Your new post is loading...
|
Scooped by
ADACL
October 3, 5:22 AM
|
Le 9 septembre 2024, l’Observatoire économique de la commande publique (OECP) a publié un guide en vue de fluidifier la communication entre les parties intervenantes dans les opérations de travaux (maître d’ouvrage, maître d’œuvre et opérateur économique) et de limiter les situations de rejet des demandes de paiements ou de retard dans leur traitement.
|
Rescooped by
ADACL
from Logement-Habitat-Foncier
October 3, 4:31 AM
|
Le Premier ministre a énoncé mardi 1er octobre lors de son discours de politique générale des pistes pour aider le secteur du logement en grave crise, dont le retour du prêt à taux zéro (PTZ) "sur tout le territoire". Comment ça marche ? Qu’est-ce que ça implique ? On vous explique.
|
Scooped by
ADACL
October 3, 4:30 AM
|
En 1984, la ville de Bruxelles et JCDecaux ont conclu un contrat de mobilier urbain d’une durée de quinze ans… avec absence totale de redevance d’occupation domaniale (RODP) comme cela se faisait encore souvent à l’époque, en Belgique comme en France.
Il est mis fin à ce contrat en 1995 et JC Decaux remporte un nouvel appel d’offres en 1998, avec des RODP cette fois.
Mais JC Decaux, pour certains ouvrages, y compris aux termes du nouveau contrat, « conservait un droit d’exploitation conformément au contrat de 1984, en indiquant, pour chacun de ces dispositifs, son emplacement et la date prévue pour son enlèvement »… avec gratuité. Lire l'article complet sur : blog.landot-avocats.net
|
Scooped by
ADACL
October 2, 9:55 AM
|
Au stade de la passation : un maître d’ouvrage qui trop s’abrite derrière son maître d’oeuvre… risque de perdre ses contentieux ! A lui de sortir de l’ombre… de « prouver qu’il existe » (voir ici), du moins selon une ordonnance d’un juge des référés un peu isolée, mais qui conduit par prudence à quelques préconisations somme toute légères à respecter. Lire l'article complet sur : blog.landot-avocats.net
Lire l'article complet sur : blog.landot-avocats.net
|
Scooped by
ADACL
October 2, 7:18 AM
|
Alors que la commande publique « recule fortement » cette année, les collectivités ont vu leurs achats légèrement progresser de 1,3 % au premier semestre, selon le baromètre publié par Intercommunalités de France et la Banque des territoires. Lire l'article complet sur : www.maire-info.com
|
Scooped by
ADACL
October 2, 3:25 AM
|
Au cours des six premiers mois de cette année, la commande publique dans son ensemble (45,9 milliards d’euros) s'est contractée "fortement" (-5,3%) par rapport à la même période de 2023 (48,4 milliards d’euros), selon le baromètre Intercommunalités de France/Banque des Territoires qui suit depuis plusieurs années ses évolutions. Le volume des achats des collectivités a continué, lui, de progresser, mais à un rythme plus modéré que l'an dernier. Lire l'article complet sur : www.banquedesterritoires.fr
|
Scooped by
ADACL
October 1, 9:30 AM
|
Aux termes de l'article 12.4. du même CCAG : " Décompte général définitif - Solde. 12.4.1. Le maître d'œuvre établit le projet de décompte général, qui comprend : - le décompte final ; - l'état du solde, établi à partir du décompte final et du dernier décompte mensuel (...) Le maître d'œuvre transmet le projet de décompte général au maître d'ouvrage (...)
12.4.2. Le maître d'ouvrage valide, le cas échéant rectifie, et signe le projet de décompte général. Celui-ci devient alors le décompte général. (...) Le maître d'ouvrage notifie au titulaire le décompte général à la plus tardive des deux dates ci-après : - trente jours à compter de la réception par le maître d'œuvre de la demande de paiement finale transmise par le titulaire ; - trente jours à compter de la réception par le maître d'ouvrage de la demande de paiement finale transmise par le titulaire. (...)
12.4.4. Si le maître d'ouvrage ne notifie pas au titulaire le décompte général dans les délais stipulés à l'article 12.4.2, le titulaire notifie au maître d'ouvrage, avec copie au maître d'œuvre, un projet de décompte général signé (...)
