HEC Montréal - Atelier Financement de l’efficacité énergétique au Québec

Dans le cadre de sa politique de coopération internationale, la Région Nouvelle-Aquitaine a noué des liens forts avec le Québec, notamment inter-universitaires. Des liens qu’elle souhaite renforcer et développer dans un contexte géopolitique international bousculé

Hydro-Québec a lancé un appel d'offres pour un projet de centrale solaire de 300 MW. Les candidats intéressés ont jusqu'au 21 juillet pour s'inscrire et auront jusqu'au 31 mars 2026 pour soumettre leur offre.

L’Alliance de l’énergie de l’Est, qui détient aussi la compétence solaire dans son portefolio, déposera des propositions dans le cadre du processus d’appel d’offres lancé par Hydro-Québec pour acquérir de l’énergie solaire.

Le projet, qui pourrait être étendu à 200 MWc couplé à 400 MWh de stockage par batterie, est destiné à réduire la dépendance au diesel du pays et à améliorer la stabilité du réseau. Une campagne de financement citoyen d’un million d’euros a été ouverte pour participer aux premières étapes de construction.

Les deux centrales, situées à Gassi-Bagoum et Lamadji-Achawail, présenteront chacune une capacité de 15 MWc appuyée par un système de stockage par batterie de 4 MW/4 MWh. L’objectif est d’accroître l’approvisionnement électrique du pays, tout en réduisant les délestages et coupures d’électricité.

L’association professionnelle suisse publie pour la première fois un rapport complet sur le marché des batteries de stockage combinées au photovoltaïque. Dans le pays, environ une nouvelle installation photovoltaïque sur deux est installée avec une batterie de stockage.

La biométhanisation s'implante durablement au Québec, avec 12 projets municipaux et une trentaine d'initiatives agricoles qui transforment le paysage énergétique.

« On attendait ça avec impatience, on est très contents », mais l’objectif d’Hydro-Québec reste « ambitieux ».

L’atelier, organisé par la Chaire de gestion du secteur de l’énergie de HEC Montréal, en collaboration avec le gouvernement du Québec, a pour objectif d’amorcer une réflexion le financement de l’efficacité énergétique au Québec. Cet atelier vise à identifier, avec des experts de l’industrie, du gouvernement, des universités et des professionnels, des pistes d’action à prioriser pour mieux soutenir l’efficacité énergétique, permettre sa mise à l’échelle et accélérer son rôle de moteur de création de richesse. (avec la modeste participation de votre serviteur )

Tanger Med s’engage dans la transition énergétique en visant la neutralité carbone d’ici 2030. Depuis le 1er janvier 2025, le port a franchi un premier cap en obtenant un approvisionnement électrique 100 % vert. Cette énergie renouvelable alimente les navires en escale via l’infrastructure Onshore Power Supply (OPS), d’abord au terminal TC4, puis étendue à l’ensemble des quais.

Le gouvernement tunisien a autorisé quatre projets de centrales photovoltaïques d’une capacité totale de 500 MW à des opérateurs internationaux : les Français Qair International et Voltalia et le consortium japonais-norvégien Toyota Tsusho-Scatec.

A l’interface des politiques énergétiques, des politiques environnementales et des politiques des transports, les ports doivent répondre à un triptyque complexe : la décarbonation, la réindustrialisation et la résilience. Quelles sont les trajectoires suivies aujourd’hui en Europe et au Québec pour faire des ports des acteurs moteurs de la transition énergétique ?

Depuis le retour au pouvoir de Donald Trump et sa menace d’imposer des tarifs douaniers de 25 % sur les importations canadiennes, de nombreux analystes ont souligné la forte dépendance du Québec à l’égard du marché américain. En effet, il est souvent mentionné que près de 74 % des exportations québécoises sont destinées aux États-Unis, contre seulement 3,6 % à la Chine et 1,7 % à la France et au Mexique.

Une étude décrypte la dynamique portée par les petites et moyennes entreprises de l’économie française pour garantir leur stratégie d’innovation grâce aux brevets et rester compétitives à la fois sur le territoire national et à l’international.

Une étude révèle que les entreprises exerçant leurs activités dans plusieurs pôles technologiques agissent comme des conduits, diffusant des connaissances et augmentant la productivité entre des sites éloignés. Cependant, certains types d’entreprises y parviennent mieux que d’autres et en profitent plus facilement. Cette observation, tirée d’un récent document de travail du National Bureau of Economic Research (NBER), remet en question notre compréhension de la manière dont les bénéfices de l’innovation se propagent géographiquement.

Hakim Ferria, expert Horizon Europe à INSAVALOR (filiale de R&D, valorisation et formation continue de l’INSA Lyon), a effectué une semaine de séminaires à travers le Québec auprès des Universités, des CEGEPS et des organismes subventionnaires (du 2 au 5 décembre 2024), afin de présenter le programme Horizon Europe, qui offre aux Québécois davantage de possibilités de financer leurs recherches et leurs innovations grâce à des partenariats européens, voire mondiaux.

Le 3 juillet 2024, le Canada a rejoint le programme de l’Union Européenne (UE) pour la recherche et l’innovation, Horizon Europe. Suite à cette annonce, le monde de la recherche québécoise s’est montré enthousiaste et curieux quant au fonctionnement du programme.

C’est pourquoi, le Consulat général de France à Québec a invité Hakim Ferria dans quatre universités (Université de Sherbrooke ; Université du Québec en Outaouais ; Université Laval ; Université de Montréal) ce qui a permis de sensibiliser plus de 300 chercheurs ou administrateurs de la recherche.

Un consortium mené par H2 Global Energy a signé un protocole d’accord avec le gouvernement tunisien pour le développement d’un ambitieux projet de production d’hydrogène vert. Cette initiative, dont l’investissement total est estimé à 6 milliards de dollars, pourrait faire de la Tunisie un exportateur majeur pour l'Europe. 

La 29e Conférence des Parties sur les changements climatiques (COP29), qui s'est tenu à Bakou, en Azerbaïdjan, du 11 au 22 novembre 2024, etait une nouvelle occasion d’amplifier l’engagement des pays en faveur du climat. D’autant que réduire les émissions de gaz à effet de serre n’implique pas de renoncer à la croissance économique : c’est même tout l’inverse !

Le projet de 105 millions d’euros prévoit de mettre en service deux centrales photovoltaïques pour 60 MW de capacité ainsi qu’un système de stockage (BESS) de 72 MWh dans la région de Kolda en Haute-Casamance, au sud du pays. Les installations seront opérées à partir de 2026 par Axian Energy, la branche énergie de la multinationale malgache.

L’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique poursuit le processus d’accompagnement des industriels dans l’implémentation de leur système de management de l’énergie. Cette fois-ci, l’institution projette d’assister le secteur de l’agroalimentaire dans le sud du Royaume pour adopter le système de management de l’énergie selon la norme ISO 50001.

L’efficacité énergétique est une nécessité à notre gestion de l’énergie en industrie. Les cibles d’efficacité énergétique du Plan d’action 2035 d’Hydro-Québec montrent que cela deviendra de plus en plus important (jusqu’à 21 TWh en 2035).  Néanmoins, comment est-il possible de traduire ces cibles et comment concrètement mieux gérer l’énergie pour y arriver?