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Dans un contexte sensible de guerre en Ukraine exposant la dépendance des économies aux énergies fossiles, les experts climat de l’ONU (Giec) ont publié leur éventail de scénarios, pistes et solutions pour limiter le réchauffement et ses impacts déjà dévastateurs. Selon les scientifiques, l’humanité n’a (...)
Le dernier rapport du GIEC est sans appel : l’adaptation aux impacts du changement climatique n’est plus une simple option, mais un enjeu vital y compris en France. Même des efforts indispensables et substantiels de réduction des émissions ne permettront pas d’éliminer tout risque climatique. (...)
La ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, avait commandité cet hiver un rapport sur l’économie du Nouveau monde, celle de l’après-pétrole. Coordonné par l’ancienne députée européenne Corinne Lepage, le texte propose une centaine de mesures pour passer à l’après-pétrole : nouvelles réformes fiscales et économiques pour favoriser la croissance grâce à l’environnement. Il attribue l’échec des renouvelables en France à la toute-puissance des géants de l’énergie comme EDF, Engie et Areva.
Si nous pensions la terre comme une maison commune telle que l’appelle le Pape François dans sa lettre encyclique, comme une soeur ou même une mère qui nous accueille, nous protège et nous nourrit ... sans doute agirions-nous bien différemment ! Une planète qui nous alerte pourtant sur les dégats que nous lui causons par nos attitudes irresponsables d’exploiteurs sans conscience ... Un texte pour réfléchir et sensibiliser les croyants à l’impérieuse nécessité de prendre soin d’elle.
Voici la deuxième note de Bettina Laville, fondatrice du Comité 21 et présidente du Comité d’orientation scientifique du Club France Développement durable, au lendemain de la clôture de la Conférence de Bonn. « A la fin de la session de Bonn, le 11 juin, il est à la fois paradoxal et positif que les Délégués aient accepté de confier aux coprésidents des sessions de négociation Dan Reifsnyder (États-Unis) et Ahmed Djoghlaf (Algérie), le soin de produire un texte pour le 24 juillet. En fait, la session n’a réussi qu’à réduire le texte d’une petite dizaine de pages, mais manifestement ce texte sera « un brouillon » pour les coprésidents. En effet, ceux-ci comptent produire deux textes : l’un comprenant l’accord juridique engageant les pays jusqu’en 2030, et l’autre décrivant un processus, une trajectoire plus longue. »
La campagne de sensibilisation "Protégeons notre santé, bien commun", vise à sensibiliser chacun aux risques liés à l’usage de substances et de produits toxiques. Elle part du constat qu’il existe un grave déficit de prévention face aux nombreux produits dangereux qui peuplent aujourd’hui notre quotidien. Cette campagne se propose également, à travers la diffusion de 15 spots audiovisuels, de mettre en lumière et de faire partager activement par les citoyen-nes les problèmes de santé publique que notre société doit affronter tout autant dans le monde du travail, dans l’espace domestique, dans le cadre des activités de loisir qu’au plan de l’environnement général.
Célébrons la journée la plus importante pour l’action environnementale ! La Journée mondiale de l’environnement (JME) est le vecteur principal grâce auquel les Nations-Unies encouragent une prise de conscience et une action d’envergure mondiale pour la sauvegarde de l’environnement. Au fil des années, la JME a évolué pour devenir une plateforme mondiale favorisant la sensibilisation publique. Elle est célébrée dans plus de 100 pays. Cette journée met en valeur les actions de tout un chacun et incite à mener toutes sortes d’évènements en faveur l’environnement. Le but affiché est de donner aux actions individuelles une puissance collective générant un impact positif sur la planète.
Climat et changement climatique dans une perspective de développement durable : Subir, atténuer, s’adapter … les défis du changement climatique sont ici resitués dans le cadre du FOREDD 2015 et de la future rencontre internationale à Paris pour la même année à travers, une sélection de sites et d’articles en ligne pour rappeler les enjeux définis par les institutions internationales, européennes et françaises, leur mesure et les effets dans ses dimensions économiques, socioculturelles et environnementales, les moyens de lutte contre ce dérèglement (dont la transition énergétique) – avec repérage de références plus spécifiques au contexte de l’enseignement dans le cadre des programmes scolaires de l’école à la terminale, intéressant aussi l’éducation au développement durable (l’EDD).
