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Today, 2:46 PM
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The IRST Block II enhances ‘situational awareness by supplementing air-to-air detection and track capabilities, and autonomously or in combination with other sensors, supports the guidance of beyond visual range missiles.’
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Today, 2:45 PM
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The first German P-8A Poseidon has received the complete German Navy livery and is expected to be delivered by August 2025, starting the replacement of the older P-3C Orion Maritime Patrol Aircraft.
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Today, 2:45 PM
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Israel got the go-ahead to buy, among the others, over 2,100 GBU-39 SDBs and 3,000 AGM-114 Hellfire missiles. The U.S. State Department has given the
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Today, 2:39 PM
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Un démineur russe affirme que des enregistrements de félins trompent ses camarades soldats, avant qu'une charge explosive ne soit déclenchée.
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Today, 2:36 PM
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Le groupe français a réuni l'an dernier les équipes de chercheurs et d'ingénieurs en IA au sein d'une seule entité, CortAIx. Il compte profiter du Sommet international à Paris pour mettre en lumière les spécificités des technologies pour ses activités.
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Today, 2:36 PM
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Entretien avec le Commissaire général hors classe Olivier Marcotte, directeur central du commissariat des armées, qui revient sur la procédure d’attribution des marchés au sein du ministère des Armées et sur le choix d’un nouveau titulaire pour les nouveaux uniformes qui équiperont les armées.
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Today, 2:25 PM
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En 2018, la Direction générale de l’armement [DGA] fit savoir qu’elle avait confié le soin à un groupement formé par Safran Electronics & Defense et la PME Effidence de mener des études visant à « préparer la future capacité de robots des unités de combat de l’armée de Terre » dans le cadre du programme FURIOUS [FUturs systèmes Robotiques Innovants en tant qu’OUtilS au profit du combattant embarqué et débarqué]. D’autres entreprises spécialisées et des laboratoires dédiés à la robotique devaient y être associés. Il s’agissait alors de mettre au point trois démonstrateurs de « tailles différentes » capables d’effectuer une reconnaissance de zone, d’explorer des bâtiments et de transporter du matériel. Des essais devaient être menés au sein d’une section d’infanterie, au Centre d’entraînement aux actions en zone urbaine [CENZUB] de Sissonne. Quatre ans plus tard, alors que l’armée de Terre enchaînait les initiatives dans le domaine de la robotique terrestre [essai d’une « mule robotisée » au Sahel, défi CoHoMa, création de la section Vulcain, etc.], la DGA a notifié à Safran Electronics & Defense une nouvelle « tranche contractuelle », toujours au titre du programme FURIOUS. « Cette notification fait suite à la réussite des essais terrains du système de robots FURIOUS réalisés fin 2021 par Safran au Centre d’entrainement au combat en zone urbaine. Cette étape clé a clôturé avec succès la tranche ferme de FURIOUS », avait alors expliqué l’industriel. L’objectif était d’optimiser l’architecture modulaire, matérielle et logicielle qui avait été mise au point durant la première phase et d’aller encore plus loin dans l’autonomisation des systèmes. Depuis, « l’écosystème » français en matière de robotique s’est étoffé. Et, la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 a confirmé la nécessité de développer « l’usage de robots terrestres et de systèmes capables de coopérer avec le soldat et son environnement, sous son contrôle » afin de « réduire l’exposition de nos forces ». Lors d’une audition au Sénat, en novembre, le chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT], le général Pierre Schill, a précisé ses attentes en matière de robotique terrestre. « Des études amont et un démonstrateur sont financés. C’est un domaine d’innovation qui n’a pas encore la maturité de celui des drones aériens mais dans lequel nous devons être partie prenante, en particulier pour la partie logicielle. À ce titre, le projet Aurochs, de l’Institut Saint-Louis est intéressant. Les progrès qu’il permettra seront utilisés dans les versions ultérieures », avait-il d’abord souligné. « Comment utilisera-t-on ces robots ? Tout d’abord, dans le génie, pour la mission de déminage. Nous avons déjà des robots dans ce domaine, c’est une fonction permettant de ne pas exposer inutilement des hommes. Il y aura, ensuite, la fonction