle des lance-torpilles. | THIERRY CREUX / OUEST-FRANCE « Quitter le navire fait forcément un pincement au cœur ; une partie de notre vie est là-dedans », déclare Yohann José-Maria, le dernier des 41 commandants qui se sont succédé à la barre de l’imposante coque noire. « La vie d’équipage, c’est beaucoup de solidarité et d’entraide. C’est une aventure humaine extraordinaire de partir pour des missions de 45 jours sans voir le ciel, à 70 sur un navire de 70 m de long ! » Ses meilleurs souvenirs ? « D’excellents moments opérationnels dont je ne peux pas parler, mais aussi les moments humains, les fêtes d’anniversaires et les parties de Fifa. » Dans sa salle de repos, le commandant a une console, « mais ce n’est pas pour jouer tout seul. Garder la cohésion de l’équipage est un travail quotidien. »
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Today, 1:36 AM
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Vasil Bychyk, un caporal du 16e bataillon de chasseurs à pied de Bitche, est mort le 10 octobre dans un accident de la route à Djibouti. Voir mon post. Une cérémonie militaire a eu lieu à Djibouti le 6 novembre. Une autre est annoncée à Bitche le mardi 12 novembre. Photo 5e RIAOM Les obsèques de Vasil Bychyk auront lieu jeudi 14 novembre. La cérémonie religieuse sera célébrée à l’église de Couterne, commune déléguée de Rives-d’Andaine, dans l’Orne. Il sera ensuite inhumé au cimetière de La Ferté-Macé, ville où vit toujours une partie de sa famille. Né le 1er février 1998, d’origine ukrainienne et naturalisé en 2020, le caporal Vasil Bychyk s’était engagé le 2 novembre 2021 au 16e BCP de Bitche. Il était connu de certains habitants de La Ferté-Macé, dans l’Orne. En effet, comme le rappelle, sur les réseaux sociaux, un proche anonyme, « Vasil Bychyk était passé par l’école de Couterne, ainsi que le collège de La Ferté-Macé (…) Il était un copain d’école apprécié de tous ». « Il était arrivé d’Ukraine avec sa famille en primaire. Il avait très vite été intégré. C’était une personne sans histoire, au grand coeur. Il était un copain d’école apprécié de tous », confie un de ses amis cité par Le Publicateur Libre. « Il est allé à l’école de Couterne, avant que Couterne ne devienne une commune déléguée de Rives-d’Andaine. Ses parents habitaient à Haleine. Je l’ai connu enfant. Puis ils sont partis vivre à La Ferté-Macé », indique Daniel Durand, l’ancien maire de Couterne, cité par Ouest-France.
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