Dans un contexte économique et social tendu et malgré des taux d’intérêt historiquement bas, la finance solidaire continue de convaincre et enregistre encore une belle progression en 2014 (+ 13,6 % pour l’encours de l’épargne solidaire). Avec un encours qui dépasse 6,8 milliards d’euros au 31/12/2014, les indicateurs du secteur, présentés dans le 13ème Baromètre de la finance solidaire Finansol/La Croix, révèlent des performances dynamiques et plus homogènes dans toutes les composantes de cette épargne, même si l’on note une légère décélération des rythmes de croissance.
Les lampes à LED des entreprises Cree, Nanogrid, Globe Electric, et Xiamen Yankon remportent les médailles pour l’efficacité énergétique décernées par l’initiative globale SEAD.
Aujourd’hui, les organisations fondatrices de l’initiative Science Based Targets – Carbon Disclosure Project (CDP), United Nations Global Compact, World Resources Institute et WWF – lancent une campagne visant à mobiliser 100 entreprises d’ici fin 2015 souhaitant aligner leurs émissions de gaz à effet de serre sur les recommandations des scientifiques du GIEC pour limiter la hausse de la température moyenne mondiale en-dessous de 2°C.
A l’heure des négociations internationales historiques sur le climat qui auront lieu en France en décembre 2015, très peu d’ouvrages sont accessibles aux enfants (4-8 ans) pour les sensibiliser à cette question centrale du changement climatique, qui engage leur avenir.
4ème Edition du Congrès International EHSP-NCRS : Sécurité humaine & environnementale à l’ère des risques globaux (HES2015) 25 - 27 novembre 2015 | Agadir, Maroc
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L’École normale supérieure offre un accès privilégié à six grands scientifiques, dans un podcast inédit sur les enjeux du climat. Alors que les fake news semblent s’imposer, que les connaissances peuvent être malmenées et la confiance dans les sciences ébranlée, l’École normale supérieure continue à (...)
Concevoir une Serre d'abondance ... et atteindre à l'autonomie alimentaire ! Un rêve ? Ou un objectif à atteindre ? Oui, la solution existe : une formation en ligne et même les plans en 3D. Vous aussi, vous pouvez choisir de réaliser votre serre solaire passive ...
Selon un rapport de Yves Marignac et Manon Besnard commandé par Greenpeace, le nucléaire français serait dans une impasse industrielle : « la situation de crise profonde dans laquelle est plongée la filière nucléaire française ne constitue pas, même si sa soudaineté et son ampleur peuvent surprendre même les observateurs les plus critiques, une véritable nouveauté. Elle représente en effet l’aboutissement d’une stratégie engagée à la fin des années quatre-vingt-dix dont les fondamentaux apparaissent depuis longtemps erronés. Le projet consistait à mener une politique agressive d’expansion à l’export pour compenser des difficultés prévisibles au niveau national. Les erreurs de jugement sur la dynamique du nucléaire à l’international, sur son bénéfice pour le pays et sur les solutions techniques mises en avant par l’industrie française ont transformé la croissance espérée en pertes massives. Confrontées sur le plan domestique à des marchés en baisse et à des dépenses croissantes, EDF et Areva ne peuvent durablement rester dans cette spirale. L’État, dont la responsabilité est engagée dans cette faillite stratégique, doit aujourd’hui pleinement jouer son rôle. La réorganisation industrielle qu’il a engagée est nécessaire, mais elle ne suffira pas à sauver la filière. Les ressorts profonds de la crise ne permettront pas de rendre demain les mêmes priorités profitables, et seule une véritable réorientation peut éviter un désastre plus important encore pour l’économie française. »
Les Assises nationales des Déchets qui se tiendront à la Cité des Congrès de Nantes du 23 et 24 septembre se préparent. Le contenu des ateliers et des séances plénières se précise. Innovations des entreprises, initiatives des collectivités, projets territoriaux et avancées technologiques : le programme des débats s’aiguise autour de thématiques concrètes qui mobilisent, ou qui bousculent parfois, tous les acteurs du déchet.
Le développement du tourisme, dans les années à venir, ouvre de nouvelles perspectives de découvertes, d’échanges et de rencontres. Toutefois son développement, s’il n’est pas maîtrisé, est aussi à l’origine d’impacts importants pour les territoires visités, tant au niveau économique, social qu’environnemental. C’est autour de ces trois axes qu’intervient le concept de Tourisme Responsable pour inciter à des pratiques plus équitables et respectueuses. Pour développer une prise de conscience des professionnels, des institutions et des voyageurs face à ces enjeux et démontrer l’intérêt et la nécessité d’adopter de nouveaux comportements et de nouvelles règles, la Coalition Internationale pour un Tourisme Responsable organise depuis 2007 un évènement annuel : la Journée Mondiale pour un Tourisme Responsable. En 2015, elle a pour thème "Du greenwashing au greenmarketing : faut-il communiquer son engagement pour un tourisme responsable ?!".