logistique, en particulier pour alimenter les flux entre l’arrière et l’avant, comme par exemple le projet de fabriquer des robots porteurs capables de suivre un véhicule blindé qui ouvrira la route », avait ensuite développé le CEMAT. Cependant, il avait estimé que la mise en œuvre de « robots armés » prendrait du temps car cette idée « demeure complexe techniquement ». Ainsi, « des difficultés restent à résoudre s’agissant du déplacement et du contrôle du tir », avait expliqué le CEMAT, avant de rappeler que l’objectif était de « parvenir à de premières unités robotisées au terme de la LPM ». Et cela, même si plusieurs industriels, comme KNDS France avec l’Optio X20 [armé d’un canon de 20 mm] ou MBDA, ont proposé des solutions. Quoi qu’il en soit, s’agissant des robots armés, la DGA a annoncé, le 6 février, qu’elle avait récemment attribué à Safran Electronics Defense et à KNDS France le contrat-cadre « DROIDE », d’une durée de sept ans. « Les réflexions capacitaires prévoient l’accélération de l’usage des vecteurs téléopérés et un élargissement du spectre de leurs missions, y compris dans le domaine terrestre qui présente une complexité particulière », explique la DGA, via un communiqué. Aussi, poursuit-elle, « pour accompagner cette évolution, l’accord-cadre DROIDE vise à faire monter en maturité les technologies clés nécessaires aux plateformes robotisées terrestres évoluant sur le champ de bataille ». Ouvert à d’autres partenaires susceptibles de proposer des « innovations d’intérêt », il se « concrétisera par la conception d’un démonstrateur robotique terrestre multimissions », l’objectif étant de disposer d’un robot terrestre permettant d’augmenter les « capacités du groupe de combat tout en limitant l’exposition des soldats ». A priori, Safran Electronics & Defense devrait mettre à profit toute l’expérience accumulée durant le programme FURIOUS. Avec sa gamme de mini-robots Nerva, sa mule robotisée Ultro 600 et l’Optio, KNDS France mettra à profit son partenariat avec SERA Ingénierie [filiale du groupe SOGECLAIR]. Partenariat qui s’est concrétisé avec le robot terrestre Centurio [photo ci-dessus], lequel a déjà été mis à l’épreuve au camp militaire de Canjuers.
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Today, 2:22 PM
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En avril 2019, la Royal Air Force [RAF] a retiré ses derniers chasseurs-bombardiers PANAVIA Tornado du service, après trente-sept ans d’utilisation. Depuis, sur les 81 exemplaires qu’elle a possédés, au moins 10 sont actuellement exposés dans des musées. Quant aux autres, leur sort est désormais scellé : ils seront recyclés pour produire l’avion de combat de 6e génération « Tempest », issu du projet GCAP [Global Air Combat Programme]. C’est en effet ce qu’a annoncé le ministère britannique de la Défense [MoD], le 5 février. Ainsi, le projet « Tornado 2 Tempest » vise à récupérer les pièces de Tornado contenant des matériaux parmi les plus recherchés, comme, par exemple, le titane. Ces dernières sont ensuite réduites en « poudre » pour ensuite en produire de nouvelles, grâce à l’impression 3D. Ce projet « pourrait permettre d’économiser l’argent des contribuables, de réduire la dépendance du Royaume-Uni vis-à-vis des chaînes d’approvisionnement de métaux critiques et de produire des composants plus légers, plus résistants et plus durables que ceux fabriqués à l’aide de techniques traditionnelles », fait valoir la RAF, via un communiqué. Et de souligner que le MoD possède de « nombreux actifs excédentaires » susceptibles de contenir des « métaux stratégiques, notamment de l’acier de haute qualité, de l’aluminium et du titane ». Aussi, l’équipe du projet « Tornado 2 Tempest », mené par la Defence Equipment en Support [DE&S] en coopération avec Rolls-Royce et Additive Manufacturing Solutions Limited [AMS], s’est attachée à identifier les composants pouvant être ainsi recyclés. Des pièces en titane ont ainsi subi un tel traitement pour fabriquer un cône de nez et des aubes de compresseur destinés au démonstrateur du moteur Orpheus, développé par Rolls-Royce. Les essais réalisés par la suite ont été menés avec succès. Pour la RAF, ils ont démontré que cette technique pourrait non seulement être utilisée pour l’avion de combat de 6e génération mais également pour d’autres projets. « Le projet Tornado 2 Tempest met en évidence la créativité, l’ingéniosité et l’innovation dont fait preuve la Défense dans son approche de la sécurité nationale », s’est félicitée Maria Eagle, la ministre britannique déléguée à l’industrie et aux achats de défense. « En travaillant avec des partenaires clés de l’industrie, nous pouvons réaliser des économies, réduire la dépendance aux chaînes d’approvisionnement mondiales et garantir que nos forces armées disposent du meilleur équipement pour assurer la sécurité de notre pays », a-t-elle ajouté, en soulignant « l’impact positif sur l’environnement » d’une telle initiative.