Dans un délai de dix jours à compter de la réception de ces documents, le maître d'ouvrage notifie le décompte général au titulaire. Le décompte général et définitif est alors établi dans les conditions fixées à l'article 12.4.3.
|
Scooped by
ADACL
October 1, 9:30 AM
|
Aux termes de l'article L. 2181-1 du code de la commande publique : " Dès qu'il a fait son choix, l'acheteur le communique aux candidats et aux soumissionnaires dont la candidature ou l'offre n'a pas été retenue, dans les conditions prévues par décret en Conseil d'État ". Aux termes de l'article R. 2181-1 du même code : " L'acheteur notifie sans délai à chaque candidat ou soumissionnaire concerné sa décision de rejeter sa candidature ou son offre ". En vertu de l'article R. 2181-3 de ce code, cette notification " mentionne les motifs du rejet de la candidature ou de l'offre. / Lorsque la notification de rejet intervient après l'attribution du marché, l'acheteur communique en outre : / 1° Le nom de l'attributaire ainsi que les motifs qui ont conduit au choix de son offre ; / 2° La date à compter de laquelle il est susceptible de signer le marché dans le respect des dispositions de l'article R. 2182-1 ".
Enfin, aux termes de l'article R. 2181-4 du même code : " A la demande de tout soumissionnaire ayant fait une offre qui n'a pas été rejetée au motif qu'elle était irrégulière, inacceptable ou inappropriée, l'acheteur communique dans les meilleurs délais et au plus tard quinze jours à compter de la réception de cette demande : / 1° Lorsque les négociations ou le dialogue ne sont pas encore achevés, les informations relatives au déroulement et à l'avancement des négociations ou du dialogue ; / 2° Lorsque le marché a été attribué, les caractéristiques et les avantages de l'offre retenue ". Lire l'article complet sur : www.idcite.com
|
Scooped by
ADACL
October 1, 5:33 AM
|
Selon le baromètre de la commande publique, publié ce mardi par l'association d'élus Intercommunalités de France et la Banque des territoires (groupe Caisse des dépôts), le total des achats des élus locaux a certes progressé en 2023 et au premier semestre 2024, mais les apparences sont trompeuses. Lire l'article complet sur : www.latribune.fr
|
Scooped by
ADACL
September 30, 8:49 AM
|
Un acheteur public peut prévoir des crédits budgétaires inférieurs au montant maximum de l’accord-cadre qu'il souhaite conclure. Dans ce cas, l’offre qui dépasse le budget sans toutefois excéder le plafond de l’accord-cadre peut être rejetée comme inacceptable. Mais uniquement si les candidats ont été informés du budget consacré au contrat, précise le Conseil d’Etat. Lire l'article complet sur : www.lemoniteur.fr
|
Scooped by
ADACL
September 30, 6:50 AM
|
Aux termes de l'article L. 2142-1 du code de la commande publique : " L'acheteur ne peut imposer aux candidats des conditions de participation à la procédure de passation autres que celles propres à garantir qu'ils disposent de l'aptitude à exercer l'activité professionnelle, de la capacité économique et financière ou des capacités techniques et professionnelles nécessaires à l'exécution du marché. / Ces conditions sont liées et proportionnées à l'objet du marché ou à ses conditions d'exécution. ". Lorsqu'en application de l'article R. 2142-15 dudit code, un acheteur entend limiter le nombre de candidats admis à soumissionner ou à participer au dialogue, les dispositions de l'article R. 2142-16 précisent que l'acheteur indique " () dans l'avis d'appel à la concurrence ou dans l'invitation à confirmer l'intérêt, les critères objectifs et non-discriminatoires qu'il prévoit d'appliquer à cet effet, Lire l'article complet sur : www.idcite.com
|
Scooped by
ADACL
September 26, 5:48 AM
|
Le maître de l'ouvrage est responsable, même en l'absence de faute, des dommages que les ouvrages publics dont il a la garde peuvent causer aux tiers tant en raison de leur existence que de leur fonctionnement.
Il ne peut dégager sa responsabilité que s'il établit que ces dommages résultent de la faute de la victime ou d'un cas de force majeure. Ces tiers ne sont pas tenus de démontrer le caractère grave et spécial du préjudice qu'ils subissent lorsque le dommage présente un caractère accidentel.
En l’espèce, la société, en sa qualité de délégataire du service public de distribution d'eau potable, est responsable, même en l'absence de faute de sa part, des dommages causés aux propriétaires du pavillon et à leur assureur, sauf à démontrer que ces désordres sont imputables à un cas de force majeure ou à une faute de la victime.
|
Scooped by
ADACL
September 26, 5:36 AM
|
Lorsqu'un candidat à l'attribution d'un contrat public demande la réparation du préjudice né de son éviction irrégulière de ce contrat et qu'il existe un lien direct de causalité entre la faute résultant de l'irrégularité et les préjudices invoqués par le requérant à cause de son éviction, il appartient au juge de vérifier si le candidat était ou non dépourvu de toute chance de remporter le contrat. En l'absence de toute chance, il n'a droit à aucune indemnité. Dans le cas contraire, il a droit en principe au remboursement des frais qu'il a engagés pour présenter son offre.
