Une étude suggère que les femmes seraient plus productives et privilégieraient les solutions à finalité sociale, rejetant les innovations « gadgets ». En composant moins de 30 % d’une promotion d’ingénieurs ou de chercheurs en sciences dites dures, les femmes sont les grandes absentes des processus d’innovation technologique. Un déficit à combler qui peut toutefois apparaître comme une bonne nouvelle pour répondre au défi climatique, car elles peuvent permettre d’accélérer la recherche de solutions innovantes. Il existe donc une marge de manœuvre.