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Today, 2:20 PM
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Il n’y a pas si longtemps, la marine argentine [ARA – Armada de la República Argentina] possédait encore trois sous-marins pour surveiller sa vaste zone économique exclusive [ZEE] de plus d’un million de km², laquelle est par ailleurs régulièrement visitée par d’imposantes flottilles de chalutiers chinois. Or, avec la disparition tragique de l’ARA San Juan en novembre 2017 et l’annulation de la modernisation de l’ARA Santa Cruz, l’ARA ne dispose plus que de l’ARA Salta [type 209]… réduit à tenir le rôle de navire école étant donné qu’il ne peut plus naviguer qu’en surface. Aussi, pour l’ARA, se procurer trois nouveaux sous-marins est une priorité. Deux industriels sont sur les rangs, à savoir le français Naval Group, avec le Scorpène, et l’allemand ThyssenKrupp Marine Systems, avec le Type 209 de nouvelle génération. En août 2024, le chef d’état-major de la marine argentine, l’amiral Carlos María Allievi, laissa entendre que l’offre française avait une longueur d’avance sur celle faite par TKMS. « Nous attendons qu’une décision soit prise au niveau politique. C’est le président [Javier Milei] qui, en tant que commandant en chef des forces armées, ordonnera l’acquisition de sous-marins, ce qui est vital pour la marine », avait-il d’abord rappelé, avant de souligner qu’un chantier naval public [comme Naval Group, dont le capital est détenu à 62,25 % par l’État] aurait un atout majeur pour s’imposer. « S’il s’agit d’un chantier naval privé, la négociation sera plus compliquée que s’il s’agit d’un chantier naval public, un accord pouvant être conclu d’État à État dans le deuxième cas », avait en effet soutenu l’amiral Allievi. Effectivement. En septembre, dans les pages de JDNews, le président Milei suggéra que l’offre française tenait la corde. « L’Argentine a de très bonnes relations avec la France. Nous sommes en train d’acheter des sous-marins, des navires pour surveiller nos côtes », avait-il confié. Puis, après une rencontre entre Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, et Luigi Pieri, son homologue argentin, il fut avancé qu’une lettre d’intention – donc non contraignante – avait été signée en vue de l’achat de trois Scorpène, pour un montant évalué à environ 1,8 milliard d’euros, cette somme comprenant un soutien logistique ainsi que des services « associés », notamment en matière de formation. Seulement, même si sa situation financière s’est améliorée, l’Argentine éprouve encore des difficultés à trouver des conditions de crédit favorables pour lui permettre d’acquérir des sous-marins auprès de la France. Sauf que l’Allemagne a l’intention de jouer une nouvelle carte. En effet, la semaine passé, la commission du Budget de la chambre basse du Parlement allemand [Bundestag] a accepté que TKMS puisse recevoir des garanties de l’État pour vendre trois sous-marins U209 NG à l’Argentine. Selon la Frankfurter Allgemeine Zeitung [FAZ], la « responsabilité maximale du gouvernement fédéral a été fixée à 4,1 milliards d’euros », soit un montant supérieur au contrat de 2,2 milliards d’euros envisagé pour les trois sous-marins en question. « Le gouvernement allemand veut surpasser le constructeur de sous-marins français avec des crédits à l’exportation accordés à la hâte », a résumé l’hebdomadaire Der Spiegel. Et cela alors que TKMS a eu du mal à admettre sa défaite face à Naval Group lors de l’appel d’offres lancé par les Pays-Bas pour se procurer quatre nouveaux sous-marins. Si TKMS remporte la partie, la construction des trois sous-marins pourrait commencer en 2026, leur livraison à la marine argentine devant avoir lieu à partir de 2034. Cela étant, l’un des enjeux pour l’ARA est de pouvoir maintenir les compétences de ses sous-mariniers. Actuellement, elle a un accord avec le Pérou, qui leur permet d’embarquer à bord de l’un de ses six sous-marins de type 209 de la marine péruvienne. En août, l’amiral Allievi avait expliqué que l’idéal serait de disposer d’un sous-marin acquis d’occasion afin de ne pas prolonger trop longtemps la rupture capacitaire dans ce domaine. Sans doute que l’Allemagne, qui va renouveler sa flotte sous-marine, aura encore une autre carte à jouer…
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Today, 2:15 PM
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Selon la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30, l’armée de Terre devrait posséder 2038 blindés de type Serval à l’horizon 2035, dont 1060 acquis au titre du programme « Véhicule léger tactique polyvalent protégé » [VLTP-P]. Et cela, afin d’équiper les « unités de combat et d’appui au contact de l’environnement de SCORPION ». D’où la commande qu’a récemment notifiée la Direction générale de l’armement [DGA] auprès de KNDS France, Texelis [dont les activités « Défense » sont sur le point d’être reprises par KNDS, ndlr], MBDA et CS Group. En effet, via un communiqué publié ce 8 février, la DGA a annoncé qu’elle avait commandé 530 Serval « Appui SCORPION » au profit de l’armée de Terre, pour un