Le 6 juin 2015 a eu lieu le débat citoyen planétaire sur le climat et l’énergie (World Wide Views on Climate and Energy). 96 débats ont été organisés dans 75 pays, associés à cette initiative ambitieuse. Dans chaque pays, cent citoyens ont participé à une journée d’information et de délibération leur permettant de se former une opinion éclairée et de donner leur avis sur cinq sujets-clef des négociations de la 21ème Conférence des Parties (COP21), qui aura lieu à Paris en décembre 2015. Les rencontres ont débuté dans les îles du Pacifique et se sont conclues sur la côte Ouest des Amériques.
Parmi les adhérents du Comité 21, l’exemple de la Région Basse-Normandie et de la Fédération des Parcs Naturels Régionaux pour des stratégies d’éducation au changement climatique, de Elior, du Conseil départemental de l’Essonne, de l’Institut Français des Formateurs Risques Majeurs et protection de l’Environnement pour la mobilisation des équipes, de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et la LPO pour la Mobilisation de tous !, des Régions Ile-de-France, Pays de la Loire, Picardie, du Conseil départemental des Vosges, du CPIE de Besançon, de la Ligue de l’enseignement et l’association 4D, des Conférences des Présidents d’Université et des Grandes Ecoles pour Place aux jeunes !, de EDF, ENGIE, Véolia, l’ADEME, Vivacités et l’ARENE Île-de-France et de l’UVED pour des outils d’information et de formation. Des exemples à retrouver juste après l’édito de Catherine Decaux, directrice générale du Comité 21, intitulé "COP21 : pour une mobilisation citoyenne !"
Difficile de mettre "En Quête de Sens" dans une case cinématographique définie ... Ni film environnemental, ni film de voyage, ni réellement fictionné, ni totalement documentaire, incarné mais pas intimiste, ce film ressemble au road-movie d’une génération désabusée à la recherche de sagesse et de bon sens. En rapprochant les messages d’un biologiste cellulaire, d’un jardinier urbain, d’un chamane itinérant ou encore d’une cantatrice présidente d’ONG, Marc et Nathanaël nous invitent à partager leur remise en question, et interrogent nos visions du monde.
- 2014 est une année record pour les installations éoliennes et solaires photovoltaïques ; - 20 nouveaux pays ont adopté des objectifs sur les énergies renouvelables et porté le total à 164 pays ; - les énergies renouvelables fournissent plus de 60 % des ajouts nets de capacité électrique mondiale ; - des décideurs politiques nettement plus intéressés par le chauffage et le refroidissement à base des énergies renouvelables ; - les investissements des pays en développement à égalité avec ceux des pays développés pour un total de 301 milliards de dollars
Les organisations engagées dans la reforestation demandent à la COP21 de considérer les arbres et les forêts comme une solution pour notre défi climatique et demandent à nos dirigeants de tenir leurs promesses. - 1 - Les arbres sont une des solutions les plus efficaces pour enrayer le réchauffement climatique autant du point de vue de l’atténuation que de l’adaptation. - 2 - Ils sont essentiels à la vie humaine et irremplaçables. - 3 - Nous devons cesser de les couper et accélérer la reforestation. - 4 - En vue de la COP21, nous exhortons tous les participants à prendre des mesures pour remettre les arbres et les forêts à leur place.
- Comment le changement climatique affecte-t-il concrètement notre vie quotidienne ? - Pour nous y adapter, que modifier dans nos façons de penser, d’agir, de vivre ensemble ? - Quels comportements individuels, quelles mesures économiques, quelles politiques nationales et mondiales ? - Quelle nouvelle gouvernance peut être envisagée ?
Depuis des millions d’années, la collaboration entre les plantes à fleurs et les insectes pollinisateurs ont assuré leur survie réciproque mais aussi celle des autres espèces dont l’homme. Nourrir la planète, c’est le thème central de l’exposition universelle 2015 à Milan, c’est aussi le combat de l’UNAF, qui célèbre cette année les 10 ans du programme Abeille sentinelle de l’environnement® durant les Journées nationales APIdays qui auront lieu partout en France métropolitaine, Outremer et à Monaco.
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