Il convient en outre de rechercher si le candidat irrégulièrement évincé avait des chances sérieuses d'emporter le contrat conclu avec un autre candidat. Si tel est le cas, il a droit à être indemnisé de son manque à gagner, qui inclut nécessairement, puisqu'ils ont été intégrés dans ses charges, les frais de présentation de l'offre.
Aux termes du 2ème alinéa de l'article L. 1411-1 du code général des collectivités territoriales, dans sa version applicable : " (...) Les sociétés en cours de constitution ou nouvellement créées peuvent être admises à présenter une offre dans les mêmes conditions que les sociétés existantes ".
Le règlement de consultation prévoyait en conséquence, pour la délégation en litige, que, dans l'hypothèse d'une candidature présentée par une société en cours de constitution, le soumissionnaire pouvait se prévaloir des garanties et des capacités des associés détenant le capital de la société à venir ou de toute autre personne apportant la preuve qu'il en disposerait pour l'exécution du contrat. Lire l'article complet sur : www.idcite.com
|
Scooped by
ADACL
September 26, 4:20 AM
|
La Fédération des services énergie environnement (Fedene) et l’Association des petites villes de France (APVF) publient un guide pour inciter les collectivités territoriales de toutes tailles à s’emparer du marché global de performance énergétique. Pour cela, elles doivent mettre en œuvre plusieurs mécanismes dérogatoires au droit commun de la commande publique. Le CPE est présenté comme l'outil idéal pour mener des opérations de rénovation énergétique des bâtiments des collectivités.
« Les bâtiments des collectivités territoriales, qui représentent 75 % de la surface des bâtiments publics, doivent être rénovés », peut-on lire en introduction du guide « Tout savoir sur le contrat de performance énergétique (CPE) » publié le 24 septembre par la Fédération des services énergie environnement (Fedene). Réalisé en partenariat avec l’Association des petites villes de France (APVF), il entend faire connaître les atouts du CPE pour affronter ce « mur de rénovations » et « expliquer concrètement les moyens et méthodes de mise en œuvre » de cet outil. Lire l'article complet sur : www.lemoniteur.fr
|
Scooped by
ADACL
September 25, 5:12 AM
|
Avis relatif à l'indice du coût de la construction du deuxième trimestre de 2024 (décret n° 2009-1568 du 15 décembre 2009) >> L’indice du coût de la construction (ICC) s’établit à 2 205 au deuxième trimestre 2024. Il est en baisse de 0,99 % sur un trimestre (après +3,01 % au trimestre précédent). Sur un an, il augmente de 3,86 % (après +7,22 % au trimestre précédent).
Lire l'article complet sur : www.idcite.com
|
Scooped by
ADACL
September 24, 5:35 AM
|
Le « in house » (prestations de services intégrées) n’est pas toujours aisé à sécuriser en droit, surtout depuis une décision « Marsannay-la-Côte» de 2013, du Conseil d’Etat. Mais sur ce point, plus de solutions existent qu’on ne le croit usuellement.
Lire l'article complet sur : blog.landot-avocats.net
|
Scooped by
ADACL
September 23, 8:13 AM
|
Le tribunal administratif d’Orléans annule la délibération d’un conseil municipal autorisant le maire à signer des propositions de diagnostic et de préconisations établies par un bureau d'étude concernant la reconstruction et la réhabilitation de deux collèges sur son territoire. La commune avait outrepassé ses compétences… Un rappel des règles simple et efficace : le tribunal administratif d’Orléans, saisi par le préfet d’Eure-et-Loir, a réaffirmé la ligne de partage de compétences entre la commune et le conseil départemental. Le représentant de l’Etat lui avait en effet déféré la délibération d’un conseil municipal « autorisant l'engagement par la commune d'une étude relative au maintien et au développement de quatre collèges, non retenus par le conseil départemental dans le cadre de son projet de rénovation et de réhabilitation des collèges, dans la limite de 15 000 euros ». L’étude visait notamment à chiffrer le coût de scénarios de reconstruction/réhabilitation/rénovation de ces collèges, à la suite de l'adoption d'une motion visant à « conserver le maillage actuel des établissements du secondaire sur le territoire de la commune ». Lire l'article complet sur : www.lemoniteur.fr
|
Scooped by
ADACL
September 23, 6:09 AM
|
Dans le cadre d'une délégation de service public, l'ensemble des biens, meubles ou immeubles, acquis ou créés par le délégataire, et nécessaires au fonctionnement du service public, appartiennent dans le silence de la convention, dès leur réalisation ou leur acquisition, à la personne publique. À l'expiration de la convention, les biens qui sont entrés dans la propriété de la personne publique et ont été amortis au cours de l'exécution du contrat font nécessairement retour à celle-ci gratuitement, sous réserve des clauses contractuelles permettant à la personne publique, dans les conditions qu'elles déterminent, de faire reprendre par son cocontractant les biens qui ne seraient plus nécessaires au fonctionnement du service public.