montant avoisinant 1 milliard d’euros. En outre, 97 autres Serval ont également fait l’objet d’une commande, cette fois au titre du programme SCORPION. Cet « investissement est réalisé dans le cadre du programme véhicule léger tactique polyvalent [VLTP]. Il est également porté par les programmes Défense Surface Air Basse Couche et Lutte anti-drone en charge respectivement de l’acquisition des systèmes de Défense Sol-Air et de Lutte anti-drones », a précisé la DGA. Ces Serval « Appui SCORPION » permettront la « mise sous blindage » et l’intégration à l’environnement SCORPION des unités de l’armée de Terre qui, dédiées au commandement, à l’appui et au soutien, sont amenées à évoluer dans « la zone des contacts », au sein d’une brigade interarmes. Le programme VLTP-P permettra ainsi à l’armée de Terre de moderniser des capacités vieillissantes, voire « orphelines » depuis plusieurs années. Comme cela a déjà été annoncé, il est question de développer plusieurs nouvelles versions du Serval, dont une dédiée à la défense sol-air [DSA], avec une tourelle dotée de missiles sol-air de type MISTRAL 3, et une autre pour la lutte antidrone [LAD], avec l’intégration d’un radar, d’un système de détection des radiofréquences, d’une conduite de tir et d’un canon de 30 mm. Le Serval « Appui SCORPION » se déclinera également en version NCT [nœud de communications tactiques] avec l’intégration de capacités de communications satellitaires [Syracuse IV] et hertziennes. « Le Serval est doté d’un haut niveau de performances sur les plans de la mobilité, de la protection, de l’autonomie ainsi que d’une capacité de projection remarquable. Sa modularité est complétée par l’intégration de nouvelles fonctions de haute valeur ajoutée », rappelle la DGA. Le VLTP-P est le troisième incrément d’un programme plus large, appelé VLTP. Celui-ci s’est d’abord concrétisé par l’acquisition de 4 380 véhicules VT4 et de 103 véhicules sanitaires non protégés. Cependant, l’armée de Terre ne devrait pas être la seule à être équipée de Serval étant donné que le programme VLTP-P doit aussi permettre aux fusiliers commandos de l’armée de l’Air & de l’Espace de remplacer leurs Véhicule d’intervention blindé, basés sur le VAB.
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Today, 2:12 PM
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En septembre 2020, la revue des Forces armées royales marocaines [FAR] confirma qu’une commande portant sur la livraison d’une trentaine de CAESAr 6×6 [Camions équipés d’un système d’artillerie] avait été passée auprès de Nexter [devenu KNDS France]. Et le Maroc reçut ses premiers exemplaires deux ans plus tard. L’acquisition de ce système « s’inscrit dans le cadre des efforts des Forces armées royales pour développer l’Artillerie royale et d’un programme intégré de renouvellement de l’arsenal militaire du pays. Le CAESAr constituera un complément qualitatif à l’appui-feu des équipes mobiles d’infanterie et d’intervention rapide, par sa facilité de déploiement et sa grande maniabilité », avait alors expliqué le forum « FAR Maroc », spécialiste de l’actualité militaire marocaine. Logiquement, afin de ne pas compliquer le Maintien en condition opérationnelle [MCO], le Maroc aurait dû se tourner vers KNDS France pour renforcer son artillerie avec des obusiers automoteurs supplémentaires. Mais il a finalement fait un autre choix. En effet, selon des informations publiées par La Tribune, et alors que ses relations avec Paris sont de nouveau au beau fixe, Rabat a préféré se tourner vers l’israélien Elbit Systems pour se procurer trente-six obusiers ATMOS 2000 [Autonomous Truck Mounted howitzer System], montés sur des châssis fournis par le groupe tchèque Tatra. Ce n’est pas la première fois qu’Elbit Systems dame le pion à KNDS France. Cela est arrivé en Colombie, au Brésil et au Danemark, où le choix de l’ATMOS 2000 pour remplacer les CAESAr livrés à l’Ukraine a fait polémique. Cette fois, l’échec de KNDS France au Maroc serait lié à un service après-vente défaillant. « Les Marocains se sont plaints assez rapidement auprès du groupe français de problèmes récurrents sur les systèmes d’artillerie livrés aux FAR. KNDS France a mis un certain temps à répondre à certaines récriminations de Rabat », avance La Tribune, avant de préciser que les CAESAr marocains « ne seraient toujours pas opérationnels ». Un geste commercial aurait été bienvenu… mais il n’est jamais venu, ajoute le journal. Quoi qu’il en soit, avec le CAESAr et l’ATMOS 2000, l’armée royale marocaine disposera de trois modèles différents d’obusiers automoteurs de 155 mm puisqu’elle possède également plus de 300 M119 [chenillés] de conception américaine. D’après les données de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm [SIPRI], et depuis les accords d’Abraham, Israël était devenu le troisième fournisseur d’équipements militaires du Maroc, avec 11 % de parts de marché. Et cette position va encore se renforcer étant donné que, l’an passé Rabat a choisi Israel Aerospace Industries afin de se procurer deux satellites d’observation Ofek pour plus d’un milliard de dollars.
