Dans la déclaration publiée, les ministres notent que "les mesures de lutte contre la pandémie ne devraient pas affecter le commerce des produits agroalimentaires et de la pêche, ce qui aurait en fin de compte des effets négatifs sur la sécurité alimentaire, la nutrition et la santé de leurs populations". Selon eux, l'adoption ou le maintien de mesures restrictives sur les échanges par les membres de l'UpM pour assurer leur propre sécurité alimentaire pourrait créer des déséquilibres sur les marchés internationaux et entraîner une crise de l'insécurité alimentaire due à la perturbation des chaînes d'approvisionnement du commerce agricole mondial et régional".