Le contrat ne peut, sous les mêmes réserves, faire obstacle au retour gratuit de ces biens à la personne publique en fin de délégation .
Si les stipulations de la délégation de service public prévoient que des biens constituant des biens de retour sont susceptibles de ne pas revenir à la personne publique au terme de la convention, il appartient au juge administratif de déterminer si ces biens sont nécessaires au fonctionnement du service public. Dans cette hypothèse, ils doivent, nonobstant les termes de la convention, gratuitement revenir dans le patrimoine de la personne publique. Lire l'article complet sur : www.idcite.com
|
Scooped by
ADACL
September 20, 5:12 AM
|
Si le régime de préfinancement des travaux de reprise prévu dans le contrat d'assurance couvre des désordres de nature décennale, il est distinct du régime de la garantie décennale des constructeurs au nombre desquels ne figurent pas les assureurs. Dès lors que l'action en garantie décennale n'est ouverte au maître de l'ouvrage qu'à l'égard des constructeurs avec lesquels il a été lié par un contrat de louage d'ouvrage, la responsabilité de l’assureur ne peut être recherchée sur le fondement de la garantie décennale par l'EHPAD qui ne peut en conséquence demander, dans le dernier état de ses écritures, que soit prononcée la condamnation solidaire de son assureur avec les constructeurs. Lire l'article complet sur : www.idcite.com
|
Scooped by
ADACL
September 20, 3:53 AM
|
Sur les six premiers mois de 2024, l'analyse des délais de paiement a montré que les entreprises du bâtiment étaient sous le seuil des 10 jours. À l'inverse, les services de l'État font office de cancres, tandis que les communes s'en sortent un peu mieux. Les mises en garde du Médiateur des entreprises n'y ont pas suffi : sur les six premiers mois de 2024, les retards de paiement des entreprises ont atteint un plus haut depuis la sortie du Covid, selon une analyse réalisée par le cabinet Altares. "Dans une conjoncture qui souffle le chaud et le froid, l'incertitude gagne du terrain et pèse sur la dynamique des affaires et les trésoreries des entreprises en cette rentrée", commente Thierry Millon, le directeur des études du groupe. Lire l'article complet sur : www.batiactu.com
Lire l'article complet sur : www.batiactu.com
|
Scooped by
ADACL
September 19, 4:27 AM
|
Au nombre des principes généraux du droit qui s'impose au pouvoir adjudicateur comme autorité administrative figure le principe d'impartialité. Ce principe implique l'absence de situation de conflit d'intérêts au cours de la procédure de sélection du titulaire du contrat.
(...)Eu égard à sa nature, la méconnaissance du principe d'impartialité et par elle-même constitutive d'un vice d'une particulière gravité justifiant l'annulation du contrat, sans qu'il soit besoin de relever une attention de la part du pouvoir adjudicateur de favoriser un candidat.
En l'espèce, la société requérante établit par les pièces qu'elle produit que la directrice des achats, de la logistique, du biomédical, du service technique et du patrimoine est la conjointe d'un dirigeant de la société attributaire du marché.
Toutefois, cette circonstance, à elle seule, n'est pas de nature à caractériser l'existence d'un manquement au principe d'impartialité alors que le CHPF fait valoir que la requérante n'a participé ni à l'élaboration des documents du marché, qui a été confiée à un prestataire extérieur, ni à la sélection des candidats. Sur ce dernier point,(...).
En outre, il ressort également de la décision n° 170-2024 DIR/CHPF du 15 mars 2004 portant délégation de signature à la directrice des achats, de la logistique du biomédical, du service technique et du patrimoine qu'elle ne dispose d'aucune délégation en matière de maintenance. (...)
Par ailleurs, il ressort des différentes pièces produites que le CHPF a pris les mesures nécessaires pour prévenir le conflit d'intérêt allégué en demandant à la société de remplacer le responsable technique et administratif du marché et a écarté la directrice des achats des procédures pour lesquelles un potentiel conflit d'intérêts pouvait exister.