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Today, 2:10 PM
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Après de longues années de recensement des systèmes existants, l'armée américaine a finalement opté pour le développement d'une capacit
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Today, 2:09 PM
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The Koninklijke Luchtmacht becomes the first customer to opt for the PC-7 MKX. This new training system will provide the Dutch Air Force with an integrated, cost-effective, state-of-the-art solution to meet its needs for basic flying training of its military pilots. The corresponding contract was signed – delivery is planned for the first half of…
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Today, 2:45 PM
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The Maritime Electronic Warfare System Integrated Capability (MEWSIC) will be integrated onto Type 26 and Type 31 frigates, Type 45 destroyers, and the two Queen Elizabeth class aircraft carriers.
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Today, 2:45 PM
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An F-35C of VX-9 assigned to the United Operational Test Team at Edwards AFB performed the first dual drop of externally mounted GBU-54 LJDAM bombs, engaging a remote controlled High-Speed Moving Target.
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Today, 2:43 PM
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Today, 2:38 PM
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D’après le commandant en chef des forces armées ukrainiennes, la Russie ambitionnerait de former jusqu’à 210 000 nouveaux professionnels dédiés à sa branche de drones militaires (UAV) d’ici 2030.
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Today, 2:36 PM
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Des Mirage 2000-5F français ont été livrés à l’Ukraine ce jeudi. Ces avions de chasse s’ajoutent aux F16 fournis durant l’été par l’Otan. L’Ukraine s’apprête-t-elle à dominer la Russie dans les airs ? Réponse avec l’expert Xavier Tytelman.
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Today, 2:33 PM
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[VIDÉO] ▶️ L'armée française doit lancer le 26 février prochain, à bord d'Ariane 6, le satellite CSO-3 pour renforcer son dispositif de surveillance en orbite. Quelles sont les caractéristiques et missions de cet engin ? - Qu'est-ce que le CSO-3, ce satellite militaire espion que la France s'apprête à lancer ? (International). TF1 INFO
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Today, 2:25 PM
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En 2017, un rapport de l’Otan avait prévenu que l’envoi éventuel de renforts dans l’est de l’Europe pourrait être compromis à cause de difficultés pour ses troupes à passer d’un pays européen à un autre. Trois points avaient été mis en avant : le manque de points d’appui logistique, la bureaucratie, avec son assortiment de règles « ubuesques » et l’état des infrastructures [ouvrages d’art, voies ferrées, etc.]. Et, pour y remédier, il fut proposé de créer un « espace Schengen » militaire. Le Service européen pour l’action extérieure [SEAE] de la Commission européenne ne tarda pas à réagir en dévoilant, en mars 2018, un plan visant à améliorer la « mobilité militaire » au sein de l’Union européenne [UE]. « L’objectif est de travailler ensemble au niveau européen afin de garantir que les réseaux routiers et ferroviaires soient adaptés au transport militaire et de simplifier et de rationaliser les règles nationales pour le déplacement rapide et sans heurt des troupes et des véhicules militaires sur le continent en cas de crise », avait-il expliqué. Aussi, ce plan proposait plusieurs mesures censées « rationaliser », voire « simplifier », les règles relatives aux douanes et au transport de marchandises dangereuses. Et il encourageait les États membres à élaborer des « arrangements » concernant les « autorisations de circulation transfrontalières ». Quant aux infrastructures, il était question d’identifier les tronçons du réseau routier les mieux adaptés au transport militaire et, si nécessaire, de les mettre à niveau. Un soutien aux projets d’infrastructures à double usage [civil et militaire] était même envisagé. Ces mesures devaient en partie être financées par une enveloppe de 6,5 milliards d’euros prévue dans le Cadre financier pluriannuel 2021-27 de l’UE. Seulement, sous la pression des États dits frugaux, cette somme fut réduite à seulement 1,69 milliard d’euros. Puis, après le début de la guerre en Ukraine, la Commission européenne a dévoilé le « plan d’action pour la mobilité militaire 2.0 », en reprenant les mêmes objectifs que le premier puisque ceux-ci n’avaient pas encore été atteints, comme en témoignèrent, par exemple, les difficultés de l’armée de Terre à déployer des chars Leclerc en Roumanie en passant par l’Allemagne. Reste que, malgré les intentions affichées, le problème de la mobilité militaire n’a pas encore été réglé. C’est en effet ce qu’avait déploré le général allemand Alexander Sollfrank, du Commandement interarmées du soutien et de la facilitation [JSEC], chargé par l’Otan de la logistique et de la mobilité des troupes en Europe, en novembre 2023. Certes, tout n’est pas du ressort de la Commission européenne étant donné qu’elle n’est pas responsable de la dégradation des infrastructures de transport au sein des États membres [encore que, on pourrait discuter de certaines politiques qu’elle a encouragées ou imposées]. Cependant, un rapport de la Cour des comptes de l’Union européenne se montre sévère à son endroit. La première critique porte sur la « gouvernance » de cette mobilité militaire, laquelle est « complexe » et « fragmentée » tout en étant soumise à un « contrôle parlementaire partiel ». En un mot, il est compliqué de savoir qui fait quoi et, partant, de trouver le bon interlocuteur. « Nous avons constaté l’absence de fonction ou d’organisme assurant de manière centralisée, dans l’UE, la coordination des mesures en matière de mobilité militaire. Les représentants de cinq États membres que nous avons visités ont mentionné les dispositifs de gouvernance pour la mobilité militaire dans l’UE, indiquant qu’ils étaient complexes et qu’il était difficile de déterminer qui a fait quoi en la matière », avance en effet ce rapport. Et d’ajouter : « Souvent, les États membres ignoraient les différences en matière d’obligation de rendre compte entre, d’une part, les organismes financés sur le budget de l’UE, tels que la Commission, le SEAE ou les agences exécutives de l’Union, et, d’autre part, les entités intergouvernementales œuvrant à la mobilité militaire dans l’UE ». Mais, le plus grave, sans doute, est qu’avec le « plan d’action pour la mobilité militaire 2.0 », la Commission européenne ne sait pas où elle va… « Les auditeurs ont constaté qu’avant d’établir le plan 2.0, la Commission européenne n’a pas évalué de façon approfondie les besoins et n’a donc pas pu effectuer une estimation fiable du financement nécessaire pour atteindre ses objectifs », avance la Cour des comptes de l’UE. Qui plus est, des projets d’infrastructure à double usage ont été financés sans tenir suffisamment compte des « facteurs géopolitiques et militaires » et après avoir été « sélectionnés de façon fragmentaire, pas toujours aux endroits les plus stratégiques et sans prendre en considération le contexte élargi », déplorent les auditeurs. « L’essentiel des projets financés étaient situés dans l’est de l’UE, mais les Vingt-Sept n’en ont presque pas soutenu sur la route du sud vers l’Ukraine. En outre, la sélection des projets à financer par l’Union a eu lieu avant l’établissement des priorités les plus urgentes », ont-ils ajouté. En revanche, les considérations environnementales n’ont pas été oubliées. « Selon tous les États membres que nous avons visités [sauf un], le dossier de conformité environnementale et/ou l’étude sur la protection contre les effets du changement climatique ajoutée pour le troisième appel représentent toutefois une complication, car ces éléments sont très chronophages, ralentissent les projets et devraient être simplifiés », affirme le rapport. « Trois des sept États membres de notre échantillon se demandaient même si ces dossiers/études étaient approprié(e)s pour la mobilité militaire, compte tenu de l’urgence de leurs besoins, avec une guerre en cours en Europe », ajoute-t-il. Le problème est que, en l’état, il n’est pas possible de rectifier le tir puisque le budget de 1,69 milliard d’euros dédié à la mobilité militaire est déjà épuisé. « Plus de quatre longues années vont ainsi s’écouler avant que des fonds européens soient à nouveau disponibles pour la mobilité militaire, ce qui compromet la stabilité et la prévisibilité du financement », relève la Cour des comptes de l’UE. « La mobilité militaire est fondamentale pour doter l’UE d’une capacité de défense crédible. Il est grand temps d’en accélérer le rythme. Mais des obstacles l’empêchent de passer à la vitesse supérieure », a résumé Marek Opioła, le responsable de ce rapport.