Complémentairement à ces mesures, la mise en place d'une commission de déontologie, d'un référent déontologue, d'une charte de déontologie et la diffusion aux personnels d'une note d'information sont de nature à prévenir les situations de conflits d'intérêt en permettant, notamment, aux agents d'interroger un référent déontologue.
Ainsi, ces différentes mesures sont de nature à garantir l'indépendance de l'ingénieure en charge de la maintenance dans ses relations avec l'entreprise alors même que celle-ci exerce sous l'autorité de la directrice des achats.
|
Scooped by
ADACL
September 19, 4:15 AM
|
Les retards de paiement des entreprises sont au plus haut depuis le Covid, alerte Altares dans un panorama publié le 17 septembre, mêlant pour la première fois secteurs public et privé. Le cabinet met en garde contre l'impact de ces retards sur la trésorerie des entreprises, au moment où les défaillances se multiplient. Lire l'article complet sur : www.banquedesterritoires.fr
|
Scooped by
ADACL
September 19, 2:46 AM
|
L’Observatoire économique de la commande publique et le Médiateur des entreprises viennent de publier un guide dédié aux bonnes pratiques de facturation et de règlement dans les marchés publics de travaux.
Facturation, mode d’emploi. C’est un peu la promesse du guide qui vient d’être publié par l’Observatoire économique de la commande publique et le Médiateur des entreprises, réalisé en concertation avec les fédérations professionnelles et les professionnels de la commande publique, plus particulièrement des marchés publics de travaux. Lire l'article complet sur : www.lagazettedescommunes.com
|
Scooped by
ADACL
September 17, 5:50 AM
|
Quelle que soit la procédure de passation mise en œuvre, il incombe au pouvoir adjudicateur qui constate qu'une offre paraît anormalement basse de solliciter auprès de son auteur toutes précisions et justifications de nature à expliquer le prix proposé.
Si les précisions et justifications apportées ne sont pas suffisantes pour que le prix proposé ne soit pas regardé comme manifestement sous-évalué et de nature, ainsi, à compromettre la bonne exécution du marché, il appartient au pouvoir adjudicateur de rejeter l'offre, sauf à porter atteinte à l'égalité entre les candidats à l'attribution d'un marché public.
Le seul écart de prix avec une offre concurrente ne signifie pas qu'une offre est anormalement basse, le juge devant seulement rechercher si le prix en cause est en lui-même manifestement sous-évalué et, ainsi, susceptible de compromettre la bonne exécution du marché.
Il résulte de l'instruction que le montant de l'offre de base de la société est inférieur de 28,47 % à l'estimation des services de la ville et de 37,78 % à la moyenne des offres reçues. La société a été invitée par la ville à justifier les prix qu'elle proposait pour les prestations de nettoyage par aéro-gommage ou hydro-gommage, de recouvrement par peinture et d'application d'une laque ou d'un vernis, compte tenu des écarts de prix importants constatés.
|
Scooped by
ADACL
September 17, 5:49 AM
|
Aux termes de l'article 10.2 des conventions en litige: " Le délégataire gère le service à ses risques et périls. Il n'est donc pas prévu de contribution financière. / Toutefois, il peut bénéficier des aménagements prévus à l'article 6 de la présente. / Par ailleurs, et uniquement si après ces aménagements, le rapport comptable annuel s'avère déficitaire en raison de la consistance du service (rotation, itinéraire, horaire, tarif, demande des usagers), le délégataire pourra obtenir, après vérification du département (...), l'attribution d'une contribution visant à compenser les charges spécifiques de service public. Le montant de cette compensation financière est fixé pour l'année d'exploitation considéré. ". Aux termes de l'article 12 des dites conventions : " L'exploitant perçoit les recettes des titres de transport auprès des usagers. / L'autorité organisatrice remet à l'exploitant les billets nécessaires à l'exploitation (...) ". Les conventions en litige sont des délégations de service public au sens de l'article L. 1411-1 du code général des collectivités territoriales, dans sa version applicable à la date de passation des contrats, la société tirant sa rémunération de l'exploitation du service, sa rémunération comprenant, selon l'article 10 des conventions, les recettes commerciales, la valeur des titres remis par le Département et toutes autres recettes liées à l'exploitation de la ligne. Lire l'article complet sur : www.idcite.com
|
Curated by ADACL
L'Agence Départementale d'Aide aux Collectivités Locales est un établissement public administratif à vocation d'assistance aux collectivités territoriales du département des Landes. http://www.adacl40.fr
|
vidéo