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Today, 2:21 PM
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Dans une note récente, le Commandement du combat futur [CCF] de l’armée de Terre s’est penché sur la « survivabilité » des postes de commandement [PC] lors d’un engagement de haute intensité. Et pour cause : en raison de leur nature, ils constituent évidemment des cibles de haute valeur pour l’adversaire. Ainsi, quatre éléments ont été mis en avant : la discrétion, la mobilité, la protection et la résilience. Globalement, la note a fait valoir que le modèle du PC « camp de toile » n’avait désormais plus de raison d’être car ne répondant pas aux « exigences de la plupart des scénarios d’engagement ». Aussi, jusqu’au niveau brigade, « le commandement embarqué depuis des véhicules blindés paraît indispensable dans certaines phases du combat », a estimé son auteur. D’où l’intérêt de l’évaluation technico-opérationnelle [EVTO] que vient de réaliser la Section technique de l’armée de Terre [STAT] avec l’appui du 3e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine [RPIMa], lequel a fourni des véhicules blindés multirôles légers [VBMR-L] Serval en version « Poste de commandement » ainsi qu’un Véhicule de l’avant blindé [VAB] PC. « Les objectifs principaux étaient de tester la mise en grappe de véhicules via fibre optique pour un travail en réseau », a expliqué la STAT, qui a également évoqué « l’interphonie » et la « banalisation radio » sans livrer plus de détails. Concrètement, cette évaluation a consisté à « mettre en grappe » – c’est-à-dire à associer – au moins trois Serval PC NIV 4/5 afin de permettre aux marsouins du 3e RPIMa d’effectuer un travail collaboratif en partageant des ordres d’opérations et des documents établissant une situation tactique avec le PC du Groupement tactiques interarmes [GTIA]. La transmission par fibre optique répond à l’impératif de discrétion évoqué par la note du CCF. En effet, contrairement aux signaux radioélectriques, susceptibles d’être interceptés ou brouillés à distance, la lumière optique utilisée dans la fibre se limite à la ligne de transmission elle-même. En clair, pour capter une communication, il faut accéder physiquement au câble. Quoi qu’il en soit, rappelle la STAT, « le besoin de l’armée de Terre étant de remplacer les véhicules poste de commandement d’ancienne génération, le Serval PC NIV4/5, véhicule principal de la chaîne de commandement, fournit un environnement physique et technique » permettant de prendre les ordres venant de l’échelon supérieur, d’en donner, de suivre la situation tactique, de conduire et de coordonner les actions. Et cela grâce à un système d’information opérationnel et de commandement [SIOC] intégré. Photo : STAT
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Today, 2:18 PM
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La petite phrase du président turc, Recep Tayyip Erdoğan, n’aura pas manqué d’être relevée en Grèce. Le 7 février, après avoir eu un échange téléphonique avec son homologue français, Emmanuel Macron, au sujet de la décision de l’Union européenne de suspendre les sanctions visant la Syrie, il a affirmé que « l’intensification du dialogue » entre la France et la Turquie allait « contribuer positivement aux relations » entre les deux pays, lesquels ont « un potentiel de coopération dans de nombreux domaines, notamment dans l’industrie de défense ». Ces dernières années, les relations à couteaux tirés entre Paris et Ankara ont en effet mis un terme aux rares projets que les deux capitales avaient l’intention de lancer en matière d’armement, en particulier dans le domaine de la défense aérienne. Pour autant, estimant que la France et la Turquie avaient tout intérêt à reprendre le dialogue, un rapport du Sénat a récemment plaidé pour une relance de la coopération militaire bilatérale, y compris au niveau industriel. Il serait « particulièrement pertinent de procéder à une revue stratégique commune afin d’examiner les sujets d’intérêt communs et de signifier qu’une page a bel et bien été tournée », ont même fait valoir les cinq sénateurs à l’origine de ce rapport. Et cela alors que la France et la Grèce sont liées par un partenariat stratégique de défense, assorti d’une clause de défense mutuelle. D’ailleurs, c’est ce qu’a rappelé Athènes au moment où la Turquie cherche à se procurer des missiles air-air de longue portée pour armer les quarante avions de combat Eurofighter EF-2000 / Typhoon dont elle négocie l’achat avec le Royaume-Uni. Développé par MBDA dans le cadre d’une coopération européenne, le Meteor arme les vingt-quatre Rafale vendus par la France à la Grèce. Et cela permet à cette dernière de « verrouiller » la FIR [Flight Information Region] d’Athènes, laquelle fait l’objet d’un contentieux avec Ankara. Or, pour que le Royaume-Uni puisse vendre des Meteor à la Turquie, il lui faut l’accord des autres pays ayant pris part à leur développement. Si l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie n’y voient, a priori, pas d’objection, il en va autrement pour la Suède et, surtout, pour la France. Du moins en théorie… Car une rumeur avance qu’elle aurait fini par céder. Et cela a d’ailleurs valu à Mme Laurence Auer, l’ambassadrice de France en Grèce, d’être convoquée par Nikos Dendias, le ministre grec de la Défense. À cette occasion, M. Dendias a demandé une « explication officielle » au sujet des « informations relatives à la vente de missiles Meteor à la Turquie par un consortium auquel participe la France » et fait savoir que la Grèce « s’oppose fermement à une telle perspective », laquelle ne serait « pas conforme » au partenariat stratégique franco-grec. Lors d’une réunion informelle des chefs d’État et de gouvernement des États membres de l’Union européenne [UE], le 3 février, à Bruxelles, le Premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, a abordé cette question avec M. Macron. « M. Mitsotakis a demandé des détails sur les négociations en cours entre la Turquie et le consortium européen de missiles MBDA, qui sont menées sous la médiation du Royaume-Uni », rapporte en effet le quotidien grec I Kathemirini, ce 8 février. D’après ce dernier, M. Macron a « confirmé les discussions » avant de souligner « qu’aucun accord définitif n’avait été conclu avec la Turquie » et qu’un « accord avec la Turquie ne devait pas être considéré comme acquis ». Deux jours plus tôt, des « sources diplomatiques françaises » avaient assuré auprès du même journal que la France souhaitait « renforcer » son partenariat stratégique avec la Grèce.
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Today, 2:14 PM
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En août 2020, dans le cadre du programme ACE [Air Combat Evolution] visant à renforcer l’interface « homme-machine » dans le domaine de l’aviation de chasse, l’agence du Pentagone dédiée à l’innovation [DARPA], avait organisé la compétition « AlphaDogfight » pour mettre à l’épreuve huit algorithmes d’intelligence artificielle censés permettre à une machine de livrer des combats aériens. Le meilleur d’entre eux devait ensuite affronter un pilote expérimenté de l’US Air Force, placé aux commandes d’un simulateur de F-16. Privé de ses repères habituels, ce dernier fut dominé par la machine, nourrie par un algorithme développé par l’entreprise Heron Systems. « Que l’humain ou la machine remporte le combat aérien final importe peu étant donné que les essais AlphaDogfight visent à accroître la confiance dans l’intelligence artificielle. Mais si une intelligence artificielle gagne le respect d’un pilote de F-16, nous aurons fait un pas de plus vers la réalisation d’une interface homme-machine efficace pour le combat aérien, ce qui est notre objectif », avait alors commenté le responsable de ce programme. Le projet ACE a ensuite été complété par un second, appelé AACO [Autonomous Air Combat Operations] et porté par l’Air Force Research Laboratory [AFRL] pour le combat aérien au-delà la portée visuelle [BVR – Beyond Visual Range]. L’un et l’autre sont passés à la vitesse supérieure dès 2022, quand un X-62A VISTA [Variable In-flight Simulation Test Aircraft], c’est-à-dire un F-16 de l’US Air Force Test Pilot School piloté par des algorithmes d’IA, a effectué des vols d’essais au cours desquels il a livré des combats aériens face à un F-16 « habité » en conditions réelles. Une telle capacité est susceptible d’intéresser l’armée de l’Air & de l’Espace, surtout au moment où il s’agit de développer un drone de combat [UCAV] censé accompagner le Rafale porté au standard F5. Lors d’une récente audition à l’Assemblée nationale, le rapporteur du programme 178 « Préparation et emploi des forces – Air », Frank Giletti, a demandé à Bertrand Rondepierre, le directeur de l’Agence ministérielle de l’intelligence artificielle de défense [AMIAD], si des projets similaires à ceux conduits aux États-Unis pouvaient être envisagés en France. D’après M. Rondepierre, des solutions existent déjà [comme le projet Centaur, de l’entreprise Helsing IA]. Le problème est qu’il y a « des réticences un peu partout » et la question est de savoir « comment passer à la vitesse supérieure tout de suite », a-t-il dit. « Il y a des acteurs qui proposent de faire des démonstrations. J’ai voulu savoir si l’on pouvait faire voler quelque chose. Puisque ça fonctionne, allons-y, dès 2025. Là, on tombe dans le ‘oui mais c’est compliqué’ parce qu’il faut faire voler un avion et il y a des questions de sécurité », a poursuivi le directeur de l’AMIAD. « S’il y a deux ou trois questions qui se posent, je pense que ce n’est pas une excuse. Ce n’est pas ça qui doit nous ralentir. Mais on se heurte à des pratiques qu’on doit traiter en tant que telles », a-t-il déploré. Cela étant, l’AMIAD n’a pas l’intention de renoncer. Aussi a-t-elle adopté une démarche en deux temps. D’abord, a expliqué M. Rondepierre, il s’agit de mettre l’accent sur la technique de l’apprentissage par renforcement « qui permet, dans un environnement de simulation, d’entraîner une machine à faire voler un avion et à opérer des systèmes d’armes ». Aussi, a-t-il poursuivi, on « est en train de travailler avec l’armée de l’Air [& de l’Espace] pour qu’il soit mis à la disposition de l’AMIAD » un « environnement de simulation » pour qu’elle « soit capable de faire cet exercice […] d’entraînement et de tests d’IA ». Car, a-t-il souligné, « si on n’est pas capable de faire ça, il ne sera pas envisageable de faire voler un avion ». Seulement, une fois que ce travail aura été réalisé, l’AMIAD devra franchir un autre obstacle. « En parallèle, on se pose la question suivante : comment faire voler quelque chose ? À ce stade, on n’a pas de plan très concret pour le faire mais c’est un effet qu’on souhaiterait obtenir. Mais on n’a pas horizon », a conclu son directeur. Photo : Illustration / AlphaDogfight
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Today, 2:11 PM
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La firme israélienne Elbit Systems a annoncé sur son site la signature d'un contrat d'une valeur de 57 millions de dollars destinés
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Today, 2:10 PM
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La Turquie continue de renforcer ses positions sur le marché mondial de l'armement avec un nouveau montant record de ses exportations pou
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